David
J'ai baisé avec pas mal de David. Ca doit être le prénom, mais tous ceux que j'ai rencontré étaient super chauds. Celui-là habitait sur les pentes de la Croix Rousse. Nous nous étions contactés par internet. C'était en 2003 et il faisait encore chaud malgré que nous fussions en septembre lorsque nous avons commencé à tchatter. David était assez mignon sur les photos qu'il m'avait envoyé et j'avais l'air de lui plaire aussi. La seule chose c'est qu'il voulait ne pas voir mon visage. D'ailleurs, il ne l'a jamais vu car je l'ai baisé les yeux bandés. C'était un délire que j'avais déjà fait avec un dénommé Fred, dans le quartier de Gerland. On se fixe rendez-vous, j'arrive, le keum m'attends à poil ou en slip, les yeux bandés et défoncé au poppers. Pour ceux qui n'ont pas essayé, c'est super excitant
On se fixe donc un rendez-vous un matin vers 11 h. Je m'habille léger (short et tee shirt) car je sais qu'il me faut gravir une bonne partie de la montée Saint Sébastien avant d'arriver chez mon coup du jour. Je sonne à l'interphone et une voix me répond de monter en m'indiquant l'étage et la porte (qui sera entrouverte). C'est bien ma veine, il me faut me taper encore 4 étages à pied. Pour le grand sportif (je rigole) que je suis, c'est un peu la mort mais bon. J'y suis j'y vais. J'espère juste que je ne vais pas transpirer comme un boeuf
Quelques secondes plus tard, j'arrive devant la fameuse porte entrouverte. Je pénètre dans l'appartement. Il fait assez sombre, les volets sont un peu fermés. Je longe le couloir pour m'aventurer dans la chambre qui se trouve au bout. Je me souviens que je me dis qu'il faut être un peu dingue pour faire venir un mec que l'on ne connait pas alors qu'on a les yeux bandés alors qu'on vit dans un appartement plein de choses précieuses. C'est le cas. Je suis juste surveillé par un bienveillant persan bleu aux yeux oranges que je caresse au passage. La porte de la chambre est grande ouverte et David m'attends à quatre pattes sur son lit, en slip, une bouteille de poppers à côté de lui. Il s'est bandé les yeux avec un foulard en soie noire. Très raffiné. Je prends donc le contrepied et me la joue bourrin
Je m'approche de lui et, sans un mot, je lui fait respirer l'odeur de mon short. J'ai quand même un peu transpiré. Moi, j'aurais horreur de ça mais ça a l'air d'être son truc. Nous n'échangeons pas un mot. Il lèche mon short, le baisse, fait de même avec mon boxer. Je bande bien dur. Mes mains sont fermement posées sur ses épaules. Je lui enfonce mon sexe dans la bouche. Il suce super bien. J'attrape la bouteille de poppers et la débouche. Je sniffe, je le fais sniffer aussi. C'est moi qui vais décider quand il aura l'autorisation d'en prendre. Je lui ordonne de virer son slip. Lui aussi bande très dur ce qui est étonnant vu tout le poppers qu'il a du déjà prendre en m'attendant. J'adore. Je l'oblige à me lécher longuement les couilles, sous les couilles, le pubis, la bite avant de l'enfoncer à nouveau dans sa bouche. Il a un petit prince albert sur la queue. Je trouve ça assez excitant. Je n'arrive pas à lui donner un âge mais il a manifestement entre trente-cinq et quarante ans. Il est très mignon, musclé, pas très poilu mais tant pis. J'enfonce ma bite encore un fois dans sa gorge puis je le jette sur le lit. Il est allongé sur le dos et je m'allonge sur lui. Je l'embrasse, très longtemps, je sens sa queue très dur avec son petit bijou en métal au bout contre mon ventre. Il essaye de me caresser les fesses mais je l'en empêche. Je veux prendre toutes les décisions. Il y a des capotes sur la table de chevet, j'en prends une pendant que je l'embrasse et que je lui tiens la nuque avec mon autre main. Je le retourne, j'enfile la capote et le fait mettre vaguement à quatre pattes avec la tête enfoncée dans les oreillers. Je lui crache dans le cul et je le pénètre assez doucement pour ne pas lui faire mal mais assez forte pour qu'il sente que je commande
Je commence à le pilonner en le tenant fermement par les hanches. Je me penche sur lui, lui lèche puis lui mordille l'oreille. Il gémit. Je m'enfonce en lui jusqu'aux couilles. Je le sens se contracter. J'ai peur qu'il n'éjacule avant moi donc je ralentis le mouvement. Je reprends. "Je vais jouir". Je le laisse se toucher légèrement la queue et il éjacule en quantité sur le lit. Je me lâche aussi dans la capote et je me retire. J'essaye de lui retirer le bandeau mais il m'en empêche. Je l'oblige mais il garde les yeux fermés. Il m'embrasse, je me rhabille et je redescends l'escalier au galop
Une heure plus tard, il m'appelle sur mon portable pour me remercier et nous fixons un autre rendez-vous. Nous nous sommes vus trois où quatre fois et il a cessé d'appeler. Moi aussi. Je le croise parfois sur les pentes. Il ne sais pas qui je suis, c'est un peu bizarre mais excitant après autant d'années.
Stanlyon
stanloeb@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Maxime
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