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Défouloir pour hommes mariés 11

Seb et Daniel (troisième partie) - et Laurent...

Le début de soirée chez Sam se passa bien ; il y avait pas mal de monde, pas mal que je connaissais de Terminale, filles et garçons. On riait, grignotait, buvait. Seb et Daniel ne me quittaient pas : tous savaient ce qui se passait entre nous et l'acceptaient (et de toute façon personne n'aurait osé se frotter au poing de Seb après ce qui s'était passé sur le parking trois mois plus tôt). Je me sentais comme un petit roi, gardé par ses deux beaux et forts gardes du corps, petit roi mais aussi petit esclave : je ne m'enlevais ni des yeux ni de la langue les impressions des heures passées dans la chambre de Seb, et cette complicité brillait dans nos yeux. Sam, toujours harnaché à sa copine, nous regardait furtivement de temps en temps ; j'étais assis entre Seb et Daniel, tous deux écartant leurs cuisses puissantes, ouvertes sur une bosse impressionnante, un bras étendu sur l'arrière du canapé, derrière ma tête. Quand je croisais le regard de Sam sur nous, je le fixais de manière assez provocante, je crois. Son grand corps fin de nageur m'avait toujours attiré, et depuis trois ans que nous étions dans la même classe, une certaine amitié s'était créée entre nous, jusqu'à ce que mes activités de suceur dévoué avec Daniel et Seb réclament toute mon attention, et dès lors je passais moins de temps avec Sam.

Celui-ci décréta le départ pour la boîte. L'ambiance était très détendue ; je montai avec Seb dans la voiture que conduisait Daniel. Le parking de la boîte était plein, et à l'intérieur il y avait pas mal de monde. Nous étions juste arrivés que N* s'approcha de Seb sans nous saluer vraiment, lui reprochant qu'il avait disparu, et elle semblait toute brûlante d'excitation ; elle eut quand même un coup d'oeil pour Daniel, qui s'était dévoué plusieurs fois pour lui donner le petit coup de queue qu'elle réclamait sans s'en cacher. Seb la prit de haut et le ton monta. Elle eut cette phrase "  j'aurais pas cru que te faire sucer par Mike te suffirait ". Seb l'embarqua aussitôt vers le fond de la boîte, suivi par Daniel, et je restai seul un moment, à mater les présents. A ma grande surprise je vis Laurent s'avancer vers moi, Laurent mon initiateur, ma première bite, le chef de la bande de quartier à laquelle j'avais appartenu : baskets, jeans, teeshirt blanc à manches courtes, il n'avait pas changé. Un grand sourire illuminait son visage.
- " Tiens ! Miky, purée ça fait un bail !
- Ça doit bien faire 4 ans...
- Ah ouais, c'est ça ; ça s'oublie pas tu me diras...
- Non, rajoutai-je en souriant. "
Il se pencha à mon oreille et compléta : " l'été du sirop ". On rit tous les deux et notre regard se chargea de souvenirs bien agréables :

L'été où je joignis cette petite bande, une dizaine de mecs, deux filles, et j'étais le plus jeune, Laurent m'avait pris sous son aile, d'abord parce qu'il visait ma cousine de passage en vacances début juillet. Après son départ, il était resté très gentil et très proche de moi. Moi-même je l'aimais beaucoup et recherchais sa présence, ce qu'il avait bien compris. Lors d'une soirée crêpes chez Greg, il fallut remonter chez lui chercher du sucre et il me proposa de l'accompagner. Sur la route il s'informa de mes premières branlettes, me parla du départ de ma cousine, qu'il n'avait personne du coup, etc.

Une fois chez lui, il me fit asseoir au salon et tout en allant chercher le sucre, revint sur le sujet des branlettes, demanda si j'avais goûté mon jus (à peine, et sans plaisir particulier), et revenant au salon me confia qu'il aimait pas trop se branler, préférait se faire sucer et qu'il avait un jus délicieux : du vrai sirop. Il était debout devant moi et son short de foot noir était déformé par sa bite toute raide. Il me demanda si je voulais sa bite, celle d'un " grand ", et n'attendit pas ma réponse un peu gênée : il baissa short et slip à mi-cuisses et sa très belle bite jaillit. Il se fit complimenter et toucher : j'appréciai la dureté et la longueur, la blancheur de la peau ; il me demanda ensuite si je voulais qu'il m'apprenne à sucer, ce qui lui ferait super plaisir et il me donnerait son sirop à goûter en récompense.  Je n'hésitai pas. Mes souvenirs sont un peu flous, je pense que j'ai pompé un peu mécaniquement, en accompagnant ma bouche d'une main. En fait il ne donna qu'un conseil, trop perdu dans son plaisir et ses encouragements, celui de lécher le gland de temps à autre, et cela ne dura pas longtemps : il me prévint que le sirop allait venir, et dans un gros soupir de soulagement il tint ma tête et sa bite, et je sentis de grosses giclées chaudes me remplirent la bouche. Entre deux " h " il me disait doucement d'avaler, ce que je fis par petites gorgées.

C'est vrai que c'était bon, et pas du tout salé comme je le pensais d'après mon jus. Il me dit d'aspirer le reste, puis retira sa bite et remonta ses fringues. Il demanda si j'aimais son sirop, et fus ravi d'entendre que oui. Il se mit à genoux alors et me roula une pelle renversante, avec ses grosses lèvres et sa langue, me serra dans ses bras, et dit qu'il fallait y aller. Comme sur le chemin il me redemandait si ça m'avait plu, je répondis que oui et l'interrogeai à mon tour : il avait adoré et voudrait bien qu'on recommence, il me donnerait plus de conseils cette fois-là. Et ce fut entendu entre nous, et pas plus tard que le soir même, quand il me reconduisit chez moi, comme il proposa encore son sirop, on passa sur le côté de ma maison, dans la nuit, et je me mis à genoux. Quand il baissa son short, il bandait déjà et je le pompai sans tarder. Et ainsi, tout cet été-là, tous les soirs ou presque, il se fit sucer une ou deux fois, et dégorgeait avec un plaisir qui décuplait le mien ses " doses de sirop ". Les conseils n'étaient vraiment qu'un prétexte car il ne m'en donnait qu'un à chaque fois, et parfois un déjà donné, à parfaire

- " T'en as eu pas mal ! me rappela-t-il à l'oreille, bien collé à moi et me plaquant presque contre le mur, si bien que je sentais son bassin collé au mien.
- Tous les soirs je crois bien, et plusieurs fois même.
- Et la fois dans la cabane ? tu te souviens ?... gourmand... ", me dit-il en me suçant le lobe

Un soir en effet j'étais arrivé avant lui à la cabane ; la bande construisait chaque été un assemblage de tôles et cartons et couvrait le sol de tapis divers, au fond d'une pâture, au pied d'un arbre dans le quartier. On n'y tenait pas debout, on entrait à 4 pattes et il y avait de la place pour moins de 10. Quand j'entrai je vis 4 d'entre nous, Greg, un autre Laurent, Vincent et Jimmy ; Greg et Vincent avaient la bite à l'air et le short aux chevilles. J'arrivai visiblement au milieu d'une branlette collective, ou un jeu de comparaison. Ces deux-là bandaient dur et se paluchaient, sans s'interrompre en me voyant ; en fait tous se marrèrent en disant " vlà le ptit ! ". Je n'étais pas à l'aise, et je ne pouvais regarder autre chose que les deux bites dressées.

Vincent proposa que je me branle avec eux, voulant voir ma " petite bite " à côté de sa " grosse teub " ; mais Greg me demanda si j'avais déjà sucé une bite... J'hésitai à dire la vérité, et le temps de cette hésitation, il m'avait pris par la nuque et attiré vers sa queue : " en tout cas je vais t'apprendre, allez Miky, suce ". Il y eut des rires, mais au bout d'un moment, me voyant faire aussi bien et donner un tel plaisir à Greg qui n'en revenait pas, un silence religieux se fit, et tandis que je pompais avec de plus en plus de plaisir je sentais les regards admiratifs et envieux des trois autres. Plus question de se moquer : la perspective de se faire sucer et apparemment très bien les rendait graves voire respectueux en attendant leur tour. Car Vincent me demanda si j'allais bien le sucer après, et les deux autres avaient sorti leur dard aussi. Je fis bientôt jouir Greg qui me balança une abondante purée en gueulant son plaisir ; quand je passai à la bite de Vincent, Greg avait fermé les yeux et savourait les effets de la vidange les bras derrière la nuque. Vincent me couvrit de compliments tout le temps de la pipe et déchargea à son tour, et aucunement fatigué je pompai ensuite Laurent et Jimmy.

Quand j'eus fini, bien gavé, ils me firent une place au milieu d'eux, et je lisais leur satisfaction (en plus de l'idée d'avoir une suceuse à portée car avec les filles ils en arrivaient rarement à ce stade). Je fus harcelé de questions, et Greg devina vite que c'était Laurent " le boss " qui m'avait tout appris. Les bites avaient repris de la vigueur, au moment où justement Laurent fit son entrée dans la cabane, me découvrant entouré des 4 la bite raide. Il fut surpris 2 secondes puis demanda si je les avais tous sucés. Il proposa alors une deuxième tournée tout en se foutant à poil, " hein les gars ? ". Autant dire que la réponse était oui ; " et toi Miky ? tu veux bien ? ". En acquiesçant je m'approchai et pris sa bite en bouche. Et la " tournée " commença et j'eus droit à 5 rations supplémentaires. Je fatiguais un peu mais plus je recevais de jus, mieux j'aimais et plus je retrouvais de force pour pomper le suivant. Pour terminer, Laurent, allongé sur le dos, m'allongea sur lui, dos contre son ventre, sortit ma queue douloureuse tellement je bandais, et me branla tout en me bisouillant l'oreille ; les autres l'encourageaient et m'encourageaient aussi, et secoué de spasmes violents je jutai sur moi. Il me donna ses doigts à sucer puis j'eus un peu de repos, les bites retrouvèrent leurs slips et on sortit les clopes

- " Je pourrai jamais oublier, tu penses ! dix doses le même soir quand même !
- 10 ? pas 9 ? t'avais pompé les 4 avant, non ?
- Oui mais quand tu m'as raccompagné je t'ai resucé ", corrigeai-je plein de malice

Il éclata de rire, et moi aussi. Discrètement il guida ma main vers son paquet : il avait une sacrée trique et me glissa à l'oreille que je venais de lui " charger grave les couilles ". Je lui dis que je regoûterais bien à son " sirop ". Il me dit qu'il m'avait vu arriver avec deux mecs, demanda si je les vidais, etc. Je lui dis que je pouvais m'éclipser vu que je ne les voyais plus d'ailleurs. On alla sur le parking, il avait une fourgonnette de boulot. Très naturellement, il s'installa à son siège en baissant son jean et son boxer, sa belle bite se dressa fièrement et je l'engloutis aussitôt. Je le fis gémir en moins d'une minute, et il dit que j'avais dû pas mal pratiquer depuis lui pour sucer aussi bien. Il bascula un peu le dossier en arrière. Plusieurs fois, sur le point de juter, il m'interrompait : il voulait que ça dure, alors on discutait brièvement pendant que je lui massais les couilles.

Je lui avouai que même si après la soirée de la cabane il avait mis les choses au point avec les autres et déclaré qu'il serait le seul à profiter de ma bouche, Greg m'avait coincé quelquefois pour se faire pomper rapido. Il ne s'en fâcha pas, bien au contraire et m'interrogea sur d'autres. Je lui appris ainsi que tout l'été suivant, j'avais vidangé chaque soir Stef, qui ne faisait pas alors partie de la bande : après le repas, il sifflait à ma fenêtre, et on se retrouvait cachés dans mon jardin, il allumait une clope et sortait sa bite ; je le suçai goulument, d'abord parce que j'adorais tout chez lui, et ensuite parce qu'on n'avait que 5 mn avant que sa soeur nous rejoigne pour aller faire un tour. Laurent me regardait les yeux brillants, posait une main sur ma tête pour me faire ventouser de nouveau, et m'interrompait encore pour que je raconte d'autres choses. Il hallucina quand je lui parlai du père de Nico (Jean-Claude - il faudra vraiment que je vous parle de lui et Stef, avec qui j'ai découvert et apprécié la soumission), mon proche voisin, et du père de Ludo.

Il prit ma tête pour me redresser et m'embrassa longuement. " Putain mais t'es assoiffé ! une vraie petite salope, hein ? ". Il redirigea ma tête vers sa bite et appuya ; je pris son gland entre les amygdales et le branlai ainsi tout en l'entendant souffler et murmurer " putain tu vas l'avoir mon sirop, vas-y, bouffe-moi bien la bite ! ". Il se raidit, son bassin se souleva du siège et toujours tenant ma tête, sa queue fichée au fond de ma bouche, il gueula longuement et je sentis plusieurs jets puissants m'arriver depuis le fond de ses couilles, mes doigts étant posés à la base de sa bite au niveau des burnes. Je reconnus le délice de son sirop, et en effet il était bien chargé. Il s'avachit sur le siège, tout détendu, répétant " oh putain oh putain " et reprenant son souffle, et me laissa extraire les dernières perles de jus. " Ah Miky, t'es toujours le meilleur, putain cette pipe de rêve ! " ; " merci pour la très grosse dose de sirop ", ajoutai-je en souriant. Il sourit aussi, puis rit de ses belles dents blanches : " toujours aussi bon ? " demanda-t-il ; " toujours ! " répondis-je. Alors qu'il commençait à remonter son froc, je lui dis qu'il y avait autre chose que j'aimais faire ; il s'interrompit. " J'adore lécher le cul. " Ses yeux s'agrandirent et son visage devint encore plus radieux. " Hmmm, tu sais me parler, en plus ! ".

C'est lui cette fois qui m'avoua qu'une fille lui avait fait une seule fois, à sa demande, et n'avait pas aimé, alors que lui beaucoup. Ce fut un peu compliqué de trouver une position confortable pour les 2. Finalement, il remonta son jeans le temps de passer à l'arrière de la fourgonnette ; je montai le premier et m'allongeai sur le dos, me faisant une place dans le bordel : des sacs, des chaises pliantes en tissu, des tuyaux, etc. Il grimpa, ferma la porte mais hésita ; je lui dis alors de s'asseoir sur ma bouche. Il eut un regard de feu, baissa son froc aux genoux et m'enjamba avant de plier les jambes pour descendre lentement son cul vers moi. Il avait un cul de rêve, que je n'avais pas vu si souvent que ça : assez petit cul, fesses de footballeur confirmé, tout imberbe et blanc, à peine un duvet blond. La raie s'approchait et s'ouvrait à mesure qu'il fléchissait : un bonheur que cette vision ! Il s'installa, les coudes appuyés sur ses genoux, et ma langue atteignit enfin la raie et le trou, tout petit oeil rose.

Je léchai d'abord comme un petit chat, obtenant en retour aussitôt des petits soupirs de plaisir. De mes mains j'écartai un peu plus ses fesses, insistai encore de la langue ; je sentais que Laurent ne se posait pas, pour ne pas m'écraser. Mais je le saisis aux hanches et il comprit : son trou se posa fermement sur ma langue et je commençai à le déguster vraiment, avec appétit, et ses soupirs devinrent de petits cris très excitants. Je prenais un pied terrible, c'était un régal ; mais les muscles de Laurent tremblèrent bientôt. Je lui dis de mieux s'installer. Il eut alors l'idée d'utiliser une chaise de plage basse, qu'il plaça au-dessus de mon visage ; il en remonta le tissu à moitié du siège, et s'assit dessus, en écartant bien les fesses.

C'était parfait, pour tous les deux, et ça allait pouvoir durer un moment ! Il ne s'arrêtait plus de gémir, de me dire comme c'était bon, je savais qu'il se branlait lentement. J'atteignis moi-même ma braguette et sortis ma bite pour me branler aussi : beau spectacle pour lui. Et moi aussi je gémissais tellement ce trou était bon à bouffer, et je gémissais encore plus fort quand il s'ouvrait un peu plus, pour lui faire comprendre à quel point j'aimais. Son cul pulsait sur ma langue, ouvert, contracté, ouvert, et ma langue pointait de mieux en mieux dedans. Je sentis sa mouille bientôt, et ventousai fortement son trou, aspirant et aussitôt enfonçant ma langue. Ses cris partaient dans l'aigu ; il accéléra sa branlette, moi aussi, et ma langue fit pareil dans son cul. Je ne pouvais plus tenir : enfoncé dans ses fesses, je giclai fort sur moi et terrassé par le plaisir je dus cesser mes efforts dans son trou.

En deux secondes, il fut debout, vira la chaise, et se tourna vers moi au moment où je trouvai la force de relever le buste, et j'ouvris la bouche. Il se branla comme un fou " oui, tu vas l'avoir ! ", et je glissai un index entre ses fesses trempées, et entrai le bout dans son cul, qui se referma et se branla lui-même : " ça vient, Mike ! ouiii, lààà ! ". Il approcha son gland que je gobai et je reçus de bonnes giclées brûlantes, couinant de plaisir à chaque gorgée alors que lui râlait comme une bête.
Il trouva ensuite un sopalin pour m'essuyer, mais j'avais fait quand même quelques taches ; je comptais sur l'obscurité de la boîte, où il fallait quand même penser à retourner. Il m'embrassa de nouveau, longuement, divinement et me remercia en me confiant que son cul en tremblait encore.

Nous rentrâmes, mais je ne voyais toujours pas Seb et Daniel. Je dis à Laurent que j'allais les chercher ; il partit au bar. C'est aux toilettes que j'entendis tous les bruits d'une partie de cul, et notamment les grognements et les insultes de Seb et Daniel. Deux mecs, de dos, mataient à l'intérieur d'une cabine. Passant la tête entre eux, je vis d'abord qu'ils se branlaient, et la fameuse N* se faisait défoncer en double par mes deux mecs : Daniel était adossé au mur, jambes mi fléchies, et tenait par les genoux les jambes de N*, emmanchée par la chatte et qui avait l'air de souffrir du ramonage violent de son cul par la bite de mon Seb, qui la maintenait par-dessous les cuisses ; ce spectacle me fascina. Tous les trois étaient en nage ; N* n'avait plus qu'une bande de tissu à la taille : sa jupe roulée et relevée et son débardeur baissé ; Seb et Daniel avaient le froc aux genoux et le teeshirt ramené derrière la nuque.

Elle était écarlate au visage et aux fesses, et Seb la fessait en la traitant de chienne ; leurs cris se mêlaient, N* en bavait mais réclamait encore, et mes mâles s'encourageaient à la ravager. Les deux mecs près de moi y allaient aussi de leurs commentaires sur cette " salope ". En admirant les crispations des muscles des cuisses puissantes et velues, les coups de reins brutaux de Seb, j'enviais la place de cette fille, lui enviais aussi de pouvoir offrir aux mecs ses deux trous à ramoner. Daniel engagea un mouvement qui fit reculer Séb au mur d'en face, et c'est lui qui pilonna la chatte avec vigueur, jusqu'à jouir dans un long cri. Il se retira et je vis la capote ; il la jeta dans les chiottes et nous rejoignis : le mec de droite entra dans la cabine : Seb avait reposé la fille sur ses deux pieds et l'enculait de plus belle, elle courbée. Elle trouva la bite du mec qui s'avançait et le suça.

Daniel me mit à genoux et engouffra sa bite gluante pour que je la suce ; l'autre mec n'hésita pas et me donna aussi la sienne. Je passais d'une queue à l'autre en matant la scène de devant. Daniel, bien propre, me laissa m'occuper de l'autre bite, et je fis rapidement juter le mec, avalai avec curiosité son jus, assez salé et très abondant. Il remballa le matos, et fila, tandis que Seb aussi se finissait. Comme Daniel, il jeta la capote et me donna son gros barreau à nettoyer. Ils se rhabillèrent, et en quittant les toilettes nous entendîmes jouir le dernier mec

A suivre, messieurs...

mike

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Suite de l'histoire

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