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Épisode précédent

l'éducation V

Première vente

J'avais du m'endormir. je me réveillais en sentant qu'on me tirait les pieds, je voulu bouger mais mes liens m'en empêchèrent . Je retrouvais mes esprits et me souvenais ou j'étais. La lueur claire à travers mes paupières m'indiqua que la lumière avait été allumé. Mes geôliers s'affairaient autour de moi. A cet instant j'eus cette sensation d'être une chose, je n'avais plus la possibilité de bouger ni de parler, je ne pouvais dire que ce que voulaient mes geôliers, et bien que je ne sois pas en érection je me sentais excité, était il possible que même mes désirs ne m'appartiennent plus ? Mes chevilles furent tirées vers le haut, j'entendis un bruit de chaîne. J'ouvris les yeux.
Un crochet avait été passé dans le brin de corde entre mes chevilles et mes poignets. Celui ci était lié par une corde que je suivi du regard. Elle montait au plafond ou elle passait dans un crochet, elle rejoignait ensuite une machine qui devait être un palan. Je ne m'était pas rendu compte de le présence de ce matériel dans le réduit avant cet instant. Alain actionnait les chaines du palan et le crochet montait. j'allais me retrouver bientôt pendu par les pieds et les mains. Jonathan s'était mis contre moi, il me caressa les cheveux, me disant de ne pas m'inquiéter. Alain s'approcha et enleva doucement le god de mes fesses. Il les huila de nouveau et remis le god avec lequel il fit deux quelques allés retours, délice ! je gémis.
- qu'est ce qu'on dit ?
- merci, merci merci maître
- je ne veux pas avoir à le demander à chaque fois pour que tu le dise !
- oui maître.
Il enleva le god et ils sortirent en fermant la porte et me laissèrent pendouiller, encore excité au bout de ma corde. La lumière était resté allumé, il allaient probablement revenir sous peu. Mes muscles du cou redevinrent douloureux à force Je cherchai une position plus confortable pour ma tête, mais je ne pu finalement que la laisser pendre en arrière.

Lorsque la porte se rouvrit je ne parvint pas à voir qui était entré. Quelques pas se firent entendre dans le réduit. Dans la position ou j'étais avec la tête pendant en arrière je ne voyais qu'une partie du sol qui était celle opposée à la porte. Une odeur infecte de cigare me donna bientôt une idée de l'identité de celui qui était la ! Bernard ! Je fus rassuré, dans mon souvenir il n'avait jamais été cruel ni méchant avec moi. Les pas reprirent, une paire de chaussure marron impeccablement ciré venait d'entrer dans mon champ de vision. Au dessus un pantalon gris qui laissait imaginer que l'individu était vêtu avec classe.  L'odeur de cigare était le seul point commun avec Bernard. Pour le reste l'homme était un inconnu. Un cinquième ami qu'ils auraient invité pour profiter de moi ? Il continuait à marcher en tournant autour de moi, je senti sa main chaude passer à l'intérieur de mes cuisses, puis sur ma poitrine, il me pinça fortement le téton, je gémissais, je sentis une caresse sur mes cheveux puis la main remonta le long de mes bras. Il me fit tourner, ce qui déplaça mon champ de vision. Je voyais maintenant la porte du réduit et deux paires de jambes. Mon maître dont je reconnu le jean et les chaussures de ville qui se tenait appuyé dos au mur et Jonathan avec son pantalon noir, jambes croisés dans l'encadrement de la porte. Ce pantalon que j'avais eu tant de mal à délacer dans le voiture en début d'après midi. En y repensant je me rendis compte, qu'ignorant combien de temps j'avais dormis, je ne savais même pas si le jour était déjà levé ou si on était encore le soir du lundi.

L'homme continuait sur moi son inspection corporelle, un peu comme on achète un animal, sous le regard silencieux d'Alain et de Jonathan.
Sa voix rauque se fit entendre
- Vous êtes sur qu'elle est bien dressée ? je crois savoir que vous ne l'avez pas depuis longtemps !
- Effectivement, mais le fruit était bien mur. C'est une salope de choix ! D'ailleurs si vous en voulez une démonstration...
- Non !

L'homme caressa mon cul de sa main chaude, je me mis à gémir doucement. Il me fit tourner une nouvelle fois, attrapa ma tête par les cheveux et la leva. Je le découvrit alors, de grand carrure il portait un complet gris sur un polo noir à col montant, des yeux noirs derrière des lunettes à écaille, de sourcils épais et une barbe fourni et le cigare vissé dans la bouche.
Je fis mon possible pour paraître docile, je gardais les lévres ouverte. Elles étaient sèches depuis que j'avais dormi, j'y passais ma langue. Il tira sur son cigare et souffla doucement la fumée sur mon visage ce qui me piqua les yeux et la gorge et me fis tousser et plisser les yeux. Comme il ne me lâchait pas, je fis le maximum pour rouvrir la bouche et réumidifier mes lèvres, j'eu plus de mal à rouvrir les yeux qui me piquaient et je dus cligner des paupières plusieurs fois, je sentis qu'une larme s'était échappée. L'homme avait remis son cigare dans sa bouche, je m'attendais à ce qu'il recommence.
- Elle se réveille, elle est maladroite mais ça va venir dit Alain à l'encontre de l'homme.
- Non. En ce qui me concerne elle est parfaite. Je la prend !
Disant cela il caressait ma joue. Il la tapota doucement puis relâcha lentement sa prise accompagnant ma tête pour ne pas qu'elle tombe, ce compliment et ces attentions me comblèrent je du me mordre la lèvre pour ne pas me remettre à pleurer... de joie.
- Vous me la livrez toute prête sur servante et avec tout le matériel dans moins de 20 minutes et vous venez me la reprendre dans trois heures !
- Très bien ça sera fait.
L'allusion au matériel m'inquiéta, mais je me sentais prêt à tout faire pour plaire à cet homme aux manières si douces.

Il parti. Alain entreprit de me redescendre, Jonathan me défit mes liens. Il me fit lever, m'attacha les mains dans le dos, me remis le collier et y accrocha une laisse. Ils me tira hors du réduit et me fit monter jusqu'à la salle de bain. La, dans la baignoire il me lava à l'eau tiède avec du gel douche, puis il me fit mettre à 4 pattes et m'appliqua un lavement rapide, sorti de la baignoire, il me secha et me parfuma au channel n°5.
En sortant de la salle de bain Alain nous attendais Il m'attrapa une fois de plus au cou.
- Tu déconne pas, tu ferme ta gueule, tu fais tout ce qu'ils te demanderons et seulement ce qu'il te demanderons. Même rêgles qu'avec nous.  Compris ?
- Oui Maître.
Jonathan me tira dehors, il faisait nuit et l'air était froid, je grelottais derrière lui, Alain nous suivait. Arrivé à la R15, Il me fit allonger sur le tapis de sol entre les sièges avant et arrière. Quand ce fut fait un me jeta une couverture par dessus. J'entendis Alain maugréer contre Jean qui était reparti, les privant de l'audi. Je comprenais qu'ils avait l'habitude d'utiliser le grand coffre de la trois volumes de Jean pour transporter leurs esclaves sexuels. Ce qui me laissait penser que je n'était pas le premier ni le dernier à passer par la.

Nous partîmes, la route ne fut pas longue. Après à peine.10 minutes la voiture s'immobilisait. j'entendis des voix, la portière s'ouvrit et la couverture s'enleva. Jonathan s'étais accroupi devant moi et tirait la laisse, il claqua de la langue, effectivement, je n'avais pas d'autre choix que de sortir à quatre pattes la voiture. Arrivé à lui il me caressa la tête en riant, et me dit de me lever et me jeta la couverture sur les épaules. J'étais devant une grande demeure, une porte était éclairé devant nous vers laquelle Jonathan me tirai déjà.  J'entrais. Toujours tiré par Jonathan et suivi par Maître Alain qui portait un sac, je suivi en silence un  couloirs. Les échos de voix, de rire nous parvenaient ; quelque par des gens faisaient la fête ! Il y eu d'autre couloir tous déserts, je ne doutait pas que la couverture avait été jeté sur mes épaule, non pour me protéger du froid, mais dans le cas d'une rencontre inattendu. Nous devions nous rapprocher du lieu de la fête car les bruits s'intensifiaient, Alain passa devant, je sentais qu'il était nerveux, vérifiant les couloirs, faisant signe à Jonathan qu'on pouvais passer. A un moment on passa devant les portes battantes de ce qui me sembla être une cuisine.

Puis Alain ouvrit doucement la première porte à droite passa la tête et fit signe de rentrer. C'était ce qui semblait être une réserve. Une pièce carré avec des étagères encombrés sur le pourtour et une roulante laissée au milieu. Alain trouva un balai et le passa dans la poignée de la porte de manière à ce que personne ne rentre. La couverture fut enlever, et ils m'ordonnèrent de monter sur la roulante et de de m'allonger sur le ventre. Le contact avec le métal froid me fit frissonner. Je vis Alain sortir des cordes du sac qu'il avait emmené. Ils me placèrent transversalement me tirèrent de manière  à ce que mon cul sorte de la roulante. Ils tirèrent mes main sur les cotés firent plusieurs tour de corde autour de mes avant bras et les attachèrent à chaque montant. Je me retrouvais bras en croix.

Je d u écarter les jambes, et replier mes chevilles, mon poids reposa sur mon bassin. Heureusement, mes chevilles subirent le même sort que mes avant bras et furent attachés au chariot. Ce qui me permis de soulager mon bassin. Je me retrouvais bras en croix avec la tête d'un coté du chariot de le cul écarté offert de l'autre.

J'étais excité, je me retenais de gémir. Il jetèrent la couverture sur moi, Alain ouvrit la porte et je fus roulé par Jonathan dans le couloir. Après avoir bifurqué deux fois nous arrivons dans une pièce fortement éclairé. J'aperçois des fauteuils et des canapés de cuir, des étagères pleine de livre, une grand cheminée quelques tables, ce qui me semble être un bar... je suis amené sur le coté de la cheminé. Alain s'éclipse, Jonathan me dit de ne surtout pas faire de bruit, remarque superflu, il n'a sans doute pas remarqué que depuis que je suis sorti de mon réduit je n'ai pas émis un seul gémissement.
Maitre Alain revient, il est accompagné. Je me rend compte que c'est l'homme qui est venu au réduit. Je suis content et mon excitation monte d'un cran !

Je sens la main le l'homme sur mon dos, toujours aussi chaude.
- Voilà, elle est prête à vous plaire - dit Alain à voix basse.
- C'est sur ! - dit l'homme ironique -  Bon le matériel !
Je l'entend qui va ouvrir un placard derrière moi, mais quelqu'un me met un bandeau devant les yeux. Noir total. L'inquiétude me reprend. Je les entends qui posent des objets sur le plateau inférieur de la roulante, juste sous moi, Alain m'ordonne d'ouvrir le bouche. Un baillon est passé entre mes dents, je sens mes lèvres tiraillés sur les cotés. Puis les pas s'éloignent, je n'entends plus que le bruit sourd de le fête.

Quelque instant plus tard j'ai l'impression que le bruit est plus net, je comprend que la porte vient de s'ouvrir. Effectivement j'entend des bruits de pas dans le salon ou je me trouve, des conversations, parfois un rire, Je distingue de temps en temps la voix rauque du grand barbu à lunette. Il y à des bruits de verre, je sens la de la fumée de tabac. J'essais de deviner le nombre d'hommes qu'il y à la mais c'est difficile à dire, j'entend plusieurs conversations, ce qui signifie au moins cinq ou six hommes, peu t'être dix, j'aurais la surprise. S'ils sont tous aussi doux que leur hôte... je sens l'excitation qui me reprend. Soudain c'est la voix rauque de l'hôte justement qui se fait entendre au dessus des autres. Il leur fera un court discours qui, dans la mesure ou je m'en souviens donnait à peu prés ça :
- Mes amis...  -  Le brouhaha s'apaise une peu  - Mes amis... Mes amis, pour clore cette soirée en beauté, vous vous en doutez, - voix moins forte -  oui surtout toi Charles - rires des invités - je vous ai fait apporter un cadeau. Préparez vous à passer une heure de détente , une heure de luxure grâce à l'objet rare que je vous ai trouvé.

Un bruit se fit entendre et la roulante fut poussé dans le salon. Je compris que jusqu'ici j'étais resté caché aux yeux des invités, ce qui expliquai leur apparente indifférence à mon égards. Je sens qu'il y à du monde autour de moi, je sens des mains qui commence doucement à me carresser le dos, les bras les reins les fesses les cuisses, tout y passe, c'est délicieux, parfois une main attrape mes cheveux pour lever ma tete. L'hote continue de parler
- Je suis sur qu'il sera avide de vos sexes, de vos caresses et de vos chatiments ...  - et la il va avoir cette dernière phrase qui va me faire passer des délices à la peur, cette phrase que je n'oublierai jamais :  Vous pourez, le faire gémir ou le faire pleurer, le faire jouir ou le faire souffrir, mais attention, les petits chats de ce genre sont fragiles alors ne lui brisez pas le coeur. Moi seul me réserve ce droit.
Des doigt plus hardi on commencé à entrer dans mes fesses, dans ma bouche, je faisait mon possible pour essayer de sucer à travers le baillon.. Des bruits se faisaient entendre sous moi, je devinais que les hommes attrapaient les objets qui avaient été posés sur le plateau du chariot. J'imaginais des godemichets, peux être des cravaches comme avait sorti Alain, je n'étais pas rassuré. Le voix forte de l'hôte se fis de nouveau entendre

- Allons Messieurs, Messieurs, je crois que pour accroitre l'intensité érotique, il serai bon que notre petit chat voit ce qu'on lui réserve pour ce soir.

Ils trouvaient ça une bonne idée, ils proposèrent de tout poser sur la table basse et de me débarasser de mon bandeau afin que je savoure les châtiments qui m'attendaient. La roulante fut déplacée, je senti qu'on m'enlevais le bandeau, un rai de lumière me fit cligner des yeux, sous ce bandeau c'était vraiment le noir total. Lorsque me yeux se réhabituèrent, le première chose que je vis ce furent les jambes d'homme, des hommes qui me regardaient, debout, dans mon champ de vision je jugeais avoir une dizaine de personne plus ceux que je ne voyais pas sur le coté et derrière. Une main appuya sur ma tête et je vis une table de salon contre laquelle était la roulante.

Il y avait beaucoup d'objets sur cette table. Je vis une cravache, une seconde, ça je m'en doutais, j'espérait qu'en étant sage ils ne s'en servirait pas, du moins pas violement. Je vis ce qui devait être des martinets, des manches avec une dizaine de lanières en cuir, un noir, un marron, même un rose, j'avais peur, je me pinçais les levres pour ne pas pleurer, aussi des godemichets comme je m'étais douté de divers couleur, un baillon, a nouveau dans l'horreur des bougies et des allumettes, je détestait les brulures, le douleur dure plusieurs jours,  des baguettes fines, je me dis qu'elle devaient faire très mal, et bien marquer le peau, peut'être jusqu'au sang, je tenais plus je me mis à pleurer.

Les hommes qui me regardaient plutôt silencieusement n'attendaient que ça, j'entendis un murmure sûrement de satisfaction se lever, qui n'augurait rien de bon, il y avait aussi un long bâton, un objet qui semblai mou comme un godemichet mais très long et un autre que je regardais, un objet noir, pas de doute c'était une énorme bite, son gland démesuré semblait plus pointu qu'un gland normal, ce qui devait permettre de l'introduire dans des trous trop réduit et je n'osais imaginer la suite. La peur était monté  je n'arretais plus de pleurer J'avais je vis aussi un crochet avec une boule à la place de la pointe, puis des objets métalliques oblongs munis!
de vis qui devaient pouvoir s'ouvrir ou se fermer à volonté et enfin un marteau et trois énormes pieux en bois. je sentais la panique monter
- s'il vous plais, s'il vous plais, je serai gentille...
ma voix était entrecoupé de sanglots , j'entendis quelques ricanements fuser, une main me pris mes cheveux c'était l'hôte. Il se voulu rassurant. Il passait sa main sur mon visage étalant mes larmes.
- Allons petite chatte, faut pas te mettre dans des états pareils, nous on est la pour le plaisir, on va s'occuper de toi et te faire jouir, tu sais en sortant d'ici tu voudra qu'on recommence.  - puis plus fort - N'est ce pas Messieurs qu'elles veulent toutes qu'on recommence ?

il avait passé un doigt dans ma bouche je me calmais en le suceant. Je senti qu'il me caressait les fesses. Les invités regardaient la scene calmement, curieux et attentifs. La main quitta mon visage
-  Allons bébé, c'est quel objet qui te fait peur celui la ? -  je vis son doigt qui pointait sur le pieux
Je fis signe que oui de la tete.
- C'est rien bébé -  le doigt revint dans ma bouche je suçais à nouveau - mais bébé n'ai pas peur tu vas voir comme on est doux - un second doigt se présentait, j'ouvrais la bouche pour le prendre aussi - avec nous tu ne vas avoir que du plaisir on vas faire de toi la pute parfaite.
je senti un doigt qui me rentrait dans les fesses et commençais un va et viens très doux tandis qu'un troisième doigt venait contre ma langue. Mon Plaisir montait, je commençais à gémir. L'homme en fut satisfait.

- Voilà c'est ça très bien.
 je gémis plus fort il y eu quelques approbations- je sentit qu'il avait mis un second doigt dans mes fesses. Tout en suceant je le remerciait. Il enleva la main de ma bouche.
- J'ai pas compris
- Merci c'est si bon merci -  il sourit et déposa un baiser sur ma joue.
Se baissant il attrapa un dodemichet rose d'une taille relativement modeste et le présenta devant mes lèvres ? J'entrepris de le suçer goulument
- doucement, doucement - je calmais le rythme - Voilà, c'est bien... Messieurs nous avons un défi ce soir  - il s'adressait à tous parlant fort - Messieurs l'objectif et de travailler cette petite chatte jusqu'à ce qu'elle nous supplie de la défoncer au pieu un long non instinctif sorti, affolé je me remis à pleurer, géné par les doigts qui restaient dans la bouche, mais je ne pouvait plus les suçer sous les sanglots. Finalement il enleva sa main et tira sur mes cheveux relevant mon visage innondé de larmes. Mes  sanglots ne s'arretaient plus, il caressait mes joues, je pris conscience qu'il caressait aussi mes fesses.

- Ne te met pas dans des états pareils, je te dis, c'étais une blague, t'inquiete pas. Il passa une nouvelle fois la main sur ma joue étalant mes larmes.
- Allé, on oubli tout ça , vient au milieux de nous.

Il poussa la table basse et tira le chariot vers les canapés au milieux du groupe.
- d'abord on va t'initier au plaisir du cigare. T'en à déjà fumé ? - je fis non de le tête - t'aimerais essayer - je refis non - parce que tu connais pas, tu vas voir ! je t'en allume un et tu vas le prendre tes dents ! Faut le prendre entre tes dents parce que si tu le mets entre tes lèvres il va tomber, c'est trop lourd.
 La dessus il glissa un cigare dans ma bouche , je le pris comme demandé entre mes dents. - c'est bien ; et maintenant aspire. -  Je fermais les lèvres sur le cigare et aspirais, la fumé acre et forte entra dans mes poumons et me fis tousser violement.

- Ben alors ? c'est pas une cigarette, le cigare faut pas avaler, sa se savoure hein. Tu savais pas ?
Toujours toussant je fis non de la tete.
- Ben ma chatte, en attendant heureusement que je l'ai attrapé, sinon il tombais sur mon tapis ! tu voudrais pas mettre le feu à mon tapis dit ?
- Non, pardon, pardon je suis désolé.
- Bon. On va essayer quelque chose qui est peut être lus dans tes cordes.

Il me mouilla l'anus avec son doigt puis me redoigta un peu. Puis sorti revint un objet un peu plus gros que son doigt entra. Quelques invités firent mouvement pour voir mon cul.
- Allé aspire avec ton cul maintenant, de la tu devrais réussir à fumer - j'essayai de gonfler dégonfler mon ventre, mais ça ne donna apparement pas satisfaction ? je reçus une tape sur la fesse
- Allé, tire avec tes levres, fait marcher ta petite chatte ! toutes les bonnes putes doivent savoir faire ça, c'est signe qu'elles savent s'occuper d'une bite !

J'essayai de bouger mon anus en le contractant décontractant.
- pas terrible, hein ! pas de résultats ici non plus. Allé je te le laisse entraine toi, et gare à toi si il s'éteint ! tu sais ce que je fais si il s'éteint - il s'était approché de mon oreille et parlais d'une voix douce. Je fis non de la tête. - je me sers de ton cul comme cendrier et je demande à tous les gars d'y mettre leur mégots ! l'idée me fit paniquer,  je le suppliait de rien en faire, il me tapa les fesses et me dis de m'entrainer avec bonne volonté. Puis il alluma un autre cigare

- Allé comme je suis sympas je vais te faire partager un autre cigare, tu le laisse pas tomber hein !
Il reglissa un nouveau cigare entre mes dents. J'aspirai juste dans ma bouche et recrachai la fumé en ouvrant les lèvres. Il sembla satisfait, mais pendant ce temps il en avait allumé un second qu'il m'enfila aussi dans la bouche. - vas y - je mettais juste la fumé dans ma bouche et recrachais. Un troisiéme cigare vint rejoindre les deux autres, jusqu'ou irait'il ? je me pliais à l'exercise et crachais la fumé. Il me félicita mais un quatrieme entra. Je parvins à refaire l'exercise mais les cigares repoussaient mes lèvres de chaque coté. Il s'accroupi devant moi, les maintenus dans ma bouche en écartant les deux du milieu puis en mis un cinquieme. Je recrachais la fumé. - c'est bien, très bien, continu comme ça garde ton calme. Une main lui tendit un nouveau cigare, il maintint encore une fois ceux qui étaient dans ma bouche me demanda d'ouvrir, ce que je fis et il en enfila un sixieme cette fois il m'ordonna d'ouvrir le plus grand possible, ce que je fis il mis un septieme, je vis une main lui en tendre un autre et un huitieme vint rejoindre ma bouche,  - ouvre la bouche - Je lui fis non de la tete - fais ce que je te dis ! et gare à toi si ça tombe. - une forte claque tomba sur ma joue, je criais mais à cause des cigares mon cris resta étouffé, Il repositionna les cigares dans ma bouche, les enfonçants jusqu'a la moitié, et parvint à en glisser encore deux au milieux des autres. La bouche grande ouverte me faisait mal, les commissures de mes lèvres distenduent par les cigares me brûlaient, une nausée commença à me prendre, j'essayais d'expulser la fumé, elle me ressorti par les narines, j'essayais de crier mais n'y parvenai pas. Il pris deux mégots les mâchonna et me les introduis dans les narines en guise de bouchons. La nausée me prenait de plus belle, je ne parvenais plus à recracher la fumée, les yeux me brûlaient à cause de le fumé. Visiblement ma souffrance semblait plaire car ils riaient, j'en vis même qui se branlaient.

On apporta un seau et ma tête fut immergée sans ménagement, des mains arrachèrent les cigares éteints et trempés de ma bouche, expulsèrent les mégots de mon nez, ma tête fut levée par les cheveux et des claques assez fortes commencèrent à tomber, il y en eu au moins une dizaines, jusqu'à ce qu'un bras immobilise ma tête et qu'une bite ne rentre jusqu'au fond de la gorge, j'ouvrais la bouche pour essayé de respirer mais c'était peine perdu, j'emis seulement des gargouillements. La bite se retira, je repris ma respirartion et le larmes jaillirent, je pleurais à gros hocquets sans pouvoir m'arreter. Une bite se positionna devant ma bouche, l'homme me demanda de me calmer et de le suçer. Je fis tout pour calmer les sanglots, je commençais par lecher cette bite qui était de bonne taille.
- Allé calme toi, fait ce que tu sais faire ma chatte, allé retrouve tes repères, vas y applique toi.
Je pris le gland de l'homme en bouche, je tournais ma langue, puis je descendis, entourais son pénis de mes lèvres et commençais à le pomper lentement tout en laissant ma langue traîner sur son gland.
- ho oui, c'est bien ça bien ! quelle bonne chatte. L'homme s'était écrié, il avait l'air d'avoir été surpris, un bon point pour moi me dis-je. La voix de l'hote se fit entendre
- Allons messieurs au travail, ça ne fait que commencer !

Je sentis des mains passer sur mon dos mes cuisses, quelqu'un me doigta les fesses le désir remonta, je m'appliquais sur la bite que je suceais, en remerciement l'homme me caressait les cheveux. Puis des bites frolèrent mes mains, je commençait à branler doucement, à caresser quand je sentais des bourses. Un godemichet fut calé dans mes fesses, je senti une claque sur mes fesses. Puis un claquement accompagné d'une brulure qui me fit crier. Quelqu'un me travaillait à la cravache. Le coup suivant tomba sur le god, et m'arracha aussi un cri mais de plaisir. Un deuxième homme se présentât devant ma bouche, j'allais le sucer mais il me pris la tête et me fis faire une gorge profonde. A nouveau j'étouffais le contact sur me amygdales provoquait des réflexes de déglutition. L'homme se retira

- Tu va apprendre à faire les gorges profondes toute seule salope ! travaille !
Je repris le bite et essayais de l'enfiler le plus loin possible, mais à nouveau ce reflexe de déglutition, je relevais la tête par réflexe. Je me pris une baffe assez forte pour me faire pleurer. Plusieurs mecs se mirent à me gronder. Quelqu'un me tapais à la cravache sur la plante des pied. J'avais été attaché cheville pliées et mes plantes de pied étaient tournées vers le haut, surement à cette fin. Je ressentis la même douleur sur l'autre pied. Des martinets s'abattirent à répétition sur mes fesses, j'essayais encore, mais rien n'y fis. Nouvelle série de baffe, une violente douleur sur le fesses me fis hurler, je revis les baguettes fines qui m'avaient effrayés, j'hurlais, que je faisais de mon mieux mais que j'y arrivait pas ! L'homme qui avait exigé la gorge profonde disparu un instant. Quand il réapparu devant moi, il avait le baton long en main. Il le tenais à deux mains, l'air menaçant.
- tu vois ça salope. -  je paniquais -
- pitié, non pitié pitié monsieur, monsieur pitié je peux pas ! -

j'avais hurlé, je pleurais j'étais au désepoir. Il alla se positionner derrière moi, je l'entendis demander aux autres hommes de se pousser. Je reçus le coup en pleine fesse, la douleur fut de loin la plus violente reçus jusque la, après ça j'allais plus pouvoir marcher l'hurlais, je demandais pitié, un second coup tomba, encore plus douloureux.
 Je lui hurlais que j'allais faire toutes les gorge profondes qu'il voulait ! je préferai cette gene, somme toute légère au niveau de la gorge, que des coups de baton ! Après tout j'en avais déjà subi, forcé certe, mais j'allais sûrement en subir encore, alors je m'étais décidé.
l'homme posa son baton se positionna devant moi. Sa grosse bite dressée, facile de vouloir, mais il fallait que je réussisse ! J'ouvrai le bouche lorsque la bite se décala. L'homme venait d'être bousculé, la voix de l'hôte se fit entendre.
- c'est fini pour vous, je vous fais raccompagner !
Silence complet.
L'homme resta un moment immobile. Il releva son pantalon. Balbutia des excuses et tourna les talons. Je pleurai.  De douleur certe, mais aussi d'émotion. Encore une fois je fus reconnaissant à l'hote. Il positionna sa bite devant moi, me caressa la joue,.,il alla jusqu'à me relever le visage et m'embrasser les levres.  - vas y ! - Les mecs regardaient le silence était total, je regardais sa bite et je sus que j'allais le faire avec plaisir je me précipitais, mes levres allèrent taper le fond de son pénis qui entra dans ma gorge sans difficultée, je ne ressentit aucun reflexe de déglutition, je tetais le partie qui était dans ma bouche. Des oui fusèrent, l'hote émi un sonore " formidable " et alors ile se passa quelque chose, ils commencèrent à applaudir, ma tete fut relevée, je repris mon souffle, l'hote s'étais accroupi et tenait ma tête contre la sienne, les applaudissement me faiblissaient pas, et je pleurais à chaudes larmes. L'hote se leva, les applaudissement se calmèrent.
- C'est un moment émouvant chaque fois qu'un petit chat réussi à passer une étape. C'est pas fini, mais on peu déjà dire que tu nous aura fait passer une très belle soirée. Allé maintenant tu nous le fait à tous d'accord.

Les bites se sont succédés tandis que certains avaient repris des carresses, j'étais doigté en permanence, j'étais excité, affamé de ces queues plus belles les unes que les autres bien que la plupart pouvaient être prise complètement sans passer dans ma gorge, heureusement pour moi. J'avais fait en tout cinq vrai gorges profondes et j'avais passé pratiquement tous les hommes quand une queue black se présenta devant ma bouche. C'étais de loin la plus grosse et plus longue queue que je n'avais jamais vu. Je repensais au god noire, cette queue n'étais pas loin derrière. Je me rendis compte que le silence était revenu. Tout le monde devait regarder. Je commençais par lecher et prendre en bouche l'énorme gland pour bien l'humidifier. Puis je relevais la tête et me lançais. Ma tête fut bloqué par les mains de l'homme. L'énorme bite ne m'avais même pas touché les amygdales. Je le tétais.
- Mais quelle gourmande ! c'est la chatte la plus amoureuse que je n'ai jamais vu !
Les hommes rirent. L'hote intervient. Messieurs l'heure tourne ! il est maintenant temps pour nous de saillir la truie afin d'obtenir tout ce qu'on veut d'elle ! A vos outils !
Je sentis qu'on me doigtais, je me mis à gémir.

- Allé salope, annonce la couleur
- J'ai envie une bite
- Vraiment
- Ho oui, une bite s'il vous plait
Je sentit qu'on me pénétrai et commençait à me limer
- Oh merci, merci monsieur
- Bonne truie, tu vas boire notre sperme à tous
- Oh oui s'il vous plais

Des bites s'étaient présentées à mes mains , je les branlaient, je gémissais, j'étais aux anges. On me présenta le god mou et long, je le pris dans la bouche, la matière était molle il s'écrasait.  - tu le veux dans le cul ?- oui s'il vous plait. -  Je senti le god poussé dans mon cul ? comme il s'écrasait il passait à l'entrée sans probleme, mais reprenant sa forme une fois passé l'anus, il me donnait une délicieuse sensation de remplissage, et bientôt sous la pression une intense mais si bonne envie de chier me pris. Je gémissait de plaisir... Des coups de martinet tombèrent sur mon dos. Je vis que les bougies avaient été allumés, j'eu peur je criais. C'est le black avec la si grosse bit qui vint devant moi et me demanda de le sucer. Je pris sa bite en bouche, je sentais des coups de cravache sur mes pieds, une brulure dans le creux de mes reins m'indiqua que la cire chaude y coulait, le noir se mit à me gifler sur les deux joues, quelqu'un jouait avec l'extémité du god mou, ce qui intensifiai la sensation. Le noir me demanda si j'aimais être pleine, je lui dit que oui, que je voulais sa grosse bite
- redit le plus fort !
- j'ai envie d'être baisé par votre grosse bite

je sentis qu'on m'enlevais le god, puis mon cul fut graissé, quelqu'un introduisit ses doigt m'ordonnant de me donner, ce que je fis du mieux que je pouvais, les coups tombaient sans cesse, on me présenta un cigare éteint, sans doute celui qui était dans mon cul en début de soirée - bouffe il est éteint - j'ouvrai la bouche, l'homme brisa le cigare et m'introduisi les deux bouts brutalement - mâche - je devais pas mâcher assez vite à son goût et il introduisit sa bite - t'aime ça avoir la bouche pleine salope ?
Mon anus me brulait. On me travaillait en m'élargissait, je sentais des coups répétitifs et la douleur s'amplifiait à chaque fois, la bouche pleine je ne pouvais pas crier. Puis l'homme ressorti de ma bouche, les coups s'arrêtèrent. quelque chose de chaud et doux était positionné contre mon cul et commença à glisser à l'intérieur, la brûlure provoquée par l'élargissement n'était rien par rapport au plaisir reçus. J'en criais. Il commença à me limer, j'étais au ciel.

- c'est bon la grosse bite ?
- ho oui oui, merci
- tu vas prendre le god noir après
- oui s'il vous plais
Tout le monde rit. Le noir me limait de plus en plus, de plus en plus profond, un douleur fusa dans mon ventre, je me contractais ? il arreta de limer.
- reste calme mon chat.
- Oui monsieur, encore s'il vous plais s'il vous plais.
Il se remis à limer.
- C'est fait le god noir . c'est avec ça qu'on t'as ouvert pour que tu puisse prendre le bite de monsieur ! T'es tellement élargie que tu t'en est pas rendu compte.
- Pour finir il te reste une chose à réclamer ma chatte. Tu sais quoi ? allé je veux t'entendre.
Je laissais la bite noire me limer, je gémissais. Le pieux en bois et le marteau furet présenté devant moi. Les coups de cravaches sur la plante des pieds reprirent. Un cri m'échappa, je reçu une claque
- réclame !
Je n'y tenais plus.
- je veux me faire défoncer le cul avec un pieux !
- pourquoi ?
- parce que je suis une grosse chienne.

Je sentit la bite qui se retirais. Des mains graissèrent encore mon cul ouvert. Je senti le pieux en position, puis les coups de marteau commencèrent et je le senti glisser en moi peu à peu. Je gémissais de plaisir, je les remerciais.
- Messieurs cette soirée est un succès ! il ne reste qu'une petite chose.  - Le pieux était resté dans mon cul, l'hôte présenta un bol devant ma bouche. Il contenait le sperme de le soirée.
- Tu as promis de tout boire. Vas y.
J'ouvrais la bouche, il me releva la tete par les cheveux, présenta le bol à mes lèvres et le pencha doucement. Le liquide salé/ amer glissa dans ma bouche, j'avalais jusqu'au bout. Pendant ce temps quelqu'un m'avait retiré le pieux, puis je senti des main qui me caressais les fesses, mon anus dilaté. On caressait mas cuisses, mes bras, mon dos. L'hote enleva la bol et m'essuya la bouche avec son mouchoir.
- On peu l'applaudir !

Pour la seconde fois de la soirée ils applaudirent tous et comme la première je pleurais. je n'avais pas vu leur visage a aucun, à part l'hote. si ça se trouve il y en avait que je connaissais!
J'étais épuisé fourbu, j'avais mal au cul, aux fesses les joues brulantes, la plante des pieds douloureuse, des brulures à la cire dans le bas des reins, mais je baignais dans une extase complete.
Les invités saluaient et partaient. J'avais le droit a une petite tape un petit mot, gentil ou cochon. Certain promirent de me retrouver pour me baiser encore, puis je me retrouvais seul avec l'hôte , qui était d'ailleur aussi mon hôte. Il vint s'asseoir prés de moi et entrepris d'enlever mes liens tout doucement.

Eeric31

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