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Grosse queue
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À la fac

Voilà une période bénie pour moi, et longue : double cursus, un an à l'étranger, cela aura duré 8 ans, m'aura donné deux longues relations sérieuses, et pas mal d'autres qui le furent moins mais tout de même très juteuses... Je vais sélectionner pour vous les meilleures et essayer de classer chronologiquement. Moi en ce moment, j'aimerais bien trouver un homme pour du durable comme on dit, ou alors il faudrait que mes hommes mariés aient plus de disponibilité pour venir au moins m'abreuver deux fois par semaine. C'est raisonnable, non ? quand même...

Alors en ce qui concerne la première année de fac.... J'ai passé les 6 premiers mois dans une petite résidence universitaire, au rez-de-chaussée surélevé, et deux mecs ont vraiment compté, même s'il y a eu quelques petits extras. En arrivant à la grande ville, évidemment, j'ai connu les premières agressions dans la rue, les clochards, le métro, etc. Ma résidence n'était pas dans un quartier chic, loin de là. En même temps j'étais stupéfait de voir tant de monde, où que j'aille, et cela me permettait de jauger les beaux paquets que je croisais dans la rue, ou de mater dans le métro. Il s'est écoulé un mois sans aucune activité sexuelle : autant dire que je mourais, ma gorge était sèche et mon cul me donnait d'énervantes irritations d'être ainsi abandonné. La résidence était plus humaine que celles aux interminables couloirs : il n'y avait que quatre chambres par palier : trois petites, dont la mienne, et un grand studio pour couple.

Ma chambre était au fond, près de la douche commune ; avant elle il y avait un mec en fac de sports, et la première chambre était occupée par un autre mec rarement là, en face de la cuisine commune et des toilettes. Le couple du studio était sympa. Un début de soirée, je rentrais du métro et je suis tombé sur un groupe de quatre jeunes " racailles " comme on dit, qui devaient habiter les tours jouxtant ma résidence. Je pensais y échapper mais non ; je me trouvai encerclé. Il y avait un très grand rebeu et un de ma taille, et deux blancs, peut-être frères. Le grand rebeu avait l'air d'être le chef, et me demanda une clope. Je savais dans quel engrenage je m'engageai. J'ai refusé, le ton est monté, et j'ai réussi à contourner les deux de devant et à prendre la fuite : j'ai couru comme un taré. Seuls deux m'ont coursé. J'ai fait un détour pour ne pas indiquer où j'habitais, et voyant ma résidence je me suis retourné pour voir s'il restait des poursuivants : non. Il faisait déjà sombre.

Je suis rentré et il m'a fallu reprendre mon souffle. Mais le soir, dans la nuit, j'ai entendu des petits coups à ma fenêtre : quelqu'un jetait des gravillons. Et c'était le second rebeu. Je ne voulais pas qu'il me voie mais comme les cailloux devenaient plus gros, j'ai fini par ouvrir ma fenêtre. Il m'a dit de le faire entrer, qu'il voulait me parler. J'ai refusé. Il a menacé d'avertir les autres gars de l'endroit où je vivais. Non. Et ils m'attendraient tous les soirs au coin de la rue. Je réfléchissais. Et puis j'avais le temps de détailler un peu l'individu. Le jogging intégral évidemment et une capuche de sweat-shirt. Je lui demandais ce qu'il voulait : il voulait juste parler ; il voulait des clopes ? il en sortit un paquet : non, juste un truc à me dire. Je le trouvais étrange, et même, pas sûr de lui, même s'il insistait lourdement. Bref. J'ai ouvert. Dans les chambres universitaires, peu d'espace, donc on s'est retrouvés nez à nez, et il a essayé de retrouver de l'assurance : d'une petite poussée il m'a fait asseoir sur le lit, et m'a dit qu'il fallait pas lui dire non comme ça. Je ne disais rien.

- Alors maintenant tu vas me sucer la bite, ou je te jure qu'on te coince à 4 et tu vas le regretter, dit-il en se malaxant le paquet.
Je bandais à moitié déjà ; eh oui, la présence d'un mec, depuis ces semaines de vaches maigres... Je refusai encore, mais pour ne pas montrer que je cédais rapidement.
- Allez, putain, dit-il d'abord énervé... Juste une pipe et je me casse, ajouta-t-il plus radouci en se rapprochant : sa main moulait un beau barreau à travers le jogging, à deux centimètres de mon nez.

Je ne disais plus rien, alors il baissa ses fringues, et une belle bite, bien droite en jaillit. Une bite ! enfin ! D'une longueur plus que moyenne, surtout grosse, mate, et rose où elle était circoncise. Je pensai d'un coup à celle d'Azou (mais il aurait fallu lui rajouter quasi un tiers...). Et là impossible de ne pas me retrouver comme la soumise pompeuse de bites, j'avais trop faim, trop soif, trop envie de me régaler d'une queue tendue vers moi. De la chaleur se dégageait de son entrejambe, j'ai pris le gland en bouche et j'ai rattrapé le temps perdu. J'ai adoré sucer cette bite après tant d'abstinence, et il a bien apprécié : hyper bavard il n'arrêtait pas de me complimenter tout en me couvrant d'injures. Comme je n'y tenais plus, je l'ai enserré à la taille et j'ai planté sa queue à fond dans ma gorge : il a adoré, m'a tenu la tête pour me maintenir, j'ai dégluti pour masser le gland, et on a fait comme ça quelques minutes. Son plaisir montait, montait...

Comme il me promettait de me " rincer la gueule ", j'osai m'interrompre pour lui dire de me laisser avaler. " Ok, t'auras ma purée, salope ! pompe, j'ai les couilles pleines. " Alors j'ai pompé bien sûr, tout heureux de recevoir bientôt le sirop dont je manquais depuis un bail. La montée de sa jouissance lui fit pousser de petits gémissements que je trouvai étranges. Une sorte d'affolement. Puis un râle plus long : j'empoignai sa bite et suçai avidement, frottant bien ma langue par-dessous et serrant bien les lèvres. Il cria et je reçus le jus bien chaud, un dosage bien abondant, je dirais de quatre ou cinq jets. J'avalai en grognant de plaisir et en tétant délicatement. Il me regardait faire tout en essayant de se remettre : " Ah, tu kiffes, hein ? ". Quand j'eus fini de téter et nettoyer, subitement il s'écarta, rangea sa bite et sortit : " A demain, salope ! ".

Je restai assis sur le lit, tout au plaisir d'avoir repris une bite en bouche et me délectant du jus d'homme, sans réaliser encore ce qu'il venait  de dire. Puis je repensai à mon frère, le dernier à m'avoir dosé régulièrement, et quel bonheur c'était d'avoir son jus quotidiennement ! Je ne fus pas déçu le lendemain soir. A la nuit j'entendis les coups à la fenêtre, et le fis entrer. Tout se déroula de la même manière, sauf que je m'installai direct sur mon pieu et lui sortit aussitôt sa bite, bandée à mort, et j'adorai cette simplicité. Je suçai (il croyait encore nécessaire de me l'ordonner) avec le plus d'application possible, et son autorité du début semblait fondre au fur et à mesure : il était pris dans son plaisir. Toujours ce mélange de compliments et d'insultes, mais le ton changeait déjà. Après m'avoir rempli la bouche, encore une fois il partit. Cela dura encore deux soirs. Le suivant je n'étais pas là à l'heure dite : j'avais pris le dernier métro.

Mais en approchant de la résidence, j'entendis sa voix qui me disait d'attendre. Il était énervé, avait poireauté, etc. J'étais, pour ma part, presque touché qu'il ait attendu si longtemps sa vidange, je me disais qu'il y prenait vraiment goût. J'étais sincèrement désolé, et il le sentit ; et à ma grande surprise, il trahit une sorte de tristesse. Je l'emmenai dans ma chambre. Alors que je m'étais remis à le pomper, j'osai lui lever le blouson et teeshirt. Il accepta de se mettre à poil, alors je l'invitai à s'allonger sur le lit. Il était bien foutu. Je virai les chaussettes qu'il avait gardées, en lui disant avec douceur que j'aimais pas trop ça. Il me dit de me mettre à poil moi aussi, et me regarda avec attention, et même avec désir, je pense. Puis je m'installai entre ses cuisses et le suçai. Il passa ses bras derrière sa nuque et se laissa traire comme un bienheureux. Il me dit de lui passer ses clopes, et s'en alluma une. Il voulait que je ralentisse, pour que ça dure... Je me suis occupé de ses couilles, j'ai massé, bite en bouche, son torse et ses cuisses. Je prenais mon pied et quand je le regardai je vis que lui aussi : on devait être deux à avoir un sourire béat. " Si je jute maintenant, tu me resuces après ? " demanda-t-il. Je lui expliquai que je ne demandais pas mieux, même s'il lui fallait du temps pour récupérer. " T'inquiète ; vas-y relèche-moi les couilles ". Et après m'être occupé de ses bonnes boules bien fermes, j'ai repris le pompage.

" Putain ça vient ! " et j'eus ma dose délicieuse, tenant sa queue droite dans ma bouche et sentant avec délectation (vous le savez maintenant) le gonflement le long de sa verge à chaque giclée sous mon pouce. Je prenais vraiment goût à son jus, assez fort et salé, très onctueux. Je tétai doucement jusqu'à épuisement de la source. Il reprenait son souffle et finit sa clope. Il m'invita à lui lécher encore les couilles, que je tâchai de détendre, et il se branla quelques minutes, lentement, me matant à l'oeuvre. Il ne débandait pas du tout. Au bout d'un moment, il me remit sa bite entre les lèvres, et me dit : " vas-y ". Commença alors la seconde pipe, et j'étais ravi de tomber sur un mec qui puisse juter deux fois d'affilée. Enfin je l'espérais. Depuis, ça n'est arrivé qu'avec un mec marié ici dans le sud, que j'ai vu quelques mois - mais je raconterai une autre fois. Bref, un bras sous la nuque, une main sur ma tête, il goûta aux délices d'une seconde jouissance, qui le secoua sur le lit, et moi je pus me régaler d'une autre dose. Il se passa cinq minutes : lui ferma les yeux et moi, la joue contre une cuisse j'admirais sa bite si généreuse : elle ne débanda que très lentement. Puis il se reprit et dit : " je vais y aller ". Je m'écartai alors, le regardai se rhabiller. Il me dit " à demain " et partit.
Il s'écoula encore une semaine à ce rythme. On se déshabillait, il s'allongeait et je pompais. Mais progressivement les choses changeaient : il me demanda de le masser, j'appris même son prénom, Ahmed ; et il y eut un " salut " à son arrivée et à son départ. Un soir, alors que pendant le massage, je lui baisais le dos et descendais, il se crispa quand j'arrivai sur sa raie : " Tu fais quoi là ? ". Je m'interrompis en lui disant que je voulais juste lui lécher le cul. Il refusa, et la suite reprit son cours normal. Je n'avais pas deux rations de son jus à chaque fois, mais souvent quand même. J'avais de plus en plus de plaisir à caresser son corps, sa peau mate et ferme. Le soir suivant, c'est lui qui releva les cuisses et m'offrit son cul à bouffer : " vas-y, si t'aimes ça ". Autant vous dire que je me suis jeté dessus comme un affamé. Et lui releva encore plus haut et fit tout ce qu'il put pour me faciliter l'accès à son trou, minuscule et brun, et il n'arrêta plus de soupirer de plaisir tout le temps que je lui astiquai l'anus.

Il se branlait en même temps et je n'eus pas à sucer longtemps quand il me redonna son chibre à pomper : presque aussitôt un flot de jute m'inonda la bouche dans des grognements bestiaux. " C'était bon ", dit-il après. Je me risquai à lui demander si c'était la première fois. Après un silence il acquiesça. Puis il me retourna sur le dos pour se coucher sur moi. Il releva mes jambes, qu'il coinça avec ses bras, et se baissa : il m'embrassa ! Brièvement d'abord. Je plongeai ensuite dans ses beaux yeux noirs. Et j'allai chercher ses lèvres, pour un baiser plus long et profond. Il dura en effet et Ahmed commença à se frotter sur moi. " Je vais t'enculer ", dit-il simplement à mon oreille. Ca faisait des jours que j'y pensais bien sûr, et j'avais senti bien des fois mon trou palpiter en sa présence. D'ailleurs je m'étais demandé quand ça allait se produire. Cette fois je ne me risquai pas à lui demander si ce serait sa première fois. Il se passa quelque chose dans nos regards ; je sus que c'était le cas. C'était le petit rebeu de la bande, qui ne pouvait avouer qu'il était puceau.

Il devait être tout juste majeur comme moi. Tout en l'embrassant encore, je guidai sa main vers mon trou qui était très détendu, et l'y appuyai. Il entra un doigt, sortit, cracha dans sa main, la frotta sur ma rondelle et remit un doigt, fouilla, lima, et me fit gémir. J'ai mouillé plus vite que jamais, ce qui le fit sourire. Il redressa son buste et je tins moi-même mes cuisses aux genoux. Il frotta son gland, longtemps, je sentais mon trou s'ouvrir et mouiller encore plus. " Je vais prendre une capote ", dit-il sans bouger. J'acquiesçai (là ça allait être une nouveauté pour moi), tout en continuant de me tortiller comme je pouvais sur ce gland à l'entrée. Il le poussa à l'intérieur, juste le gland, et je poussai un feulement de plaisir. " J' te la mets une fois et après je prends la capote ". Mais moi j'étais déjà dans un état second ; quand il s'enfonça, je lui ceignis les reins pour le maintenir bien planté et je râlais de plaisir de me sentir rempli par une bite. Lui-même eut les yeux révulsés par le plaisir, mais se ressaisit, et se mit une capote. Il me pénétra direct en se couchant sur moi et commença à limer, râlant lui aussi, tandis que moi je m'enflammais, couinant et l'encourageant pour qu'il me pilonne. Après quelques allers-retours sur toute la longueur, il s'appuya sur ses bras et me pilonna comme je le voulais, et mon cul me brûlait délicieusement, et plus il y allait fort, plus j'en demandais. Ranimé du cul après des semaines sans rien, je voulais être sa chienne et me faire défoncer. Je lui soufflai de me prendre à 4 pattes.

Aussitôt on prit position, et il m'encula comme un pro. J'étais cambré comme une pute, la gueule dans les oreillers et je gémissais, lui écartant mon trou de mes deux mains, et lui me bourrait bien fort en me tenant la taille. " Trop bon ton cul ! " " tu kiffes salope, hein ? " " prends ma grosse teub, tiens ! ", autant de douceurs qui rajoutaient à mon plaisir d'être enfin de nouveau démonté par un mâle. J'oubliais tout à fait que c'était une première pour lui, il s'y prenait très bien. Il se retira deux ou trois fois pour mater mon trou béant en s'exclamant " putain ! " mais il me remplit sans arrêt pendant un bon quart d'heure. Pour être complètement au paradis, j'allai chercher sa cuisse, et à la pliure du genou l'invitai à me monter dessus ; il comprit et me sauta aussitôt en appui sur moi, comme j'adore. " Comme une chienne, c'est ça que tu veux ? putain, t'es une bonne salope ! " et il prit l'allure d'un marteau-piqueur, m'encourageant à dire son nom, que je répétais tout en couinant de bonheur, avec ce pieu qui me perforait sans relâche.

Je me branlai à mort et bientôt lui se mit à pousser des " han ! " impressionnants ; il y eut une chaîne ininterrompue d'insultes tout le temps que sa sève bouillonne dans ses couilles. J'en giclai en gueulant, et il gueula tôt après, planté au fond de moi et secoué de spasmes. Puis il sortit de mon cul et s'assit adossé au mur ; je basculai sur le côté et on se regarda : je le couvris de compliments, sincères d'ailleurs, tout en regardant le réservoir de la capote, blindé de jus, et j'eus un petit regret, mais bon. Je tirai sur son bras pour qu'il s'allonge et on se retrouva tous les deux sur le côté, nous faisant face. Je sentais le froid de mon jus sur le lit, le plastique de la capote contre ma bite. On s'embrassa, les yeux brillants. Les choses étaient bien engagées pour que je me fasse sauter régulièrement, et lui se faisait son expérience.

A partir de là, bien sûr, je veillais à bien m'occuper de mon cul avant son arrivée ; j'étais déjà à poil quand l'interphone sonnait, le trou nickel et luisant de mouille et de salive. Ahmed restait de plus en plus longtemps et testait différentes positions pour m'enculer. Mais il y eut un changement de taille : mon voisin de chambre, Benoît. En deuxième année de sports, il nous avait spontanément aidés à emménager mes parents et moi début septembre. Le contact avait été très sympa, et heureusement parce qu'il faisait tellement de bruit quand il baisait que j'aurais pu me plaindre. Et il baisait presque tous les soirs. Vous imaginez le supplice pour moi qui était si sevré ! Sa copine gueulait interminablement sous ses coups de bite, et lui-même se donnait à fond. Ca n'arrêtait jamais. Je l'ai croisé un soir, une simple serviette sur les reins, allant à la cuisine. Il me salua avec un grand sourire, trempé de sueur, me faisant comprendre par un mouvement de bassin et un signe de la main qu'il avait déniché une sacrée salope. Il était hyper excitant, et si bien foutu ! Et dix minutes plus tard c'était reparti. Pour ce qui est de la " sacrée salope ", il y en eut plusieurs, à en juger par la différence des cris. J'ai dû en croiser deux ce mois-là. Bref, après plus d'un mois à me branler et doigter en écoutant la chambre voisine et m'émerveillant des prouesses de Benoît, j'avais enfin rencontré Ahmed, et moi aussi je pouvais gueuler de plaisir. Seulement, bien sûr, si j'avais pu entendre, Benoît devait aussi entendre, et des cris de mecs...

Il arriva souvent à partir du 2ème mois que nous baisions au même moment, et je soupçonne Ahmed et Benoît de s'être donnés encore plus en parallèle, rivalité virile de base (j'adore). Quand je croisais Benoît il ne faisait aucune allusion à ce qu'il entendait de ma chambre, toujours souriant. Puis c'est lui qui se retrouva sans meuf une petite semaine. Cela donna lieu à une petite conversation dans la cuisine commune, car il m'avertit qu'il s'était trouvé une " poulette pour le soir ", et qu'elle allait " manger grave ", vu que ça faisait plusieurs jours qu'il en avait sauté aucune, etc., et que m'entendre couiner chaque soir le rendait fou... Je lui expliquai que j'avais eu mon tour de frustration avant, et j'étais content qu'il prenne bien ma sexualité. " Pas de problème ! " me dit-il, " le tout c'est de prendre son pied. " Parfait. " Et toi t'as l'air de bien te donner ", ajouta-t-il en rigolant. On a blagué un moment et c'en est resté là. Le soir j'ai retrouvé Ahmed, qui m'a bien baisé, m'a mis une dose dans la bouche et deux dans le cul, enfin dans deux capotes. Ce n'est qu'entre deux enculades que j'ai remarqué que je n'entendais rien dans la chambre de Benoît : pas de " poulette ". Mais comme Ahmed me présenta son cul à lécher, j'oubliai vite tout.

Quand Ahmed me laissa (et attention, désormais il y avait un bisou d'au revoir, une date fixée pour le lendemain ou surlendemain, etc), j'essayai de retrouver mes forces, trempé sur le lit, le cul défoncé. Quand on frappa je crus que c'était lui (alors qu'il ne frappait jamais), et je lui dis d'entrer. Mais bien sûr, c'était Benoît ! Torse nu, et quel torse ! en caleçon kaki et pantoufles, avec une gaule terrible qui pointait sous le tissu à tel point qu'elle remontait le caleçon et laissait apparaître une grosse couille poilue. Je bondis sur le lit, gêné, et ramenant un drap sur moi. Mais lui souriait jusqu'aux oreilles ; je me rendis compte en une seconde qu'il avait un corps de rêve, que tous les muscles apparaissaient sous une belle toison brune.

- Relaxe, c'est pas un scoop ! je l'ai entendu partir et j'ai eu envie de passer.
- Envie ? je vois ça, répondis-je en retrouvant mon sourire ; et la meuf de ce soir ?
- Ben elle est pas venue ; tu vois le résultat ?
Et il regarda son caleçon distendu, et fit même bouger sa bite. Ce qui nous fit rigoler.
- Oui je vois que ça ! tu nous as entendus ?
- Comme si j'y étais... T'as pris cher, purée !... Et dis donc, ajouta-t-il en montrant d'un bout de pantoufle les deux capotes pleines au pied du lit, vous vous êtes pas gênés ?!
- Ouais, c'était bien !
- Gros juteur, on dirait !
- Ouais, pas mal.
- Grosse bite aussi ?
- Comme il faut.
- Tu sais qu'y a pas que les arabes qui ont une grosse bite ?
- Ben faudrait que je voie mieux...
Il s'approcha du lit en sortant tout simplement sa queue : une superbe bite charnue, et longue à peine plus que celle d'Ahmed, mais je n'en dis rien : " ah ouais, carrément ", dis-je, retrouvant aussitôt mon appétit.
- Ben fais-toi plaisir, moi j'attends que ça, ajouta-t-il en la tenant d'une main pour me la présenter en l'agitant.
Son gland était une merveille, plus gros et découpé que celui d'Ahmed. J'ai baissé son caleçon jusqu'à ses chevilles, remplacé sa main autour de sa belle bite : " on va faire ce qu'on peut pour vous soulager, m'sieur...
- Ben c'est sympa, parce que j'ai les burnes qui vont vraiment exploser ".

Il rigola mais quand j'ai pris aussitôt sa queue en gorge profonde, il est redevenu très sérieux, dans un long soupir... " Oh, toi, tu vas me plaire ! ". J'ai alterné comme ça un moment, gavage des amygdales et pipe bien humide, bien en longueur de la langue et des lèvres, et ses soupirs me confirmaient mon savoir-faire. Puis je guidai ses mains, qu'il avait sur ses hanches, vers ma tête, pour me faire limer la bouche. Il ne se gêna pas ! Et avec mes mains libres, le gosier ramoné bien comme il faut, je palpais ses fesses de sportif, son torse musclé de partout, et les floc floc dans ma gorge se mêlaient à ses exclamations " putain, quelle bouche ! qu'est-ce que c'est bon ! " Il grimpa sur le lit et fléchit les jambes, tenant toujours ma tête et me limant la gorge à bons coups de reins, qui me donnaient une idée de ses exploits sexuels. " Ah ! putain, mais elle est faite pour vider ! ".

Ca me fit rire, mais vu la situation je m'étranglai. Il ressortit sa bite, énorme et dégoulinante de salive : " j'y vais trop fort ?
- Nan, c'est pas ça, et je pus rire franchement, c'est ton expression.
- Ah ok, ben c'est vrai, et il rit aussi ; on peut pas résister trop longtemps à une bouche pareille.
- Ben résiste pas alors.
- Mais... t'avales ?
- Ben j'attends que ça !
- Mais... les capotes pleines ? ajouta-t-il en tournant la tête vers elles.
- Ca justement c'est le tout petit bémol avec lui, tu vois ?
- Hmmm, je vais pas te frustrer moi ! ; si t'aimes la sauce, je t'en donne autant que tu veux. Tiens palpe mes couilles, tu vas voir ce qu'elles te préparent.... "
Elles étaient lourdes et bien gorgées sous ma main. Je repris sa bite et pompai avec avidité, couinant à l'idée d'une récompense juteuse. Entre deux soupirs, il m'assurait que je serais pas déçu. Il appuya ses mains sur le mur, toujours les jambes fléchies m'encadrant le visage, et se mit à jouir bruyamment au rythme de la montée depuis ses couilles et des jets : je sentis nettement 4 puissantes giclées, que je dégustai avec un visible plaisir. J'avais commencé à me branler, Benoît ne criait plus mais gémissait et m'encourageait à me régaler de " sa crème de couilles ".

Je tétai les dernières gouttes qui sortaient encore, puis allai lécher les boules toutes fermes pour les assouplir. En reprenant son souffle, il me disait d'en prendre soin et qu'elles m'en redonneraient un max. Mais ma langue continua sa route jusqu'à titiller son trou. " Tu veux me bouffer le cul ?! ", à quoi je grommelai un " oui ! " en forçant les cuisses à s'ouvrir mieux. " Oh putain, super ! ". On bascula : je fus sur le dos et lui s'adossa au mur puis descendit en fléchissant jusqu'à poser son cul sur mes lèvres ; je grognai de plaisir en goûtant ce petit trou vierge, au duvet brun, et me branlai encore plus frénétiquement. " Putain que c'est bon ! s'exclamait-il, et t'as l'air de bien prendre ton pied aussi toi !... ".

Il écartait une fesse d'une main, moi l'autre, et chacun se masturbait. Je crachai bien vite, soulevé par le plaisir, enfoncé entre ses fesses, et m'inondai le ventre. " Eh ben ! " dit-il en riant, et il allait se dégager, pensant que je voulais souffler ; mais le voyant lever le cul, je le rattrapai à la taille en disant " encore ! ", et le fis asseoir sur moi : " hmmm, ok, putain, profite ouais ! ". Assis sur ses genoux, il se branla en soupirant pendant que ma langue l'assaillait sans faiblir. Il ne tint pas longtemps, et me proposa haletant " une autre dose " ; je gémis dans ses fesses, il précipita sa branle et se leva soudainement, bascula le bassin et visa ma bouche grande ouverte : il gueula en faisant jaillir d'autres jets bien blancs, directement logés sur ma langue. La vision que j'avais était un pur bonheur : son cul bombé, sa queue droite qui écartait ses boules, pointée vers le bas, et le gland qui déchargeait... aussi beau à voir que bon à avaler ! Il enfourna sa bite pour se faire téter et nettoyer en gémissant (et moi aussi j'appréciais cette deuxième dose !), après quoi on s'allongea tous les deux.

- " putain, ce pied !
- Et ce jus !...
- T'aimes ça, ça s'est bien vu. "
Je lui confiai alors un peu mes aventures de quartier et le goût que j'avais pris au sperme. Il m'écoutait les yeux écarquillés et brillants : " si j'avais pu habiter par chez toi !
- Mais là on est voisins de chambre, continuai-je...
- Ah c'est clair qu'on va pouvoir s'éclater ! Et tu sais qu'on m'avait jamais léché le cul ?...
- C'est dommage, c'est une merveille !, répondis-je en me disant que décidément j'avais droit souvent aux premières fois.
- Tu me le referas hein ?
- Quand tu veux ! j'adore.
- Super, ajouta-t-il, et il m'embrassa, très tendrement avec la langue.

Je me relevai pour me rincer un peu le ventre et la bite, au mini lavabo de la chambre. Benoît s'informait déjà de mon emploi du temps et des passages d'Ahmed. Il me proposa cash des passages réguliers, et j'aimais qu'il soit clair et carré. Pour le tester, je lui dis qu'il ne devait pas s'inquiéter et qu'il retrouverait vite une meuf. Il répondit, tant mieux pour moi, que même s'il avait une meuf, ça n'empêcherait pas qu'il passe de temps en temps ; il avait déjà calculé les jours où le matin il pourrait passer : " il repartirait les couilles légères et moi je commencerais la journée le ventre plein ". Comme je lui répondis que je prendrais tout le jus qu'il me donnerait à chaque fois qu'il le voudrait, il m'embrassa encore puis s'allongea sur moi, tout excité et se frottant en me disant entre deux baisers " sacrée gourmande, hein ? " et il risqua un " salope " dont il constata aussitôt l'effet sur moi : je l'agrippai à la taille et relevai les cuisses. On bandait à mort et il me dit que j'allais me la prendre dans le cul. Ses capotes étaient dans sa chambre, pas possible de s'interrompre. Je relevai encore plus les cuisses pour mieux installer le gros gland sur mon trou. En quelques petites poussées contrôlées, il entra, juste le gland, qu'il ressortit et procéda ainsi quelques minutes : j'allais exploser d'excitation, et lui se régalait en me regardant... A suivre...

mike

cherchebiberon64@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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