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Premier épisode | Épisode précédent

Ma deuxième année de Fac - 4

Piscine...

" - Tu fais très bonne impression mon ange...
- Vraiment ?
- Oui oui, maman n'arrête pas de me dire la chance que j'ai de t'avoir et le si gentil garçon que tu es. Mon père trouve que tu as la tête sur les épaules, ce qui est le meilleur compliment que tu puisses attendre de lui. "

Ces propos me rassurent et surtout me soulagent. Voilà près de deux mois que nous avons repris la fac. Le soir nous dînons le plus souvent au restau U, c'est pratique et pas trop cher.

Mes parents sont rentrés comme prévus. Nous avons dû prendre un rythme différent Quentin et moi. D'avantage de messages et moins de présence au quotidien. J'arrive à dormir les week-ends chez lui... Je prétends être avec des potes pour des soirées bien arrosées... Ce qui me vaut la bénédiction de mes parents pour découcher et la bénédiction des siens pour dormir sous leur toit.

Il me manque.

Ne pas être avec lui aussi constamment que durant les vacances est difficile. Je n'ai jamais connu ça. Une sorte de manque... physique. Comme s'il me manquait une partie de moi-même...En général c'est dans le ventre et la poitrine que je ressens cette absence. Comme s'il manquait quelque chose entre mes bras. Ca me donne envie de pleurer lorsque cette sensation me tombe dessus.

Et puis il y a le " manque "... De ses bras... De ses caresses... De sa chaleur... De nos ébats... Ce n'est pas que je ne pense qu'à ça, mais nous faisions l'amour deux ou trois fois par jour, quasiment tous les jours durant les vacances et maintenant... C'est uniquement les week-ends... Parfois un soir en semaine quand on " révise " ensemble.

C'est difficile. Mais je ne veux pas lui en parler... Nous n'avons aucune solution... Et je ne veux pas qu'il s'imagine que je n'attends que ça de lui. Mais lui semble se satisfaire de la situation.

Cela commence à me peser un peu. Mais que faire ? J'en ai encore pour quatre ans, si tout va bien, pour avoir le master que je vise. Est-ce qu'on va tenir comme ça pendant 4 ans ? Et Quentin... Lui il veut bosser dès l'an prochain... Putain quatre ans !!! C'est une vie entière !!!

Pour lui, il n'y a aucun problème : il arrête les études, commence à bosser, prend un appart, on se met ensemble, on se pacs et c'est parti.

Ca me terrifie. C'est tellement... Définitif.

Si on se pacs et qu'on se met ensemble, il faudra bien que j'explique à mes parents...

Si on se met ensemble mais que ça casse avant la fin de mes études... Je me retrouverai à la rue...

Je suis égoïste. Je devrais avoir confiance en Quentin. Je sais qu'il a confiance en moi. Pour lui, tout est tracé, clair, net, précis, sans " mais ", sans " et si ", sans " peut-être ".

Mais je ne veux pas être à sa charge pendant trois ans. Il faudra que je prenne un boulot ou que j'obtienne une bourse.

Qu'est-ce que j'aimerais avoir sa confiance.

Je me rends compte que j'ai changé. L'an dernier, je ne me serais pas pris la tête comme ça. Je me rends compte que j'ai peur de le perdre et peur des conséquences. Ca me rappelle une phrase que j'ai lue je ne sais où : " Quand on a rien, on a rien à perdre. "

Moi, c'est tout le contraire.

Mais bon, je ne vais pas déprimer : je suis en deuxième année malgré la fin de première année " chaotique ", jusque-là je sens que ça se passe bien, mes premières notes sont excellentes. Physiquement je suis vraiment pas mal. Sans rouler sur l'or, j'ai ce qu'il me faut sans avoir besoin de bosser. J'ai un chéri d'amour à moi tout seul !

Smile !

La vie pourrait être vraiment plus difficile pour moi : " arrête de te plaindre !!! "

Je coupe la douche sous laquelle je me perds dans toutes ces considérations matinales. Malgré l'envie, je ne me touche pas : je me garde pour Quentin. J'enferme donc mon sexe raide dans mon boxer.

Aujourd'hui on est mercredi. Ce matin, je n'ai pas cours. C'est piscine.

C'est une des rares choses sur lesquelles nous ne nous sommes pas trouvés : le sport. Moi j'adore ça mais Quentin est réfractaire. Il déteste même. " C'est bon pour les connards prétentieux " dit-il.

Je me lave les dents.

Pendant que j'active la brosse, je me regarde dans le miroir. Je me remplume peu à peu, j'ai repris tout le muscle que j'avais perdu pendant ma phase d'errance.

J'ai retrouvé le beau visage bronzé à la peau parfaite que j'avais avant. Le grain de beauté à gauche sous mes lèvres est toujours là pour attirer le regard et j'examine avec attention l'arrête bien droite de mon nez : pas de point noir en formation.

Les dents propres, j'enfile mon t-shirt avant de me coiffer. Ca me prend plus de temps que le reste mais je veux toujours un rendu parfait ! Même si c'est pour aller à la piscine...

Je finis de m'habiller et prépare mon sac. Je quitte l'appartement de mes parents, monte dans le premier bus en direction de la piscine.

J'ai un certain Eastpack sur le dos. Quentin me l'a donné... En souvenir...

Arrivé à la piscine je me change dans la cabine et me rend sous la douche. Je prends toujours le temps de regarder un peu les autres gars présents, juste histoire de m'assurer que je suis toujours dans les mieux foutus du lot. Oui c'est un peu... " petit connard prétentieux " (comme dirait Quentin) mais ça me rassure.

Comme il est tôt, il y a juste deux dames âgées, la quarantaine à peu près, donc, pas de matière à comparaison.

Je finis de me laver et pénètre dans l'espace des bassins. Il y en a trois : le bassin pour les petits, le bassin chaud (le bassin à gros j'appelle ça, parce que c'est toujours les vieux et les gros qui se prélassent la dedans) et le grand bassin.

Ca, c'est MON domaine.

Il y a peu de monde, nous sommes une dizaine en tout. J'entre dans la moitié de bassin non balisée pour m'habituer à l'eau. Une fois échauffé, je rejoins les lignes et entame mes longueurs, 120 pour 3 km. C'est ce qu'il me faut pour être bien.

Et c'est parti. J'adore nager, je ne pense plus à rien, juste... le rythme, la respiration. Bon, s'assurer de ne pas rentrer dans celui qui est devant aussi mais sinon, c'est juste... le corps qui s'éclate.

29...

Demi-tour... Impulsion... Un demi-bassin sous l'eau... Crawl... Crawl... Crawl... Top !

30 !

Je m'arrête. J'ai attaqué un peu sévère et là j'ai un peu mal à l'épaule droite. Je m'agrippe avec deux doigts au rebord de la piscine pour prendre une minute de repos et boire pour me réhydrater.

J'en profite pour nettoyer mes lunettes.

Trois mecs sont debouts sur le bord, juste à côté de ma ligne. Ca discute. Des sportifs. Des vrais. Ca se voit.

C'est même... beau à voir... Il y en a un avec un jammer gris. Comme il me tourne le dos, je ne sais pas l'âge qu'il a mais il est vraiment taillé en V. C'est presque exagéré... Mais... J'aime les belles épaules.

Non ! Stop !

Je replonge et reprends mes longueurs.

Je fonce... Je me concentre sur mon rythme, mes respirations... Nager... Respirer... Contrôler...

Je finis par replonger dans les sensations purement physiques de mon effort. Le corps agit seul et je n'ai plus que les bonnes sensations. Shoot d'endorphines.

30 ! Pause !

Je reprends mon souffle. J'enlève mes lunettes et constate avec soulagement que les trois mecs ne sont plus là. Il y avait un plutôt petit, trapu, poilu et bronzé, la trentaine peut être. Un seconde, à peine plus grand, nettement plus âgé, quarante peut être, la peau claire, bien fichu aussi, boxer noir. Et le dernier qui me tournait le dos, plus grand -genre 1.90- avec son jammer gris, ses épaules et son petit cul.

Mais comment je peux me rappeler son cul ?

Mon coeur prend un rythme qui ne tient pas à l'effort physique. En tout cas, pas celui-là.

Non ! Non et non ! Je suppose qu'ils sont tous les trois partis. Tant mieux !

J'essaye de me rassurer en détaillant toutes les personnes dans les lignes. Ca fait un peu plus d'une demi-heure que je suis là... Les gens arrivent petit à petit. Pas de trace des trois nageurs. Je me sens soulagé et rassuré.

Une vague inquiétude s'était installée en moi en même temps que cette sensation de... désir ?

Je reprends ma troisième série avec plus de calme. Je me concentre sans effort et m'abandonne aux sensations de l'eau et des muscles glissant dans le flot.

Et voilà... encore 30. J'en suis à 90.

J'ôte mes lunettes, je me passe de l'eau sur le nez. Plus qu'une trentaine de longueurs et c'est fini. Je me sens bien. J'ai fini par trouver un bon rythme. Je pose mes bras sur le rebord du bassin le temps de ma pause pour regarder les gens aller et venir au bord de la piscine.

Un nageur s'arrête à ma gauche. Il a un bonnet noir et des lunettes argentées. Il me fait un sourire de courtoisie.

Je le lui rends.

Il prend appui sur le rebord du bassin et d'une puissante poussée des bras, il sort.

Je vois passer un jammer gris.

Sensation de brûlure sur le visage.

Il se met à genoux au bord du bassin, à quelques centimètres de moi.

Ses jambes sont parfaitement imberbes, puissantes et sculptées. Il a tout juste un hâle de bronzage. Son jammer est diablement moulant... et il y a de quoi voir.

Il ôte ses lunettes, crache dedans et se penche pour les rincer dans l'eau... Sa ceinture abdominale est incroyablement sèche. La peau est tellement tendue sur les muscles qu'elle peut à peine se plisser. Je suis fasciné par les veines qui semblent comme posées par-dessus.

Il tourne la tête vers moi.

Il a le visage long, des traits acérés, comme... sculptés dans le métal. Je ne sais pas comment décrire. Ses yeux sont verts ou gris. Il doit avoir dans les... quarante ou quarante-cinq ans. Malgré son âge avancé, il a un charme incroyable.

Je me sens rougir.

Il me sourit à nouveau, toutes dents déployées cette fois...

Je sens une bouffée de chaleur m'embraser complètement.

Je suis incapable de détourner les yeux.

Je suis scotché à son regard.

C'est lui qui détourne les yeux pour finir de nettoyer ses lunettes. Il se redresse doucement...

J'ai l'image d'un fauve se levant après une sieste.

Il a parfaitement vu que j'étais... subjugué. Il me fait un clin d'oeil. Se relève et s'en va sans un regard. Je ne peux m'empêcher de le regarder s'éloigner : ses fesses moulées dans le tissu gris sont justes... parfaites.

J'ai le coeur qui bat à tout rompre. J'ai froid et j'ai les mains qui tremblent. Je bande.

Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits.

Je reprends mes longueurs... Mais sans convictions. Je n'arrive pas à me concentrer sur le rythme. J'ai l'image de cet homme qui revient sans cesse.

Ses jambes... Ses bras... Son visage... Ses yeux... Son sexe....

Plus rien n'a d'importance.

Je veux sentir sa peau sur la mienne... Je veux ses lèvres... ses baisers... Je veux ses caresses...

Je veux ses muscles... ses fesses... son sexe...

Je veux sa bite. Je veux sa queue et son cul !

Je veux qu'on baise !!!

Il faut qu'on baise... !!!

Mon coeur est à 200 au moins !

Vlan !

Le bord du bassin. Je ne l'ai pas vu. Je m'assomme à moitié. Je perds pied trois secondes, bois la tasse et me raccroche au bord.

Le maître-nageur est déjà debout et me regarde. D'un geste de la main je fais signe que tout va bien. Il se rassoit.

Je vérifie que je ne saigne pas et que mon nez est en place.

Je décide de sortir. Il faut que je rentre. J'ai soudainement peur de moi.

Je sors de l'eau et m'empare aussi vite que possible de ma serviette : il faut que je cache mon sexe raidi.

J'ai honte !!!

Non... Il faut que je pense à Quentin. J'aime Quentin. Je ne suis qu'à lui et lui à moi. Quentin !!!

C'est la panique qui fait place au violent désir qui m'avait envahi.

Comment puis-je être aussi... Je ne veux pas que ce soit ma queue qui me contrôle.

Je décide de partir tout de suite. Il faut que je m'éloigne de la tentation.

[Merci pour vos messages positifs et négatifs ! Continuez ! Si vous avez envie de lire d'autres choses, n'hésitez pas à me le dire. Les commentaires et suggestions sont les bienvenus ! ]

Yopi

yop_ex@outlook.fr

Suite de l'histoire

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