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Au domaine

Après cette nuit d'hôtel inoubliable, je conduisais le coeur joyeux, d'une humeur particulièrement énergique, chantonnant la fenêtre ouverte laissant entrer les effluves printaniers d'une Provence éblouissante de soleil, de couleurs.

Vers midi, je m'arrêtais dans un resto rapide pour me goinfrer d'un double hamburger frites, coca, j'étais installé sur la terrasse à l'ombre d'un parasol, malgré le chant incessant des cigales, mes pensées revenaient toujours vers ce garçon beau comme une statue, tout en douceur et virilité qui m'avait fait connaître le septième ciel pour ma première sodomie. Je regrettais de ne pas lui avoir demandé ses coordonnées.
Tant pis ce serait comme un rêve que je n'oublierai pas.

Plus j'approchais du domaine, plus j'étais entouré de vignobles, des rangs de vignes bien feuillues rangées comme des élèves. Je savais que mon boulot serait dans ses rangs à m'occuper de je ne sais trop quoi

Je cherchais ma route, il approchait les 18 heures, mais tout ce ressemblait, à force de chercher, je finis par demander à un passant où se trouvait le domaine de mon oncle. Il me l'indiqua avec un fort accent, j'eus du mal à tout comprendre, mais au bout du compte je me trouvais devant l'entrée du domaine. J'empruntais une longue allée de terre bordée de chaque coté de rangs de vignes avec des rosiers au début de chacun, j'étais émerveillé, un peu inquiet de tomber dans une famille d'un niveau social nettement supérieur au mien.

Au bout d'une allée interminable, j'arrivais dans une cour cernée d'immenses bâtisses, des engins agricoles, puis une superbe maison de pierres avec un étage. Un platane au moins centenaire ombrait la cour, une grande table de ferme, des fauteuils, une sensation de convivialité invitaient au farniente.

A peine entré dans la cour qu'un chien aboya pour signaler ma présence, j'arrêtais la voiture, il vint à ma hauteur, une femme d'une quarantaine d'année lui ordonna de se taire en s'approchant, je pouvais la détailler, elle était élégante, un beau sourire chaleureux invitant à l'affection.

- Je suis ta tante, tu es Simon, Tu as fait bon voyage ? Pas trop fatigué, range  ta voiture et viens boire un coup.

Je fus surpris de la ressemblance avec ma mère, sa soeur son aînée de deux ans.
Je rangeais ma voiture, dès que je fus sorti, elle m'enserra dans ses bras pour m'embrasser sur les deux joues, un baiser d'une tendresse que j'avais rarement ressentie.
Elle m'invita à pénétrer dans la maison, j'entrais dans une grande cuisine rustique une grande table me fit penser qu'il devait y avoir du monde dans cette demeure. Elle me proposa à boire, je choisis une bière bien fraîche, assis tous les deux, elle m'expliqua que mon oncle et mon cousin étaient encore dans les vignes, qu'ils rentreraient vers 19h que je dormirai dans la chambre de Thierry, qu'elle ne rentrait, qu'il m'aiderait à m'installer dès son arrivée. En attendant elle me fit visiter la maison, j'entrais dans une grande salle à manger une grande et belle cheminée ornait un mur de crépis blanc un canapé et deux fauteuils étaient disposés devant comme pour profiter du spectacle magique d'un feu de cheminée. Des photos étaient posées sur un meuble, j'eus du mal à reconnaître les personnes, ma tante s'apercevant de mon interrogation me présenta les personnages. Il y avait mon oncle, un bel homme, frisant la cinquantaine, deux enfants aux alentours des dix ans, c'était ma cousine Fanny et mon cousin Thierry, je me rappelais vaguement de leur visage. Ma tante me dis qu'ils avaient bien grandis depuis, que Fanny faisait ses études d'oenologue à Bordeaux pour s'occuper du domaine avec son père, qu'elle avait maintenant 20 ans, que Thierry fêterait ses 18 ans dans quelques jours, qu'il faisait des études de commerce, elle regrettait qu'il soit comme elle dit " réservé ", un peu trop timide à son avis. Mes yeux étaient rivés sur ce garçon faisant plus jeune que son âge, aux cheveux presque roux aux yeux verts. J'étais admiratif devant ce décor luxueux et de grand goût. Une baignoire d'angle avec jets d'eau et deux lavabos meublait la salle de bain, un salon de télévision avec un écran plat suspendu au mur. Je n'avais encore jamais vu une telle demeure, je craignais de plus en plus d'être tombé dans une maison de bourgeois, pourtant ma tante me semblaient simple dans ses attitudes et ses vêtements.
Cette visite avait écoulé le temps sans que je ne m'en aperçoive, au point que ma tante me fit remarquer le bruit de la voiture de mon oncle qui entrait dans la cour, nous sommes sortis pour les accueillir.
Un superbe 4X4 venait de se garer à coté de ma petite voiture, j'étais presque gêné de ce décalage. Mon oncle descendit accompagné d'un grand et beau jeune homme que je reconnu tout de suite à sa couleur de cheveux. Mon oncle s'avança vers moi son sourire aussi chaleureux que celui de ma tante et sans retenu me serra dans ses bras pour m'embrasser, je sentis à leur accolade quel plaisir et joie ils avaient de me revoir, je me détendis en oubliant la différence de niveau de vie.
Mon cousin s'approcha pour me serrer la main, je sentis sa retenue de me faire la bise, mais sa mère fut surprise qu'il n'embrassa pas son cousin, se fut donc une bise de convenance que nous nous fîmes.
Ma tante lui dit de me montrer là où j'allais dormir pour y mettre mes affaires et prendre une douche avant de souper.
Thierry m'aida à prendre mes différents sacs et me précéda à l'étage pour me montrer sa chambre. Lorsque j'entrai, je fus surpris de voir une grande pièce sous les toits avec deux grands velux au dessus de deux lits d'une personne, il y avait un coin bureau avec tout son matériel informatique, dans un autre coin quelques appareils de musculation. Un immense tapis rouge séparait les deux lits.
Il me dit de prendre le lit de gauche, l'autre étant habituellement le sien, nous posions mes sacs. Il me montra une porte derrière laquelle se trouvait sa salle de bain avec baignoire lavabo et toilettes.
Thierry me montra les serviettes de toilettes et me dit de prendre ma douche en premier, car il devait finir du rangement avec son père.
Il redescendit pendant que je déballais mes affaires, au moment ou je retirai mon baladeur, une petite carte chue je la ramassais pour voir ce qu'il en était. C'était une carte de visite avec le nom de Michel Robin agent commercial d'une société de machines outils, avec une adresse et un numéro de portable écrit à la main.
Je la retournais pour lire ces quelques lignes - " merci pour cette nuit d'hôtel, ma carte de visite avec mon numéro personnel si des fois tu voulais passer un moment en ma compagnie " (1)
Je relus plusieurs fois ces lignes avec une intense émotion qui me mit les larmes aux yeux, il ne m'avait pas oublié tout comme moi et me laissait ses coordonnées.
Je rangeais précieusement comme un trésor sa carte de visite dans mon portefeuille.
Comme j'étais seul dans la chambre je me mis à poil pour aller prendre une douche.
Cette eau tiède qui coulait sur le corps me délassa. Je pensais à Michel et notre nuit d'hôtel, tout ce que j'avais appris et ressentis, cela ne tarda pas à me faire bander, mais je n'osais pas me masturber dans la douche de mon cousin surtout le premier jour, je m'astiquai quand même un petit moment pour me calmer à la limite de l'éjaculation, mon excitation retomba.
Cette douche dura plus longtemps que prévu et au moment ou je sortais de la salle de bain pour mettre des vêtements propres, Thierry entra dans sa chambre et me vit quasiment nu, juste le temps de mettre mes mains devant mon sexe.

-  excuse-moi dit-il rouge comme une fraise des bois - je croyais que tu avais terminé, et j'ai tellement l'habitude d'être seul dans cette chambre que je n'y ai pas pris garde.

Tout en me dirigeant vers mes habits, je lui répondis que ce n'était pas grave après tout nous étions deux garçons et qui plus est cousin.
J'ôtais mes mains de devant mon sexe pour m'habiller,  mais je sentais son regard fixé sur mon dos. Après avoir mis mon caleçon je me suis retourné, Thierry était là immobile, le regard figé sur moi, je lui demandais si cela allait, il se ressaisit encore plus rouge en se dirigeant vers la salle de bain.
Après le souper, confortablement installés dans le salon mon oncle me parla du lendemain, le travail qui m'attendait, qu'il me présenterait les ouvriers, mais qu'il ne ferait pas de différence entre tous comme pour Thierry qui serait mon équipier
Notre travail consistait à éclaicire les pieds de vignes à la main pour laisser pénétrer le soleil afin de finir le mûrissement des grappes à l'intérieur du feuillage.
Décidemment cette famille me plaisait de plus en plus avec un accueil aussi chaleureux, et un cousin aussi mystérieux qu'attirant.
Mon oncle proposa de nous coucher tôt, car demain il fallait se lever de bonne heure pour ne pas cuire au soleil.
Thierry et moi montions dans sa chambre, comme il faisait encore chaud, nous décidions de laisser les velux ouverts, cela empêchait la fermeture des rideaux, mais le clair de lune était parfait pour laisser la chambre dans la pénombre. Je me mis en caleçon pour la nuit, tandis que Thierry mis un pantalon de pyjama par-dessus son boxer.
Je lui en fis la remarque comme quoi il aurait trop chaud, sa réponse fut qu'il avait l'habitude de dormir comme ça.
Je pensais qu'il voulait se protéger d'éventuelles pollutions nocturnes.
Allongés chacun sur notre lit, nous pouvions nous voir l'un et l'autre avec un tel clair de lune, je voulais entamer la discussion en m'excusant pour ma sortie de douche surtout de l'avoir mal mis à l'aise en me voyant nu.
Je lui dis que si il faisait du sport il verrait des copains à poil et que lui aussi serait à poil devant eux.
Il me répondit qu'il était très timide qu'il s'arrangeait toujours pour prendre sa douche lorsqu'il n'y avait presque plus personne, et qu'il gardait son boxer. A chaque fois qu'il voyait un copain tout nu cela le perturbait.
Puis nous avons discuté du lendemain, comment je devais m'habiller Il me rassura me disant qu'on lui prêterait des vêtements appropriés. Il me souhaita bonne nuit, le silence se fit. Le sommeil ne venant pas, je restais allongé sur le dos repensant à la carte de Michel, puis à ce que m'avait dit Thierry à propos de sa gêne vis-à-vis des copains.

Thierry aussi avait du mal à s'endormir, était-ce la présence d'un garçon couché proche de lui, aussi charmant que son cousin qu'il avait vu nu avec des fesses musclées, un dos qu'il aurait bien voulu caresser, embrasser ?..........................
....................................La nuit de Thierry fut interrompue à plusieurs reprises, il en profita pour aller faire pipi, il n'éclaira pas la chambre, la lune suffisait, lorsqu'il revint des toilettes il me vit  allongé sur le dos sans aucune couverture, mais les mains dans mon caleçon entrain de me tripoter en gigotant de droite et de gauche, il ne fit pas de bruit, s'essaya sur le bord de son lit contemplant - sans être vu - le spectacle que son cousin lui offrait.
Il s'arrêtait de respirer lorsque les mains de Simon s'introduisaient plus profondément dans son caleçon pour aller caresser ses boules, il écartait même les jambes pour plus de plaisir.
Dans le boxer bien recouvert de son pyjama le sexe de Thierry devenait de plus en plus raide et dur, cela ne le dérangeait persuadé que personne ne le voyait.
A un moment Simon s'agita un peu plus dans son rêve érotique, ses mains écartèrent l'élastique de son caleçon et Thierry pu apercevoir le début du sexe de son cousin, qu'il venait de décalotter dans un mouvement de va et vient.
Il imagina le pire ou le scénario de rêve, pouvoir tenir ce sexe et le masturber, mais la culpabilité l'envahit, il se recoucha et pu s'endormir jusqu'à la sonnerie du réveil et les tambourinements de son père sur la porte pour les réveiller.
Simon s'étira en disant qu'il avait super bien dormi qu'il avait fait des rêves supers bons, sûrement la fatigue du voyage.
Thierry lui répondit que lui n'avait pas beaucoup dormi à cause de la chaleur et peut-être sa présence.
La cuisine embaumait le bon café chaud, et le pain grillé, sur la table quatre bols, du beurre, plein de confitures différentes.
Ma tante m'embrassa avec toujours autant de chaleur, elle me dit que Thierry n'aimait pas ça, alors elle en profitait avec moi. J'adorai quand elle m'embrassait.
Je me goinfrai de pain tartiné de confiture faites maison. Je serais bien resté plus longtemps mais Pierre vint me chercher pour aller au vignoble.
Affublé d'un pantalon, de chaussures de sécurité, d'un t-shirt à manches longues, le tout orné d'un chapeau - un vrai épouvantail - je montais dans le 4X4 où m'attendaient déjà Pierre et Thierry dans le même accoutrement. Pierre me précisant en roulant que c'était nécessaire pour le soleil, les piqûres d'insectes ou rarement la rencontre de serpents. - Sympathique ambiance pensai-je !

Arrivé sur les lieux de travail, une quinzaine de personnes nous attendaient pour commencer. Pierre me les présenta, je serrai la main à chacun d'eux, je remarquai déjà un superbe mec brun, la peau bronzée un regard profond, mais une alliance à la main gauche.

Nous étions par deux de chaque côté d'un rang, Thierry me montrait comment enlever les bons pampres sans abîmer le pied. C'était un travail harassant pour le dos et les genoux, tantôt assis, tantôt accroupi, parfois plié en deux, je pensais qu'en fin de journée je serai épuisé.
Nous avions une pause de 10 minutes toutes le deux heures pour nous desaltérer et se reposer. Plus nous avancions dans la journée, plus Thierry se sentait à l'aise avec moi, parfois j'avais un large sourire lorsque je souffrais. A plusieurs reprises nos mains s'agrippèrent à la même banche dans un éclat de rire sans que cela ne nous gêne. Pendant la dernière pause, Thierry me proposa de finir son verre, je le saisis avec un sourire équivoque.

J'étais vanné dans la voiture qui nous ramenait au mas. Mon oncle sourit en me disant que demain ce serait pire, mais qu'une bonne douche me remettra sur pied. A peine arrivé, juste le temps de faire une bise à ma tante et monter dans la chambre me mettre sous la douche. Thierry était déjà monté, attablé devant son ordinateur, il me dit de prendre ma douche pendant qu'il consultait ses courriels.
Je rentrais dans la salle de bain tout en laissant la porte ouverte - au cas où il devrait aller aux toilettes - rien ne se passa. Après avoir laissé couler l'eau chaude longuement sur mon corps, je m'essuyais, puis mis la serviette autour de ma taille pour aller mettre du linge propre.
Thierry était toujours devant sa machine, je m'approchais pour lui dire que la douche était libre.
-  j'y vais me répondit-il, un instant je finis de vider ma boite de réception.
-  Je peux regarder ?
-  Sans problème
-  Je m'approchais toujours ma serviette autour des hanches
Il jeta un coup d'oeil discret vers moi pour constater mon costume.
-  bon j'y vais dit-il, au moment où il fit pivoter son fauteuil l'accoudoir accrocha ma serviette qui tomba sur le sol. Je me retrouvais entièrement nu face à Thierry qui avait son visage juste à la hauteur de mon ventre, il baissa ses yeux comme gêné - mais je pense qu'il voulait revoir ce que je cachais sous ma serviette.
Un court instant nous restâmes figés, puis d'un bond, il entra dans la salle de bain en fermant la porte.
Je mis une tenue légère et descendis au salon. Ma tante me dit que ma mère avait appelé pour savoir si j'étais bien arrivé, je devais la rappeler dès que possible, puis me demanda comment c'était passé cette première journée.
Ereintante répondis-je
Il faut quelques jours pour habituer son corps, un bon repas et une bonne nuit, cela devrait te faire du bien.
Thierry nous avait rejoint, le repas fut gargantuesque, terrine maison, rôti, pommes dauphines, fromage, tarte maison, un vrai festin.
Mon oncle voulu me faire goûter le vin du domaine, je n'y connaissais pas grand-chose, mais je reconnu qu'il était excellent.
Thierry était remonté dans sa chambre sur son ordinateur, pendant que nous discutions dans le salon. Je pris congé pour remonter dans la chambre.
Thierry était toujours devant son ordi, je lui dis que j'allais me coucher, il me répondit qu'il en avait pour quelques minutes et que lui aussi irait au lit
Je me déshabillais à côté de mon lit tout en gardant mon caleçon, je vis un léger mouvement de tête de Thierry pour voir si j'enlevais tout.
J'étais allongé sur le dos les mains sous la tête, je regardais la nuque de Thierry en commençant à me faire un cinéma.
Il éteignit son ordi puis commença à se déshabiller pour se coucher, je remarquais qu'il restait en boxer, je lui en fis la remarque, il me répondit que la nuit dernière il avait eu trop chaud.
La lumière ne resta pas longtemps allumée, je tombais rapidement dans les bras de morphée.
Dans la nuit, je fus réveillé par des gémissements, je vis que le lit de Thierry était vide et la salle de bain allumée, je me levais pour aller voir ce qui se passait, Thierry était devant le lavabo, boxer sur les chevilles en train de se branler, je le surpris en lui demandant si ça allait. Il sursauta, sans attendre remonta son boxer et déguerpit dans son lit, se tourna vers le mur.
Il était prostré, je m'approchais de lui pour lui dire qu'il n'y avait pas de honte à se masturber, que tous le faisaient, il ne répondit pas, je posais ma main sur son épaule, il ne bronchait toujours pas.
Je restais un long moment dans la pénombre du clair de lune, agenouillé près de son lit pour le raisonner et dédramatiser cette situation banale, au bout d'un moment il se tourna vers moi les yeux mouillés pour me dire qu'il avait honte de s'être fait surprendre, que c'était de ma faute si il avait du le faire.
Surpris, je lui demandais de m'expliquer pourquoi.
L'angoisse étant retombée, il me dit que de m'avoir vu nu la première fois et hier de se retrouver nez à nez avec mon sexe, cela l'avait excité qu'il avait eut du mal à s'endormir. Il avait attendu que je dorme pour aller se calmer que je l'avais surpris juste à la fin.
Je lui racontais mon permis de conduire (2) puis ma nuit d'hôtel en descendant chez lui. Son visage se détendit, il y avait même un sourire sur ses lèvres que j'aurais bien embrassées.
Je lui dis que je l'avais trouvé très attirant dès le premier jour, mais avec un cousin je n'avais pas osé me dévoiler, par rapport à mon oncle et ma tante, puis je ne savais rien sur sa sexualité.
A me surprendre, il se blottit contre mon torse m'enserrant le cou de ses bras, je n'osais plus bouger tellement cette situation était empreinte d'affection et de tendresse. Je lui caressais le dos, savourant la douceur de sa peau, il me serra un peu plus pour me donner un baiser sur la joue.
Ce moment de tendresse ne me laissa pas insensible, je commençais à bander dur dans mon caleçon.
Je lui dis que je devais changer de position, j'avais mal aux genoux, il relâcha son étreinte pour que je me relève. Il constatât mon érection.
Maintenant nous n'avons plus rien à nous cacher lui répondis-je, et d'un geste j'ôtais mon caleçon pour me montrer entièrement nu dans une posture avantageuse.
Il était comme hypnotisé devant ce spectacle, puis il se mit à genou sur son lit pour mieux regarder.
- Tu sais, tu peux toucher si tu veux !
- Doucement il approchât ses deux mains pour entourer doucement ma verge tendue au maximum. Puis il décalotta doucement le gland. Je le laissais faire à sa guise, ses mains continuaient à explorer mon anatomie, caressant tantôt mes poils pubiens, tantôt glissant le long de mes cuisses puis remontant vers l'intérieur toucher mes testicules rasés de frais, comme pour profiter de quelque chose qu'il n'avait jamais osé faire.
Je distinguais son boxer éclairé par un rayon de lune, une protubérance ne masquait plus son érection, j'avançais mes mains vers sa bosse pour la caresser, il se raidit mais me laissa faire. Doucement je caressais son sexe, ses fesses à travers le tissus de coton, puis mes mains passèrent sous l'élastique pour sentir la peau de son cul revenant lentement vers son ventre pour constater une toison pubienne conséquente. Je fis glisser son boxer sur ses cuisses. Son sexe jaillit à l'horizontal sous lequel pendaient deux belles boules légèrement poilues.
Il était juste à la bonne dimension, 16 centimètres, bien droit, plus épais que le mien, un prépuce plus long que le mien.
Il avait arrêté de s'occuper de moi. Je le fis se coucher pour lui enlever son boxer, il était complètement nu allongé sur le dos, les bras le long de son corps, son sexe toujours aussi raide.
Je craignais qu'il ne retomba à la suite de sa masturbation, mais à son âge cela ne se repose jamais longtemps pour mon plus grand désir.
Il était prêt à pour le plaisir.
Mes mains parcouraient son torse, descendaient vers le ventre, contournaient son sexe, caressaient les cuisses qu'il tenait bien serrées. Je les écartais lentement, il ne résista pas, me laissant câliner, soupeser ces deux joyaux.
Je lui fis des bisous dans le cou, puis sur les tétons, ma langue tournant autour, pour se diriger vers son ventre dur comme de la pierre, tellement il était tendu.
Arrivé près de son pénis, ma main le rabattit en tirant sur le prépuce, ce qui le fit se raidir. Ma bouche ouverte attendait comme un oiseau la béquée.
J'avais accumulé assez de salive pour bien mouiller ce sucre d'orge. Je l'engloutis doucement, au début il avait un goût de sperme qui devait rester de sa branle, je l'enfonçais lentement jusqu'à ce que je touche ses poils avec mon nez, tout cela sentait bon.
Ma langue explora les moindres recoins, glissant sur le membre jusqu'aux couilles, puis remontait pour titiller le frein, enroulant le gland, puis engloutir de nouveau ce sexe neuf. Selon les endroits où je passais, son corps était pris de tremblements.
J'accélérais le va et vient, jusqu'au moment où je sentis Thierry se cabrer et retirer ma tête pour inonder de plusieurs jets son ventre d'un sperme translucide, puis sa queue retomba lentement sur le côté, son corps entièrement détendu. Il Ramassa son boxer pour s'essuyer, direction la salle de bain.
Même si je n'avais pas été au bout de mon plaisir, le fait de lui faire découvrir ce moment intense me satisfaisait, j'allais me recoucher. Attendant qu'il ait éteint la lumière, je m'étendis les bras sous la tête. La lumière s'éteignit, je vis son ombre se diriger vers mon lit, il déposa un doux baiser sur mes lèvres en soufflant un merci.

Je m'endormis heureux...

Aurige

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💦 18 Avril | 155 pages

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