Depuis le début de l'année, je suis en coloc avec Max, un mec que je ne connais que depuis que j'ai emménagé.
Max est typiquement mon genre de mec : brun aux yeux verts, sportif, bien foutu et terriblement sympathique. Malheureusement, je n'ai jamais su comment lui avouer mon penchant pour les hommes et mes sentiments pour lui
Ce qu'il ne sait pas non plus, c'est mes petits plaisirs malsains, lorsqu'il est sous la douche. En effet, j'ai pris l'habitude de le regarder pendant les longues douches qu'il prend, douche pendant lesquelles il se nettoie chaque recoin de son corps presque parfait. Je peux donc l'admirer d'un angle de vue d'où il ne peut pas me voir, en me branlant généreusement.
Un autre plaisir est celui de sniffer ses caleçons usagers, avant de les fourrer dans la machine, un plaisir sale mais jouissif
Les mois son passés et jamais il ne l'a remarqué, tant et si bien que j'ai fini par prendre mes aises. Un matin, alors qu'il était dehors, j'ai saisi l'un de mes jouets préféré et ai commencé ma séance cochonne. Parti, c'est ce que je pensais. Alors que j'avais me calbut sous le nez et la bite en l'air, il est entré sans prévenir et m'a surpris
Après quelques secondes de stupéfaction, il m'a hurlé :
"Tu fais quoi là ?!"
"Je ... rien ... je"
"Tu te branle avec mes fringues sale pute !!"
Sa réaction était plus violente qu'espéree q! Il a refermé la porte derrière lui et le temps que je me relève, il m'a saisit par la gorge et m'a demandé :
"T'es pédé ?!"
"Oui mais c'est pas ce que tu crois !"
"Ferme ta gueule et à genou !"
Surpris, je tombe sur mes genoux.
Il défait rapidement sa braguette et m'enfonce son braquemard de 19*4 droit dans la gorge, jusqu'à m'étouffer.
Je tente de le repousser, en vain. Il bloque ma tête tellement fort qu'il m'en fait mal !
Puis il entame de violent va et viens, jusqu'à me déboiter la mâchoire, 5min de fellation hardcore. Je tente malgré d'en profiter, en me branlant, mais il m'en empêche violemment en me giflant
Puis il m'a relevé et m'a jeté contre la machine à laver. Mon pantalon est tombé de lui et il m'a arraché mon pauvre caleçon qui a finalement servi de bâillon pour retenir mes cris à venir.
Puis sans un mot, il m'a enculé à sec jusqu'à la garde. Un déchirement d'une violence inouïe.
Comme un bourrin, il m'a limé la chatte comme jamais elle ne l'avais été. Je hurlais à pleins poumons. Mon désir se transformait en cauchemar. Je ne le savais si violent
En quelques minutes, il a explosé en moi et m'a laissé m'effondrer à terre
Il m'a laissé seul en me disant de ne plus jamais lui adresser la parole. Puis il a quitté l'appartement une semaine après, sans un mot, juste un regard plein de haine, un regard tellement différent de l'original.
PtitGayCurieux
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