Il m'appelle sur skype. Il me regarde, je le regarde. Il porte des lunettes de soleil, il doit être sur sa terrasse. Il m'envoit un message, on ne se parle pas, pourtant qu'est-ce que j'aimerais bien lui dire qu'il est excitant avec sa clope à la bouche. Il me prévient qu'il finit à 16h et se déconnecte l'instant d'après.
Je regarde l'horloge, il est 15h30, je fonce au premier. Je me prends une douche en insistant sur mon anus et ma queue. Je rase les poils qui repoussent. Avec la serviette autour de la taille, je prends mon jogging en vérifiant s'il est pas sale. Les chaussettes, on s'en fout. Je mets mes pompes, enfile un marcel, prends mes clés de voiture et je sors de chez mes parents.
Je prends mon portable, il est 16h15, il n'y a personne. Je croyais être en retard en me perdant avec ces petits chemins.
Je vois une opel noir qui tourne dans ma direction. C'est lui. A travers mon rétro, je le vois sortir de sa caisse, j'en fais de même.
On s'allume une clope en marchant. Je pense qu'il sait où on va. Je me gratte les couilles en tirant une latte. Il s'écarte du chemin en allant vers le fossé. Je me prends les branches d'arbres dans la gueule. Il se tourne vers moi, m'attrape par l'épaule pour me rapprocher de lui. Il tire mes cheveux en me roulant une pelle. Il a de la salive en grande quantité. Je le prends par la taille, puis tout doucement je descends mes mains vers ses cuisses. Je le carresse , je glisse ma main sous son marcel en passant sur son ventre. Je remonte et je lui pince ces tétons. Il gémit. Il me dit de me baisser. Il attend. Je baisse son baggy et j'attrape le paquet de son slip. Je remarque des tâches jaunes, je sens ma teub grossir dans mon calbut. Je la sors et commence à l'astiquer. Il sort la sienne et difficilement il sort ses burnes. J'ai jamais vu une queue si épaisse ! Elle mesurait pas plus de 15cm à vue d'oeil mais l'épaisseur du gland était impressionnant et les couilles je n'en parle pas.
Après m'avoir mis en appétit, je la mets direct dans ma bouche... elle est délicieuse. J'essaie de la décalotter pour bien sucer le gland. Grâce à son cockring, il entoure de ses doigts son zob et ses boules, et me l'agite sur ma bouche. Il me fout des baignes sur ma joue. Il me soulève, me retourne en m'appuyant sur un tronc d'arbre. Il se baisse et me lèche la rondelle. Je continue d'agiter ma queue. Mes couilles sont dures. Il me les attrape et commence à les masser. Il me prends le zboub et me suce tout en continuant de me lécher le trou. Je ferme les yeux, je gémit. Il se relève, m'étire les fesses. Je sens son gland humide par ma salive. Il crache sur son mon cul. Il commence à me pénétrer. Je crie de douleur. Même avec la capote, ça fait super mal. Il l'enfonce entièrement. Mon cul va être totalement dilaté. Il y va de plus en plus fort. J'augmente le rythme de ma main droite. Il stoppe net, me retourne, me fout par terre, jette la capote, et me fout sa teub dans ma bouche.
Il crie de jouissance, je ferme les yeux, je sens que mes couilles sont entrain d'exploser en sentant son jus giclé sur mon palais. Je joue avec dans ma bouche en lui montrant. Il est toujours avec ses lunettes de soleil. Je le resuce en tournant ma langue sur son gland bien décalotté, toujours avec son sperme. Il sent la transpiration, j'adore. Il me repousse, remet son slip et son froque. J'en fais de même. Il se casse par là où on est arrivé, je tente de le suivre.
Arrivés devant les voitures, on se sert la main. On met la clé dans le contact, on chauffe la caisse, avec le levier de vitesse on se met en 1ère. On accélère, on se barre.
Teuteube
Autres histoires de l'auteur : Rencontre avec le grand méchant loup
