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Grégoire en Afrique du Sud-1
Pour son stage de 6mois de sa formation AGRO, Grégoire avait trouvé une exploitation du côté de Johannesburg (enfin 200Km au sud-ouest quand même). Une des raisons de son engagement lointain est qu'il devra loger avec les ouvriers de la ferme, tous des Blacks !!
Quand il a débarqué là-bas, il a été accueilli par le dirigeant de l'exploitation et directement mis dans le bain. C'est une grande exploitation bovine viande de plusieurs milliers bêtes et de plusieurs milliers d'hectares dont une partie de culture.
Ce qu'il kiffe le plus c'est : la 20aine de blacks, ouvriers agricoles mais aussi qu'il peut aller en ville les WE.
Je lui ai demandé de m'envoyer régulièrement son " journal " que je le publie. Il est ok avec ça.
Récit de Grégoire - 1 :
Je suis accueilli par le proprio de l'exploitation. Un grand blanc dans les 60ans. Il me met tout de suite au parfum en me rappelant que j'avais accepté de loger avec ses ouvriers. Il ajoute que je serais libre tous mes WE et que pendant mon séjour chez lui, il me laissera un peu de temps pour visiter le pays.
Ce n'était pas prévu, je le remercie.
Il est déjà tard et il descend du 4X4 avec moi pour me présenter l'équipe avec qui je vais vivre les 6 prochains mois.
Le bungalow est constitué d'une grande pièce de vie (salon de détente ouvrant sur la terrasse en bois d'entrée, derrière une chambrée avec tous les lits séparés par une simple armoire pour les effets personnels et encore derrière une salle d'eau de type installations sportives, 5 douches contigües sans séparations et autant de lavabos, au fond 3 WC fermées. Ça va chauffer !!
Tous les mecs sont noirs, ça je le savais mais ils sont tous grands et musclés. Dans l'annexe où ils vivent et où je vais vivre ils sont simplement en shorts, certains même en slip.
Le boss explique ma situation de stagiaire et que je participerai au même titre qu'eux aux travaux de l'exploitation.
Mes nouveaux collègues attendent que le boss soit parti pour venir me serrer la main, me taper dans le dos. J'en repère deux qui font de ce premier contact une épreuve de force. A vivre, je verrai que ce sont les deux " chefs " de ce petit groupe.
Ils sont de plusieurs ethnies différentes. Une majorité de Zoulou, et le reste des Tsonga et des Sotho. Si les têtes ne sont pas toutes " mannequin ", les travaux des champs leur ont forgé des corps aussi musclés que mes collègues français mais sans appareils de muscu !!
Dans l'équipe je repère aussi deux jeunes hommes qui me semblent de mon âge. Le reste doit naviguer dans la 30aine. Heureusement pour moi tous parlent anglais même si avec leur accent je ne comprends pas tout pendant les premières semaines.
Je demande à me doucher en prétextant le long voyage que je viens de faire.
Le chef Zoulu, Mapo, m'amène à un lit libre et je vide rapidement ma valise. Il ne peut manquer de voir la boite de kpote XXL (en taille de kpote et en nombre) que je transferts de ma valise à mon armoire. Sans pudeur, je me mets à poil et l'engage à me monter le chemin. Il me dit de prendre mes affaires et me montre un panier pour les déposer au lavage. Je remarque que quelques-uns matent, la tête passée dans la porte. Dans l'entrée de la salle d'eau, il me donne un drap de bain pris dans une pile et m'indique les douches et le savon qui pend à une ficelle.
Je me coule sous l'eau tiède. Quel bonheur. Je me savonne et ce faisant ne peux me retenir de bander. Il est toujours à mes côtés à me regarder. Pour me laver les pieds, je me penche en avant lui montrant mes fesses et ma fente qui s'ouvre.
Je sens sa main se poser sur mes reins et j'entends qu'il me dit que je suis sacrément musclé pour un blanc. Réflexe, je me cambre. Sa main descend et je sens ses doigts sur ma rondelle. Je ne peux retenir un gémissement (je suis en manque depuis 24h au moins !!). Sans prévenir il me carre deux doigts dans l'anus. Mes gémissements se font plus marqués. Toujours plié en deux, je l'entends dire aux autres qu'ils avaient récupéré un trou de plus pour se vider les couilles.
Il me libère l'anus et d'une claque sur les fesses me signifie mon nouvel état de stagiaire et vide-couilles. Il appelle deux mecs, Issanoussi et Malhagana . Ce sont les deux jeunes qui me rejoignent. Illeur dit de me prendre en charge et de me mettre au parfum.
Ils me sèchent, puis l'un me tend un de leurs shorts. J'avais cru que c'était des shorts type flottant avec slip interne mais en fait il s'agit d'un short en coton épais sans slip mais dont la forme en coquille entoure bien mon sexe et fait en sorte qu'il ne sorte pas malgré les diverses positions de travail. Par contre comme les leurs, j'ai au moins une taille de trop pour le bout de tissus. Devant il me moule et derrière il me rentre dans les fesses. Il m'explique que leurs collègues sont hétéros mais comme ils sont bloqués sur l'exploitation avec de gros besoins, ils se servaient d'eux deux et maintenant de nous trois pour dégorger leurs couilles pleines. Ils m'avertissent aussi qu'ils sont tous montés plus de 25x6.
Comme je m'étonne auprès d'eux que nos collègues soient tous dans la même tranche d'âge et tous supers musclés, ils m'expliquent que le boss, le blanc, aime se faire enculer régulièrement et qu'il choisit tous les soirs un de ses 18 employés pour le faire. Du coup il les sélectionne en fonction de leurs bites et de leurs musculatures.
Je leur dit que moi ça me va, j'adore me faire défoncer la rondelle et que ce format-là à ma préférence pour ça. Je leur confie avoir été dépucelé par un mec monté 27x7 qui m'enculait 4 à 5 fois par jour pour calmer ma rondelle.
Eux me disent que c'est ici qu'ils ont appris à prendre du plaisir avec les mecs. Que ça été un peu dur au début mais que les collègues ont été gentils et qu'ils y ont été doucement pour leurs premières fois.
Je mate leur entrejambe et les trouve très gonflés. Je leur demande s'ils avaient déjà enculé un mec. Comme ils me répondent qu'ils étaient arrivés vierges ici et qu'ils n'ont servis que par leur cul. Je leur dit qu'ils pourront aussi m'enculer pour voir si ça leur plait. Ils sont contents à l'idée et me remercient.
Quand nous retrouvons le groupe, tous sont au parfum comme quoi je serais leur troisième trou. Avant que j'aie eu le temps de boire une bière, je me suis fait toucher le cul par tous les actifs présents. Le chef me dit que j'aurai aussi la cote auprès du proprio puisque comme lui je sais apprécier les bites noires.
Pour fêter mon arrivée, il tire mon short et me fait admirer aux collègues. Je n'ai pas à rougir de mon physique qui vaut bien la plupart des leurs. Seul mon 20x5 fait micro sexe à côté des leurs qui se sont toutes retrouvées à l'air libre et bien gonflées. C'est toujours flatteur de faire cet effet !!
Hiérarchie oblige, c'est sur la bite du chef que je me penche en premier. C'est aussi une des plus grosses avec, à vue de gorge, un bon 28 x 7.
J'ai droit à des cris de joie et un bon grognement de plaisir du récipiendaire quand je lui fais une gorge profonde dès la 3ème pompe. Reflexe de sa part : il me tient la tête et s'enfonce encore plus loin faisant entrer mes dents dans son pubis !
Il interpelle mes deux nouveaux collègues et leur dit de prendre exemple sur moi, que c'est possible de tout s'avaler avec un peu de courage.
Pour le prouver, il sort totalement et rentre à nouveau plusieurs fois de suite.
Il m'annonce que pour combler le manque qu'il sent en moi, il va m'enculer juste après. Moi, ça me va, ça va faire presque 24h que je n'utilise ma rondelle que dans l'autre sens !
Mes acolytes sont mis à contribution pour me préparer l'anus. Ils sont bons !! Leurs grandes langues s'enfoncent dans mon trou et il enfourne un max de salive. Ils connaissent (bibliquement) le mandrin qui va me défoncer !!
Malgré le bâillon du gros gland violacé, j'arrive à émettre des gémissements de plaisir. Autour les commentaires fusent comme quoi leur patron leur a trouvé mieux qu'une femelle blanche. Car aucune meuf ne leur a jamais sucé le dard tout entier et donné son cul pour la sodo.
Quand le chef m'estime prêt, il me tourne et, le sexe couvert d'une kpote et d'un max de gel, il me défonce lentement mais sans s'arrêter. Putain le bien que ça peut faire !!
J'ondule du cul pour faciliter la pénétration, je le sens apprécier car ses grandes mains viennent me caresser la taille.
Probablement pour prouver qu'il est le plus fort, il me tourne qu'on soit face à face puis il se redresse et me porte sur sa queue. Applaudissements des spectateurs puis silence.
Je tourne la tête, le boss est dans l'entrée. Il ordonne à mon enculeur de continuer sa saillie et s'approche de nous. Il voit bien que je l'ai tout entier dans le cul. Il me félicite et me dit que je n'ai pas perdu de temps. La diction hachée par les va et vient, je lui réponds qu'il ne faut jamais bouder son plaisir.
Il choisit un des autres blacks puis se retourne vers nous pour me demander de passer le voir le lendemain à 10h.
Le chef se termine dans mon cul après m'avoir descendu en chandelle. Je suis le premier à partir et me fout du sperme sur le torse et le visage. J'ai l'impression d'en juter des litres ! Lui, je le sens remplir sa kpote et quand il ressort, il y a double dose dans le plastique.
Je glisse au sol et récupère. Mes acolytes reviennent et m'enduisent le trou d'une crème qui a pour effet de me refermer plus rapidement la rondelle tout en calmant le feu que mon " étalon " y a mis. Retour aux douches où je me fais laver puis masser à 4 mains. Les deux jeunes blacks me félicitent. Eux ont mis plus d'un mois avant d'arriver à le prendre en entier dans le cul et n'arrivent toujours pas à le gober en entier. La voix un peu cassée, je leur promets de les initier à la pratique et leurs confie que j'ai déjà plus de 3 ans de pratique des gros calibres.
Ils m'aident à retrouver mon lit sur lequel je m'écroule de fatigue.
Réveil à 9h !! Je suis seul. Douche puis short local, la température clémente me permet de rester seulement vêtu de ça. Je trouve au pied de mon lit une paire de Cater et des grosses chaussettes en coton. Je les roule sur mes chevilles jusqu'aux tiges montantes des Cater.
J'arrive au réfectoire ou une vieille noire me sert le petit déjeuner. Type anglo-saxon, je fais le plein d'énergie. Elle m'indique le chemin pour aller à la grande maison pour mon rendez-vous.
Sur le chemin je croise Isa et Malha qui m'expliquent qu'eux deux sont attachés au service de la maison et à l'entretien des bâtiments et des jardins.
Je me présente à 10h-5 mn. La maison est immense dans les 20m au carré avec un grand patio qui entoure le rez-de-chaussée. Le bureau du boss fait bien 50m². Il m'accueille chaleureusement et me propose un thé. Il nous installe dans le coin salon et me dit être très content de mon comportement avec ses employés. Lui-même les apprécie depuis son adolescence. Il me confie qu'après avoir été dépucelé par le capitaine de son équipe de rugby (un blanc), il avait préféré les volumes proposés par les employés black de la ferme familiale où nous sommes actuellement.
Je me permets de lui expliquer ma propre venue au sexe masculin. Il apprécie ma franchise et me dit qu'il me donnera une prime en plus du salaire négocié.
Les deux jeunes qui satisfont ses employés quand il ne s'en charge pas lui-même sont arrivés à d'un des villages situés sur la propriété et, depuis 2ans de " service ", ont aussi un plus pour le service sexuel qu'ils apportent à ses autres employés.
Il m'explique aussi qu'il embauche ses ouvriers dès 20ans et les libère à 30 ans avec un pécule pour qu'il puisse s'installer. Durant mon séjour, il en remplacera 5.
Je lui dis franchement que certains jours il me faudra plus d'une queue pour me calmer. Ça le fait rire et il me confie qu'à mon âge, lui aussi se faisait défoncer 3 à 4 fois par jour. Il m'assure une totale liberté concernant ma vie sexuelle tant que je lui en laisse un par jour. J'éclate de rire l'assurant que j'ai de gros besoins mais que je calerais avant 18 sodomies !!
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!
