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Mon apprentissage

Que la vie était belle dans notre grande propriété, une virée tous les soirs et entouré de tous mes copains à qui je payais des verres et des verres, des ballades dans ma voiture de sport et des vacances au soleil!
Mais tout cela s'est terminé le jour où mes parents sont décédés. J'avais à peine 18 ans et, sous la tutelle de mon oncle, ma vie bascula. Il me fit d'abord déménagé chez lui et il remarqua rapidement que je ne savais rien faire, que j'étais pourri dans tous les domaines et que j'étais incapable de terminer mes études. Mon oncle, malgré ces 56 ans, était célibataire. Je me retrouvai donc seul avec lui dans sa grande maison.
Après une semaine à tourner en rond toute la journée, mon oncle me menaça, me traitant de fainéant et de bon à rien, incapable même de lui donner un coup de main dans la maison, passant mes journées en pantoufle et, souvent, en pyjama devant la télévision ou mon ordinateur.
La première sanction fut de me priver de sorties et d'ordinateur, mais mon comportement, je dois l'admettre, ne changea pas. Vint ensuite la menace de châtiments corporels. Je n'y croyais pas vraiment, donc je ne changeai rien.
Le week-end suivant, la punition tomba et je me retrouvai penché sur ses genoux, subissant la première fessée, ma première fessée de ma vie. La douleur et la honte étaient si grandes que je m'en souviendrai tout le reste ma vie. Malgré ses sautes d'humeur, je n'avais jamais vu mon oncle si rouge de colère, encore plus rouge que moi dans mon malaise. Dès qu'il eut terminé, il m'envoya, comme un petit garçon, dans le coin et, vu son état de colère, je n'osai pas rouspéter.
Profitant de mon état apaisé, mon oncle provoqua une gentille discussion durant laquelle il m'interrogea diplomatiquement. Il se montra fort compréhensif, s'intéressant à ma vie, à mes ambitions, à mes envies et désirs. Il en apprit plus sur moi ce soir-là que durant le temps que nous avions déjà passé ensemble et moi aussi, j'en appris plus sur moi-même. Moi qui suis si timide et qui ne m'apprécie pas beaucoup moi-même, je lui révélai bien des secrets que jamais personne n'avaient entendu.
Il me fit parler aussi de ma vie sentimentale qui se résumait en peu de chose; je n'avais pas d'amies, je n'avais pas de vrais amis et je passais mon temps à distraire mon cerveau pour oublier l'ennuie de ma vie, la peur de me retrouver face à moi-même. Il me fit aussi parler de mes fantasmes et, après insistances de sa part, j'avouai que personne n'était dans mes rêves, ni homme, ni femme, que des voix, des ombres, des mains et des corps sans noms. Je fus surpris de lui avouer que je me branlais au moins tous les jours, même parfois plusieurs fois par jours.
A un moment donné, il me fit remarquer la bosse gonflée dans mon entrejambe et je vis, à ma grande honte, la tête de mon sexe qui dépassait par la braguette sans bouton de mon pyjama. Il me rassura en me signalant que c'était normal d'être dans cet état d'excitation et que, à mon âge, il se caressait aussi très souvent. Comme il me parlait, je sentis sa main se poser son mon membre en émoi. Il continua à me parler de ma vie sexuelle, de temps en temps, de la sienne tout en caressant mon sexe dressé. J'étais fortement troublé, jamais personne n'avais posé les yeux sur mon sexe, jamais personne n'avait touché mon sexe. J'étais fortement excité, j'étais aussi résigné, n'osant pas réagir sans doute par peur de sa réaction, mais aussi par l'intense plaisir que je ressentais.
Après un certain temps, il me proposa de me déshabiller complètement. Là encore, j'obéis par crainte sans doute et complètement gêné comme c'était la première fois que je me mettais nu devant quelqu'un depuis ma puberté, je le laissai m'observer. Il déclara avoir un corps parfait devant les yeux et un sexe magnifique dans sa main. Comme il me caressait toujours, je sentis l'apogée approcher. Avant que je puisse me retirer de son poing serré autour de ma hampe, je sentis son autre main venir palper mes testicules et je giclai abondement sur le sol, propulsant de puissants jets de crème à plus d'un mètre de moi. Comme je vacillais sur mes jambes, il me recueillit dans ses bras et m'allongea délicatement sur le divan. C'était magnifique, je n'avais jamais senti une jouissance aussi grande, bien plus formidable que tous mes plaisirs solitaires.
Mon oncle s'éloigna pour revenir nettoyer les traces de mes éjaculations. Une fois terminé, il s'approcha de moi, me souleva dans ses bras musclés et me porta jusqu'à ma chambre. Il me déposa délicatement dans mon lit, me borda et m'embrassa doucement sur le front. Je m'endormis aussitôt.
Lorsque je me réveillai, toujours bercés par les doux rêves de la nuit, le soleil était déjà debout. Je sentis une énergie nouvelle dans mon corps et, comme je me levais, je constatai un objet inhabituel qui entoure mon sexe. Ma hampe était enfermée dans une cage de plastique scellée autour de sa base et de mes testicules et fermée par un solide cadenas. C'était dimanche et, après avoir enfilé mon pyjama, je rejoignis mon oncle qui travaillait dans la cuisine. Je l'interpellai et cherchai mes mots pour lui désigner cette chose surprenante autour de mon bas-ventre. Il m'expliqua que je devais économiser mon énergie afin de l'utiliser pour des travaux plus intelligents. Il m'expliqua qu'à l'avenir, il allait contrôler mes masturbations et mieux surveiller ma santé par un régime adapté. Je restai figé devant lui, bouche bée comme je ne pouvais pas croire ce que j'entendais. Mitigé entre le doux souvenir de la soirée d'hier et le triste avenir qu'il me préparait, je me montrai soumis à sa volonté.
Mon oncle me conseilla de rechercher un travail. Il proposa de reprendre mes études et de les financer par mon propre salaire. Nous avons calment et longuement discuter pour découvrir, enfin, mon envie de faire des études artistiques.
Je regardai les annonces, mais rien ne me plaisait réellement. Une nouvelle semaine passa, je n'étais pas pressé comme il me restait plusieurs mois avant le début de l'année scolaire. Mais mon oncle ne le voyait pas ainsi, il insista plusieurs fois pour que je déniche un boulot et je me retrouvai à flâner toute la journée comme je désespérais de trouver un travail assez alléchant.
Sa patience avait des limites et je reçus, de nouveau, une fessée magistrale, pire que la première. Pour ce faire, il m'avait fait déshabiller pour la seconde fois devant lui et, penché sur ses genoux, il avait coloré mon postérieur nu de façon incroyable. Privé de repas comme un petit garçon, j'avais du monter dans ma chambre et j'ai passé un bonne partie de la soirée à pleurer. Contrairement aux journées précédentes où il me masturbait tous les 2 jours jusqu'à l'éjaculation, je fus aussi privé de ce délice. Cette punition fut encore plus insoutenable pour moi comme j'essayai maintes fois, mais sans succès, de caresser mon sexe à travers la cage de plastique. Le seul résultat obtenu, était une douleur infernale comme ma hampe grossissait et s'allongeait, provoquant une tension à la base et étirant mes couilles à la limite de la déchirure.
Le lundi suivant, avec un sourire inhabituel, mon oncle m'appela pour ma séance de masturbation. Je fus surpris par son accueil mais, les yeux fermés comme d'habitude, je savourai ses caresses. A un moment donné, alors que je m'attendais à sentir ses doigts experts tripoter mes testicules, je sentis sa main glisser plus loin entre mes cuisses. Avant que je puisse réagir, un doigt graissé força son chemin jusqu'à mon anneau et me pénétra lentement. J'étais si excité que je ne voulais pas casser cette chaude atmosphère et je giclai rapidement mes tonnes de spermes habituelles.
Visiblement satisfait de mon évolution, mon oncle annonça qu'il m'avait trouvé un travail, mais il ne m'en dit pas plus. Le soir venu, je montai dans ma chambre, heureux et satisfait mais intrigué par sa déclaration. Malgré mes nombreuses questions, mon oncle ne m'en dit pas plus le lendemain.
Lors de la session suivante de caresses, le doigt fouineur fit de suite son travail dans mon trou et il fut rapidement rejoint par un second. Durant la séance, mon oncle arrêta même de me caresser, constatant joyeusement mon membre qui palpitait, seul sans sa main. Durant les deux semaines suivantes, je pus profiter de ses deux doigts. Dès lors, lorsque je me déshabillais devant lui, mon sexe dégoulinait déjà en anticipation et cette dernière séance se passa même sans caresses. Ses seuls doigts sondeurs suffirent à me faire éjaculer. Surpris et honteux à la fois, je giclai de puissants jets sur le sol sous le regard enchanté de mon oncle.
Afin de ne pas gaspiller toute cette semence et de renfoncer mon tempérament, comme il disait, mon oncle m'avait amené à lécher tout le sperme répandu, récupérant le surplus de vitamine indispensable à ma croissance. Une semaine de ce traitement génial suivit.
Ensuite, le scénario changea. Tandis que j'étais debout devant lui, le sexe palpitant et le cul ouvert pour recevoir ces deux doigts divins, je sentis quelque chose de différent pénétrer mon anus. J'appris, peu après, que c'était un dildo et je fus surpris de voir sa taille. Toujours est-il que je savourai cette lente pénétration qui provoqua presque mon éjaculation instantanée. Sans la légère claque sur le bout de mon gland, j'aurai joui de suite. Le sexe toujours dressé vers le ciel, l'excitation à son comble, mon oncle m'ordonna de m'agenouiller, les mains dans le dos. Il posa un foulard sur mes yeux, le fixa serré dans ma nuque. Ses solides mains viriles sur ma tête, je me sentis forcé vers l'avant. Mon oncle guida mon visage vers son entrejambe et, avant que je ne réalise, j'avais un épais tube de chair entre mes lèvres. Après une légère hésitation, tandis que je pouvais sentir son pied presser ma hampe, je m'habituai à cette invasion inattendue et commençai à apprécier ce parfum viril et cette douce sensation de chair contre mon palais tandis que ma langue avide s'activait tout autour. Ce fut un festin délicieux tandis que je pouvais sentir la masse de caoutchouc se presser dans mes boyaux et le summum fut lorsque, même si je n'y étais pas préparé, un flot de doux jus amer inonda ma bouche, percutant contre mon palais et ruisselant au fond de ma gorge. Malgré un léger haut-le-coeur, j'avalai ce sperme mâle, conscient du bien-être que cette semence pouvait me procurer.
Une semaine d'amélioration fut nécessaire avant que mon oncle estime que j'étais devenu un bon suceur de queue. Durant la journée, mon oncle me donnait maintenant des corvées à effectuées, nettoyage, rangement, lavage, repassage, etc.... Lorsqu'il rentrait du travail, je l'attendais, complètement nu excepté ma cage de chasteté comme c'était maintenant devenu mon seul costume, mon sexe plus ou moins en émoi suivant ma fatigue. Dès que j'entendais la clef tourner dans la serrure, je m'agenouillais pour l'accueillir, retirer ses chaussures, masser ses pieds et enfiler ses pantoufles. Il m'inspectait car il exigeait une hygiène parfaite, puis inspectait mon travail. Si tout était parfait, il poussait le dildo dans mon cul et provoquait une envie sexuelle peu avouable. Si des erreurs avaient été commises, il comptabilisait les points et, en fin de semaine, la punition était plus ou moins sévère selon les résultats.
Comme je n'avais pas de mauvais points, cette semaine-là, mon oncle m'annonça une récompense. Il me banda les yeux et me laissa debout au milieu du salon. Je l'entendis s'éloigner, puis revenir en faisant un peu de bruit. Ensuite, je le sentis approcher et il délivra mon sexe qui bondit directement à moitié rigide, content de liberté retrouvée. Lorsqu'il enleva le bandeau de mes yeux, je fus tout surpris de découvrir un tabouret avec un magnifique dildo dressé sur le dessus, long et gros, reluisant dans la faible lumière du soleil couchant. Je pus sentir un sursaut entre mes cuisses et une goutte de suc s'échappa du gland gonflé. Mon oncle s'en aperçut aussi et il me proposa aussitôt de graisser convenablement la tige, ce que je fis sans être prié. Comme ma main remontait et descendait le long de cette masse imposante, la caressant tout le long, je sentis un appel entre mes fesses, mon trou implorant pour un remplissage rapide. Sous les yeux pétillant de mon oncle et après son accord, je m'empalai sur cette longue hampe et me glissai jusqu'à la garde tandis que mon propre sexe palpitait de joie. Voyant mon plaisir trop grand, mon oncle administra une violente claque sur mon gland pourpre mais mon rythme d'auto-pénétration ne diminua pas. Il me conseilla de me contenir, de contrôler mes envies, chose que j'appris rapidement avec l'aide de mon oncle.
Ce nouveau scénario continua toute la semaine suivante. Le dildo changea progressivement de longueur, mais jamais en épaisseur. Sentir la tête de cette longue hampe contre ma prostate me procurait un plaisir divin. Le lent pilonnement interne me procurait aussi vraiment une joie intense et un écoulement constant de suc en était la preuve. Alors que je pompais longuement comme à mon habitude, mon oncle se leva et commença à se déshabiller. Je ne pouvais pas en croire mes yeux comme ce merveilleux corps se dénudait progressivement, révélant un large torse velu, de puissantes jambes musclées et puis... et puis un long sexe dressé et luisant, une tige parfaite surmontée d'un champignon dégoulinant légèrement plus large que la hampe et le tout surmontant deux superbes sphères serrées contre la base. L'oeil unique de ce jonc me regardait droit dans les yeux d'un air provocateur. Je connaissais son goût pour l'avoir déjà sucée, je connaissais ses mesures pour l'avoir déjà entretenue entre mes lèvres, mais cette vue était unique, incroyable. Je ne savais pas si je la désirais avidement une fois de plus dans ma bouche ou maintenant enfin dans mon cul.
Mon oncle s'assit de retour dans son fauteuil et il m'appela à lui. Il me fit asseoir sur lui lentement et je sentis son dur membre entrer progressivement en moi. Mon cul était préparé, il était ouvert par le dildo mais sa hampe était plus épaisse et je sentis mes muscles se tendre pour faire place au pilier de chair. Comme je faisais mon chemin sur ce pilon, mon oncle commença à jouer avec mon corps, caressant tendrement mon torse et mon ventre, pinçant délicatement mes seins, brossant l'intérieur de mes cuisses. Il évita constamment mon sexe qui palpitait et vibrait dans le vide, implorant une attention, un attouchement. Connaissant les risques d'une enfreintes aux règles, je n'osai jamais descendre mes mains vers mon propre sexe et j'entamai, dès lors, de simples caresses sur les parties accessibles du corps de mon oncle. Me soulevant sous le dessous de mes bras, mon oncle augmenta régulièrement le rythme de sa pénétration et il ne fallut pas longtemps avant que je sente des contractions inconnues dans ma glissière et je reçus sa semence avec joie et fierté. Tandis que mon oncle se poussait encore plus profondément pour décharger son énergie en moi, je sentis mes testicules bouillonner et de multiples puissants jets de sperme jaillirent pour retomber bien loin sur le sol.
Tandis que mon oncle récupérait, je me précipitai pour récupérer toute la semence sur le sol, puis suivis mon oncle vers la salle de bain. Là-bas, mon oncle commença mon nouvel enseignement sur la façon de laver respectueusement et amoureusement le corps d'un homme.
Une nouvelle harmonie de vie s'était maintenant installée, mon nouvel apprentissage s'ajoutant à mon éducation déjà assurée. Chaque soir de la semaine, j'accueillais mon oncle dans mon costume 'chaste', je lui présentais le résultat de mes corvées pour lesquelles je devenais, tous les jours, meilleur. Je le suivais vers la salle de bains où je le lavais dans son bain ou sa douche. Lui en peignoir, moi toujours en chasteté, nous retournions dans le salon où il lisait son journal tandis que je faisais mon exercice hebdomadaire sur mon tabouret. Je pouvais régulièrement voir la tête de son sexe sortir chaleureusement entre les battants de son peignoir pour venir contrôler mon entraînement. Plus tard, tandis que je préparais le repas, je recevais, de temps en temps, un encouragement comme il me pénétrait. Mon oncle se révéla imaginatif comme il choisissait souvent une position différente pour déposer sa semence dans mes entrailles.
Un soir, mon oncle me proposa une chose nouvelle. Après mon exercice sur mon tabouret, le cul ouvert mais encore vide et avide, il m'entraîna à poser délicatement un préservatif sur son sexe rien qu'avec mes lèvres, sans intervention de mes mains. Le début s'avéra très difficile mais je devins rapidement un expert grâce à sa patience et ses menaces. Je ne comprenais pas très bien l'utilité vu qu'il me pénétrait toujours sans protection.
La réponse à ma question arriva quelques jours suivants. Tandis que j'attendais mon oncle à genoux derrière la porte, prêt à la servir et l'honorer, j'entendis deux voies différentes, celle de mon oncle et une inconnue. J'essayai de me rassurer en estimant que c'était un voisin mais je sentis rapidement un noeud dans mes entrailles. Effectivement, lorsque la clef tourna et que la porte s'ouvrit, tandis que je déchaussais mon oncle pour lui masser les pieds et enfiler ses pantoufles, un ombre se plaça sur mon côté.
Je sursautai, mais mon oncle, une puissante et douce main sur mon crâne me maintint en place, me rassurant un peu. J'étais perturbé et ne savais plus quoi faire, ne sachant même pas si le programme habituel devait être maintenu. Mon oncle me dit simplement d'offrir un verre à son ami, ce que je fis précipitamment. Les yeux rivés de l'ami sur mon corps signalèrent qu'il appréciait ce qu'il voyait. J'hésitai fortement lorsque mon oncle me signala d'aller m'asseoir. Je ne pouvais pas croire que j'allais devoir me relaxer sur mon tabouret devant un étranger mais le geste précis de mon oncle ne me laissa aucun doute. Je me reculai donc et commençai à m'empaler lentement sur le pieu bien connu de mon cul. Comme je l'avais appris par mon oncle, j'effectuai de petites torsions lentes, les jambes bien écartées pour augmenter progressivement vers des mouvements toujours aussi lents mais plus long jusqu'à me retrouvé empalé jusqu'à la garde. Bien avant d'avoir entamé ces longs mouvements, je sentis un ruissèlement de suc s'échapper de la cage de plastique sous le regard amusé des deux hommes. Une fois complètement empalé, j'attaquai les mouvements de rotations et je pus lire le plaisir manifeste sur le visage de l'inconnu.
Lorsque mon oncle sortit un préservatif de sa poche et qu'il me le tendit, je ne savais pas vraiment ce qu'il voulait. Mais lorsque l'inconnu se leva, qu'il sortit une liasse de billet pour la déposer sur la table, puis qu'il sortit un sexe déjà bien tendu, je compris mon devoir. Après un regard timide vers mon oncle, je m'agenouillai devant l'inconnu et, le préservatif en bouche, je commençai un lent massage sur son membre de bonne taille, mais plus fin que celui de mon oncle. Les petits gémissements de l'homme récompensèrent ma tâche et l'homme se retira tout-à-coup, apparemment près de la jouissance.
Je restai sur mes genoux, mes yeux rivés sur ce sexe inconnu dressé devant moi et pour moi, ébahi par ce que j'avais osé faire, abasourdi par ce que j'avais savouré faire. Alors, je pris brusquement conscience de mon propre sexe qui, non seulement dégoulinait, mais qui était tendus à l'extrême dans sa cage, implorant pour une délivrance rapide et un soulagement.
Les deux hommes parlaient entre eux et riaient tandis qu'ils sirotaient leurs verres. Je pouvais à peine quitter ce sexe des yeux, seulement pour deviner la présence d'un bombement entre les cuisses de mon oncle. J'étais ébahi, perdu dans des pensées inconvenables. En plus, il y avait cet argent sur la table, l'inconnu avait payé pour m'utiliser. Je me sentais comme une putain... Etais-je une putain?
Mon oncle m'ordonna de venir m'asseoir mais, tandis que je m'approchais de lui, il me désigna son ami et je m'empalai donc sur le membre dressé de cet inconnu. La pénétration ne dura pas très longtemps car l'homme vida rapidement sa semence dans le préservatif protecteur. Il me pressa contre lui durant quelques minutes de plus comme il reprenait sa respiration, puis me repoussa sèchement. Je m'écroulai sur le sol sous le regard amusé de mon oncle. Ensuite, mon oncle m'ordonna de conduire son ami dans la salle de bain et de le nettoyer.
Une fois l'inconnu parti, mon oncle me pénétra avec une énergie inhabituelle et je giclai, mon sexe toujours enfermé dans sa cage. Mon oncle enferma l'argent dans une petite boite métallique, me signalant que c'était mon argent gagné pour mes études. Tandis que je lavais mon oncle sous la douche, je lui demandai pour pouvoir l'embrasser en remerciements pour toutes ses bonnes attentions. Il m'accorda cette permission et je savourai ce plaisir exquis, une découverte extraordinaire pour moi.
Ce soir-là, mon oncle m'expliqua qu'il avait terminé mon éducation, que j'étais devenu un bon serviteur sexuel, un suceur expert et que mon cul allait soutirer autant de jus que l'argent nécessaire à mes études, voire plus. Ravi de cette bonne nouvelle, je me précipitai sur lui et l'embrassai amoureusement. En plein baiser, je fus conscient de cette entorse à nos règles, mais mon oncle me pardonna cette fougue incontrôlée.
Avant même de reprendre mes études, j'avais dépassé largement notre estimation financière et je pus offrir, avec son accord, un magnifique voyage à mon oncle. Je suis maintenant un garçon actif, actif à la maison comme c'est moi qui entretiens l'intérieur et l'extérieur, actif dans mes études où j'obtiens de très bons résultats et actifs dans mon 'métier' par lequel j'assure une rentrée régulière d'argent.
Je suis super reconnaissant à mon oncle et je crois même que j'en suis tombé amoureux. Mon oncle est toujours gentil avec moi même s'il continue à être sévère, mais je crois que j'ai besoin de cela, j'ai besoin de son autorité et de sa fermeté.

Merci à toi, mon oncle d'avoir fait de moi une pute

Nico76500

nicolas76500@orange.fr

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