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Premier épisode | Épisode précédent

Chaude rando -09

- Es-tu prêt Thibaut ? demanda maman.
- Oui, je finis mes lacets, madame...
- Thibaut, mon prénom c'est Corinne, donc utilise-le !
- Je vais essayer.
C'est ainsi que Thibaut et maman partirent au marché.
Je profitai de l'absence de Thibaut pour passer du temps avec mon frère. Il venait de passer son baccalauréat et j'appris qu'il avait été accepté à la fac de droit d'Aix, il allait donc quitter sa vie de lycéen vivant chez ses parents. Il me posa plein de questions pour se rassurer et pour ne pas stresser dans la nouvelle ville et nouvelle vie qui s'ouvrait à lui. Quoi de mieux que les conseils de son grand frère ?
J'espérais aussi que maman et Thibaut passaient un bon moment, et que Thibaut allait réussir à parler avec elle. J'hésitais un moment et finalement, je n'envoyai pas de message, il aurait été capable de penser que j'étais inquiet pour lui.
Je passai du temps aussi avec mon père, bien que la relation avec lui n'ait jamais été fluide. Tant et si bien que la matinée passa vite, et de retour du marché, Thibaut avait un large sourire, maman aussi. J'ai bien fait de na pas envoyer de message !
- Séb, viens nous aider à décharger la voiture s'il te plait.
- Oui maman ! ça va Thibaut ?
- Oui, un super moment, j'adore le marché du sud.
- Humm, hâte que tu me racontes.
Maman avait prévu un repas typique de la région, avec les produits frais et locaux.

C'est dans le train qu'enfin je retrouvai Thibaut pour moi seul. La tête contre son épaule, main dans la main, on fit le point sur ce week-end chez mes parents.
- Séb, je comprends mieux beaucoup de choses sur toi maintenant que je sais mieux d'où tu viens.
- Regrettes-tu d'être venu ?
- Ah pas du tout, bien au contraire. Ta famille est formidable, avec une mention spéciale pour ta mamy, mais aussi ta maman avec qui j'ai passé un super moment ce matin. Elle est très ouverte et elle n'a pas cherché à savoir tout sur moi, au contraire, elle m'a fait partager son savoir, ses passions.
- Ah oui, je vois, maman dans toute sa splendeur...
- Tu n'es pas gentil avec elle !
- Thibaut, je connais ma mère, et je suis sûr de savoir où vous êtes allé ce matin, quelle route elle a fait exprès de prendre pour que tu voies des paysages splendides, et que même si cela rallonge le trajet, elle t'a emmené à Carcassonne pour te montrer la ville fortifiée.
- ...
- Je connais ma mère par coeur.
- Oui, je vois ça... tu as totalement raison, on a fait exactement tout cela ce matin...
- Et tu ne t'es pas senti trop mal à l'aise ?
- Non ! Au contraire, j'avais l'impression d'être avec une " copine ". J'ai vraiment passé un bon moment. Et quel marché ! Typique et cet accent, vraiment très différent de chez nous.
- Oh oui ! Différent !
La fin du voyage se déroula sans un mot, sans retard non plus, et j'étais pressé d'arriver à l'appart.

Après avoir posé nos affaires, lessive lancée, Thibaut m'appela dans la cuisine.
- Tiens, c'est pour toi, ça devrait te faire plaisir.
- Thibaut, qu'est-ce que tu as encore acheter ?
- Ouvre et découvre...
J'ouvris et découvris une boite Tupperware.
J'ouvris cette dernière et y découvrit un gâteau fait par ma mamy...
- Mon coeur, c'est...
- Oui.
- Non !
- Si ! J'ai demandé à ta maman de lui téléphoner ce matin pour te faire cette surprise.
- C'est une super attention ça.
- Je voulais moi aussi te faire plaisir.
- C'est réussi.
N'ayant pas envie de cuisiner, on commanda des pizzas, et la soirée ne dura pas.

Les semaines qui suivirent ce week-end chez mes parents nous permirent de prendre nos marques l'un avec l'autre, alliant nos travails avec le quotidien.
Je découvrais les habitudes de mon sportif, à se raser totalement, alors que moi, j'aimais ma toison, et ne l'aurais quitté pour rien au monde. Il était aussi un peu maniaque sur le rangement dans l'appart, mais c'est vrai que c'était agréable quand l'un de mes amis passait à l'improviste, ça donnait bonne impression. Je n'étais pas bordélique non plus, mais parfois, des miettes restaient du repas sur la table quelques jours par exemple, sans que ça ne soit une porcherie pour autant.
Un soir, alors qu'il était rentré plus tôt, je dis :
- Tu penses retourner au groupe littéraire cette année ?
- Oui, quelle question !!
- On n'en a pas parlé, moi je me pose la question.
- Ah, pourquoi ?
- Le groupe est sympa, j'ai eu la joie de t'y rencontrer, j'aime échanger et lire, mais...
- Ah, ce " mais " !!!!
- Et oui... J'aimerai trouver autre chose comme groupe que celui-ci, peut-être plus jeune...
- Oui, je pense comprendre... mais c'est peut-être à nous d'attirer d'autres plus jeunes ?
- Ah oui, Thibaut, et comment vas-tu t'y prendre ?
- Je n'y ai pas pensé... 1 - 0 pour toi !
- Je doute que mettre une affiche à ta salle " groupe littéraire cherche membres jeunes " soit efficace, sans vouloir dire que les personnes avec qui tu travailles soient " bêtes ".
- Tu ne le dis pas, mais tu le penses un peu.
- Non, regarde, il y a toi.
- Je suis bête aussi ?
- Thibaut, tu n'es pas bête, je n'ai jamais pensé cela de toi.
- Même le premier soir où l'on s'est vu ?
- Le premier soir, oui c'est vrai, je l'ai pensé....
- Ah tu vois !!!
- Je l'ai tellement pensé longtemps que je te courrais après dans la rue même pas trois minutes après pour que tu reviennes dans la salle avec moi. Je l'ai tellement pensé au début que je te donnais mon numéro pour qu'on puisse se voir et que tu sois à l'aise au groupe littéraire. Je l'ai tellement pensé au début que je me suis retrouvé ici dans tes bras pour notre première nuit ensemble. Alors, si maintenant, je le pensais encore, je ne vois pas pour quelles raisons je te ferai découvrir davantage ma vie.
- Tu as pitié en fait...
- Pitié ! moi ! Non mais tu dis n'importe quoi. Pitié ! Ah peut-être aussi je suis un profiteur non ?
- Tu dis des bêtises là.
- Oui, je suis en colère. Que tu penses que je te trouve bête, ça me fait mal, très mal. Que j'aie pitié de toi, mais ton imagination déborde ! Je n'ai pas quitté mon appartement pour me faire plaisir, je ne t'ai pas offert ton rêve de Guadeloupe, je ne t'ai pas présenté ma famille parce que j'avais honte ou pitié de toi. Je l'ai fait parce que je sais que tu es quelqu'un de bien, quelqu'un qui a souffert dans sa vie, quelqu'un qui me rends heureux et que je veux aussi voir heureux tous les jours.
- Mais...
- Je n'ai certes pas un gros salaire, j'ai des horaires particuliers, j'ai certainement une sociabilisation plus simple que toi, mais jamais, non jamais, je n'ai cherché ni à te faire de mal, ni à te rabaisser à un " gros muscle sans cerveau ", jamais ! J'ai appris à te connaitre, et je suis fier de partager ta vie, alors...
Et je fondis en larmes, larmes de colère contre lui, larmes d'être incompris...

Réfugié dans la chambre d'amis, pleurant toujours, assis dos à la porte, j'essayais de me calmer, passer à autre chose, mais j'étais vraiment en colère contre Thibaut : comment pouvait-il encore pouvait-il dire que j'avais pitié de lui ?
Ce n'est qu'au bout de quelques heures que j'entendis frapper à la porte.
- J'ai fait... à manger... viens..., enfin... si tu veux, me dit Thibaut.
Dans sa voix, je sentis qu'il avait dû pleurer aussi de son côté.
J'attendis quelques minutes, et en entendant les couverts taper son assiette, je finis par sortir de la chambre, les yeux rougis, les lèvres tombant vers le bas. Je n'osais le regarder.
Je me servis, il avait préparé une salade composée, et on mangea en silence, regardant chacun notre assiette pour ne pas croiser le regard de l'autre.
Je débarrassai la table, fis la vaisselle, et j'allais retourner dans la chambre quand Thibaut, enfin, me dit :
- Sébastien, peux-tu rester un peu s'il te plait ?
- ...
- Ecoute-moi et après, je te laisse tranquille.
- ...
- C'est la première fois qu'on se dispute.
- ...
- Te voir partir en larmes, j'ai compris que je t'ai fait du mal. Parfois, comme les mecs de la salle, c'est vrai, je suis bête... Bête d'avoir tout ce que j'ai espéré des années qui se réalise maintenant, bête de n'avoir pas vu ce que j'étais pour toi, bête de n'avoir pas compris tous les efforts que tu as fait pour moi, mais j'ai peur, très peur de te perdre.
- Tu dis..., (je me mouchais) n'importe quoi !
- Non, je suis sincère. Te perdre alors que te présence me donne une force incroyable pour vivre, je te sens heureux ici, avec moi, et avec mes bêtises, j'arrive à tout gâcher. Tu avais raison, j'suis un gros muscle très con.
- Thibaut... on arrête cette dispute avant de dire des choses que l'on va regretter tous les deux.
- Tu pars dans la chambre ?
- ...
- Où vas-tu ?
Je partis dans la chambre, mais lassant la porte ouverte, il comprit que j'allais revenir.
Je l'invitai à s'asseoir à côté de moi, sur le canapé, et ayant été chercher un cahier, un crayon, j'écrivis sur la couverture : " Cahier des disputes ".
Ouvrant la première page, je notais la date d'aujourd'hui, puis referma le cahier que je rangeais sous le lecteur DVD.
- Thibaut, nous sommes ensemble depuis...
- Depuis ...
- Oui, depuis qu'on s'est rencontré au groupe littéraire... voila " enfin " notre première dispute.
- Oui c'est vrai...
- Une dispute en presqu'un an, il faut en tirer les conclusions.
- Tu crois Sébastien ?
- Oui, c'est nécessaire.
- Ah...
- D'abord, je crois que nous nous entendons bien.
- Je suis d'accord.
- Ensuite, nous sommes encore en phase de découverte de la vie ensemble, tous les jours.
- Je suis aussi d'accord.
- Je ne pense pas avoir été malhonnête avec toi.
- Moi non plus.
- Alors excuse mon cliché qui était rétrograde et humiliant.
- Tu es pardonné. Excuse-moi d'avoir douté de toi un instant Sébastien. J'ai trop à perdre en te blessant.
- Tu es pardonné aussi, et sache que je n'ai pas envie de partir, de te laisser seul. J'ai trouvé un bonheur avec toi qui me rends heureux, je suis fier que tu sois mon Thibaut, je n'ai pas envie de te perdre non plus, je ne retrouverais jamais un homme qui m'aime autant que toi.
- Séb, tu veux m'accompagner au groupe littéraire pour cette année encore ?
- J'attendais que tu me le demande !! Oui !
Je me mis debout, j'ouvris ses bras qu'il avait croisés, je m'assis sur ses jambes. Il mit alors ses bras autour de moi et me porta jusqu'au lit ou, évidement, pour nous réconcilier, nous fîmes l'amour plusieurs fois durant la nuit.

Au matin, enfin, dans la matinée, lorsque j'ouvris les yeux, j'avais une rose rouge posée sur son oreiller ainsi qu'un petit mot : " Mon coeur, bonne journée, ton Thibaut qui t'aime ".
Le mot était somme toute banal, mais il transpirait la sincérité et l'affection que Thibaut avait pour moi.
En me levant, je mis la rose dans un vase soliflore, pris une photo, et lui envoya avec juste un coeur en guise de message. Les disputes, y'a pas à dire, ça a du bon pour relancer les petites marques d'affection qui disparaissent au fur et à mesure que la relation évolue et se trouve dans un quotidien inexpressif.
Thibaut revint le soir, le sourire sur le visage, tout comme moi d'ailleurs, et ôtant ses vêtements de la salle, il me fit un vrai striptease tout en appuyant sur son sexe bien en forme lui aussi. Naturellement, ce qui devait arriver arriva, et la soirée fût extrêmement chaude.
- Humm Séb, tu sais que j'ai encore envie de toi, là maintenant, tout de suite...
- Thibaut, fais-moi plaisir alors, défonce-moi, montre-moi ta force, ta puissance.
Et il ne se fit pas prier. Ouah ; ça a secoué cette fois-ci. Si les voisins n'ont rien entendus, c'est qu'ils sont sourds. Thibaut s'est déchainé en moi, une boule de nerfs, de la testostérone à volonté, et du sexe comme on n'avait encore jamais fait. Quelle brutalité, une certaine domination, mais j'avoue avoir ressenti tant de plaisir que le jeu en valait la chandelle.
On prit la douche ensemble, ce qui ne nous arrive que très rarement, je ne suis pas spécialement fan de cette pratique de couple, puis la soirée se passa simplement... repas puis repos.

Carolito

odeurdemale.recycl@laposte.net

Suite de l'histoire

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