Cyrillo

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L'asperge

Vendredi, début d'après midi, il fait beau, j'ai fini ma semaine de travail.
Douché, vêtu de frais, je vais en week end à la mer.
Avant de partir, il faut que j'achète des clops, c'est tout près, j'y vais à pied.
Sur le plateau piétonnier où est le bureau de tabac, je vois 2 types arrêtés à parler.

Je flasche tout de suite sur l'un d'eux : une grande asperge, un grand maigre, brun, bouclé, il porte un haut de jogging à capuche gris et noir, un jean large, taille basse avec ceinture à clous, ras la raie, on voit le haut de son slip.
Je le trouve tellement bandant que j'en ai des frémissements dans le bas ventre mais je sais pas pourquoi, je lui trouve une allure étrange. Pourtant c'est le genre de mec que j'aimerais bien baiser.

Un peu remué par ce mec, je vais au tabac chercher mes clops et en sortant, mon premier réflexe est de regarder s'il est toujours là. Il est un peu plus loin et parle avec un autre mec.
Je m'arrange pour passer à côté pour essayer d'entendre leur conversation, manque de bol, ils se séparent avant.
C'est alors que la grande asperge vient carrément vers moi. Il m'aborde poliment, il sent le cannabis à plein nez, il a du se taper un méga pétard !
Je ne touche pas à ce genre de truc mais j'aime en respirer l'odeur, c'est à la fois sucré, épicé, doucereux et entêtant, je dirai même que ça m'excite.
Le mec me demande où est la gare, je le renseigne, il me demande aussi s'il y a des trains qui vont à une ville 80 km plus loin.
Le hasard fait bien les choses, c'est justement sur ma route.
Il me fait tellement envie que je réfléchis à toute vibure à un plan cul. Je lui propose, avec des idées cochonnes derrière la tête, de l'emmener. C'est O K .

Quelques instants plus tard on est dans ma voiture et c'est parti !
A peu près à mi chemin, il y a une aire de repos avec un bois derrière. Cette aire est bien connue des gays de la région et c'est là que je compte bien me le faire. Seulement je n'ai pas beaucoup de temps pour le draguer et le décider, il faut donc attaquer tout de suite.

A peine sur la nationale, toutes mes vitesses passées, je mets la main sur son genou, pas de réaction. Ennivré par son odeur de beu, je passe la main à l'intérieur de sa cuisse, il ne dit rien. Bon! je pense que c'est dans la poche et je lui met la main au sac. Il me regarde, me sourit d'un air béat. C'est gagné ! Je glisse ma main entre son jean et son slip, je lui malaxe le paquet qui se met à prendre du volume.

Moi je bande comme un salop, j'ai du mal à me contenir et les derniers kilomètres avant l'aire de repos sont interminables.

Enfin on y arrive, il n'y a personne, je prends mon nécessaire de baise (capotes, gel, lingettes) je l'entraine dans le bois, on s'isole dans un coin discret et là, n'y tenant plus, je me jette sur lui, je lui enlève son jean, je lui arrache son slip, j'enlève aussi mon jean (je n'ai rien desous), je le tourne, je lui met une noisette de gel sur la rondelle, je le fouille de mes doigts le plus profond possible, j'élargis le trou et quand c'est prêt, j'enfile une capote, je mets mon gland à l'entrée de son cul, je pousse doucement et en une seule poussée je suis rendu au point où mes couilles touchent des fesses.
Pendant tout ce temps là il s'est laissé faire docilement, je pense que j'ai affaire à un passif de chez passif.

Puisque c'est comme ça, je commence mes vas et vient sans m'occuper du rythme, je le baise à la hussarde en lui pinçant les tétons, en lui agaçant le gland, en lui tâtant les couilles et aussi en passant mes doigts dans ses cheveux bouclés.
Je me repais de son odeur de shit, ça me stimule à un tel point que je gicle bien plus tôt que prévu mais je garde mon érection intacte.
Après encore quelques coups de bite, je me retire, j'enlève ma capote, je fais un noeud et le la pose sur la mousse.

Maintenant, je vais m'occuper de sa queue à lui.
Je le retourne, je m'acroupit devant lui. Quelle belle queue, comme son propriétaire : longue, fine droite, on dirait aussi une asperge. Les asperges ça se mange !
Je la prend à pleine main et je la porte à ma bouche, je la lèche de bas en haut, de haut en bas, je lape son gland à petits coups de langue, les petites glandes à sa base sont dures comme des roulements à bille, il faut dire qu'il bande dur !

Je suce, pourlèche, gobe, tête, tout en jouant avec ses boules et en lui doigtant le cul de peur qu'il ne se referme. Il reste toujours aussi passif et me laisse prendre toutes les initiatives.
La fellation prend un bon moment et quand je le sens enfin venir, j'ai juste le temps de retirer ma tête pour voir les giclées de sperme s'écraser sur les feuilles d'un buisson à côté puis dégouliner dans les branches.

On fume une clop pour faire une pause et je me marre en moi-même du tableau qu'on fait : deux mecs, culs nus, bites pendantes en train de fumer dans un bois.
En fait de bite, la sienne est plus longue que la mienne, elles sont encore gonflées de nos ébats de tout à l'heure, mais il y en a un qui me démange, c'est mon cul qui voudrait bien accueillir cette grande asperge!

Nos clops fumés, je me mets au travail pour la faire remonter, ça ne prend pas beaucoup de temps et quand elle est à nouveau bien dure, je la couvre d'une capote, je met du gel à mon cul que je lui présente. Il s'enfonce doucement lui aussi et en une seule fois mais il n'a pas la fougue que j'avais tout à l'heure. Il est toujours aussi passif et c'est moi qui suis obligé de serrer er desserrer les fesses pendant ses va et vient. Malgré tout, je trouve ça bon surtout en reniflant son odeur avec délice. Le mec lui se contente de me tenir par les hanches et d'accompagner les mouvements jusqu'au moment où il se raidit (un peu trop vite à mon gout) et décharge. Il veut se retirer tout de suite mais je serre les fesses pour le garder encore un peu, je ne peut pas le garder à cause du gel. Comme moi, il fait un noeud à sa capote et la pose près de la mienne sur la mousse.

Entretemps, je bande encore bien dur et je me le referais bien une deuxième fois.
Je me remet une capote, je lui écarte les fesses et je lui rentre dedans d'un seul coup. Il aurait dù crier, mais non, il se laisse enculer sans rien dire. Alors je l'encule de bon coeur, je te lui fous des sacrés coups de queue, je lui défonce le cul avec une ardeur grandissante, j'ai attrapé son asperge à pleine main, elle durcit, je le branle avec force tout en le bourrant de coups de bite.
Au moment où je crache mon foutre, la capote se déchire sur la longueur. J'ai le réflexe d'attraper la base et de me retirer. Ouf ! Il n'a rien pris dans lui !
Ah qu'est ce que c'est bon l'imprévu !

Plus tard, après avoir enterré nos capotes, fait une rapide toilette, on reprend la route. Il s'endort au bout de quelques kilomètres.
Je ne sais pas qui il est, d'où il vient, où il va. Une idée me traverse l'esprit. Je m'arrête dans un chemin, je griffonne mon numéro de portable sur un papier et je lui glisse dans son slip. Il ne se réveille même pas.

Arrivé à sa destination, je suis obligé de le réveiller pour qu'il descende. Il sort de la voiture, me remercie poliment et la grande asperge se perd parmi les passants, on dirait un extra terrestre.
Je repars vers la mer pour mon week end en pensant à cette bonne baise et en imaginant sa tête quand il trouvera mon billet dans son slip.

Zicom

sylvestig@orange.fr

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