Cyrillo

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Non voyant auto-stoppeur. 3ème partie

Je venais donc de réveiller mon bel Apollon non-voyant en lui léchant et lui gobant le sexe tendu par sa belle trique matinale (Trique du matin = Pipi sans les mains). Il semblait bien apprécier le " doux supplice " que je lui administrais. Volontairement il faisait semblant de dormir (tu parles). Il se tortillait et gémissait de plaisir. Je lui gobais les couilles, l'une après l'autre, puis les deux en même temps dans ma bouche je faisais tourner ma langue pour les caresser gentiment. Sa queue battait de soubresauts contre son ventre. Plus bas, ma langue est venue lui lécher minutieusement le scrotum et le début de sa raie. " Arrête André, c'est trop bon. Je ne vais pas résister plus longtemps et dans le planning de ce matin, il y a autre chose de prévu. Allons petit-déjeuner. Par contre, je voudrais que nous restions à poil ! OK ? ".

Aucun problème pour moi. Je ne comprenais pas pourquoi il avait envie de me voir " à poil " alors que cela lui était impossible. Nous avons dévoré tout ce qu'il avait sorti, et au cours de ses incessants déplacements, il ne pouvait pas faire autrement que d'en profiter pour me caresser TOUT ce qu'il pouvait toucher. A mon tour d'avoir la trique garantie grand teint. De mon coté, je n'étais pas en reste et je profitais de son corps et de son sexe dès qu'il passait à ma portée. Il se lève : " Merde, j'ai fait tombé ma tartine " - " laisse, je vais ma ramasser ". Pas le temps de faire un geste : il est déjà à quatre pattes, sous la table. OUAH ! L'adorable traître vient de m'avaler le sexe sous la table. Que c'est bon. Sa bouche lâche mon sexe, mais il continue de me caresser avec ses 2 mains.

Sensation étrange ! J'ai l'impression qu'il effleure ma peau, que ses mains courent sur ma queue et mes couilles sans présenter aucune résistance. Le contact est doux et pourtant bien appuyé. Il me branle de manière fabuleuse. Je ne peux plus rien faire. Je me laisse faire. J'en oublie les tartines, le beurre et les confitures. Le beurre ? Tiens ! Il n'est plus sous la table. Je viens de comprendre pourquoi le contact était si doux, si glissant. Il se relève, viens derrière moi et me force à me lever en mettant ses mains sous mes aisselles. Il m'entraîne dans le salon, me demande de m'allonger sur le tapis. Je le vos repartir vers la table. Il revient en cachant un truc dans son dos. " Ferme les yeux ! Je n'ai pas fini de préparer ma tartine " Ses mains reviennent sur mon sexe tendu à plein.

Je ressens un contact plus froid et plus collant. Tant pis ! Je ne peux pas faire autrement : j'ouvre les yeux. Il est entrain de m'étendre de la confiture sur le sexe et les couilles. Me voilà transformé en " tartine ". Sa préparation terminée, j'ai eu droit à une savante dégustation de sa part. Il me lèche délicatement et consciencieusement le moindre recoin, le moindre pli. Il savoure. Il se lèche les babines et reviens poursuivre sa dégustation de tartine. Il n'oublie rien de rien. Je suis aux anges, mais je vais bientôt craquer sous ses coups de langue. Devant sentir que je commençais par être secoué de spasmes de plus en plus rapprochés, il engloutit mon sexe, presque propre maintenant, pour me faire une pipe de tous les diables. Cela n'a pas duré longtemps. Il m'a fait littéralement exploser dans sa bouche. J'ai été secoué de spasmes très violents. Il continuait de me pomper. J'ai du lui demander d'arrêter tellement l'orgasme était violent et presque douloureux. Il gardait mon sexe dans sa bouche et le moindre mouvement de sa langue me provoquait encore des spasmes sévères.

J'étais heureux et anéanti. Plus capable de bouger le moindre cil. EPUISE. Il a laissé mon sexe et m'a caresser le torse de manière fluide et douce. Je reprenais mes esprits. " André ! Tu es vraiment une très bonne tartine (sans jeu de mots de ma part). Je me suis bien régalé ce matin. Dommage que ça ne soit pas comme ça tous les matins. Je serai de très bonne humeur tous les jours ! ". Je me suis un peu levé vers lui pour l'embrasser longuement et profondément. Sa bouche exhalait des senteurs de beurre, de confiote et de sperme. Un vrai régal. Notre baiser a duré, duré, duré. Nous étions bien et je pouvais bien apprécier le doux traitement qu'il m'avait réservé. " Pascal ! Tu es vraiment un amant plein de fantaisie et de douceur. J'aimerai que tu puisses voir le sourire que je porte vers toi, en ce moment. Je te trouve beau ". Il a mis ses mains sur mon visage et m'a caressé du bout des doigts. " Oui, c'est vrai. Ton sourire est beau aussi. Je vois que tu as bien aimé ce que je t'ai fais. Allez ! A la douche ! Il faut bien que l'on lave les traces du p'tit déj ! " Je retrouvais avec plaisir sa douche et son installation. L'eau chaude me faisais un bien fou et je me sentais ragaillardi.

J'avais retrouvé mes esprits et une certaine vigueur. Pascal, lui, était toujours très " vif " et sa queue dressée contrastait avec la mienne (bien sur, au repos). Notre savonnage mutuel et simultané m'a redonné un peu de vie. Pascal, lui, était dans une forme resplendissante. Je n'avais pas fait vraiment attention auparavant, mais sa queue avait pris de très, très belles proportions, et je la sentais battre contre ma raie. Ses caresses se firent plus insistantes sur mon sexe mi bandé et sur mon cul. Le gel douche favorisait l'entrée de son doigt, de ses doigts. Je me sentais bien, totalement détendu et ouvert à sa venue. Il avait déjà enfilé sa capote sans que je m'en aperçoive (le coquin, malin). A ma surprise, il est entré en moi doucement et régulièrement sans que je ressente le moindre mal. Juste une appréhension, vu la taille de son gourdin. Je ne suis pas puceau de ce coté là, mais je ne pratique pas régulièrement et j'ai toujours un peu peur au moment fatidique. Là ! Rien ! Que bu bien-être.

Il poussait doucement, mais sûrement, jusqu'au bout. Je le sentais maintenant collé, son ventre contre mes fesses. Il ne bougeait plus. Je sentais sa queue battre en moi et j'ai su que je venais de m'habituer à sa présence en moi. Il a entamé une série d'aller et retour très lents. A chaque fois, j'avais l'impression, comme si cela était possible, qu'il entrait encore plus en moi. Il me titillait les tétons si sensibles et je ne savais plus quelle partie de mon corps était la plus sollicitée. Le désir montait de si loin. Il a accéléré légèrement sa cadence et des tonnes de fourmillement ont parcouru mon corps. Je le forçais a augmenter la cadence en provoquant, moi-même, des allées et venues plus rapides et plus violentes de sa part.

Un feu m'envahissait de toute part. Mon ventre criait son besoin d'exploser. Mon sexe se tendait comme jamais. Prêt à tout larguer, soudain, un coup de sonnette retentit. " Merde ! Je l'avais complètement oublié celui là ! Reste là. Je reviens de suite " Il sortit, prit une serviette qu'il noua à sa taille. Il revint peu de temps après. " C'est mon aide ménagère ". " Je ne comprends pas : tu as dis : je l'ai oublié celui là ? " Son aide ménagère s'appelle Dogan, il est turc et viens chaque jour lui faire le ménage et ranger. Pascal avait repris sa bonne vigueur et recommençait là où il avait dû s'arrêter. J'étais encore tout chaud de son traitement de faveur et il n'a pas eu de mal à reprendre une bonne cadence. Mon plaisir montait encore, comme avant. Je me cambrais un peu en arrière pour venir m'appuyer sur son torse et sentir sa peau contre la mienne. Je fermais mes yeux tellement c'était jouissif.

Ses mains me parcouraient le ventre et le torse, pinçaient mes seins, se posaient sur mon cou, sur mon visage. Je retrouvais ma question : comment fait-il pour avoir autant de mains. Maintenant il entamait une pipe délicieuse ? Quoi ? Comment pouvait-il faire pour m'enculer et me taille une pipe debout, en même temps ? Une nouvelle surprise m'attendait ! Dogan était à genoux devant moi, nu et il s'occupait de mon dard tendu. Un peu plus de 35 ans, très brun, très poilu, mince, finement musclé, bien bâti, Il me regardait avec un grand sourire semblant apprécier de me gober. L'eau chaude coulait sur nous et dégageait un peu de vapeur dans la douche. J'vais l'impression de flotter sur un nuage. Dogan arrête de me pomper. Il m'enfile une capote. Il contrôle bien la mise en place, se retourne, se penche et vient s'empaler sur moi, sans autre forme de préparation. Il a le cul bien lubrifié et ma prise de possession ne demande pas d'effort particulier. Le bougre doit aimer ça car il commence à demander que je le pilonne plus vite.

Mes aïeux ! Quel pied ! Tout a été si vite que je ne comprends plus rien sinon que je prends un pied monstrueux. Nous réglons nos mouvements pour ne rien perdre de ce qui se passe et profiter au maximum de notre plaisir montant, tout en en donnant à l'autre. Je me dis qu'en fait, je suis à la meilleure place. La queue de Pascal est bonne et le travail en douceur et en profondeur commence à faire un effet plus que satisfaisant. Je vibre de partout. Ma queue, elle va exploser dans le cul de Dogan. Un petit cri de Pascal m'alerte sur la venue imminente de son orgasme. Je suis dans le même état. Dogan lui, hurle de plaisir sous mes coups. La brochette va faire son explosion. Je ne sais pas qui a commencé, mais la venue de chacun a du se faire à quelques dixièmes de seconde près. Nos tremblements, nos cris, nos halètements ont fait trembler les parois de la douche.

Les voisins ont du se demander quel " accident " avait eu lieu chez Pascal ? On est resté sans bouger pendant un bon moment jusqu'à ce que nos sexes s'échappent d'eux même de leur douce prison. Dogan nous a enlevé les capotes et a nettoyé minutieusement nos sexes avec sa langue. A notre tour, nous l'avons, tous les deux couvert de baisers et de caresses. Notre savonnage mutuel a été bon et long et il m'a même semblé que nous reprenions une vigueur certaine. La sagesse nous a conduit à nous sécher. Je devais repartir chez moi, mais, je n'ai pas pu faire autrement que de passer encore deux heures avec mes deux amants d'un jour. Pourvu que je revienne à Grenoble ! Au moment du départ, Pascal m'a demandé si je pouvais l'accueillir chez moi pour 2 jours (et 2 nuits) lors de sa venue à Paris pour un congrès professionnel. BIEN SUR ! YOUPEE !

Je ne sais pas comment je vais faire avec ma femme, pour expliquer sa venue, mais . Je vais y penser sérieusement. Au fait, je ne sais même pas quel boulot il fait ????

Runner 91

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