Cyrillo

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Auto-stop

Largement inspirée de par STOP de Gaymen > ici

Ce soir, je suis sorti malgré le temps qu'il a fait et j'ai traîné à droite comme à gauche afin de trouver des bites bien grosses et des couilles bien pleines. Je suis prêt à faire n'importe quel plan du moment que j'ai ma dose de bite et de foutre. Mais vu le froid à l'extérieure et la neige qu'il tombe, je n'ai trouvé personne. Alors j'ai décidé de rentrer chez moi en faisant du stop. Dans mon froc, je commençais à bander sec.

Je sais, le stop n'est pas recommandé, on ne sait jamais sur qui on tombe, mais à cause du froid qu'il fait, je tente quand même. Des voitures passent, camions et autres. J'espère sincèrement que quelqu'un va s'arrêter car je ne me vois plus marcher et rentre chez moi à pieds par ce froid. Au bout d'un quart d'heure, une voiture s'arrête enfin devant moi. Au volant, un mec jeune d'environ 30 ou 35 ans. Plutôt grand et bien musclé d'apparence. Il me demande où je vais et je lui réponds assez évasivement. Il me dit de monter. Je m'assois à côté de lui et, à peine démarré, il commence à me caresser la cuisse. Voyant que je me laisse faire, il me regarde avec un sourire et continue à me caresser, mettant sa main sur ma queue à travers mon jeans. S'apercevant que je bande, il prend ma main et la met sur sont paquet qui bande dur aussi. Je sors sa queue, je me penche et commence à le sucer, pendant qu'il conduit.

Voyant que je m'occupe bien de sa queue, il se gare sur une aire d'urgence et s'adosse sur le siège. Il a l'air de prendre son pied. Il prend tellement son pied qu'il me jouit dans la bouche. J'avale le tout, n'en perdant pas une goutte. Il reprend la route en gardant la bite à l'air.

- Je m'appelle Yohann, me dit-il. Et toi ?
- Moi, c'est Nico.
- Enchanté Nico. T'es une bonne suceuse de bites, toi. T'as l'air d'être une bonne salope aussi. Je vais en boite avec des potes, ça te dit de venir ?
- Non, je préfère rentrer.
- Pas de bol, c'est moi qui conduis.
Il me regarde pour voir ma réaction. Moi, je ne sais quoi penser...
- Si tu fais tout ce que je te dis, je te raccompagnerai après la soirée, me dit-il en me regardant du coin de l'oeil.
- Comment ça ?
- Tu te laisses faire, tu obéis, et tout ira bien. Comme la route sera longue, tu te mets bien à l'aise surtout. Tu baisses bien ton jeans et tu laisses ta queue à l'air, OK ?
Et j'ai suivi ses instructions...

On a roule encore une bonne demi-heure puis il ne s'arrête à nouveau. Il me demande de le sucer encore. Ce que je fais. Je lèche ses couilles et son gland avec un tel engouement que Yohann me remplit à nouveau la bouche de son liquide chaud.
- T'es passif ? me demanda-t-il.
- Oui.
- T'aime les gros calibres, toi !
- Plutôt, oui.
- Ça se voit. Et t'inquiète, mes potes vont s'occuper de toi, tu seras leur bonne petite femelle, ce soir.

Il prend alors ma tête entre ses mains et m'abaisse vers son entre-jambe. Je le suce encore, plus longuement cette fois-ci. Jr prends mon temps et fais durer le plaisir. Et, pendant qu'il roule, il jouit encore au fond de ma gorge.
A ce ;moment-là, son téléphone portable sonne.
- Tu peux répondre, s'il te plait ? On approche de Mâcon et vaut mieux pas que j'aie le portable en main.

Je me dis que s''il ne veut pas perdre de points à cause du mobile, il risque d'en perdre quand même vu qu'il me tient la queue de la main droite. Il me branle et je me laisse faire. Ma queue dans sa main, je tente tant bien que mal de répondre aux questions de son pote.
- T'est qui, toi ?
- Je faisais du stop. Yohann a bien voulu me prendre...
- Ah ouais ? Il t'a pris comment ?
Silence...
- Vous faites quoi, là ?
- On est en chemin pour Mâcon, je crois...
- Et tu viens avec lui, ce soir ?
- Oui, on est en route.
Je regarde ma queue prête à lâcher son jus. Yohann s'y prend vraiment bien.
- C'est toi qu'il emmène pour nous vider les couilles, ce soir ?
Je ne réponds rien...
- Attends, on va t'enculer, salope ! Tu vas aimer te faire sauter comme une chienne ! T'es bien obéissante, j'espère ?
Je ne sais plus quoi dire...
- Bon, allez ! Dépêchez-vous d'arriver, on bande comme des taureaux ici !
Et il raccroche.
Yohann me dit qu'on arrive à destination dans cinq minutes. Je me rhabille. Il se gare en bas d'un immeuble de plusieurs étages.
- Je croyais qu'on devait aller en boîte, lui dis-je en le regardant étonné.
- On se rejoint tous ici d'abord, on ira après.
On descend de voiture et on entre dans l'immeuble. Devant l'ascenseur, Yohann se caresse l'entre-jambe. Il bande toujours. Les portes de l'ascenseur s'ouvrent, on entre, il appuie sur le 15è étage et sort sa queue. Il baisse mon froc et commence à m'enculer dans l'ascenseur.
- Arrête ! Si quelqu'un monte ?
- Fallait y penser avant de me chauffer, salope !
- Mais...
- Ta gueule et prends ton pied, ma pute ! T'as voulu ma queue, tu l'as !
Il continue de m'enculer et, au bout de quelques secondes, l'ascenseur s'arrête. Il voit que je panique. Il me tient plus fortement et continue de m'enculer. Les portes s'ouvrent sur deux mecs magrébins qui se regardent l'air à la fois intrigué et intéressé.
- Alors les pédés, on a pas envie d'attendre d'être en privé ?
- Non. Cette pute, elle veut de la queue, leur répond Yohann.
- Ah ouais ? ; ; ; ; ;
- Ouais. Si toi et ton pote avez envie, faut pas vous gêner.

Ils ne se font pas prier et montent dans l'ascenseur qui repart. J'ai toujours la queue de Yohann dans le cul, et maintenant deux autres queues que je pompe l'une après l'autre.
- Ça, c'est de la bonne salope ! dit l'un des deux mecs.
Arrivant à l'étage souhaité, l'un des deux gars appuie sur le bouton " stop ". L'ascenseur s'immobilise avant que les portes ne s'ouvrent. Ils jouissent l'un après l'autre, ce qui a bien excité Yohann qui jouit à son tour. Il sort sa queue de mon cul bien rempli et le montre aux deux autres en le caressant. Je reste dans la même position. Je n'ai pas à attendre longtemps avant qu'Hassein, le plus grand des deux, me la mette sans ménagement. Son pote, quant à lui, se branle et, en attendant son tour, parle avec Yohann.
- C'est une bonne chienne que ta trouvée là.
- Oui. Et là, elle n'a pas fini de s'en prendre, des queues ! Vous voulez venir ? Deux de plus, ça va pas la déranger, au contraire...
- OK, on te suit. Combien de mecs ?
- Six. Et avec vous, ça fait huit. Il y en aura peut-être plus, sinon on la baisera encore jusqu'a ce qu'elle ne soit plus en chaleur.
- On connait des mecs qui ne se sont pas vidé les couilles depuis des lustres, ça leur plairait, un bon trou comme ça, dit Hassein en me baisant.
- Une fois qu'on en aura terminé, vous la prendrez avec vous et elle n'aura qu'à satisfaire tes potes.
Ils parlent de moi comme si je n'étais pas là. Ou plutôt comme si je n'étais qu'un objet à leur disposition. Je commence à m'inquiéter pour la suite. Celui qui m'encule sort sa queue après m'avoir bien rempli le cul.
- Bouge de là, Hassein, c'est mon tour, dis le deuxième gars.

Au bout de quelques minutes, il rempli mon trou à son tour. Yohann se branle et me tient par les cheveux pour me forcer à avaler son jus.
La porte s'ouvre. On longe un couloir jusqu'à un appartement où cinq mecs attendaient. En nous voyant rentrer, ils se mettent tous à hurler. Personne ne se présente et aucun discours n'a lieu. Seuls mes trous pris d'assaut les intéressent. Je suce et me fait ramoner le fion déjà bien dilaté.
Les huit mecs m'enculent à tour de rôle, puis deux par deux. Au bout d'un temps qui m'a semblé interminable, ils décident tous de se reposer. Mais ils ne tardent pas à retrouver toute leur énergie et me baisent encore. Plus longuement, cette fois.
Cette fois-ci, tout s'arrête. Je regarde ma montre : 2 ;H45. Ça doit faire presque trois heures que je me prends des queues à la chaine. Les deux mecs croisés dans l'ascenseur s'approchent et l'un d'eux me dit :
- Rhabille-toi, salope. Maintenant, t'es à nous pour une bonne baise de deux jours, voire plus.
- Non, ça suffit, les gars. Faut que je rentre maintenant, dis-je en me rhabillant.
Ils se mettent tous les deux mis à rire.
- Attends, sac à foutre ! T'as des queues à vidanger maintenant, dit Hassein.

Ils me forcent à les suivre. Direction les caves et, à peine arrivés, la baise commence. Ça dure longtemps. Les mecs vidés de leurs jus, je m'écroule et Hassein me rattrape au vol, m'allongeant sur le un matelas vraiment très crade. Il peut constater que j'ai le cul vraiment bien dilaté. La semence de ses potes en coule et dégouline sur mes cuisses. Il me plante alors son chibre dans le cul et me baise comme une vraie brute.
Tous les mecs partent les uns après les autres. Hassein me baise trois fois avant de me proposer de me ramener chez moi. J'accepte. Dehors, il commence à faire jour. Rien ne se passe durant le trajet, on parle de chose et d'autres. Mais arrivés devant chez moi, il me dit :
- C'est cool de savoir où t'habites, je pourrai venir quand je veux pour me vider les couilles.
Il coupe le monteur et me regarde.
- Et là, faut que tu me vides.

Il descend de voiture, attend que je fasse de même et me suit jusqu'à ma porte. Et à peine celle-ci refermée, il sort son braquemart et m'oblige à le sucer. Je subis encore ses assauts quand il décide de me faire le cul.
Je ferme la porte derrière, deux heures plus tard, quand il décide de partir...

Starbuck

starbuck_69@hotmail.fr

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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