Cyrillo

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Beauté.

Je rentre du boulot, il est un peu tard.
Pascal à cette heure doit déjà être sous la couette.
Il a du avoir comme moi une dure journée.

Je me suis pas trompé, sur la table de la cuisine, les restes de son souper. Chouette ! Il m'a quand même laissé un morceau de pain. Je réchauffe le reste de potage qu'il n'a pas fini.

Dans le fond j'ai pas grand faim.
Je raconte des conneries, pas faim ? Siiiiiiiii ; faim de lui.

Une petite douche sommaire et hop sur la pointe des pieds, je rejoins Pascal dans la chambre.

Il n'a éteint la lampe de chevet qui diffuse une lumière douce et sensuelle tout autour d'elle.
Il est là dans le lit couché sur le ventre le drap a glissé et ne cache pas grand chose de son corps superbe.
Faut dire que Pascal n'est pas une demi-portion.
Les 400 muscles composant son admirable anatomie sont tous minutieusement développés à leur juste mesure pour former un ensemble digne d'admiration des plus grands sculpteurs.
David de Michel-Ange tu peux aller te rhabiller tu es une pâle figure comparé à ce que mon regard contemple

Quelle merveille cet homme !
Le nombre de fois que je me suis murmuré ces mots.

Si les yeux en caressant trop souvent un être risquent d'en provoquer l'usure, toi mon amant, longtemps tu ne serais plus que poussière, tellement de fois je me suis rassasié de ton image.

Je me glisse subrepticement sur le lit tout à côté de ce corps merveilleux.
Ma main ne résiste pas à l'envie de le frôler, de le toucher sans qu'il ne s'éveille.
Le creux de ses reins je l'effleure de mes lèvres.

La paume de ma main suit le sillon en creux de son dos, je m'arrête sur chaque muscle pour finir vers le cou à la naissance de ses cheveux qu'il porte très courts.

Une odeur de mâle émane de lui, il n'a pas eut la force de prendre une douche, il s'est écroulé direct après avoir soupé.
Il ne sent pas mauvais, il ne sent jamais mauvais.
Les effluves qui émanent de lui devraient pouvoir être mises en conserve et servir d'aphrodisiaques très coûteux.

Dans son sommeil il replie une jambe sous lui.
Son merveilleux fessier est ainsi encore plus mis en valeur.
Ce sont deux merveilleux ballons jumelés, légèrement duveteux, ce qui lui confère une douceur extrême bien que très ferme de plus à caresser voluptueusement.

Ah ces fesses, ces merveilleux fruits qui quand il marche que ce soit ici à la maison ou dehors dans la rue attirent des regards d'envie et de jalousie.

Et pour exciter encore un peu plus le monde, il exagère des fois son déhanchement, ce qui a pour effet de presque faire tomber de leurs orbites les yeux le regardant.

Quand je suis avec lui dans ces moments là dehors, je ne peux pas faire autrement que me marrer intérieurement et me dire " Regardez, mais ne touchez pas, ne rêvez pas il est à moi ce morceau de Roi "

Ouais ce soir il est à moi il est à côté de moi assoupi et livré à tous mes désirs.
Je me penche sur lui, le respire, le sens à pleins poumons.
Je lui écarte délicatement ses deux globes.
Niché dans cet écrin merveilleux, sa rosette.
J'approche mon visage, l'enfoui délicieusement dans ce puits de félicité.
Ses effluves me rendent dingues.
Ma langue le fouille, le lèche, essayant d'aller de plus en plus profond dans cet orifice chaud, nacré et parfumé.

Mon coeur bat très vite, c'est trop beau c'est trop bon.

Mon sexe déjà partiellement raide à la pensée de te retrouver Pascal, s'est complètement gorgé de sang, je suis dressé et raide comme pas possible.

Je te prends doucement par la hanche pour te mettre sur le côté. Tu pousses un soupir mais te laisse faire.

Je me colle à ton dos.

Ma queue entre tes cuisses, mes genoux dans le creux de tes jambes, mes abdos collés contre tes lombaires.

Je te lèche le cou ta peau est un peu salée.

Je détache un peu mon bassin de ton corps pour que ma tige puisse venir se poser sur ta rondelle.

J'y vais doucement. Millimètres par millimètres j'investis ta grotte d'amour. Je reste dur un max.
J'avance toujours, je viens en toi.
Tu te cambres un peu pour que ma pénétration t'atteigne plus profondément. Là c'est bon je suis à fond.

C'est bon c'est serré, c'est chaud.
Ma main passe sur le devant de ton ventre, je frôle ton sexe, il est tendu.
Je l'encercle de mes doigts.
Chaque pression sur ton gland provoque un resserrement instinctif et musculaire de ta rondelle autour de ma queue.

Je déguste, je fais durer le plaisir, je ne bouge pas, le monde peut s'écrouler je m'en fous je suis bien dans toi.
Je me décide au bout de je ne sais combien de temps à entreprendre un tempo de va et vient entre tes reins.
Rien de brutal, non, un tempo doux mais à chaque fois très profond.
Je ne veux pas cracher la béchamel tout de suite.

Une heure peut-être deux que je me retiens, mais là ça part !!!!
Un feu d'artifice dans ma tête, des comètes de partout.
J'ai l'impression que tout mon être toute la matière dont je suis constitué passe par ma queue et t'investi.
Je reprends mon souffle, mon sexe dégonfle et s'échappe de ton orifice brûlant.

Tu te retournes brutalement " Espèce de salaud me dis-tu, tu m'as violé, tu ne perds rien pour attendre à ton tour maintenant de te faire farcir "

- Chic !!! me dis-je, mais ça sera pas un viol, je te désires tellement, et de n'importe quelle façon...

l'ami de pascal le musclé

lpmuscle7a@aol.com

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