Cyrillo

Page précédente

Mon Capitaine hétéro. [suite]

Première partie ici

Vous êtes nombreux à avoir lu l'histoire de la première fois de mon beau capitaine hétéro.
Bien sûr je ne me suis pas arrêté là. Je n'allais pas laissé passer une si belle occasion de m'envoyer en l'air pendant mon Service National. Mais lui, il en pensait quoi ?

Je ne manquais pas d'aborder le sujet dès le lendemain. C'était un jeudi, jour où sur toutes les bases aériennes de France, tous nos beaux (et moins beaux...) militaires ont l'obligation de courir. Etant au service des sports, moi je ne courais pas, mais devais surveiller que tous ces beaux mâles mais n'avaient d'yeux que pour mon capitaine. Avant la fin du jogging, j'interpellais mon pilote de chasse à son premier passage devant moi lui demandant si nous pouvions parler.

Je lui dis à peu près : "Hier j'ai passé un super-moment avec toi et je pense ne pas me tromper en disant que cela a été réciproque. Je n'attends rien de toi, mais je suis prêt à recommencer si tu le veux toi aussi." Il me dit : "Je te retrouve dans deux heures à peu près à ton bureau et on en parle ! Là c'est trop indiscret ". Il faut dire qu'il était en compagnie de ses collègues machos et surtout de sa femme militaire quand je m'ai interpellé durant sa course.

Les deux heures ont été longues, très longues. Je le vis enfin arriver à l'heure prévue, en combinaison de pilote. C'est horrible une combinaison de pilote de chasse mais putain ce qu'il était beau. J'étais assis devant l'ordinateur quand il entra sans frapper. Il s'avança avec un joli sourire, se pencha et m'embrassa à pleine bouche en me serrant dans ses bras musclés mais tendres. "Je n'ai pas beaucoup de temps devant moi, mais je voulais te dire que je ne rêve que de recommencer à me faire baiser par toi, te pomper et sentir ta bouche sur ma queue". Il ne pouvait pas être plus clair et moi plus heureux. Il repart en me promettant de me téléphoner avant la fin de la journée. Je suis aux anges.

Dans l'après-midi, coup de fil de mon capitaine : "Ce soir, on se prend un verre au mess ? Je te ferais venir au mess des officiers si tu veux ?" Que dire? je n'osais pas trop mais s'il me le proposait cela devait être possible après tout. Me voilà donc le soir venu au milieu des officiers de la base à prendre une bière avec mon capitaine. Je sens tous les regards de l'assemblée sur nous, mais je m'en fous. On parle lui et moi, on rit : on est bien tous les deux.
Après plusieurs bière, il me dit : "j'ai encore ma chambre sur la base. Ça te dit de venir avec moi ?" "Pas de souci au contraire. Mais ta femme ne dira rien si tu ne rentres pas chez toi ?" "Non, je suis censé être de garde cette nuit." Me répondit mon bel hétéro.

5 Minutes plus tard nous voila lui est moi dans cette chambre. Il referme la porte, tourne la clé et me dit : "Baise-moi comme la dernière fois" tout en s'approchant de moi, me mettant direct la main au paquet et me malaxant délicatement les couilles et la queue qui se durcit en peu de temps. Je le repousse, le jette sur ce petit lit, me mets à califourchon sur son treillis gonflé, lui retient les mains en arrière et l'embrasse à pleine bouche. Je ne sais pas combien de temps a pu durer cette pelle. Mais c'était long... et bon... Il embrassait comme un dieu. Je finissais par lui libérer les mains pour pouvoir enfin profiter de ses caresses et moi aussi pourvoir toucher et apprécier ce corps si parfait. Lentement je le déshabille. Mes doigts retrouvent enfin cette peau, caressent ces tétons, ce torse musclé de mec, ce ventre dur, cette queue si parfaite, si dure, si droite. Je suis toujours tout habillé, lui allongé sur ce lit trop petit. Je me glisse entre ses cuisses, ma langue joue avec ses burnes, son gland. Je ne le suce pas. J'attends qu'il le réclame. Je joue seulement avec le bout de ma langue chaude et humide.

Ses gémissements en disent long. J'arrête car je ne veux pas qu'il jouisse aussi vite que lors de sa première fois. Je veux qu'il ne puisse plus se passer de ma queue, de ma bouche, de mes mains, de mon corps tout entier. Alors je me relève et entame devant lui un strip-tease : mon premier ! Lentement, en le fixant droit dans les yeux et tout en humectant mes lèvres avec ma langue, je défais ma cravate, déboutonne ma chemise. Torse nu, je me caresse devant lui, titille mes tétons, joue avec ma queue à travers ce pantalon militaire si moulant. J'enlève enfin la ceinture, le pantalon et mon boxer. Je n'oublierais jamais l'étincelle dans ses yeux et son sourire quand ma queue se dressa enfin devant lui.

Toujours allongé, il ouvrit grand la bouche et je compris rapidement le message. Alors je m'approche de ce lit, il se redresse, se met assis, me prend par les hanches et commence à me sucer. Ma queue, bien que déjà très raide, enfle davantage. Quelle bouche ! Quelle gorge ! Il la prend entière dans sa bouche, me caressant délicatement les fesses, les cuisses, les mollets sans jamais arrêter de me branler avec ses lèvres. C'est divin. Alors je l'allonge à nouveau. Il tend sa queue s'attendant à ce que je le pompe, moi aussi. Je le retourne sur le ventre, m'allonge sur lui et commence à lui lécher le cou, l'embrasser. Ma bouche descend petit à petit sans oublier le moindre centimètre carré d'épaules, de dos, de fesses. Ma langue s'aventure enfin entre ses fesses qui me font tant bander. Il se cabre légèrement, gémit, agrippe les draps quand ma langue frôle enfin son fion. Il aime ça et moi aussi. Alors je ne me prive pas. Je lèche ce trou serré qui en redemande de plus en plus.

Ma salive coule le long de ce cul pour terminer sa course sur ses couilles pendantes. Ma langue s'aventure à l'intérieur de ce Q qui semble désormais prêt à accueillir plus. Tout en continuant à jouer de ma langue sur ses fesses, un de mes doigts approche ce fion, s'aventure dans ce Q qui se resserre de temps en temps pour en profiter plus. Je le travaille à merveille, il gémit de bonheur. Je m'arrête un temps pour m'allonger à ses côtés, le caresser, l'embrasser, sentir son corps brûlant de désir contre le mien. Il est aussi câlin que moi. Nos caresses mutuelles ne font qu'augmenter notre excitation, sa bouche retrouve à nouveau mes tétons, ma queue qu'il suce de mieux en mieux.

Décidément il apprend vite mon capitaine. Sentant la sauce monter je lui demande de tout stopper. Il s'exécute, me met sur le dos, se précipite sur une capote qu'il déroule sur ma bite et tel un cavalier enfourche ma queue qui se retrouve au plus vite au fond de lui. Je ne bouge pas, je lui dis simplement : "vas-y fais-toi plaisir avec ma queue ! Fais nous jouir !" Mon capitaine commença alors un va et viens fracassant et rapide. Il se branlait en même temps que je le défonçais. Très rapides dès le départ ses mouvements s'accéléraient de plus en plus. Il avait les yeux fermés, la tête légèrement en arrière, se mordillait les lèvres pour ne pas hurler de plaisir et de bonheur. Soudain il ouvrit les yeux, me regarda et se mit réellement à hurler. Au même moment je sentais de longs et vigoureux jets de sperme m'envahir le torse, le cou, le visage. C'est au même moment que moi aussi je crachais la sauce dans un cri de soulagement et de bonheur.

Nous sommes restés la nuit entière dans les bras l'un de l'autre à nous embrasser, nous caresser mais sans faire l'amour.
Il fallait garder des forces pour le lendemain matin au réveil... Mais ça, c'était sans savoir ce qui allait se passer cette nuit-là sur une base aérienne de l'est de la France.

Vous le saurez bientôt, c'est promis.

Florent.

Flo

flostcyr@msn.com

La suite ici

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org

www.cyrillo.biz site gay gratuit. Textes et histoires gay.