Cyrillo

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Week-end Catch et punitions

Ce week-end, je suis allé dans un club SM. La soirée avait pour thème "catch et punitions".

Vers 23H30, le gérant s'est mis en quête de huit combattants amateurs pour participer au tournoi de catch. Une piscine gonflable se trouvait au centre de la salle, elle avait été remplie de gelée lubrifiée. Le but du tournoi était d'affronter un adversaire, le faire chuter puis l'immobiliser pendant 15 secondes.

À la fin de chaque assaut, le gagnant était inscrit pour le combat suivant et devait tourner une roue avec des cases de couleurs et une case étoilée, comme au casino. Si la roue s'arrêtait sur une couleur, le perdant devait se diriger vers un salon privé illuminé de la même couleur pour subir une punition. Si la roue s'arrêtait sur l'étoile, le perdant était dispensé de punition.

Je me suis inscrit pour combattre, ainsi que sept autres gars. La plupart était d'un bon gabarit, bien taillé, bien musclé. Je ne suis pas une crevette mais je paraissais petit à leurs côtés.

Au début de chaque combat, les participants devaient entrer nus dans la piscine et se rouler dans la gelée. Ensuite, le combat commençait au son du gong pour une durée de 3 minutes maximum.

Mon premier combat m'opposa à un gars beaucoup plus lourd que moi. Au son du gong, il se rua sur moi, mes pieds glissèrent. Au sol, après cette glissade, il s'écroula sur moi pour m'immobiliser mais je réussi à me dégager. De la main droite, je pris son bras et lui fit une clef de bras. De la main gauche, je pris ces couilles en tenaille. Pour le maintenir au sol, je posai un genou sur son dos. L'arbitre décompta le temps, les 15 secondes passèrent.

Je fus déclaré vainqueur de ce combat et fut inscrit en quart de finale. Le gérant me fit tourner la roue, mon adversaire attendait le verdict tout en se massant les couilles car elles venaient de souffrir.

La roue s'arrêta sur la case rouge. Mon adversaire se dirigea vers le salon désigné. Il entra et la porte se referma. La suite fut filmer et projeter sur l'écran géant au dessus de la piscine.

Un homme cagoulé attacha les pieds et les mains de mon adversaire à une croix de St André. Les jambes écartées, le sexe bien accessible, l'homme commença à le branler. La bitte ne tarda pas à se dresser. L'homme plaça une pince sur chacun des tétons avec une petite chaînette entre les deux puis tira dessus par à coups. Mon adversaire souffrait, son visage était crispé. Le bourreau laissa les pinces en place et reprit sa branlette. Mon adversaire se décontracta un peu et commença à prendre du plaisir. Le bourreau lui accrocha un anneau de cuir autour des couilles. Ë cet anneau, il fixa une cascade de plateau. Le poids de ces plateaux exerçait une forte tension sur les couilles. Le bourreau versa de l'eau dans le premier plateau, celle-ci déborda dans le second puis le troisième Il devait y avoir 3 litres d'eau dans les plateaux qui étiraient les couilles de mon adversaire. Une fois les 3 plateaux remplis, le bourreau recommença à tirer sur la chaînette reliant les pinces à tétons. De sa main libre, il branla délicatement mon adversaire. Malgré les tiraillements, il bandait et éjacula rapidement. Le bourreau quitta la pièce, laissant mon adversaire attaché au cas où certains voudraient jouer avec lui !

Les combats s'enchaînaient, les punitions aussi !

L'heure de mon deuxième combat arriva. Ce second assaillant était trapu et tout en muscle. Malgré la gelée lubrifiée, ces prises étaient fermes et je fus mis au tapis plusieurs fois mais sans qu'il ne puisse m'immobiliser durant les 15 secondes réglementaires. Il fallut 3 rounds avant que je parvienne à le maîtriser.

Une fois de plus je fus déclaré vainqueur. La roue tourna et s'arrêta sur l'étoile. Mon adversaire était sauf d'une punition. Il méritait cette clémence, le combat avait été long et rude.

Pour la demi-finale, il ne restait que des gars vaillants et robustes. Ce dernier combat avant la finale allait très difficile. Mon adversaire mesurait dans les 2m, taillé comme un haltérophile. Dès le début du combat, il prit l'avantage, il arrivait à m'attraper et me bloquer mais telle une anguille, je m'extirpais de ces prises. Puis la chance tourna. Nous étions assis au sol face à face pour récupérer, mes jambes en dessous des siennes de part et d'autre de son corps. Je le pris de vitesse, mes mains attrapèrent sa nuque pour le plier en deux, il aurait pu se sucer la bitte tellement elle était proche de ces lèvres. Nos fesses étaient en contact, je pris mes jambes pour le ceinturer. Il était bloqué. L'arbitre commença à égrainer le temps. Pendant les 15 secondes finales, mon adversaire tenta tout ce qui était possible pour se dégager. Avec ces mains, il me tira les narines, les oreilles, me pinça les tétons, me griffa le torse et inséra 3 doigts dans mon cul. Heureusement que la gelée lubrifiée était là car il m'aurait déchiré tellement il avait la rage.

L'arbitre me désigna vainqueur ! J'avais gagné le demi final mais j'avais souffert. Je fis tourner la roue. Mon adversaire se dirigea vers le salon bleu. Ë genou par terre, le bourreau lui passa la tête et les mains dans un carcan de bois scellé au sol comme les prisonniers du moyen-âge. Ces chevilles furent attachées à des anneaux métalliques scellés au sol distants d'au moins 1m.

Dans cette position, mon adversaire était ouvert à toutes intrusions buccales, anales, son sexe pendant entre ces jambes. Il était à disposition de ceux qui voulaient se faire sucer ou ceux qui voulaient le pénétrer !

En attendant l'ultime combat : la finale, je suis allé jouer avec mon ancien adversaire. Sa bouche et son cul était déjà occupé, je dus attendre mon tour. Lorsque sa bouche fut libre, je me mis face à lui et posa mon sexe à demi bandé sur ses lèvres. Il embrassa mon gland puis ouvrit la bouche. Je le limais doucement le temps que ma bitte se dresse. Lorsqu'elle eut sa taille maximale, je l'ai limé à fond, le forçant à une pipe en gorge profonde. Il suçait bien, j'étais prêt à jouir ! Je me suis retiré, lui ai mis une petite baffe et lui ai expliqué que j'allais me venger de son intrusion lors du combat. Je fis le tour, prit son sexe et le branla sans ménagement. Il bandait dur et éjacula rapidement. Je pris son sperme sur le sol et commença à lui masser la rondelle avec. J'introduis 3 doigts dans son anus. Il était bien dilaté, je mis mon gland sur la rondelle et m'introduis jusqu'aux couilles en une seule poussée, il jouissait comme une salope. Je l'ai limé pendant de longues minutes, prenant soin de sortir ma bitte entièrement pour lui remettre immédiatement sur toute la longueur. Après plusieurs intrusions, je sentis mon sperme monté. Je sortis de son anus et vint exploser sur son visage. Je lui tendis ma bitte à nettoyer avant de me diriger vers la piscine pour l'ultime assaut.

L'arbitre était au centre de la piscine, mon adversaire dans un angle et moi à l'opposé comme des boxeurs. L'arbitre expliqua les nouvelles règles pour cette finale. Le combat durera 5 minutes maximum par round. Le but est toujours d'immobiliser son adversaire pendant 15 secondes. Le vainqueur gagnera une pipe de la part du perdant et le droit d'enculer le perdant. Puis il y aura le tour de roue pour la punition.

Le gong retentit. Mon adversaire se jeta sur moi. Il passa un bras entre mes jambes, l'autre autour de mon cou et me fit tomber sur le dos. Il s'écroula sur moi. Il était à califourchon sur mon torse, ces jambes bloquaient mes bras au sol, je ne voyais plus que son cul. Ces couilles et sa queue tapaient sur mes abdominaux. Ces bras attrapèrent mes jambes et les ramenèrent en arrière. J'étais totalement immobilisé. Il profita de la proximité de mon cul à côté de sa bouche pour me limer. Il voulait affirmer sa domination.

Le combat avait duré moins d'une minute. L'arbitre lui accorda la victoire.

Il relâcha mes jambes, glissa un doigt furtivement dans mon anus avant de se relever. Il se retourna et vint se rasseoir sur mon torse. Ces jambes bloquants mes bras, il se décalotta et présenta sa bitte sur mes lèvres. J'étais tellement concentré sur le combat que je n'avais pas prêté attention à ces mensurations sexuelles. Sa bitte mesurait dans les 30cm de long sur 9cm de large.

Je pris peur, son gland remplissait ma bouche, je devais étirer mes mâchoires pour qu'il puisse s'introduire. Il entra 1/3 de sa bitte dans ma bouche mais son gland obstruait ma trachée, je m'étouffais, il dut se retirer ! Ne pouvant le prendre en bouche, je fis mon maximum pour jouer avec son gland, son méat, sa longue queue et ces énormes couilles.

Il me rappela que je lui devais aussi une pénétration. Il s'allongea dans la piscine, s'enduit la bitte d'un maximum de lubrifiant. De mon côté, je me lubrifiais l'anus. Il me proposa de venir m'empaler, cela me permettrait de contrôler l'avancée de sa bitte et la douleur.

Je me suis déjà fait enculer par des gars bien montés et parfois même en double pénétration mais je n'ai jamais englouti un tel morceau !

Je vins me positionner au dessus de sa bitte. Il la tenait bien verticale. Je relâchais au maximum mon sphincter et me laissais descendre vers ce monstre de chair. Le gland entra en contact avec ma rondelle, tout en descendant, j'écartais mes fesses avec mes mains et me mis à tousser pour détendre encore mon sphincter. Le gland entra mais la douleur fut si vive que j'eus une larme à l'oeil. Je suis resté un long moment sans bouger. Mon adversaire remit du lubrifiant sur sa bitte pour que je glisse plus facilement. La douleur passée, je me suis laissé descendre progressivement. Il fallut plus de 15 minutes pour l'absorber jusqu'aux couilles.

La position debout étant fatigante, il me proposa de m'allonger sur le dos. Il bascula mes jambes en arrière et m'encula sur toute la longueur avec la plus grande douceur. Il entama quelques va et vient, la fréquence et l'intensité augmentèrent. Il prenait un pied monstrueux dans mon petit cul. J'étais bien dilaté, il se permettait de sortir intégralement et de revenir sur toute la longueur.

Après 30 minutes de ce travail anal, il explosa au fond de mes entrailles, je sentis un frisson parcourir son corps à la première déflagration suivi de trois gros jets de sperme. Il resta en moi le temps de débander.

Je bandais comme un ‰ne, il prit ma bitte en main, me branla. En quelques secondes, j'explosais ! Malgré l'excitation, je ne fis jaillir que deux petites giclées très claires. J'étais vidé !

Il se retira, me demanda de sucer sa bitte pour la nettoyer avant qu'il n'aille tourner la roue pour la dernière punition.

La roue tourna, les couleurs défilèrent, la roue s'immobilisa...

La roue était arrêtée sur l'étoile, j'étais sauf de la punition !
Content de cette issue, je me suis jeté dans les bras de mon adversaire. Nous nous sommes douchés avant de rentrer finir la nuit chez moi.

Mike

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