Cyrillo

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Le cousin

Cela remonte à 10 ans déjà, je devais être un bachelier bien naïf et ne connaissais pas encore beaucoup de choses de la vie. A la fin de l'année scolaire, j'avais croisé lors d'une soirée de famille, mon cousin le plus rapproché de mon âge, celui qui venait de passer son bac français avec de bons résultats.

Je ne l'avais pas vu depuis plusieurs années et découvrais à mon plus grand étonnement un jeune homme affable à la musculature déjà affirmée, un beau regard bleu qui devait faire pâlir les filles !!! A l'annonce de ses bons résultats, mes parents avaient proposé aux siens de venir passer le week-end à la maison de campagne. Nos adolescents, avaient-ils dit feront comme ça un peu plus connaissance. Savaient-ils si bien dire !

Le soir venu, nous étions donc reparti avec Jean qui avait sommairement rassemblé quelques affaires pour son week-end au bord de la mer. Lorsque nous sommes arrivés à la maison de campagne, il paraissait évident que nous coucherions dans la même chambre, ce qui ne sembla offusquer aucunement mon cousin. J'avais en effet là une chambre à moi, avec un grand lit, et dans laquelle j'avais accumulé nombre de souvenirs et babioles d'enfance : posters, coquillages, galets. Et bien sûr les quelques maquettes de paquebots qui avaient occupé mes vacances d'été solitaires les années précédentes.

Lorsque nous sommes arrivés dans " mon antre ", j'étais un peu gêné à l'idée de ne pas accueillir suffisamment gentiment mon cousin que je connaissais si mal. Faute de mieux, ce n'est sans aucune originalité que je lui dis de prendre ses aises pour s'installer comme il le voudrait et de ne pas hésiter à pousser mes affaires si cela lui était nécessaire. Jean me répondit avec un sourire amical que tout suffisait bien et qu'il n'aspirait plus qu'à un sommeil réparateur. Nous nous couchâmes donc côte à côte sans un bruit. Je partageais ainsi ma première nuit avec ce beau gars à mes côtés.

Le lendemain, après une grasse matinée obligée, nous avons donc sauté du lit pour aller déjeuner sur la terrasse. Mes parents nous avaient concocté un appétissant petit-déjeuner et Jean ne se priva pas d'ingurgiter avec satisfaction le nécessaire à recharger toute son énergie.
La journée se passa à merveille en découvrant que nous partagions finalement les mêmes goûts pour le calme et le farniente, bien que davantage habitué à a solitude que lui. Apres quelques brasses dans l'après-midi à la plage toute proche, nous étions venus nous reposer à la maison.

Je lui avais timidement proposé de lui montrer ma collection de maquettes. Il fut un visiteur attentif et intéressé au point de me demander avec enthousiasme si j'avais déjà fait un choix pour cet été commençant. Avec malice, je lui sortis la boîte de carton qui contenait les plans du futur voilier sur lequel j'avais jeté mon dévolu. Ni une, ni deux, Jean s'est animé pour commencer ladite maquette. Nous voilà donc installés sur la terrasse, le menu matériel de bricolage sur la tale, à découper, poncer, coller, les premiers éléments de coque. Tant est si bien que mes parents durent nous rappeler à l'ordre pour le dîner afin de nous sortir de nos activités ludiques. J'avais découvert en mon cousin un vrai camarade avec qui partager mes passions, et cela me faisait un immense plaisir. Je pense qu'il était satisfait de cette journée également car lorsque nous fûmes sur le point de nous coucher, il me sourit avec ses yeux si pétillants en me remerciant de lui avoir laissé partager mon passe-temps.
La soirée passant, il fut venue l'heure de se coucher, et, après avoir salué mes parents, nous refermèrent délicatement la porte de ma chambre, comme pour protéger ce qui devenait maintenant notre espace de complicité.

Avant d'éteindre les lumières, j'ai pu observer Jean se dévêtir sommairement, et enfiler son t-shirt pour la nuit. Son torse imberbe et les muscles pectoraux naissants me semblèrent d'une extrême beauté. Je n'osais pourtant pas le lui faire remarquer. Pour ma part, je me retournais avec plein de pudeur, pour enfiler mon caleçon de nuit. Nous nous retrouvions allongés sur le lit, et commençâmes à discuter de notre famille. Peu après, nous décidâmes d'éteindre la lumière pour continuer cette conversation amicale qui portait sur nos regrets à ne pas se voir si souvent. Cette discussion à voix basse dura sans doute fort longtemps, au point même où nous décidâmes d'arrêter et de dormir, histoire de pouvoir profiter du lendemain sans être obligés de se lever à midi !!!

C'est la voix pleine d'amitié complice que nous nous souhaitâmes bonne nuit, heureux d'être convaincus de notre amitié partagée. Je plongeais rapidement dans les bras de Morphée, heureux.

Je fus néanmoins réveillé dans la nuit par un rêve étrange, comme si une présence à mes cotés diffusait une chaleur palpable. Moitié endormi, moitié éveillé, je considérais la perception de mon rêve peu à peu, reprenant mes esprits. Je réalisais que cette présence était bien réelle, et cela ne pouvait n'être que celle de Jean !! je réalisais aussi que dans notre sommeil, nos corps s'étaient rapprochés, au point de sentir, contre ma jambe, la douce pilosité des mollets de mon cousin, dont la jambe, négligemment repliée, venait me faire un contact pressant sur la mienne. Je ne savais pas pourquoi, mais j'étais heureux de ce contact physique qui m'avait réveillé au point de ne pas oser bouger.

Au bout d'un moment quand même, je me tournais délicatement un peu plus sur le côté, en essayant de ne pas déranger le corps endormi qui laissait échapper un léger souffle. Apres m'être tourné, je réalisais que la respiration lente de Jean s'était tue subitement, comme pour laisser place à un silence que seuls, les amants savent partager. La nuit était douce et les persiennes laissaient passer une faible lueur diaphane de lune sur le lit. Il faisait chaud, nous étions sur les draps. J'étais heureux d'être là, en ce lieu, à ce moment. Perdu dans mes pensées, je sursautais presque à ce que je pris d'abord comme une piqûre d'insecte. Mais non, je devais encore rêve, il n'y avait pas de moustique pour piquer à travers un caleçon ! Quelques instants plus tard, le mystérieux insecte revenait à la charge sur mes fesses, contestant en cela les théories sur les insectes piqueurs la nuit. Mais non, je devais me rendre à l'évidence, plutôt qu'une piqûre, je sentais l'effleurement d'un index délicat.

Je n'osais pas respirer, de peur d'attirer l'attention et surprendre Jean dans son mouvement. Ce petit jeu candide continua et se fit même plus pressant car, après avoir reconnu un doigt curieux sur le tissu de mon caleçon, je confirmais la présence d'une main sur mes fesses. La caresse était douce et si agréable. Je n'en revenais pas. Cela se pouvait-il que dans ses rêves, Jean me caresse-t-il ainsi ? Dos à lui, je ne pouvais vérifier s'il dormait ou s'il véritablement envoyait une main baladeuse. La réponse vint d'elle-même lorsque, soudain, la main experte quitta la surface de mon caleçon pour s'aventurer carrément dans l'entrebâillement laissé par la coupe large du caleçon. Il n'y avait pas de doute, Jean me caressait doucement les fesses, et ne dormait plus ! Je commençais réellement à ne plus contrôler mon érection qui, heureusement, se trouvait cachée sous moi dans la position que j'avais à ce moment. Sans bouger aucunement, j'arrivais néanmoins à remonter mon bras le long de mon corps, pour rencontrer celui de Jean qui était lové tout contre moi.

Contre toute attente, je constatais du bout des doigts que mon cousin avait baissé son caleçon et je fus surpris de heurter un vigoureux pieu de chair et de sang, qui battait sur le ventre duveteux de Jean, au rythme de sa main. Il avait empoigné son membre de sa main droite et délicatement devait couvrir et découvrir son énorme gland de sa peau lisse. Jean se branlait doucement à côté de moi tout en me caressant les fesses de sa main gauche. Et moi je n'osais pas admirer ce spectacle de peur de le stopper net en le surprenant en telle posture.

Quel idiot j'étais en fait !!! Il m'a laissé poser ma main sur la sienne pour effectuer des mouvements de va-et-vient sur son énorme pieu qui était brûlant de désir. A ce moment là, je me suis mis sur le dos. N'en croyant pas mes yeux, j'avais en main une énorme queue de 20 centimètres sûrement, bien poilue à la base, épaisse, avec un gros gland violacé qui vibrait sous mes doigts. Je décidais de passer un index par-dessus, de manière à caresser le frein à chaque recalotage du prépuce, cela semblait exciter Jean au plus haut point car sa respiration s'accéléra brutalement.

De son coté, il n'était pas resté de marbre puisque ma queue gonflée était naturellement sortie de la braguette de mon caleçon et un long filet de mouille coulait le long de ma hampe. Il s'agita si fort dessus que tout d'un coup, à bout de souffle, je ne pus retenir une explosion de sperme qui jaillit en longs jets sur mon torse. Je pense qu'il explosa simultanément car il ravala un râle dans sa gorge. Dans un élan que je ne pus refreiner, Jean se pencha directement sur moi et se mit à lécher goulûment mes giclées encore chaudes. Puis mon cousin releva la tête, et je crus discerner dans la peine ombre un sourire le long de ses lèvres fines qui en disait long. Il remonta doucement vers moi et déposa un petit baiser sur ma joue, en me souhaitant de faire de beaux rêves. Il se retourna sur le lit, et ne parla plus jamais de cet épisode.

jeune_mec

jimmy_lyon@hotmail.com

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