Cyrillo

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FIST DU MATIN. 1

J'avais pris l'habitude d'aller courir nu sur cette grande plage des Landes. 50 minutes de sensations fortes, diverses, variées que ce soit le froid matinal sur la peau, les embruns des vagues, parfois plus tard dans la matinée, la chaleur cuisante du soleil.

Mes couilles et ma bite tressautaient à chaque foulée, je sentais l'air froid circuler entre mes fesses et caresser mon anus béant que j'avais dès le réveil, dilaté au gode et laissé plein de graisse. Mon esprit et mon corps étaient ouverts à tout.

Après une bonne vingtaine de minutes, je croisais un couple d'hommes qui jouait dans les vagues, malgré l'heure précoce de la matinée. Le premier, type viking, grand, blond, carré, poilu de partout, les cheveux longs. De belles couilles pendantes et malgré l'eau froide, un bel engin au repos. L'autre, brun plus petit, râblais, aussi poilu partout avec des fesses couvertes d'une toison impressionnante, et un service trois pièces somme toutes normal voire identique au mien. Je dépassais le groupe qui me fit signe et continua à batifoler dans les vagues.

Je continuais à courir, mais la vision de ces hommes, nus et libres, me faisait de l'effet, surtout le géant blond. Ma bite s'était gonflée et bâtait la mesure, ce qui n'était pas agréable. J'avançais encore un peu puis fis demi-tour. J'avais du avancer quand même puisque je ne voyais plus les 2 garçons. En observant bien je ne voyais plus qu'un seul ensemble qui s'était éloigné de la grève sur un petit monticule de sable.

C'est en me rapprochant que je vis que le brun était à quatre pattes, les yeux tournés vers la mer et les fesses offertes à son copain blond qui enfonçait son engin gigantesque dans le cul de son ami. Gigantesque en effet car il devait bien faire 23 cms de long et 8 cms de diamètre. De longs va et vient, qui semblaient interminables, tant la bite blonde était longue. Parfais elle sortait complètement dressée, majestueuse, pour se renfoncer lentement, le gland en avant, dans l'anus déchiré, mais tout n'était que douceur. Alors que je m'approchais, ils changèrent de position, le blond s'allongeant sur sa serviette et le brun venant s'empaler sur la bite énorme, me laissant voir subrepticement, son anus dilaté. Quelques montées et descentes et le blond grogna de plaisir, inondant tellement les entrailles de son ami que le sperme s'écoulait le long de la hampe encore dressée. Je ne pus m'empêcher d'aller boire le semence dégoulinante, léchant le sexe encore raide ou l'anus béant.

Tout ce petit monde se détendit et me voyant le sexe tendu, quasi à la verticale, rigolèrent un bon coup. Le grand blond déclara vouloir être aussi dilaté de l'anus et qu'il n'y avait pas d'engin à sa mesure dans les parages, ce que nous convenions aisément le brun et moi. Mais ce dernier avait plus d'un tour dans son sac dont il sortit un pot de graisse à fister en demandant au blond de se retourner et de nous monter sa rondelle, ce que celui fit, volontiers semble-t-il, laissant pendre sa bite au repos, bel engin faisant penser aux équidés en érection. Je ne pus m'empêcher de flatter ce bel outil luisant de graisse et de sperme. Quelle sensation de sentir dans sa main cette belle bite semi flaccide et ces belle couilles lourdes et souples.

Le brun commençait à s'affairer sur la blonde rondelle qui en avait déjà beaucoup vu. En effet, à force de graisse, c'est bientôt la main du brun qui disparaissait dans le cul du blond qui gémissait de plaisir. Il m'invita à y mettre aussi la mienne qui s'enfonça doucement dans cet antre de chair chaud et souple. Nos deux mains allaient et venait dilatant au maximum la rondelle accueillante. Le brun était en érection, me demanda de retirer ma main, et s'enfonça dans le cul de son ami. Visiblement il était en train de se masturber, la main et la bite dans ce cul dilaté.

Le blond me demanda de venir près de sa bouche et me goba le sexe jusqu'aux couilles. Baises moi me dit-il ! Lui prenant la tète entre les mains, je lui limais la gueule tandis que le brun continuait son affaire dans les entrailles de son ami. Puis son souffle devint court et il gémit un grand coup de jouissance ce qui déclencha chez moi une éjaculation puissante que je déversais dans la gorge de mon nouvel amant.

Le brun me demanda alors si je ne voulais pas qu'il me prépare à recevoir l'engin de son copain ?

Urso21ff

Urso21ff@orange.fr

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