Cyrillo

Page précédente

AVENTURE 2 - Levis man

Ce jour là, je roulais en direction d'Ascona pour le boulot. (Une foule de petites choses à régler dans plusieurs sites dans la région du Lac Majeur) ou je devais passer au minimum 2 jours.

Mon hôtel (La Perla) était réservé depuis 2 jours. Je roulais donc depuis bientôt 2 heures lorsque je décidais de m'arrêter pour une pause café dans ce restoroute juste avant Lucerne
(quand je pars à 6h30 du matin de chez moi, il me faut ma pause p'tit déj.).

J'avais garé mon carrosse d'entreprise dans le parking et j'étais en train de boire mon café bien chaud accompagné de croissant frais lorsque mon attention fut captée par un mec affublé d'un jeans déchiré de partout (trous aux genoux, sur les cuisses et, bien sûr à la poche arrière droite), bref THE LEVI'S comme je les aime et qui me font un effet certain juste au-dessous de la ceinture des miens.

Ce mec, donc passa devant moi et se dirigea vers les toilettes. Je terminai mon café et mon croissant et je fis de même (il faut bien vider la vessie de temps à autre) j'avais une idée en tête, celle de rencontrer de plus près ce Levi's man. Je fus déçu, car personne ne se
trouvait dans les wc à ce moment là. Toutes les cabines étaient ouvertes et Conchita faisait les nettoyages vers les lavabos. Vers les urinoirs, il y avait un vieux bonhomme en costar cravate qui refermait sa braguette après s'être soulagé, mais de Levi's, à part le mien, aucun à l'horizon.

Comme il m'avait foutu la trique, j'hésitai à entrer dans une cabine pour me branler
mais vu la situation (les nettoyeuses présentes) l'envie tomba subitement.
Je me suis dit que j'aurai plus de chance la prochaine fois. Je remontai donc du sous-sol et me dirigeai vers ma voiture. A peine sortit de la place de parc, sur le bord de la route avant la piste d'entrée sur l'autoroute, quelle ne fut pas ma surprise de voir mon Levi's man faire du stop. Alors là... Mon sang n'a fait qu'un tour (et s'est arrêté à ma bite qui commençait à
regonfler dans mon jeans); il était là, le pouce levé, son jeans troué et son sac à dos sur une épaule. Je m'arrêtai et l'invitai à prendre place dans mon carrosse.

Ce qu'il y a de bien avec les autoroutes, c'est qu'il n'y a pas d'équivoque possible sur la direction à prendre. Donc, à peine installé, je redémarre en direction du sud. Nous nous présentons mutuellement (moi c'est Pascal et lui, c'est Fred). Il va en Italie se dorer la pilule sur les plages de l'Adriatique. Je lui dit que malheureusement je ne vais pas si loin mais
que je peux le pousser un bon bout en direction de la frontière. Pour lui, c'est le bonheur du fait qu'il n'aura pas besoin de changer de véhicule durant les 250 prochains kilomètres. Tout en conduisant, je ne peux m'empêcher de reluquer ce mec avec son jeans à faire bander un eunuque si bien que tenant le volant d'une main, l'autre se ballade discrètement du côté
de mon sexe toujours aussi dur. Il faut toujours entretenir ce genre de chose.

De son côté, Fred se caresse aussi doucement une bosse qui ne trompe
pas sur son origine (ce ne sont pas ses clef qui provoquent cette proéminence). Il regarde aussi du côté de ma bosse qui est de plus en plus visible et me demande du tac au tac si c'est lui qui me provoque cet effet.

Je ne lui dis pas le contraire tout en lui précisant que son jeans me fait de
l'effet et que... Bref, de fil en aiguille, sa main vient se ;poser le long de ma cuisse et la mienne va directement sur son paquet bien fourni. Le tout à 120 à l'heure c'est dire...

Mais voilà qu'un ralentissement se profile à l'horizon ce qui n'est aucunement gênant quand on a une automatique, donc on continue nos préliminaires. Ma main se glisse par l'une des déchirures du Levi's et tombe sur le bout de sa bite. Ouaw, il ne porte pas de slip sous
son jeans. Du bout de mes doigts, je titille le bout de sa bite et je sens
déjà que mon doigt se mouille. Le sperme perle sur le bout de son dard en
érection.

Je sors ma main de là et lèche mon doigt. Son foutre a un léger goût sucré. J'aime. Durant ce temps, nous sommes entrés dans le tunnel et nous sommes coincés entre 2 semi-remorques. La pénombre est propice aux pires folies sur route. Il trouve la fermeture éclair de mon 505 et la descend.

Il a également trouvé le premier bouton et l'a décroché, je me trouve maintenant jeans ouvert et l'élastique du slip sous les boules qu'il me malaxe savamment de façon à entretenir une érection déjà fort belle et sa tête s'approche de ma queue qu'il engloutit dans sa bouche délicieusement chaude. Je commence à avoir de la peine à tenir mon volant (c'est pratiquement tout droit) alors que sa langue me titille le bout de la bite aussi prête à lâcher son jus.

La sortie du tunnel approche lorsque je largue une première salve de foutre dans
la bouche de mon autostoppeur. Le sperme coule le long de ses lèvres. Il s'approche de moi pour me rouler une pelle ce qui est assez acrobatique quand on roule. Je propose qu'on s'arrête dans une aire de repos et que nous terminions ce que nous avons commencé, ce qui semble de bon augure.

Je reboutonne mon Lévis et nous sortons de la voiture (il y a trop de monde autour pour continuer quoi que ce soit dans l'auto). Nous nous dirigeons vers le bâtiment abritant les wc et nous nous enfermons dans l'une des cabines et là, je reprend mes investigations mais en baissant son Lévis déchiré.

J'enfourne sa bite dans ma bouche et commence à le sucer avec vigueur. Comme j'ai déjà joui une fois et qu'il a encore du sperme dans la bouche, nous nous roulons une pelle mémorable ou je récupère on liquide resté chaud dans sa bouche tout en lui caressant les testicules. Puis, je redescends à mon occupation, celle d'un léchage en règle jusqu'à ce qu'il me largue tout
dessus. Je dégage sa bite de ma bouche au moment ou il se contracte et il me
gicle sur le torse (en fait mon t-shirt Adidas). Il s'essuie la bite à mon jeans et vient me lécher le torse pour récupérer son sperme sur le tissu.

Nous nous roulons à nouveau une pelle d'enfer et nous rhabillons. Lorsque nous sortons de la cahute, quelle n'est pas notre surprise (enfin ma surprise) de voir un mec, en short Adidas sprinter bleu avec lignes jaunes, passer de véhicule en véhicule pour s'enquérir de leur destination.

Je flippe immédiatement sur son short et m'approche de lui...

Adidaslover

pad@romandie.com

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org

www.cyrillo.biz site gay gratuit. Textes et histoires gay.