Cyrillo

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Livraison à domicile

J'ai toujours eu un petit faible pour les petites racailles.
En général ce sont des petits mecs pas mal délurés qui savent très bien ce qu'ils veulent et où ils vont. Évidemment, côté baise ce sont les plus beaux petits cochons qui soient. Ramón, parce que c'est de lui qu'il est question ici, est comme ça et je dirais même beaucoup plus encore.

Lorsque je le vis la première fois, c'était à l'épicerie de quartier tout près de chez-moi. Nous étions en juillet et il faisait une canicule à nous allonger les couilles jusqu'aux talons. Je l'aperçus alors qu'il était sur un petit podium à placer des légumes dans le comptoir réfrigéré. J'en suis devenu troublé au point de ne plus savoir où regarder ni où me mettre tant ce petit mec était beau et sexy. Il devait avoir 17 ou 18 ans, pas plus. Peau très basanée, imberbe, probablement Caribéen ou quelque chose du genre. Un mélange de Noir, de Latino et peut-être aussi d'Indien Caribe, je ne sais trop. Un petit corps à faire rêver, plutôt mince et musclé, juste ce qu'il faut. Un dieu quoi. Il avait les cheveux courts, couleur de l'ébène, les yeux noirs, le regard perçant, le sourcil épais, la lèvre aussi. Il me regarda, me sourit généreusement d'une bouche incroyablement appétissante et pourvue d'une dentition impeccable, blanche immaculée. On aurait cru la perfection.
Il portait un débardeur moulant et transparent fait de mailles très lâches au travers desquelles on distinguait des halos mammaires obscurs et grands du milieu des quels pointaient des mamelons aussi énormes que des bouts de doigts. Une touffe de poils noirs et denses lui dépassait des aisselles. Il portait également un mini short en jean très ajusté et déchiré à plusieurs endroits dont à l'intérieur de la cuisse gauche ce qui lui laissait dépasser un bout de queue. Il avait également un trou à l'arrière de son short, ce qui me permettait de voir sans problème, la raie de son cul, très beau petit cul rebondi et ferme. Je m'imaginai alors ce que ce petit cul devait bien sentir et goûter.


Puis nos regards se sont croisés alors qu'il tenait fermement dans les mains, un immense concombre anglais qu'il caressait lascivement de haut en bas simulant ainsi la masturbation. Il caressait le long légume de ses gros doigts spatulés tout en se frottant le généreux paquet sur le rebord du comptoir. Et soudainement il sortit la langue, la passa sur ses lèvres charnues 3 ou 4 fois en me fixant droit dans les yeux puis me lança un sourire des plus complice en me faisant un clin d'oeil qui en disait long. Trop, c'en était trop.


Ne sachant plus trop où regarder, je baissai les yeux et m'aperçus alors que le bout de queue qui dépassait de son short était devenu encore plus long et gonflait à vue d'oil. Une queue longue, brune et lourde, pourvue d'un gland énorme comme une poignée de porte et j'exagère à peine. Nos regards se croisèrent de nouveaux puis il me relança d'un autre sourire encore plus convaincant puis me fit de nouveau un autre clin d'oil en sortant la langue. Moi qui depuis des lustres n'étais plus habitué à autant de manifestation envers ma personne, je fus soudainement pris de panique et décidai de faire quelques achats pour apaiser toute cette tension qui me pesait depuis que j'avais franchi la porte de cette épicerie. Je découvris alors pour la première fois, à quel point mon épicier de quartier avait une gamme de beaux produits à offrir à ses clients et évidemment je pensais à Ramón, à ce qui lui pendait hors du short et bien sûr, ce que je devinais qu'il avait dans le short.


Arrivé à la caisse, j'avais tellement acheté pour essayer de calmer mes ardeurs qu'il était évident qu'une livraison s'imposait. Le caissier qui me connaissait très bien depuis toutes les années que je suis client chez-lui, me proposa une livraison à domicile et c'est Ramón qu'il désigna pour la faire. Il me fit un petit sourire moqueur, reluquant vers le petit légumier au teint basané et me dit que Ramón livrerait chez-moi. C'est à ce moment que j'ai su qu'il s'appelait Ramón. Je me surpris alors à imaginer ce jeune adonis sur une selle de vélo de livraison avec son accoutrement sexy, pédalant la queue pendante sortant de son short. Soudainement, une érection incontrôlable se fit sentir avant même que j'aie eu le temps de payer la note. Je quittai l'épicerie avec un grand sourire aux lèvres et me dirigeai rapidement vers chez-moi.


En rentrant chez-moi je ne pus que constater mon bordel de la veille. Des revues et des films pornos traînaient ici et là sur le tapis du salon. Il y avait sur la table à café, des condoms, un tube de lubrifiant et ma série de godes alignés du plus petit au plus gros. Non mais moi qui donnais l'impression d'être un homme d'âge mûr sérieux et bien rangé, voilà que tout allait basculer avec cette mise en scène érotico-pornographique que ce jeune homme aurait sous les yeux en pénétrant chez-moi. De toute évidence je n'avais pas le temps de faire du rangement avant que n'arrive le beau Ramón. Il faisait trop chaud pour mettre de l'ordre et advienne que pourra, dorénavant je ferai passer pour le vieux cochon qui s'en met plein le cul en s'enfilant des godes gros et longs comme ça.


Je décidai de pisser un bon coup car c'était ce qui pressait le plus avant que le jeune fauve n'arrive. J'étais encore excité avec un reste d'érection dans le pantalon. La queue me bavait au point que j'en avais le prépuce collé au fond du slip. Ma grosse bite aussitôt hors du jean, me vint soudainement l'odeur masculine du désir m'envahir et me pénétrer les narines. Cette odeur que j'associe tant au sexe et à la bonne queue de mâle, celle-là même que je recherchais dans les buissons des parcs, à une certaine époque alors que ma bouche gourmande n'en pouvait plus de n'avoir rien à se mettre sous la dent. J'avais à peine eu le temps de me secouer le membre et de me passer le pouce sur le gland pour enlever le jus de désir qui me coulait de la queue, que le carillon de la porte se fit entendre. Il n'y avait pas de doute, c'était lui. C'était Ramón. Vite je sortis en trombe de la salle de bains, un peu plus excité et appuyai sur le bouton de la porte pour le faire entrer.


Il était là au bas de l'escalier encore plus beau qu'à l'épicerie. Je le regardai gravir les marches avec les sacs d'épicerie dans les bras, sa grosse et longue queue dépassant de son short. La canicule agissait sur ses parties génitales, c'était évident. Il déposa les sacs dans l'entrée, à mes pieds. D'un regard vif ses yeux firent un tour rapide des lieux puis il me fit un sourire espiègle et complice avant de redescendre chercher les sacs qui étaient restés sur son vélo de livraison. En remontant l'escalier je m'aperçus qu'il avait alors une érection totale et sa longue queue brune de dressait droit devant lui retroussant le rebord de son short. De lourdes couilles grosses comme des oeufs remplissaient un long sac brun et lisse qui pendouillait et balançait de gauche à droite au fur et à mesure qu'il montait les marches. De toute ma vie c'était de loin le spectacle le plus érotique que je voyais à ce moment-là. Non mais imaginez un peu la scène : un dieu de 18 ans gravissant votre escalier avec une teub brune d'au moins 24cm, bien raide, pointant droit devant lui, le tout garni d'une belle touffe de poils noirs, et de lourdes couilles dansant ensemble la plus belle valse du monde.


Arrivé sur le seuil de la porte il déposa les derniers sacs, se redressa et de ses yeux rusés, il fit un autre tour d'horizon du salon. D'une main il s'appuya sur le cadre de la porte et de l'autre il agrippa son long membre obscur et dur et d'un coup de bassin vers l'avant il me dit :
< Chupa, chupa, chúpamela, chúpamela bien.>
Il libéra la main qui le retenait au cadre de porte, s'écarta les jambes, les genoux un peu fléchis et se cracha abondamment dans les mains. Il empoigna son immense gland à deux mains, le frottant à un rythme effréné, se masturbant et se branlant les couilles de gauche à droite dans un mouvement endiablé du bassin. Puis il me dit d'une voix ferme et décidée :
< Es tuya, por favor chúpamela, es tuya.>


Le peu d'espagnol que je connaissais était suffisant pour que je comprenne ce qu'il voulait que je lui fasse et sans plus tarder, je me jetai à ses pieds, m'accaparai de cette énorme bite et de ce gros gland suintant le désir. Je me suis mis à le lui bouffer comme la chose la plus rare et la plus précieuse au monde. Il faut dire que ça faisait belle lurette que je ne bouffais plus de queue, mon seul plaisir étant celui que me procuraient à l'occasion, mes fidèles godes et ce depuis un moment déjà. Ce gland gigantesque qui me remplissait la bouche était sans doute ce que j'avais bouffé de meilleur et de plus gros à ce jour. Tout à fait le goût qui me venait en tête lorsqu' étant plus jeune, j'avais envie de bouffer de la grosse teub et que je sortais m'en chercher une dans les buissons des parcs. Je me souvins des effluves de toutes ces belles queues qui me passaient sous le nez et qui me pénétraient les narines et les papilles. Je me souvins de tout ça sauf que là j'avais beaucoup plus encore et à moi tout seul. Je n'avais pas à partager mon butin comme dans le bon vieux temps, quand 5 ou 6 mecs faisaient la queue pour sucer la plus grosse bite qui s'y trouvait. Moi, j'avais là, le plus beau et le plus gros morceau du monde entre les mains et de plus, j'étais chez-moi, dans mon salon et pas avec n'importe qui. J'étais avec Ramón, le beau Ramón et, déjà je l'aimais.

À deux mains j'entrepris de manipuler son long membre alors que ma bouche s'affairait à avaler le plus de centimètres possibles. Aussi bien en profiter quand ça passe, me disais-je, tout en dévorant l'énorme et délicieux gland que je tenais ferme de mes dix doigts. Cette queue était un pur délice, goûteuse à souhait et dotée d'un prépuce abondant qui ne faisait pas mieux que d'y capter ces saveurs qui me plaisent tant. Mais quel gland! Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Je m'acharnai à le lui siphonner, à essayer d'en extraire toutes les saveurs et d'en extirper le plus de jus possible qui viendrait à jaillir. Je désirais profiter au maximum de cet instant magique et humer toutes les odeurs de ce corps et de cette queue. Déjà pour son jeune âge, Ramón avait tout du mâle mature. Tout de la virilité caribéenne était omniprésente chez cet être ensorcelant, non seulement les saveurs mais les mensurations aussi. C'est à se demander s'il avait terminé sa croissance le petit Ramón, car s'il avait eu encore à croître de la queue il aurait souffert d'une grave infirmité, ça c'est sûr. Mais ce qu'il goûtait bon mon Ramón. Ce qu'elle était bonne sa queue, sa belle grosse queue de macho caribéen.


< Chupa, chupa, sí papi, chupa, así, así papi,>
me disait-il alors que moi, je ne cessais de m'appliquer la bouche pleine, à faire son bonheur et le mien tout autant. Je m'affairais sur son long membre viril, dur et gonflé au maximum lorsque tout d'un coup il se raidit et se mit à trembler de tout son corps puis hurla à haute voix :
< Cola, cola la leche papi >
Sans que j'aie eu le temps de réagir, une giclée de liquide chaud, de nectar des dieux devrais-je plutôt dire, me remplit la bouche et sans tarder j'avalai tout son jus de couilles qui à mon avis était du vrai bonbon que je laissai couler jusqu'au fond de ma gorge et profondément en moi. J'étais aux anges.


Après les longues giclées, il reprit rapidement ses esprits et essaya de remettre en place dans son short trop petit, la vingtaine de centimètres de queue et de couilles dont l'avaient si généreusement pourvu ses géniteurs. Mais rien à faire, toute cette abondance de chair débordait d'un côté ou de l'autre. Du regard il fit un dernier tour d'exploration des lieux et sourire aux lèvres il me mordit tendrement le lobe de l'oreille en me chuchotant :
< Fue muy rico, muy, muy rico papi. A mí me gustó mucho, ? y a tí papi, te gustó? >
Avant même que j'aie eu le temps de trouver les mots pour lui répondre, il effleura ses grosses lèvres pulpeuses sur les miennes, les embrassa tendrement, sans plus et me dit:
< Volveré, sí volveré > en souriant et en regardant les objets érotico-pornographiques qu'il avait sous les yeux. Il dévala les marches du paradis à vive allure et quitta sur son vélo, sourire aux lèvres, les organes au vent. Je réalisai alors que je n'avais même pas été foutu de lui remettre le généreux pourboire qu'il avait pourtant si bien mérité pour cette livraison et ce petit extra surprise surtout tant apprécié. Je devais sans doute être terriblement troublé par ce qui venait de m'arriver et par le beau Ramón.


Ramón avait à peine enfourché son vélo et parcouru une dizaine de mètres que je me précipitais sur mon gode noir de 24 centimètres avec la ferme intention d'assouvir mes plus bas instincts. Ayant encore bien imprégné sur les lèvres et les mains, l'odeur virile de Ramón, je ne pouvais m'empêcher de penser à lui et à ce qui venait de se produire.
Une série d'images me passaient dans la tête comme si je visionnais un film porno. Toute son odeur me pénétrait encore malgré son départ. Le parfum suave de sa touffe et l'odeur aigre-douce de la sueur de son entre jambe me collaient aux narines et aux lèvres. Mes mains et ma langue embaumaient le gland viril et le prépuce abondant. Mon petit cul n'avait pas été comblé et il me fallait à tout prix substituer Ramón, ne serait-ce que pour quelques instants. J'agrippai alors sauvagement le gode, le portai à ma bouche et prononçai à voix haute :
< Ramón, Ramón, ven por aquí. >
Je le léchai un moment avant de le couvrir d'un condom et de l'enduire du gel lubrifiant qui se trouvait juste là. Je déposai le gode géant sur la table à café et l'enfourchai. Je pris place sur cet objet de désir que je ne voyais plus du tout comme un vulgaire machin en caoutchouc noir. Dorénavant ce gode s'appellerait Ramón.
Je m'assis sur la queue de Ramón et éprouvai autant de plaisir que si ça avait été sa queue à lui. Je me suis mis à la faire pénétrer tout doucement dans mon petit trou, me tortillai dessus et bougeai mon cul pour qu'elle entre jusqu'au fond, puis je suppliai Ramón de m'en donner plus, encore plus:
<Dame pinga, dame más pinga por favor, > lui répétais-je.
Encore plus s'il te plait. Je l'aime ta queue elle est bonne, donne m'en plus.
< Más profundo por favor, dame más.>
Je me mis à quatre pattes, appuyant le long membre de caoutchouc contre le divan et dis: <Dame por detrás. Por detrás por favor, damela completa, la quiero muy dentro de mí.>
Puis je changeai de position à toutes les 10 minutes pendant plus d'une heure et compris ce que pouvait signifier le prénom Ramón. C'est que si il s'appelait ainsi, ça devait vouloir dire qu'il excellait pour effectuer le travail de ramoneur. Puis je me passai un poignet, Ramón profondément enfoui dans le cul.


Le lendemain j'avais l'anus qui me rappelait que la veille j'avais bien joui, trop peut-être, mais la slotte qui sommeille en moi me disait que je n'avais pas été tout à fait comblé. Je décidai de passer un coup de fil à l'épicerie sans avoir préalablement fait de liste d'emplettes et je commandai : Le Blueboy d'octobre, un concombre anglais, un pot de yaourt nature, une boîte de condoms noirs et 6 bières mexicaines. Je demandai que ce soit livré par Ramón ce qui ne sembla pas causer problème et me préparai à recevoir le fauve. Je suis devenu tout excité à l'idée de revoir Ramón. Je me douchai, me fis un lavement en règle au cas ou Ramón eut l'intention de me ramoner les arrières puis m'asséchai pour ensuite m'entortiller la taille d'un léger paréo aux couleurs des Caraïbes. Je mis un disque de Polo Montañez en supposant que Ramón soit Cubain et qu'il apprécie mon choix musical. Je me servis une petite bière puis très relaxe j'attendis que la bête vienne.


Le carillon de la porte retentit et Ramón monta avec les victuailles et la bière. Il gravit l'escalier et me dit: < !Qué calor señor! >
Il dégoulinait de sueur et pour se protéger du soleil il s'était enrubanné la tête de son t-shirt. Il ne portait que ses baskets et un spandex blanc et transparent tant il était mince et imbibé de sueur. On distinguait très bien sa peau cuivrée à travers le vêtement. Ce fut plus fort que moi et lui dis :
< !Que sexy estás hoy Ramón! >
Ce qui instantanément provoqua chez le jeune homme, une érection des plus majestueuse. Au fur et à mesure que gonflait sa longue queue, je pus distinguer la forme que prenait son gland à travers le tissu mince et détrempé du spandex. Il déposa la bière et le sac d'épicerie sur le pas de la porte. Puis soudainement une bosse aux proportions démesurées apparut alors que Ramón se touchait. Je ne savais pas si le geste de sa main sur sa bosse était pour camoufler une situation embarrassante ou s'il se caressait pour activer d'avantage l'érection qui le titillait.
Il se pencha, sortit du sac la revue Blueboy et me dit:
<?Te gusta a los Latinos viciosos?> en me montrant la page centrale du magazine où deux mulâtres à grosses queues s'en donnaient à cour joie.
Puis il s'empara du concombre anglais, le masturba et le porta à sa bouche puis le lécha. Il frotta le long légume sur sa queue, entre ses jambes puis le fit glisser entre ses fesses. Il se mit à frapper le concombre dans sa main comme s'il empoignait une matraque prête à s'attaquer à un manifestant en manque de sensations fortes puis il me poussa sur le dossier du fauteuil. Il me fit signe de me retourner puis me bascula à plat ventre le cul en l'air alors qu'il se trouvait derrière moi. D'un geste des plus viril, il arracha mon paréo d'une main et se mit à me frapper les fesses avec le concombre puis me le passa entre les cuisses, sous les couilles puis dans la raie du cul. Il se cracha dans la main y frotta le concombre pour l'enduire abondamment de salive et commença à me le pénétrer dans le trou du cul.


<?Lo quieres, lo quieres por el culo el pepino?> Me disait-il.
Et sans trop m'y attendre il m'enfonça le long concombre jusqu'au fond des entrailles en le retenant par l'extrémité. Il me l'entra jusqu'au fond, le sortit complètement puis recommença de nouveau à le pousser le plus profondément possible. Il prenait plaisir à le voir entrer et sortir et devait imaginer sa grosse queue brune pénétrant mon petit cul. Il disait plein de choses obscènes que je n'arrivais pas toutes à comprendre et ça m'excitait. Au bout de 20 minutes de va-et-vient intensif et accéléré, il sortit le concombre de mon cul après l'avoir bien travaillé et bien ouvert. Il fouilla à nouveau dans le sac d'épicerie puis en sortit un gros épi de maïs qu'il pela sous mes yeux avec un air vicieux.
< Mais qu'est-ce que c'est Ramón ? J'ai pas demandé de maïs moi > lui dis-je.
< Es para tí, un regalo > me dit-il. Il prit du sac le pot de yaourt, l'ouvrit et y trempa l'épi de maïs avant de me l'introduire au cul afin d'y poursuivre ses préliminaires de ramonage. Pendant un long moment, je ne sais plus au juste, il empoigna d'une main ferme la tige de l'épi qu'il fit entrer et sortir de mon cul sans relâche. Puis ensuite, pendant dix ou quinze minutes il fit rouler entre ses mains la tige de l'épi que j'avais bien enfoui dans le cul comme s'il avait voulu allumer un feu au temps du CroMagnon.
< ?Quieres más, quieres más? > me disait-il
Et moi je répondais du mieux que je pouvais: < Sí dame más, dame más, quiero más, mucho más. >
Il en rajouta encore et encore me disant:
< Sí, ?quieres más? ?Como qué? Dime papi. Dímelo,> puis il s'empara du gros dildo de 24 centimètres qui se trouvait juste là à côté de nous et me le mit sans ménagement dans le cul et se poursuivirent encore les préliminaires largement amorcés depuis déjà plus d'une heure.

Non mais ce qu'il était cochon ce Ramón! Mais où donc avait-il appris ce métier de ramoneur qu'il maîtrisait si bien? Puis je lui criai:
< ! Basta, Basta ! >
Je n'en pouvais plus. Vraiment c'en était trop. Il s'arrêta d'un coup. Je le suppliai, la voix toute tremblotante, s'il ne pouvait pas me donner un moment de répit, car j'en avais vraiment besoin.
< Quiero descansar un poco Ramón. Es demasíado todo lo que me das por el culo. ? Es posible descansar un rato? >
Puis il me répondit:
< Sí, sí amor, >
puis se jeta sur le fauteuil les jambes écartelées, les deux mains tendues vers son énorme phallus qui montait vers le ciel. Il me dit:
< ¡Mira, mira, cómo se me la pones! Ven, ven por aquí. >
Je me plaçai à genoux, entre ses deux jambes bien écartelées puisque c'est la position qu'il souhaitait que je prenne puis il me dit:
< Mientras se descansa tu culito, me la puedes chupar, ?O.K? >
Le sucer pendant que je me reposais le cul. Après tout ce n'était pas une mauvaise idée!

Je me mis son gros gland suintant dans la bouche et il avait ce subtil petit goût de sardine qui, à moi, me plait tant. Je passai ma langue sous son large prépuce plein de jus de désir et je m'en donnai à pleine gueule puis dégustai cette queue que j'aimais tant. Le repos de mon petit cul fut de bien courte durée puisqu'il me fit une proposition des plus alléchante à laquelle je ne pus résister un instant de plus... Il m'offrit sa queue par le cul et ça avait l'air de presser tant il s'impatientait de vouloir évacuer son jus de couilles. Il me dit: < ?Lo quieres por el culo mi palo?> < ?Dime, dime papi? > < ?Lo quieres mi palo negro? > Tout en fouillant dans le sac pour prendre la boîte de condoms qu'il ouvrit maladroitement. Il sortit un sachet qu'il déchira avec ses dents et s'enfila le condom puis il reprit sa place de macho dans le fauteuil. En me faisant un signe de la main il me dit: < Ven, ven por aquí, > puis tenant sa grosse tige à deux mains me fit signe de grimper sur le fauteuil au-dessus de lui.
Je m'exécutai sans la moindre hésitation.
Je l'enfourchai, m'accroupis puis m'aligna vis à vis son membre immense et commençai à descendre dessus jusqu'à ce que je sois complètement assis sur ses cuisses, sa tige dure bien enfouie au fond de mon cul.
Il me dit : < Mueve tu culito papi, muévele, muévele, sí, así, así me gusta a mí. >
Je bougeai à un rythme effréné comme si j'avais eu un ressort au derrière.
C'est incroyable comme il appréciait, ça se voyait dans ses yeux.
Il me prit les fesses de ses larges mains puis m'aida à bouger encore plus: < Sí papi. Así, > disait-il.
Alors que j'étais bien agrippé à son cou, il se souleva, me retint par les jambes et sans retirer sa longue queue de mon orifice chaud et gourmand, me retourna le dos vers le sofa, m'y bascula pour que je sois face à lui, les yeux dans ses yeux. Il me souleva les jambes, les déposa sur ses fortes épaules, son long membre viril entré bi
en profondément en moi puis pendant un long moment il continua à me pénétrer de son grand bâton noir et dur qu'il adorait voir entrer et sortir de mon orifice bien dilaté. Ainsi il me fit languir encore un long moment avant de me dire:
< ?Lo quieres mi palo. Lo quieres mi palo negro? Es tuyo >
Puis à cet instant il m'enfonça son long manche d'un coup, jusqu'au fond du cul au point où j'ai cru voir les 36 chandelles. Je sombrai alors dans une telle euphorie, que je le suppliai de ne plus me laisser et lui demandai de me faire jouir encore et encore pendant des heures. Je ne sais pas s'il comprenait ce que je lui disais, mais alors que nous étions dans le feu de l'action et que ses lourdes couilles battaient entre mes cuisses et que son gigantesque membre entrait et sortait de moi, il me dit: <Papi, ahora es para nosotros dos, > puis s'activant encore plus il me mordit la lèvre assez fortement, se mit à gémir et à trembler puis dans un spasme que je crus fatal il cria: < Cola, cola la leche > puis s'immobilisa en lâchant un long soupir de satisfaction. Il venait de se vider les couilles. L'homme, le macho était fier et satisfait de lui. Son corps était en vapeur et putain, quelle odeur il dégageait! Il m'enivrait. Ce qu'il sentait bon et ce que je l'aimais.

Il resta couché par dessus moi un long moment avant de reprendre vie puis d'un bond il se leva et me dit sourire aux lèvres :
< ?Te gustó? ?Satisfecho, satisfecho tu culito papi? >
Je lui offrit una cervezita, j'en pris également une. Nous buvions nos petites bières, lui tout affalé à poil sur le divan, la queue pendante et longue entre ses cuisses et moi, assis par terre à ses côtés à le lécher, le sentir, le caresser. Je l'aimais. Il me fit un commentaire sur la musique qui jouait en sourdine m'avouant qu'elle lui avait permis de bien performer malgré cette canicule accablante. Puis il réclama una ducha qu'il prit en vitesse avant d'enfiler de nouveau son mince spandex usé et transparent. Cette fois-ci je ne devais pas oublier de payer mes achats et lui remettre un généreux pourboire pour cette excitante livraison. Je n'ai pas eu à fouiller dans mon portefeuille. Je l'ouvris et lui, plongea ses longs doigts dedans en me disant: < Muy buen servicio,?no? > Je répondis que si, du très bon service... C'est alors qu'il pigea quatre billets de cinquante dollars et un de cent et me dit avec le sourire: < Señor, buen servicio vale mucho.> Puis il mit les billets dans le rebord de son spandex, qu'il roula sur sa cuisse jusqu'à l'aine pour être certain de ne pas perdre son butin et quitta très heureux sur son vélo de livraison.

Quelques jours plus tard je pris des vacances et évidemment j'avais choisi Cuba comme destination parce que Ramón était Cubain et j'avais décidé qu'à l'avenir je ne voulais rien d'autre que du Cubain pour passer du bon temps. Je trouvai un billet d'avion dernière minute puis partis pour la perle des Antilles. Afin de ne pas trop souffrir de solitude, j'avais pris soin d'apporter dans mes bagages, mon gode qu'à présent je nommais Ramón mais le malheur et la malchance ne cessèrent de s'acharner sur moi tout au long de mon séjour. En arrivant à La Havane on confisqua mon Ramón sous prétexte que je transportais du matériel pornographique illégal. J'ai dû payer $250.00 américains à un douanier véreux afin qu'aucun rapport ne soit fait contre moi, m'évitant ainsi d'être dénoncé et fiché aux autorités. Je n'avais donc plus mon fidèle compagnon de voyage si précieux pour me tenir compagnie. Une fois sur place, j'ai eu droit à 6 jours de tempête tropicale alimenté de pluies diluviennes et de vents très violents qui arrachaient tout sur leur passage. De toute évidence et dans de telles conditions nul besoin de vous dire que la drague fut impossible pendant tout mon séjour passé enfermé dans ma chambre d'hôtel sans même rien avoir à me mettre au cul.

J'étais revenu à Montréal avec une telle hâte de revoir mon beau Ramón, parce que cette histoire de dildo confisqué à Cuba m'avait mis dans un état tel, que pendant tout mon séjour passé là-bas, je n'avais jamais cessé de penser à lui. À Ramón évidemment, pas au gode. Mais c'est à sa grosse teub de mulâtre que je pensais le plus souvent. À lui, un peu moins, bien qu'il me fit un petit quelque chose ce petit Ramón. Je ne sais trop quoi au juste, mais quelque chose.

Le lendemain de mon retour à Montréal lorsque je me présentai à l'épicerie, je ressentis un certain malaise au sein des employés et des patrons alors que je tentai de savoir ce qui était advenu de Ramón. Disons qu'ils n'eurent pas trop envie de discuter. Ça ne pouvait être plus évident. Il sembla même y avoir du branle-bas de combat autour des caisses alors que trois ou quatre tantouzes dans la soixantaine discutaient fermement avec un caissier et le patron. J'avais demandé à un commis s'il avait vu Ramón mais celui-ci, nerveux m'avait répondu de manière très évasive qu'il n'était plus là et que personne ne savait où il se trouvait. Je décidai de quitter sans rien acheter et entrai directement chez-moi.

Quelques jours plus tard je retournai à l'épicerie pour y faire des courses alors que tout sembla être revenu au calme et à la normale. Le légumier qui remplaçait Ramón n'avait rien, mais absolument rien de sexy. C'était un petit boutonneux, plutôt obèse et aux cheveux gras qui n'avait pas l'air à sa place du tout sur le petit podium servant à placer les fruits et légumes au fond du comptoir réfrigéré, celui-là même sur lequel Ramón m'avait fait son petit numéro érotique, quelques semaines auparavant.

Je fis quelques achats et aperçus deux tantouzes qui discutaient ensemble d'un petit mec qui avait pris la fuite avec leur argent après avoir passé la soirée à leur domicile.
Discrètement je fis semblant de chercher des produits aux rayons des surgelés et tout doucement je m'approchai des deux commères pour écouter ce qu'elles avaient de si précieux à se dire. J'entendis alors prononcer le prénom de Ramón puis il fut question de fric et de vélo volés.

Puis mine de rien je m'éloignai tranquillement puis passai à la caisse du beau Bernard que je soupçonne depuis des années de faire trempette avec les petits mecs qui travaillent à l'épicerie. Bernard et moi nous nous connaissons depuis plusieurs années déjà et il n'y a pas vraiment de secrets entre nous. On se dit tout ou presque. Il sait que je suis gay et moi je sais qu'il n'est pas tout à fait hétéro.

Toujours est-il que je demandai à Bernard si Ramón travaillait toujours comme légumier. Il me répondit non et m'expliqua que quelques jours plus tôt, Ramón avait déguerpi avec les recettes de certaines livraisons qu'il avait effectuées tard en soirée en plus de voler le vélo de livraison de l'épicerie. Il me dit qu'il ne savait pas pourquoi mais beaucoup de gens avaient réclamé le petit Ramón au cours des dernières semaines. D'ailleurs il remarqua que la clientèle de l'épicerie s'était beaucoup égayée depuis qu'il avait embauché Ramón. Mais moi je suis certain qu'il n'avait pas fait que de l'embaucher, il avait sûrement dû le débaucher aussi, à moins que ce ne soit le contraire qui se produisit.

Bernard m'avoua que les vieilles mémés du quartier qui étaient de fidèles clientes, se plaignaient. Elles ne voulaient plus venir à l'épicerie parce qu'elles trouvaient Ramón trop osé et vulgaire de par sa manière de se vêtir compte tenu qu'il était affecté aux fruits et légumes ainsi qu'au service à la clientèle. Il me dit qu'à plusieurs occasions il avait remarqué les vêtements provocants que portait Ramón mais qu'il avait jusqu'à cet incident, été un employé modèle et sans reproche, un employé avec beaucoup d'entregent. Je ne pus m'empêcher d'ajouter : et un bel entrejambe... Bernard pouffa de rire et me dit que c'était sans doute la raison pour la quelle défilaient autant d'admirateurs venant le contempler pendant ses heures de travail. Puis il me dit qu'il avait pu constater une forte hausse de la clientèle, masculine et gay, les jours où Ramón travaillait.

Il remarqua une augmentation très significative du nombre de livraisons depuis qu'il avait assigné Ramón à cette tâche étant donné que les fruits et légumes ne l'occupaient pas plus qu'il ne le fallait. Je payai mes achats et saluai amicalement le beau Bernard puis quittai avec très peu d'espoir de revoir Ramón, mon beau Ramón.

Étant sans nouvelles de Ramón depuis plus de trois semaines, je ne pus tout simplement pas me faire à l'idée de ne plus le revoir. Je sombrai dans un étrange état d'esprit lorsque je me mis à penser que cet épisode n'avait été rien d'autre qu'un petit soubresaut dans ma vie sexuelle avant que ne s'installe la grande abstinence à la quelle nous devons tous un jour ou l'autre être confrontés alors qu'on atteint un certain âge. Je compris donc pour qui et pourquoi les godes avaient été inventés et j'optai pour cette alternative pas si mauvaise en soi et entretins ainsi mon petit cul au cas ou Ramón ou un autre ne viendrait qu'à sonner à ma porte.

J'avais repris mon travail depuis près de deux mois et nous étions en plein été des Indiens. Novembre était à nos portes quand soudainement, un lundi soir tard, autour des 23 heures, on sonna à la porte. Mais qui cela pouvait-il être par une heure aussi tardive? Je n'attendais personne. Je venais tout juste de terminer de prendre ma douche et je n'étais vêtu que d'un simple drap de bain. J'appuyai sur le bouton pour actionner l'ouverture de la porte et un beau petit mec, en short, tout en muscles et en cuisses entra. Un petit trapu vraiment pas piqué des vers, mais pas du tout, était là au bas de l'escalier, s'apprêtant à monter. Avant même que j'aie eu le temps de lui demander ce qu'il désirait, il commença à gravir les marches avec un carton de bière dans les mains. Je lui dis qu'il devait faire erreur puisque je n'avais pas téléphoné à l'épicerie pour commander quoi que ce soit mais il faisait fi de ce que je lui disais continuant son ascension d'un pas ferme et décidé.

< Je m'appelle Marco > me dit-il, une fois arrivé en haut de l'escalier.
< Non mais ce n'est pas une heure pour venir sonner aux portes des gens >
lui dis-je un peu vexé.
< Ouais je sais mais voulez-vous s'il vous plait, monsieur, nous encourager mes potes et moi ?> me dit-il.
< C'est pour quel organisme ton truc?> lui demandai-je.
<Vous vendez quoi, pas encore du chocolat infecte et des stylos qui ne fonctionnent pas?>
< Ne soyez pas autant sur vos gardes monsieur, laissez-moi vous expliquer de quoi il s'agit. C'est que mes potes et moi, on a besoin d'une petite main d'encouragement de la part des clients à qui nous rendons visite...> me dit si gentiment le beau petit Marco.
< À 23 heures vous arrivez comme ça chez les gens pour une petite main d'encouragement, non mais ça va pas? > lui dis-je.
Ce petit mec-là, moi, je croyais savoir de quel type de petite main d'encouragement il pouvait avoir besoin.
< Je vais t'expliquer si tu veux, mais ne t'énerve pas o.k > me dit-il alors qu'il venait de passer au mode tutoiement.

Puis il ouvrit le carton de bière qui en fait ne contenait aucune bouteille de bière.
Il y avait dans ce carton bien d'autres choses que le jeune garçon commença à déballer et à disposer tout autour de lui. Des condoms, du gel lubrifiant, des godes, un fouet et de nombreux objets de toutes sortes étaient alors étalés devant moi. Il me tendit alors un dépliant en me disant qu'il s'agissait des services et des produits qu'ils offraient lui et ses amis puis me remit une carte fidélité.
< Non mais c'est quoi ce cirque, une démonstration Tupperware?>
< Regarde notre dépliant et tu vas tout comprendre>.
Je commençai à lire le dépliant qui nous faisait part de promotions diverses et de spéciaux à ne pas rater. Je pus y lire :

Premier essai gratuit à tous nos nouveaux clients.

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Tarifs pour groupes et service longue durée disponibles sur demande.

Utilisez notre carte fidélité et offrez nos certificats cadeaux à un ami.

Notre personnel courtois et dévoué est toujours prêt et heureux de vous servir :

Igor, (Big coockie), Slovaque, 18 ans, queue 19.5cm X 4.5cm. Non circoncis, blond, grand, mince. Je suis soumis si tu le désires.

Rolando, (El burrito), Mexicain, 19ans, queue 17.5cm X 4cm. Non circoncis, cheveux noirs, peau basanée, imberbe, petit et mince. Je t'offre mon beau petit cul y mucho más.

Réal, (La banane), Québécois, 20 ans, queue 18.5cm X 5cm. Non circoncis, châtain, un peu poilu, très costaud. Bonne queue, beau cul .

Richard, (Big tool), Québécois, 19ans, queue 20cm X 6cm. Non circoncis, teub, très grosse, très large et grosses couilles. Imberbe, crâne rasé. Si tu le désires, je serai ton maître.

Marco, (Zucchini), Italien, 20 ans, queue 22cm X 5cm. Non circoncis, cheveux noirs, légèrement poilu, très grosse queue et très grosses couilles qui sauront te combler.

Ramón, (La porra), Cubain, 18 ans, queue 24cm X 6cm. Non circoncis, mulâtre, imberbe, très gros gland, très, très bien membré. Si tu es prêt pour une défonce, je suis celui qu'il te faut.

Nicky, (El platano), Colombien, 22 ans, noir, queue 20.5cm X 4.5cm. Non circoncis, gros gland, peu poilu mais ouvert à tous les fantasmes.

Mohammed, (Happy zob), Marocain, 20 ans, basané, queue 22cm X 5cm. Circoncis, très grosse queue. Très résistant. Éjaculations garanties aux 15 minutes ou argent remis.

Toutes les descriptions des petits mecs étaient agrémentées de photos des plus explicites et je vous assure que c'était du vrai travail de pros. Puis ça disait : Pour plus d'information et en savoir plus sur nos modèles disponibles, veuillez consulter notre site Internet : www.belkeu.bocu

J'étais très impressionné de voir à quel point les petits mecs étaient bien organisés. Ils fonctionnaient comme de véritables business man. C'était tout simplement fascinant. Sous le choc ou sous le charme, je ne savais plus trop, je demandai à Marco, ce qu'il voulut ne réalisant tout simplement pas ce qui m'arrivait et ce, malgré toute cette panoplie d'objets et d'accessoires érotiques que j'avais sous les yeux en plus de ce beau jeune garçon sexy qui faisait des pieds et des mains pour me vendre son produit...

Soudainement je crus à l'arnaque et je pensai qu'il chercha tout simplement à m'avoir.
Puis Marco lança :

<Veux-tu m'essayer? >
<T'essayer toi, mais tu plaisantes?> Lui répondis-je. Ce n'est pas qu'il ne me convenait pas, bien au contraire, il était très, très bien le beau Marco. Je ne parvenais tout simplement pas à comprendre comment une telle chose pouvait-elle m'arriver à moi. Puis Marco me désigna de son gros doigt, l'espace qui lui était réservé dans le dépliant et je lus :
Marco, (Zucchini). Italien, 20 ans, queue 22cmX5cm et bla,bla,bla.
< C'est toi ça? C'est vrai ce qu'on dit là-dedans?> lui demandai-je.
< Ouais man! Veux-tu que je te le prouve?> Puis il m'indiqua dans le dépliant l'espace en caractères gras qui disait : Premier essai gratuit pour tous nos nouveaux clients.
< Alors, tu veux que je te fasse une démonstration ou pas? > demanda-t-il de nouveau.
Puis il porta sa main à son entrejambe d'où je remarquai une protubérance en voie à me faire succomber à une débauche des plus perverse.

Puis son portable sonna. Il répondit :
< Ouais, ah!, c'est toi boss, non y a pas de problème, je crois que ça va fonctionner. Ouais, ouais, ouais, je vais lui dire. Donne-moi 5 minutes encore, O.K.> finit-il par dire à son interlocuteur.
< C'est le patron qui m'appelait pour me faire penser de te dire que ce soir c'est la soirée du deux pour un et il me demandait si j'avais besoin d'un petit coup de main pour te convaincre d'essayer l'offre gratuite.>
Puis il me dit qu'il était à l'entraînement, que c'était son premier soir et que le patron l'avait à l'oeil, supervisant son travail.

Je commençai à me sentir un peu plus confiant face au jeune garçon qui avait poursuivi ses attouchements. Puis il prit ma main pour que je caresse sa queue au travers de son jeans afin que je sois en mesure de constater que le produit était fidèle à ce qui était indiqué au dépliant. Nous étions toujours debout sur le seuil de la porte d'entrée. Je me mis à bander comme un taureau en caressant cette énorme teub. Je salivai.

Il déboutonna alors sa braguette d'où en sortit une chose énorme. La publicité n'était pas trompeuse, mais pas du tout... Il ne s'agissait pas d'une arnaque, le produit était bel et bien conforme à ce qui était décrit dans le dépliant qu'il m'avait remis plus tôt. J'eus même droit à une prime. Oui, une prime. Un percing! Marco avait le gland percé d'un énorme Prince Albert qui ne l'empêcha point de lever la queue droit vers le ciel. Encore une fois j'étais aux anges. Je portai ma bouche à son bijou que je suçai un peu et que j'engloutis pour enfin m'attaquer au gland que je trouvai savoureux bien que légèrement trop goûteux. Je bouffai du gland pendant un long moment en prenant bien soin de ne pas me briser une dent avec son gros bijoux en argent. J'empoignais sa grosse tige à deux mains afin de lui faire une petite séance de masturbation et de lui pomper un peu le jus. Ce que c'était bon! Puis il me dit : <Si je comprends bien, tu acceptes l'offre gratuite?>

Sans sortir sa grosse queue de ma bouche gourmande, je lui répondis que je me sentais même prêt pour essayer le fameux deux pour un qu'il m'avait proposé puisque nous étions lundi et que comme client, j' y avais droit. Il fouilla, sortit le portable de sa poche et appela pour commander : < Ouais, c'est fait mais il veut également le deux pour un. O.K, on t'attend mais ne tarde pas trop car j'ai toute une salope au bout de la queue> dit-il au mec avec qui il parlait. Et moi, je souriais de bonheur sans lâcher cette grosse teub juteuse que j'avais enfouie au fond de la gorge. Je me suis alors dit que le mec qui arriverait ne serait en fait qu'une surprise que je devrai accepter tel quel. Puis la sonnette de la porte se fit entendre. Marco, qui lui avait, les mains libres, appuya sur le bouton pour ouvrir la porte au petit mec surprise. < Déjà, mais quel service! > lui dis-je.

J'entendis le mec monter derrière moi car j'avais le dos à l'escalier et les yeux qui me tournaient tellement j'étais en extase à bouffer cette teub. Puis dans un moment de lucidité je me retournai pour voir qui était là mais ma bouche et mes yeux se heurtèrent à un entrejambe et à une gigantesque queue que je portai à ma bouche sans hésitation sans même avoir pu remarquer le visage du jeune homme en question, tant j'avais sa fourche écrasée dans ma face.

Je ne quittai pas la queue de Marco pour autant continuant de la masturber de ma main gauche alors que j'agrippai de l'autre main la queue du nouveau venu que j'eus aussitôt au fond de la gorge. Je reconnu alors cette texture, ce goût de queue, ce gland. Je reconnus cette queue. J'ouvris grand les yeux, regardai vers le ciel pour voir le visage du garçon, car j'en étais sûr, mes papilles gustatives n'avaient pas pu me trahir, c'était Ramón, mon Ramón qui me revenait. Je continuai à lui astiquer le gland de ma bouche gourmande puis inutile de vous dire ce qui arriva par la suite.

Bien je peux peut-être vous en glisser un petit mot mais vraiment juste un petit... Après plusieurs minutes passées à bouffer la queue de Ramón et celle de Marco devant la porte d'entrée, on bougea pour se diriger sur le divan du salon. Là, ils prirent l'heureuse initiative de me basculer à plat ventre sur le dossier du divan, tête en bas puis à tour de rôle je les suçai et eux ils m'enculèrent. Pendant que l'un me foutait sa grosse teub au cul debout par derrière, l'autre devant moi, à genoux sur le divan me foutait la sienne dans la gueule. Puis ils s'échangèrent ma bouche et mon cul pendant plus d'une heure comme ils le voulurent bien et évidemment, à ma plus grande satisfaction...

Ensuite ils discutèrent ensemble et d'un commun accord, ils décidèrent de me mettre leur queue au cul tous les deux en même temps. La double pénétration à laquelle j'avais rêvée toute ma vie bien c'est avec Ramón et Marco que je la vécus ce soir-là. Après une longue heure passée à me faire bourrer le cul par deux immenses teubes expertes du ramonage, croyez-moi mes amis que ces deux immenses queues, bien, elles glissèrent sans problème jusqu'au fond de mon orifice comme s'il eut s'agit d'un jeu d'enfants et je n'ai pas eu à m'en plaindre ne serait-ce qu'une seconde, bien au contraire. La grande slotte qui sommeillait en moi ne cessa d'en redemander encore et encore alors que nos deux jeunes et fringants étalons n'en purent tout simplement plus, épuisés de fatigue tous les deux de répondre à mes demandes et mes exigences des plus perverses. Parce qu'après la double pénétration, n'allez pas croire que tout c'est arrêté là, non mes amis. Je vais vous épargner ce qui a
bien pu se passer avec mes deux jeunes étalons une fois qu'ils m'eurent bien bourré le cul de leur grosse teub. J'ai bien beau faire passer pour une salope, là vraiment, je ne voudrais surtout pas offenser les plus prudes d'entre vous, car vous le savez, j'ai beaucoup de respect pour vous tous. Mais quand même, ce que j'ai pu être fier de moi pour une fois, ce soir-là.

Mais il faut croire que j'avais bien passé le test puisque dès le lendemain, Ramón revint chez-moi et me proposa de travailler pour lui m'expliquant tout de son business et l'importance que celui-ci prenait de plus en plus dans sa vie. Il n'arrivait plus à passer les entrevues des nouvelles recrues ni de voir à leur supervision et ne voulait surtout pas négliger sa clientèle régulière qui savait si bien le gâter et qui le réclamait tout autant sinon plus. L'immense succès que son business connaissait en faisait dorénavant un homme trop occupé. Il me proposa donc un rôle au sein de sa très lucrative entreprise. Il m'offrit un poste à la direction des ressources humaines ce qui consistait à embaucher et faire passer les entrevues aux jeunes mecs qui venaient offrir leurs services en plus d'avoir à m'occuper de toute la logistique qu'une telle organisation nécessite. Je ne demandais pas mieux, moi. Et ce que Ramón ne savait pas, c'est que depuis près de vingt ans, j'étais directeur des ressources humaines de l'entreprise de pompes funèbres où je bossais et où je m'ennuyais à mourir depuis le premier jour où j'y avais mis les pieds. De toutes évidences je demeurais dans les pompes mais je préférai de loin celles que m'offrit le beau Ramón, sans compter le très beau défit qui m'attendait. J'acceptai immédiatement l'offre de Ramón et il resta passer la nuit avec moi pour fêter ça. Dès le lendemain matin, je téléphonai à mon patron pour lui annoncer que je n'entrerais plus au travail. Que je quittais à jamais mon poste.

Les jours qui suivirent Ramón s'installa chez-moi. Mon appartement devint alors le siège social de l'entreprise qu'il avait mise sur pied quelques mois auparavant. Je devins son associé et son amant même si pendant toutes ces années j'eus à le partager avec des milliers d'autres. Il fut toujours très reconnaissant envers moi mais il su avant tout me donner le meilleur de lui-même, là et quand j'en avais besoin. Sa grosse teub brune et dure qu'il me donne encore aujourd'hui avec tant de vigueur et de rigueur, bien je la lui bouffe toujours avec autant de passion après cinq années de vie commune passées ensemble alors que la baise n'a jamais cessé d'être aussi torride entre nous deux.

Fin

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