Cyrillo

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Nuit chaude au parking

Juin 2001, je suis sur l'autoroute en direction de Montréal. Il est bientôt deux heures du matin, donc déjà samedi, et la fatigue se fait sentir. Je rentre chez moi, après une semaine d'examens éprouvants au cégep. La semaine a été correcte, et même si elle m'a paru interminable, je ne le regrette pas. À 18 ans, je savais déjà quoi faire de ma vie, du moins du coté travail car du coté personnel et surtout sexuel, c'était presque l'abîme.

La seul chose d'ont j'étais certain, c'était que seuls les hommes m'excitaient et que pour les quelques années à venir, je ne voulais vivre que pour le sexe. Quand je serai plus vieux, j'aurais bien le temps de tomber amoureux et de me caser. En attendant, j'espérais vivre des aventures aussi chaudes et excitantes que possible. À part les quelques petites aventures assez anodines que j'avais eu avec d'autres étudiants du cegep, je n'avais pas connu grand chose d'exaltant. Je ne me doutais pas que je vivrai une expérience assez hot plus vite que je ne le croyais. Et pour une première fois, j'ai été très choyé.

Mon dernier café datait d'il y a 300 km environ. Je crois qu'il ne faut plus lutter contre le sommeil. Dodo deux heures et tout ira bien. Un grand panneau annonce le prochain parking à 5 km. Il n'y a pas foule à cette heure ci. Le parking est vide. Même pas un camion. Il faut dire que je ne suis pas dans le sens des départs et que les poids lourds n'ont plus le droit de circuler depuis déjà trois heures. En fait je n'ai pas très bien regardé car au fond du parking, il y a une autre voiture. A environ 50 m de la mienne, juste à coté du bâtiment des sanitaires.

Je sors de ma voiture, fais quelques pas pour me dégourdir les jambes et me dirige vers les toilettes. Un petit pipi et un peu d'eau sur la figure et je serai prêt à dormir. En passant, je jette un coup d'oeil distrait à l'autre voiture, et entre dans le bâtiment. Ce n'est qu'après que je réalise ce que je viens de voir. Il y a 2 hommes à bord, et un des deux semble être en train de faire une fellation à l'autre gars. Je ne suis pas certain d'avoir bien vu, aussi je reviens discrètement sur mes pas et abrité dans l'ombre du mur, regarde à nouveau.

A travers le pare-brise, je ne vois pas grand chose si ce n'est une tête aux cheveux blonds qui bouge à la hauteur du volant. A voir le mouvement, je ne pense pas avoir fait une grosse erreur d'appréciation. Je décide d'aller d'abord pisser un coup, et je verrai bien ce qui se passera en sortant.

Je ne me cache pas et ressort du bâtiment comme si de rien n'était. En repassant à coté de la voiture, mon coup d'oeil se fait plus insistant. Les occupants se sont mis à l'aise. Un n'avait qu'un short et un slip maintenant sur ses genoux, et un tee-shirt remonté haut sur son ventre. Il a l'air grand et assez mince, il est très brun et doit avoir dans les quarante ans. L'autre est torse nu et porte un short en jeans, assez court et assez serré que je peux très bien distinguer la forme de son entrejambe et de ses fesses. Ses cheveux sont blond clairs, et le peu que je vois de son visage m'a l'air assez jeune, à peux près mon âge.

Les fenêtres de la voiture était ouvertes et j'entendais très bien la respiration de l'homme plus vieux, et les petits bruits mouillés qui accompagnent l'activité de son compagnon.
- Il nous regarde, dit l'homme plus vieux, continu.
- Il est loin ?
- Juste a coté.
- Il est bien ?
- Pas mal, a peux près ton âge. Regarde le, tu décideras de ce qu'on fait.

En entendant cela, une excitation folle s'empara de moi. Je ne pouvais croire que la chance de baiser, avec 2 hommes en plus, se présentait à moi. Devenu soudainement nerveux, je me suis approché un peu plus, histoire que le plus jeune me voit mieux. Je découvrais son visage entier.
- Pas mal dit-il en souriant, Intéressé par la scène ?
- Très, si vous acceptez les spectateurs, je suis partant.
- Soit mais à une condition : c'est moi qui décide de tout ce qui se passe. Vous pouvez proposer ce que vous voulez, vous devrez faire ce que je vous dirai. Ça vous va ?
- O.K. pour moi.
- Parfait, que souhaitez vous ?
- Continuez comme si je n'étais pas là, je vous dirai au fur et à mesure.

Il était à genoux, fesses sur les talons, sur le siège passager, face à moi. Depuis qu'il s'était redressé pour me parler, j'ai pu constater que son torse était complètement imberbe et peu musclé.

Son compagnon a glissé une main sous ses fesses, se frayant un chemin sous son short et remarquant le facial du plus jeune, je devinais que quelques doigts devaient s'activer dans l'ombre. Apercevant ma forte érection sous mon pantalon, le plus vieux dit à l'autre :
- Tu sais chéri, nous devrions sortir de la voiture, ce serait plus confortable pour toi et plus convivial pour notre invité.
- Et on va sous les arbres vers les tables ?
- Si tu veux.

Nous profitons de ce que nous sommes tous les trois debout pour faire quelques rapides présentations. Le plus vieux dit :
- Voici Luc, et moi c'est Renald.
- Moi c'est Claude.
Il remet un peu d'ordre dans sa tenue, c'est à dire qu'il finit d'enlever short et slip qui l'auraient gênés pour marcher, puis les gardant à la main, se dirige vers le coffre de la voiture d'où il sort une couverture. Nous le suivons Luc et moi en direction du bosquet d'arbres. Arrivé près d'une table, il étale dessus sa couverture.
- Que dirais tu si je te léchais un peu l'anus, demanda t il à Luc ?
- Ma foi, bonne idée, cela permettra à notre ami d'en savoir un peu plus sur moi.

Tout en disant cela, il s'allonge sur la table, les pieds sur le bord, jambes écartés, offrant aux rayons de la lune, et à mon regard, la vison de son trou déjà bien humide.
- Allez chéri, montre à notre nouvel ami comment tu mange ça un anus en feu !

Je me place juste à coté d'eux, cela me permet de bien voir, et regarde Renald écarté au maximum les fesses de Luc pour s'acquitté consciencieusement de sa tâche. D'abord, je vois le bout de sa langue lécher le contour et l'entrée de son trou et sans doute encourager par les gémissements de Luc, c'est avec sa bouche qu'il lui dévore l'anus. Les bruits de succion que fait celle-ci me rendait fou d'excitation. Remarquant ma queue bien dure sous mon pantalon, Luc me dit, d'une voix rauque, le souffle court,
- Claude, tu bandes ?
- Ça t'étonne ?
- Non, mais tu devrais me faire voir ça.

Je me souviens de ce qu'il disait tout à l'heure et prends son désir pour un ordre. Je sors donc de mon pantalon mon sexe érigé.
- Pas mal, dit il d'un air gourmand. Regarde amour, le monsieur il en a une aussi grosse que la tienne. Mettez vous cote à cote tous les deux que je vois cela de plus près.

Renald quitte son poste et se relève, ce qui se dresse au bas de son ventre n'a rien à envier à ce qui orne le mien. Et vice versa. Luc s'est assis sur le bord de la table, pieds sur le banc et nous fait venir face à lui.
- On dirait de vraies jumelles.

Ceci fait il nous prends chacun dans une main, et se met à comparer les " mérites " de son compagnon et les miens. Ne pouvant nous départager ni au poids ni aux dimensions, il décide de changer d'échelle de mesure.
- Je vais goûter pour déterminer celui de vous deux qui a le meilleur goût. Vous ne vous ressemblerez pas jusque là quand même. Je vais commencer par Claude, je connais déjà le goût de Renald.

Il m'attire vers lui et m'administre un traitement que je suis prêt à subir à nouveau dès qu'il le souhaitera. Des pipes on m'en a déjà fait quelques unes, mais celle là est un morceau d'anthologie. Sa bouche est chaude et humide. Ses lèvres s'ouvrent et me laissent passer sans un effort. Pourtant je ne suis pas ce qu'on appelle un petit calibre ! Je me sens aspiré, pompé, sucé comme je l'ai rarement été, en tout cas pas les trois à la fois. Pendant qu'il me suçait, Renald se branlait tranquillement. Je voyais sa main aller et venir le long de son sexe, le mouvement décalottant le gland régulièrement. Cela dure quelques minutes. Puis Luc s'arrête, se redresse, me reprends dans sa main et dit :
- Le goût est à la hauteur du reste. Plus salé que Renald, la consistance est au moins aussi agréable, nous verrons la tenue en bouche. Renald, approches toi un peu.

Je ne pouvais à peine croire ce que je voyais, Il nous suçait à tours de rôles. Pendant que ma queue disparaissait dans sa bouche, il branlait Renald de son autre main et vice versa. Pour un jeune, je le trouvais bien expérimenté.

- Et maintenant mon petit Claude, tu va bien me ramoner le cul
- Sans problème, ce sera un plaisir.

Je le vois s'allongé sur le dos, la tête au bord de la table. Il tire Renald par son sexe et l'engloutit comme si il avait une faim incontrôlable. Je pose mes mains sur ses cuisses pour les écarter au maximum. Devant moi, j'aperçois son anus soigneusement rasé. Je vois son trou complètement mouillé, offert à ma queue.

Je pose d'abord le bout de mon gland à l'entrée de son trou. A ce contact, je vois son anus frémir. Je pousse un peu plus pour voir si je ne me suis pas fait d'illusions. Non c'est bien ça. Des que ma queue le touche, c'est comme si il prenait une secousse électrique. Ça promet. Je n'ai aucun mal à pousser ma queue plus loin. Celle-ci disparaît entièrement dans son anus étroit mais souple. Une fois bien rentrer au fond de son cul, ma verge se démène tant qu'elle peux. Il me reçoit avec bonheur, et bien qu'ayant la bouche pleine du membre de son homme, il arrive encore à gémir et crier. Renald aussi, manifeste bruyamment le plaisir qu'il ressent. A l'entendre encourager Luc à le sucer a fond, il est probable qu'il ne va pas tarder à prendre son pied.

J'accélère également la cadence. Ça m'excite tellement de le voir pomper Renald pendant que je lui administre de grand coups de butoir. C'est un régal dont je ne me prive pas. Mon plaisir s'accroît et j'ai de plus en plus de mal à retenir ma jouissance. Je suis agité de frissons violents et je sens aux contractions de ma queue que mon plaisir n'est pas loin. Renald dégorge son foutre à gros bouillons au fond de la gorge de Luc. Lui crie à la lune la jouissance qu'il vient de prendre. Ne pouvant tenir la pression, j'inonde d'un seul coup le corps de Luc avec mon sperme, en mêlant mes cris de jouissance avec ceux de Renald. Puis petit à petit tout se calme. Ma queue quitte lentement, comme à regret, son trou que j'avais pris d'assaut.

Il se redresse et nous regarde. Il se lèche les lèvres comme un petit garçon qui viendrai de manger une cuillère de crème et ne voudrai pas en perdre la moindre goutte.
- Hé bien les mecs ! Ça vous a plus ?
-Et comment, répondons nous en cour, sans même nous être concertés.
-Tant mieux mes chéris, mais comme vous voyez, vous ne peux pas me laisser comme cela, dans cet état !

Luc assis de nouveau sur la table expose sans aucune pudeur son sexe à nos regards. Le fait de le voir se branler en soutenant mon regard, me redonne un peu de vigueur très rapidement. Plus vite qu'a son compagnon.
- Dis donc Claude, j'ai l'impression que je te fais encore de l'effet me dit Luc
- Gagné. J'aurai du mal à le cacher.
- C'est de ma faute, mais ça ne me déplaît pas. De te voir comme ça, ça me donne des idées.
- Mon dieu, dit Renald, attends toi au pire !
- Un pire qui va te faire bander mon garçon ! Je veux que vous me preniez tout les deux, Maintenant.

Et c'est comme ça qu'à trois heures du matin bien sonnées, je me suis retrouvé enculant de nouveau un salop sur un parking pendant que son mec l'enculait aussi. En peu de temps, il éjacula à son tour pendant que Renald et moi inondions son cul de sperme.
- Mmm, deux queues dans le cul qui vous ramonent, ça donne des ailes, on gagne du temps, nous a-t-il dit une fois qu'il a eu repris ses esprits.

Pour ceux a qui cela n'est jamais arrivé, imaginez ce que peut procurer comme sensations une telle situation. D'abord vous partagez le mec avec un autre. Ce n'est pas si courant que ça. Ensuite il vous a proposé son cul, ce qui n'est pas non plus très fréquent. Enfin vous sentez à travers son cul la queue de son mec qui la ramone en même temps que vous. Cela vous échauffe quelque peu. Renald a re-joui un peu avant moi. J'ai senti les derniers spasmes de son sexe qui se déversait dans l'anus de Luc au moment où je déchargeais dans son cul. Super sensation.

L'un comme l'autre nous avons été longs à débander, nous sommes restés en lui le plus longtemps possible. Il se laissait caresser, embrasser. Nous lui avons prodigué moult marques de tendresse, puis l'avons regardé partir nu en direction des sanitaires. Nous l'y avons rejoint pour une rapide toilette, et nous nous sommes quittés, épuisés mais pas mécontents de notre nuit. Je ne connais d'eux que leurs prénoms. Ils ne connaissent de moi que le mien. Notre rencontre restera une magnifique expérience, un souvenir merveilleux.

hotmen

trucker_119@hotmail.com

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