Cyrillo

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Lettre de Charles à Olivier son amant.

Olivier, mon bébé d'amour,

Je me réveille doucement, le sexe déjà très excité, parce que je sens que tu dors à côté de moi.

Le petit ronflement que tu émets m'indique même que tu dors très profondément, sur le côté droit. ;
Je me tourne contre toi, mon torse et mon ventre collés contre ton dos et tes fesses. ;
Je commence à me frotter contre toi pour que le contact entre nos peaux soit le plus étendu possible.
Je bande très fort et je place ma bite au creux de tes fesses jouissant de la chaleur qu'elles me procurent.
De ma main gauche qui est la seule disponible, je commence à te caresser doucement sur le torse,
me délectant du doux contact de mes doigts sur les poils de ta peau, montant et descendant inlassablement pour sentir cette toison qui ondule doucement avec ta respiration dont le rythme commence à augmenter, m'indiquant ainsi que tes sens s'éveillent, même si tu es encore endormi. Je descends ma main lentement vers ton sexe, faisant durer ce plaisir intense, car je sais que je vais le réveiller et le posséder sans que tu en prennes conscience.

Je ;sens ta bite chaude, elle aussi, et j'active mes doigts sur le pourtour du gland, puis je prends ton sexe dans le creux de la main, je le branle très lentement et je le sens qui durcit très vite et très fort. Ta respiration est plus intense, moi je suis au comble de l'excitation, je frotte ma bite
entre tes fesses, je continue à te branler plus fort et je m'empare de tes couilles que je palpe avec délectation. Oui ! Il y en a bien deux ! Tu n'es
toujours pas éveillé, ta bite hyper gonflée me donne des petits coups familiers que j'adore et qu'entre nous, je qualifie de "témoignages de sympathie". Mais alors quelle sympathie ! C'est vraiment de l'amour ! Je sens que tu t'éveilles lentement, et, pour que tu sois heureux d'être avec moi dès l'aube, je me glisse sous les draps, je te retourne sur le dos, j'écarte tes jambes au maximum (et tu te laisses faire avec joie), et je contemple l'immensité du plaisir que tu éprouves. Tu bandes comme un éléphant, ta bite est frémissante de désir, c'est une véritable invitation à l'engloutissement. Je me délecte de ce merveilleux paysage, j'amplifie mes caresses sur tes couilles jusqu'à les tordre, puis je commence par te les sucer. Un peu seulement car je meurs d'envie d'avaler ta bite et de te faire ainsi sentir à quel point je t'aime aussi physiquement, et pas seulement ; ;intellectuellement. Alors, par de lents mouvements de ma bouche et de ma langue, je te fais gémir de plaisir et d'envie. J'attends que tu commences à mouiller et dès que je sens ce miel dans ma bouche, je remonte vers ton visage, je prends ta bouche, je t'embrasse avec violence et bonheur et je partage le miel avec toi... dans un baiser interminable.

Alors, n'en pouvant plus de désir, je te demande de parcourir tout mon corps avec ton sexe. Je veux te voir, nu, bandant comme un phoque (??!!), tenant ta bite dans ta main et, délicatement, lui faire toucher ma peau, millimètre par millimètre en remontant des pieds vers la tête.
Tu es au dessus de moi, tu abaisses puis relèves ton corps pour chaque attouchement et je vois ton cul et tes couilles qui pendent et me font bander au delà de toute espérance. Je vois ta bite dure comme du bois qui prend un énorme plaisir, surtout lorsqu'elle arrive au niveau de mon sexe et de mon pubis.


Tu enfouis ton visage dans mon pubis, tu mordille ma bite, mais malgré le plaisir que ça me procure, je te rappelle à l'ordre pour que tu continues le parcours de ta bite sur tout mon corps. Tu arrives au torse, tu te frottes sur mes seins, tu les lèches, tu gémis de plaisir, et moi, j'ai un premier
plan de rêve et en cinémascope à contempler : ton cul écarté, tes poils, la transpiration qui commence à les humecter, et au bout de ta bite, des gouttes de miel qui reviennent en force. Je les aspire au passage avec délectation, je respire toute ton odeur délicieusement masculine et soudain, sans m'avertir, tu poses délicatement ton cul sur ma figure, tu la balayes aussi avec tes couilles que j'attrappe au passage et que je suce avidement, puis enfin, c'est ta bite que tu promènes sur mon visage, à droite, à gauche, sur le nez, sur le front, sur les yeux et sur la bouche. ;
Quelle somptueuse bite dont je n'arrive pas à me lasser... et dans cette position à priori obscène, c'est un véritable élan d'amour que je ressens pour toi, élan que je devine tellement partagé par la fougue de tes gestes et le désir qui t'enflamme. ;
Je pompe, je pompe à m'étouffer, je bande à ne plus pouvoir me retenir...
Tu arrêtes ton manège et tu viens amoureusement glisser ta tête au creux de mon épaule, tu contemples et caresses mes seins gonflés de
désir, tu descends ta main vers ma bite et commences à la branler.

J'ai tellement aimé les moments qui ont précédé que je te demande de te mettre en 69 sur moi, mais à califourchon. Ainsi, j'ai tout le loisir de te voir me toucher et me sucer, avec au premier plan la glorieuse vision de ta somptueuse bite qui tressaute à chaque mouvement. ;
C'est une véritable extase, cet amour au masculin, une communion fabuleuse qui nous réunit, poussant des petits cris de contentement, des "oui"..."oui" qui veulent tout dire.


Tu me suces avec une telle fougue et un tel plaisir que j'ai juste le temps de te prévenir. ;
Et là... divine surprise... nous avons une telle confiance l'un envers l'autre que tu me dis "vas-y",
j'ai envie de toi jusqu'au bout ! Alors, j'explose dans ta bouche, et dès les derniers spasmes, tu reviens vers moi, la bouche pleine de mon sperme et tu m'embrasses en me rendant mon sperme !

Je suis sidéré par ce geste, ému aussi. Je sais qu'à l'heure actuelle il ne peut y avoir de plus grand témoignage de confiance... à part celui que je t'ai déjà donné quand tu m'as pris sans capote et que tu as éjaculé en moi.


Je tiens immédiatement à te "récompenser"...
Je suis fou d'amour et de désir,
fou d'envie de te faire jouir au maximum. Je prends ta bite dans mes mains,
je l'enduis de crème, et ivre de bonheur, je me mets à quatre pattes sur le lit, t'offrant mon cul écarté pour une pénétration jouissive.
Tu t'actives avec plaisir, d'abord lentement, puis tu accélères le rythme arrivant même à me faire pousser des cris de plaisir. ;
Tu es prêt à juter, tu n'en peux plus.


Alors je t'arrête brusquement, je te prends par la bite, je l'essuie rapidement avec le T-shirt "Florida" qui est notre éternel complice de
"débauche", je t'enfourne dans ma bouche en te triturant les couilles, je gémis de plaisir, et je te fais comprendre d'un clin d'oeil que je veux moi
aussi recevoir ton sperme dans ma bouche. Aussitôt dit, aussitôt fait...

tu me jutes une merveilleuse giclée, et alors que je croyais que tu avais fini, deux nouveaux spasmes viennent à nouveau gicler sur mon visage. Alors, je te laisse me lécher le visage pendant que j'avale par amour la semence que tu viens de m'offrir...

Olivier, mon bébé d'amour, je t'aime !

de_richelieu_cardinal@hotmail.com

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