Cyrillo

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Pluralité au sauna

Un soir d'automne, après une rude journée au travail, j'avais envie d'un bon moment de détente.
Je me rendais donc dans un sauna et profitais du fait qu'il y ait peu de monde à cette heure là pour me délasser. Après un bon moment passé dans le jaccusi, je me décidais à explorer les autres recoins en quête d'autre chose.

A l'étage se trouvait une petite salle de projection où quatre types regardaient un film X. Prenant mon courage à deux main, j'allais m'asseoir sur un canapé, près d'un homme d'une cinquantaine d'années, aux cheveux gris. Au bout de quelques instants passés à regarder l'écran où une blonde se faisait baiser par trois blacks , je l'entendis me dire :
" Ca, c'est de l'action. "
Je sentis sa jambe se presser contre la mienne. Sans me dérober, je répondis :
" En effet, voilà une dame qui a de la chance, on s'occupe bien d'elle." Tout en posant sa main sur ma jambe, il me dit :
" Tu aimerais être à sa place, qu'on s'occupe de toi comme ça ? " " Certainement "

Notre échange avait été entendu par les autres car aussitôt un type est venu s'installer à ma droite. Le premier qui me caressait la cuisse se saisi de l'ourlet de mon peignoir et le remonta pour pouvoir poser sa main sur son genou nu... L'autre me prit par les épaules et glissa une main dans l'échancrure de mon vêtement pour aller agacer mes tétons. Je commençais à soupirer d'aise, la main était chaude sur mon genou. Elle n' y resta pas longtemps car elle entreprit sa remontée sur ma cuisse. Il le fit avec suffisamment de lenteur pour que je souhaite silencieusement, qu'il arrive plus haut le plus vite possible. L'autre était passé à l'autre sein tout en me murmurant à mi-voix combien il allait prendre son pied à me fourrer. La main du premier avait progressée et cherchait à présent à me retirer mon peignoir. Aidé par son compère ce fut chose aisée et je me retrouvais nu...à leur disposition...

Tout alla à la fois très vite et aussi comme au ralenti en même temps. Le type à ma droite me releva la jambe et la posa sur la sienne. Je me retrouvais cuisses écartées. Sans plus attendre il me mit un doigt. A gauche, le type libéra son sexe comme pour être plus à l'aise Pendant qu'un troisième commençait à se déshabiller, le dernier avait fait le tour du canapé. Je sentis ses mains glisser sur mes épaules et le haut de mon torse puis empoigner mes seins. Et je vis... et je vis l'homme nu venir vers moi en se caressant. Il avançait le sexe tendu vers moi... vers mon visage... vers ma bouche.... Si je cédais maintenant, s'en était fini de moi....

Quand il fut à quelques centimètres de mes lèvres, une main pesa sur l'arrière de ma tête... j'ouvris la bouche.... L'homme ne se le fit pas dire deux fois, d'un léger coup de bassin il était entre mes lèvres. Je me mis à le sucer.
Quelqu'un lui demanda son sentiment :
"Alors ... c'est comment ?"
"Pas mal... pas mal.... On à peut être tiré un gros lot !"

Je les entendis plaisanter grassement sur le "gros lot" qu'ils allaient inévitablement tirer. Quelqu'un m'arracha de ma succion... pour m'embrasser goulûment à pleine bouche. À gauche l'homme avait pris ma main et la posa sur son phallus. A droite, je compris que l'autre ouvrait son peignoir Celui de derrière pressait sans modération mes mamelons si délicats. Je passais d'une bouche à une autre... de gauche... de droite... l'autre me replongeais son membre dans la bouche en me demandant :
"T'aimes ça la bite... hein ?....hein ?"
Et je ne répondais que "Mffft.... Ptfff...." Voulant dire "Oui... oui... j'aime la bite... j'adore ça !"... Un des types demanda soudain :
"Et si on allait au plumard ?"

Les autres approuvèrent l'idée. Aussitôt ils cessèrent leurs attouchements et me firent lever.
L'un d'eux me prit par la taille. Je le suivi docilement. Un autre derrière moi entreprit de me mettre la main aux fesses puis d'enfoncer un doigt dans la raie de celles-ci.
Dès que nous fûmes montés à la chambre, l'un deux me prit dans ces bras pour, comme il dit, "me rouler une galoche" on ne peut plus vorace pendant que les autres me tâtait le cul (je ne vois pas d'autres mots...).

Ils me firent asseoir sur le lit et s'arrangèrent pour se positionner de part et d'autre de mon visage. Pour la première fois de la soirée (et non la dernière croyez-moi) j'entendis résonner le fameux : "Allez... suce salope... !"... je gobais le premier.... Je n'eus plus une seconde de répit. Je passais de droite, de gauche, d'un sexe à l'autre parfois me tordant le cou en arrière pour pomper le dernier. Quand je n'avais rien dans la bouche, il me fallait redire leurs diverses grossièretés et obscénités. Il fallait que je répète que "Oui j'aimais la bite...Que la queue que je pompais était bonne... Que j'étais une grosse salope...Que j'allais tous leur sucer la pine.... Que je voulais me faire niquer par leurs grosses triques.... Que j'avalerais la fumée" Servilement, je répétais... tout en sachant fort bien que toutes ses expressions, bien que d'une vulgarité éhontées, reflétaient quelque chose qui n'était pas loin de la vérité. Le gars devant moi me limait méthodiquement la bouche et avait passé une main dans mes cheveux pour que je n'interrompe pas "le contact".

"Allez suce grosse vache ... tu vas voir ça a du goût... tu vas aimer....".
Aimer... je ne sais pas... mais je le fis pour la première fois. Est-ce bien la peine de préciser que par la suite cela m'arriva encore... de nombreuses fois.
Serrant mes lèvres autour du sexe qui m'emplissait la bouche, je pompais ardemment le type qui me criait "ça vieeeennnnt... suce... suce... suuuuuuce....". J'engloutis toute la semence sans la moindre hésitation, sans toutefois pouvoir empêcher qu'une longue trainée de sperme et de salive ne coule le long de mon menton jusque sur mon torse.
Le type derrière moi ne restait pas innactif...En appuyant sur le lit, il avait réussit à passer une main sous mes fesses, paume vers le haut. Ayant redressé un doigt, tout tranquillement, il avait entreprit de me le vriller dans l'anus.

"Bon les mecs... maintenant je m'occupe de son trou de balle !"
Ils saluèrent l'initiative et je ne protestais même pas, trop échauffée par ce qu'il venaient de me faire. Je fus donc mis en levrette. Deux types m'ouvrirent "les miches" pour permettre à leur "pote" de me "travailler la rondelle", ce qu'il fit en habitué, entraîné vraisemblablement. Il s'adressa à moi sur un ton sans équivoque :
"Toi petite pute, dis-nous donc ce qui va t'arriver !". Mort de honte et la voix tremblotante je dus leur dire que "j'allais me faire enculer comme un chienne" et "qu'ils allaient me casser le cul". En fait tout ce qu'ils émettaient ou me faisaient répéter m'excitait prodigieusement, je dois en convenir. En attendant, un pouce et un index me maintinrent l'anneau ouvert et le type força un peu sur l'entrée avec sa bite.

Tellement bien préparé physiquement et tellement offert cérébralement à ce qui allait suivre, la tête de sa pine rentra assez facilement. Il enfila alors sa queue un peu plus loin dans mon rectum, me demandant de bien pousser "afin lui permettre de me l'enfoncer dans le cul le plus loin possible" et que "je la sente bien". Il ne cessa sa progression que lorsque son bas ventre fut collé à mes fesses. C'est-à-dire que j'avais en moi toute sa longueur... quelle impression ! Lui aussi devait ressentir quelque chose de bon, enfin si j'en crois son exclamation :
"Ouaah ! On croirait un cul de vierge ! Qu'est ce qu'elle est étroite la salope ! Ça va être le pied de l'enculer !".

Un tout petit temps d'adaptation pendant lequel je pus entendre "qu'ils allaient m'en mettre plein le fion et il se retira à demi, lentement et revint à la charge. Il fit plusieurs fois le trajet, se retirant à chaque fois un peu plus et me reprenant de plus en plus vite. Quand il sentit que la gaine était faite, il indiqua aux autres :
"Ça y est ! Les mecs... elle est bonne.... Faut pas rater ça !"
Les trois acolytes, se rapprochèrent face à moi, sexes tendus. Ils me firent absorber leurs queues, en lécher le bout, sans oublier "leurs couilles que je devais aussi sucer comme une salope". Vous ai-je dit que deux d'entre eux avaient les testicules épilées... non je ne crois pas. J'aimais bien cela... c'était doux.... L'autre me sodomisait maintenant farouchement et ce qui devait arriver, arriva, j'eus un orgasme anal bref, mais voilent...un éclair ! Ils en conclurent "que j'aimais bien me faire farcie l'oignon .

Quoiqu'il en soit c'était toujours un bonheur de sentir une belle bite gonfler, tressauter et se vider par saccades dans la fournaise de mes reins... comme le fit mon baiseur longuement.
La place ne resta pas vacante, un deuxième postulant s'y engouffra, cette fois sans trop de précaution. Je poussais un cri... de surprise (aussi un peu de douleur). Dans le même temps je dus reprendre mes travaux buccaux.. Le deuxième prit son plaisir à son tour, moi pas... cette fois là. Je commençais à avoir un peu mal aux reins. Le troisième eut pitié de moi, il me fit mettre sur le dos fesses au bord du lit. Posant mes jambes sur mes épaules il m'enfila...Ce changement de position me fit un bien fou. Le frottement de ma bite coincée entre mon ventre et le sien me procura un autre orgasme.

Le dernier s'approcha et m'enjamba. S'étant agenouillé de part et d'autre de mon visage, il me fit gober ses valseuses lisses et satinées. En changeant d'orientation, en plus, il pouvait voir le manche de l'autre s'enfoncer en moi. Mon baiseur finit par me clouer sur le lit et s'activer jusqu'à se vidanger dans mon écrin si sollicité en cette soirée. Le dernier... après s'être amplement agité le sexe au dessus de moi finit par jouir en m'éclaboussant la face de son sperme épais.

Ils se retirèrent discrètement après m'avoir félicité de mon "accueil". Je restais un moment dans la chambre. Une odeur acre de sueur, de sperme, bref un relent d'orgie flottait dans l'air Le lit...dévasté, avec un drap aux traces non pas suspectes mais avouant clairement les activités qu'il avait supporté ... et moi alors ! Je n'était pas un sportif alors, je ne vous parle pas de mes courbatures.... Si tant est que les champions aient des courbatures aux mâchoires. J'avais le corps endoloris de partout, avec des marques... qui témoignaient de l'assiduité avec laquelle mes amants m'avaient cramponné. Et que dire de mon anus... rien ! Je vous laisse imaginer.

Je minimisais, encore, le plaisir que j'avais eu. Plaisir physique des sexes qui m'avaient fait tant jouir , mais en plus plaisir malsain d'avoir été utilisé, abusé, insulté comme la dernière des dernières. Ça c'était différent et j'avais adoré... trop.!

J'allais prendre une bonne douche pour me remettre. En sortant, je croisais alors le premier homme que j'avais abordé dans la salle de projection. Il me proposa de prendre un verre avec lui, ce que j'acceptais bien volontiers. Il s'appelait Pierre et avait vraiment passé un bon moment et me proposa de remettre ça chez lui le week end suivant si je le voulais bien.

Je pris son numéro de téléphone.....

Mich

bru30@wanadoo.fr

Suite de l'histoire

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