Cyrillo

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Soumis dans le Métro

J'avais répondu à son annonce.
Je connaissais juste sa voix au téléphone et son visage sur une photo envoyée par email.
Il était brun, belle gueule, les yeux très noirs, typé sud-ouest ou méditerranéen, la trentaine.
Mon dressage commençait ce soir. A part un trip "baise-bandeau sur les yeux-les mains attachées dans le dos" avec un inconnu, c'était la première fois que je me soumettais ainsi à la volonté d'un autre.

Il m'avait dit d'aller à la station Richelieu Drouot avant 23h00. Après 23h la ligne était en effet fermée pour travaux. Je devais me mettre dans un des couloirs inutilisés de la station dont l'accès était fermé par une simple chaîne et l'attendre. Il n'y avait rien à craindre m'avait-il dit : " le gars derrière le guichet qui fait la fermeture de la station est un copain. Je vais pouvoir m'occuper de ton dressage de salope toute la nuit jusqu'à la réouverture à 5h00 du mat ! "
En jean, pull vert et t-shirt blanc je devais attendre sa venue. "Sans slip sous le fût, à quatre pattes, les yeux baissés et le cul graissé et je ne veux pas entendre un mot si ce n'est des gémissements" avait-il ajouté.
22h55, j'arrive à la station Richelieu, je descend l'escalier, je mets mon ticket dans l'appareil et je jette un bref coup d'oeil sur le gars derrière le guichet. Un mec la trentaine, bien découplé, cheveux châtains, avec la chemise et la cravate RATP.

Son regard croise le mien. Il me regarde de la tête au pied, un sourire sur le coin de la lèvre. Il sait à qui il a affaire. La lueur dans ses yeux me dit qu'il sait reconnaître les bonnes salopes, filles ou garçons, au premier regard. Je passe vite le portillon et me voilà sur le quai. Il n'y a que quatre ou cinq personnes, des hommes; qui attendent la dernière rame. Peut être mon maître est-il un de ceux-là. ?
Je me demande si le mec du guichet me suis du regard sur sa caméra de contrôle...
Je vais jusqu'au bout du quai, personne ne me prête attention. Voilà le couloir désaffecté, un bref regard circulaire et je passe au dessus de la chaîne qui barre le passage. Me voilà à l'abri des regards. Debout, dans un recoin sombre, la seule lumière vient du quai. J'entends le bruit de roulement du dernier métro. Les portes s'ouvrent. Brève sonnerie. Les portes claquent. La rame redémarre. Me voilà vraiment seul maintenant. Je pressens que la haut le mec a fermé les grilles. Il a juste laissé passer sont pote. Mon maître.
Je dois me dépêcher.

Je dois être prêt comme il me l'a demandé. Je sors de ma poche de jean un tube de gel. Je baisse mon froc, je le laisse tomber sur mes chaussures. J'ai les fesses et la queue à l'air comme un gamin pris en faute. Je mets du gel sur le bout des doigts. Je m'enfonce un premier doigt dans le cul; puis un deuxième. Je remets une couche de gel. Je me graisse vraiment le cul là. C'est du "hot". Je le sens qui me chauffe l'intérieur. Mon trou connaît cette sensation. Il sait que cette impression de vide et de chaleur précéde la pénétration d'une bonne bite de mec. C'est lui qui me force à faire tout cela. A ces moments là je ne suis plus qu'un trou à remplir. Mais ce soir c'est différent je vais offrir mon cul, ma bouche, mais je vais aussi donner mon âme. Je vais m'oublier et obéir à la volonté d'un autre. Jusqu'où m'emmènera-t-il ? Une crainte sourde commence à monter en moi. Mais il n'est plus temps de renoncer.
La lumière du quai vient de s'éteindre. Je suis dans le noir complet. Le cul graissé et le fut sur les chaussettes !

J'ai froid, je tremble de la tête au pied. J'entends un pas qui se rapproche. Un faisceau de lumière.
Une lampe torche. J'essaye de deviner une silhouette mais d'un seul coup j'ai la lumière dans les yeux, je ne vois plus rien.
"Baisse les yeux ! Je t'avais dit de m'attendre à quatre pattes comme une chienne obéissante que tu es ! à terre !"
Sans réfléchir j'obéis. Pris dans la lumière comme un insecte, je me retourne, je me plie en deux, les mains à terre, le cul offert.

"Ecarte bien ! Oui comme ça !" Avec son pied il me force à ouvrir au maximum les jambes mais mon pantalon baissé me bloque. "Putain ce cul que tu as !" Je sens qu'il dirige sa lampe au plus près de mes fesses. Je sens la chaleur dégagée par la lampe torche sur ma peau. "tu as la raie aussi poilue que la chatte d'une gonzesse" Une main glacée me pétris le cul. Un doigt glisse dans ma raie, cherche la fente et trouve. Sans hésitation, il enfonce son doigt et le retire aussitôt. "Tu t'es graissé le fion, tu as le cul propre, comme une professionnelle, c'est bien."
"Tu as le cul large mais ferme; un trou chaud et bien humide." A la manière d'un garçon d'écurie il me flatte l'arrière-train comme si j'étais une jument en chaleur, prête à se faire saillir. "La bouche maintenant : à genoux, les mains derrière le dos !" J'obéis. Il a posé la lampe sur un rebord du mur carrelé. Les yeux baissés je ne vois que le bas de ses jambes, il a un jean délavé et des tennis. Il se tient droit devant moi. Il me domine. "ouvre ta gueule petite larve" Une main derrière ma nuque; il me rentre de force cinq doigts dans la bouche et les écarte au maximum. J'ai l'impression que ma mâchoire est au maximum. "Bien un bon garage à bites que cette gueule là aussi ! Tu as vraiment des lèvres de suceuses ! Elle en a sucé combien ? T'as commencé à sucer des queues à quel âge ? Au lycée t'étais la pipeuse attitrée des vestiaires de sport non ? Après le foot et avant les douches tu vidais les couilles de toute l'équipe je suis sûr !"

Il retire ses doigts de ma bouche et me plaque le visage sur la bosse de son entrejambe.
"Tu la sens ma queue non ? Tu aimerais bien la voir hein ! la renifler avant de l'enfourner je suis sûr ! T'inquiètes ça va venir !"
... Mon nez est collé sur la bosse de son jean usé. Je respire une odeur lourde de sexe et de sueur...
Je ne peux pas bouger la tête car il me la maintient en me plaquant fortement ses deux mains sur mes oreilles. J'ai des difficultés à respirer.
"Allez à quatre pattes, tu vas bouger ton arrière-train comme une chienne qui sent la queue - oui c'est ça !
tu es en chaleur - tu appelles le mâle avec l'odeur qui sort de ton cul graissé - bouge tes fesses !
bien - tu es une bonne chienne! un bon bâtard même vu ce qui pendouille entre tes jambes."
D'une main, il me saisi violemment la bite et les couilles. Il serre et me les tire comme si c'était la queue d'un chien qu'il voulait redresser. "Mais t'as la bite d'un queutard ! à quoi cela te sert dis ma salope, tu dois pas faire beaucoup de mal avec celle-là !"
Il tire encore. Je pousse un gémissement.
"ta gueule ! Commence pas à chialer !"
En même temps que sa main lache mon paquet, je reçois une claque sur l'arrière du crâne.
"à genoux les mains sur la tête !"
J'obéis. Soumis à ses ordres, je regarde devant moi. De crainte, je n'ose pas lever les yeux.
"Tu n'es qu'un bâtard et si tu ne le sais pas encore je vais te l'apprendre !"
(à suivre...)

LUC

monluc@respublica.fr

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