Cyrillo

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Les douches.

Il y a quelques années de la alors que j'étais dans les derniers à effectuer mon service militaire, j'ai vécu une aventure à laquelle je ne m'attendais pas, genre fantasme dont on rêve mais qui ne se réalise pas. A l'époque j'avais une copine que je retrouvais tous les week-ends mais ça ne m'avait jamais empêché de mater quelques mecs. A la caserne parmi ceux que je matais le plus, il y avait Antoine. Grand, brun une peau juste dorée et un regard à damner un saint et comble de l'excitation, il était homo et le criait haut et fort.

Cependant ce n'était pas mon genre de draguer un mec (je ne l'avais d'ailleurs jamais fait et j'avais suffisamment de mal avec les nanas). Mais de temps en temps les soirs nous nous retrouvions dans les couloirs de la caserne et il nous arrivait de discuter de choses et d'autres. Il avait un côté provoc, sur de lui et je me laissais prendre à son jeu, lui laissant imaginer que je lui céderait et au dernier moment je finissais par le planter là.

Un soir que j'étais de garde à la semaine et que je ne pouvais être libre de mon temps qu'après 22 h 00, le pote qui était de garde avec moi par se doucher le premier. J'attends 20 minutes pendant lesquelles je troque l'uniforme pour le short et le tee-shirt. Et à son retour je me dirige à mon tour vers les douches. A cette heure il n'y a plus personnes, toutes les cabines sont libres. Je rentre dans la dernière et fais basculer le loquet. Cette douche me fais du bien, il a fait chaud et depuis le matin 6 heures, je n'ai as eu beaucoup de répit.

Soudain j'entends un "clac", le temps que je réalise que c'est le bruit du loquet je me retourne et Antoine et là ;devant moi, avec juste une serviette autour des hanches. Je suis pétrifié. Il me sourit d'un air triomphal et laisse tomber sa serviette. Il est nu. Son sexe déjà gonflé n'est pas encore en érection je ne peux plus bouger mais je sens mon sang affluer à son tour en un point bien précis. Il s'approche doucement et se plaque contre moi pour me rouler une pelle. Mes jambes tremblent, tous mes sens s'affolent. Le contact de nos deux peaux m'enivre, sa langue dans ma bouche me submerge et nos deux queues tendues, l'une contre l'autre abolissent toute ma raison. C'est la première fois que je suis en contact de façon si intime avec un autre garçon (hormis quelques branlettes à deux). Je décide de l'empoigner et de faire ce que je sais faire. Je le branle doucement avec dextérité alors de son côté sa main descend vers le bas de mon dos, ses doigts se glissent dans ma raie et l'un deux plus profondément grâce à l'action lubrifiante du gel douche.

Je n'éprouve pas tellement de plaisir à cette insertion dans mon intimité, le reste m'excitait déjà bien suffisamment. Mais je suppose que s'il me pénètre c'est qu'en retour il souhaite la même chose. Alors je m'écarte de lui, je le retourne face au mur et me planque dans son dos la queue dans sa raie. Je reprends alors mon astiquage savant et me frotte contre lui. Il bouge de plus en plus et voudrais que j'accélère ou que je rentre plus en lui mais il n'est pas question que je bâcle ce moment d'extase, alors je poursuis ma besogne, lentement, mais sûrement. Quelle ;jouissance de détenir autant de pouvoir sur un homme. Ma raison a refait surface et je m'amuse à le voir se tortiller de plaisir. Je caresse son torse imberbe et juste sculpter légèrement comme il faut. Que j'aime le contact de sa peau. Puis ma seconde main descend vers ses bourses et j'active encore plus son excitation. Alors dans un silence insoutenable du au lieu ou nous sommes, il jouit dans mes mains dans un râle sourd et profond.

L'eau ruisselle toujours sur nos deux corps. Il se tourne vers moi m'embrasse à nouveau et ses yeux son plein de gratitude mais je sens que c'est autre chose qu'il veut remplir. Il me plaque dos au mur et sa bouche descend le long de mon cops pour s'emparer de mon membre qui n'a rien perdu de son excitation. Et là quelle surprise. C'est un dieu de la fellation. Jusqu'à ce jour aucune fille n'avait été aussi experte que lui. A nouveau ma raison démissionne et je suis emporté par le flot de volupté. Il est a genou à mes pieds. Il me prend une cuisse et la passe au-dessus de son épaule puis de même avec l'autre ce qui fait que je ne touche plus le sol. Mais peut importe comment je suis, ce qui me retiens ou s'il me porte complètement, je décolle. Je sens alors le paroxysme du plaisir exploser dans mon ventre puis jaillir dans sa bouche. Il me fait glisser le long du mur, m'assoie au sol et m'embrasse à nouveau, nos deux langues se délectant de mon foutre. Mais je suis hors circuit. Il se lève remet sa serviette en place et me plante là comme agonisant sous la douche. Il me faut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits et réaliser ce qu'il m'arrive. Je vais me coucher mais mon cerveau est toujours en ébullition.

Les jours d'après quand je le croise, mon regard le supplie de bien vouloir recommencer, mais son sourire ravageur, ne fait que me narguer. Mon service militaire s'achève. Je ne sais que son nom et son prénom et je ne l'ai jamais revu. Souvent je pense à lui et je n'ai jamais ressentis autant de plaisir que cette fois-là. Le croiserai-je à nouveau un jour ?

Neiloven

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