Cyrillo

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Vive les transports en commun

Je ne porte que des strings sous mes pantalons qui sont généralement ultra moulant. Je n'aime pas avoir la marque de mes sous-vêtements, dommage diront certains.

J'avais décidé de mettre ce pantalon en lin un peu transparent mais tellement agréable par cette grosse chaleur d'été, et en sortant de la douche je constate que je n'avais pas un string blanc de propre. Impossible de mettre une autre couleur, tant pis j'enfile le pantalon comme ça, à poil dessous, après tout il n'est pas si transparent que ça. Je me regarde dans la glace avant de partir, mes fesses bien moulées et sur le devant on devine ma queue et mes couilles sur le coté de la braguette. Trop tard je n'ai pas le temps de me changer et de toute façon au bureau je suis assis toute la journée.

Mes couilles ballottent et mon sexe libre sous le pantalon frotte contre ma cuisse, je respire un grand coup il ne s'agit pas de me mettre à bander.
J'arrive à la station de métro, je sens quelques regards sur ma tenue, je les ignore, le métro n'en finit pas d'arriver.

Enfin le voilà, je monte et reste debout, il n'y a plus de places assises dans le wagon, et les soubresauts commencent à avoir raison de ma tranquillité, sans compter mon voisin qui par manque de place se frotte sur moi.

Je commence à bander et rien ne retient ma queue libre sous mon pantalon. Je tente de garder ma dignité en glissant mon cartable devant moi, soudain je sens qu'on commence à me caresser. Le métro est maintenant bondé, il n'y a aucun moyen d'échapper aux caresses qui se font de plus en plus insistantes sur mes fesses, ma raie et qui cherche ma rondelle.

Ma bite se tend, elle est totalement déployée et mon léger pantalon ne représente qu'un faible barrage. Mon caresseur s'y prend bien, il me masse maintenant doucement les couilles et me branle lentement. Je cherche autour de moi à voir qui s'occupe de moi avec autant de sensualité, mais tous les visages sont impassibles ou plongés dans un journal.

Je sens le désir monter de plus en plus, cette sensation d'impuissance augmente mon excitation, le métro roule et d'un coup la caresse s'accentue le rythme augmente et malgré tous mes efforts je jouis.

Mon pantalon ne cache plus rien, tout flotte dans le foutre. Je descends à la station suivante et me dirige vers un café afin d'évaluer dans les toilettes les dégâts.

La journée commence bien !

Timanu
emjacq@aol.com

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