Cyrillo

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Une verge énorme.

Je voulais vous raconter une histoire véridique qui m'est arrivé il y a quelques années. J'habitais encore chez ma mère et j'avais une petite amie. Un jour, un cousin vint dormir chez moi. Je le connaissais bien, mais je ne l'avais pas vu depuis un certain temps (quelques années au moins). Il était mon cadet de trois années environ. Pour ma part je devais avoir 20 ans. Nous avions passé la soirée dans un café à boire un peu et à nous raconter les dernières nouvelles de la famille.
En rentrant à la maison, nous avions décidé de dormir tous les deux dans ma chambre, comme nous l'avions fait mille fois, plus tôt dans notre jeunesse, pour nous rappeler les bons souvenirs du temps passé. Comme je n'avais qu'un lit deux places, nous nous étions allongé l'un à coté de l'autre.
Je n'avais pas de tendance homosexuel et lui non plus d'ailleurs. Par contre j'avais une curiosité naturelle à voir les sexes des autres garçons parce que le mien m'a toujours semblé petit. 14 cm et un diamètre trop faible à mon goût d'environ 3,20 cm (10 cm de circonférence).
Nous nous couchions tard dans la nuit, quelque peu fatigué. Rapidement il s'endormi. Alors que de mon coté, j'éprouvais quelques difficultés à trouver le sommeil, l'idée me pris de regarder son sexe pour comparer sa taille avec le mien.
J'avançais fébrilement ma main sous les draps en feignant de dormir au cas ou il se réveillerait ! Ma main s'approchait lentement lorsque soudain, je touchais sa jambe. Au premier toucher, il eut une petite réaction de retrait. Simple réflexe sans doute. La paume de ma main était en sueur, mon coeur battait à une vitesse folle et j'avais la bouche sèche.
J'avançais lentement en évitant de le toucher mais en reposant ma main de temps à autre pour voir "ou j'en étais". Je me souviens que la lune éclairait la chambre, (il n'y avait ni volet ni rideau) mais sous les draps, tout ce passait à l'imagination. Je continuais mon exploration lorsque soudain j'attrapais quelque chose d'épais et relativement dur; je compris de suite que c'était son poignet. Mon imagination renvoyait des images de la scène si bien que je conclu rapidement qu'il avait mis sa main dans son slip. Un instant je fus découragé et décida d'abandonner. Trop risqué. Mais si proche du but, l'envie de voir était plus forte. D'abord retirer la main doucement pour la poser sur les draps. Je tirai doucement sur le poignet pour dégager sa queue mais rien à faire. A croire que sa main était accrochée à ses couilles. Je pris alors le risque de descendre ma main dans son slip pour libérer la sienne.
Alors que je continuais mon exploration le cour battant, je senti à mon grand désarroi une énorme testicule poilue. Je ne bougeais plus. J'avais du mal à comprendre. Un poigné mais pas de main !!!
Je remontais le poigné mais j'atteins bientôt un gland dur et gonflé. Ciel, ce que je croyais être son poigné depuis le début, était sa queue. Une queue énorme, d'un diamètre si colossale que mon pouce et mon majeur ne pouvait pas en faire le tour ! J'étais subjugué. Comment pouvait on avoir une queue aussi grosse ? Ma curiosité grandit encore et j'eue envie de la voir à la lumière. Pour cela, il suffisait de retirer les draps et laisser la lune éclairer le tableau.
Je retirai ma main lentement, puis fit semblant de dormir et repoussa lentement les draps. Le toucher de ce dernier sur son corps le fit changer de position. Dans son sommeil, il sorti un jambe au dessus des draps et se tourna du coté opposé.
Je ne voyais donc plus que ses fesses et son dos. Je fus très déçu et bien ennuyé, si près du but. Alors que je réfléchissais à une solution, il se retourna de nouveau et sorti sa deuxième jambe. Allonger au dessus du lit, il était maintenant sur le dos et mis ses mains derrière sa tête comme si il attendait que je le reprenne en main. Dormait il vraiment ? La suite me laisse à penser que non.

J'attendais quelques minutes qu'il se rendorme profondément en contemplant son sexe. Il perdait quelques peu de sa rigidité. J'approchais ma main de nouveau, saisie son sexe pour constater de visu que je ne pouvais en faire le tour. Bien tenu en main, je le dressais lentement vers le plafond. Machinalement je commençais un mouvement de masturbation lent et régulier. Cette queue, qui se raidit un maximum, était réellement énorme. De mon autre main, je saisis ma propre queue pour tenter une comparaison. J'étais ridicule !!!

Je continuais de le masturber lentement lorsque je fus pris d'une attirance soudaine. J'approchais doucement ma tête à mesure que je décalottais son énorme gland. Alors que celui ci fut dégager, mes lèvres se trouvaient à quelques millimètres et du bout de la langue je lécher le magnifique membre. J'eue sans aucun doute la peur de ma vie. S'il se réveillait je n'aurais pas été capable de justifier mon geste. Moi même je ne savais pas pourquoi je faisais cela. Son gland m'étais offert, dressé devant moi. Mes lèvres le couvraient de baiser lorsque soudain je laissais glisser ma langue sur son bord inférieur. La réaction fut immédiate, il se gonfla de plus belle et mon cousin eut un léger mouvement de cabrage des reins. Cela semblait lui faire du bien. Engaillardis, je léchais sa queue du haut en bas puis la rentra dans ma bouche. Je crois que je n'aurais pas pu y ajouter un doigt tellement cette énorme bite prenait de place.

La fellation dura peut être vingt minutes, peut être une heure. Je ne sais plus mais j'y ai pris un plaisir incroyable. Je crois avoir joui plusieurs fois dans les draps. J'imaginais les pires fantasmes, je le voyais en train de baiser ma copine, elle qui était habitué à ma petite bite. J'aurais voulu l'entendre crier à chaque coup de rein, des cris que je ne connais pas comme me dira beaucoup plus tard un pote qui voulait me charrier.
Alors que mes fantasmes duraient, mon activité prenait de plus en plus d'ampleur et les mouvements étaient de moins en moins discret. Ma timidité du début avait laissé place à une fellation dans les règles de l'art. Son sexe avait commencé à mouiller depuis longtemps et j'avais repéré des mouvements de reins réguliers mais de faible amplitude de sa part, signe évident qui faisait semblant de dormir. Il devait être aux anges. Je songeais à arrêter de peur qu'il intervienne ou qu'il éjacule. J'aurais eu peine à justifier le "pinceau dans la colle" au réveil. Je décidais encore deux ou trois allers retours dans ma bouche avant d'arrêter.
Soudain, alors que sa queue était enfoncer au plus profond de ma gorge, je senti un liquide chaud et épais m'inonder la bouche. Ni le goût, ni la texture n'étaient déplaisants, juste inconnu.
J'avais souvent fantasmé sur le fait de goûter mon propre sperme pendant mes séances de masturbation, mais à chaque fois c'était la même chose, après l'éjaculation, ma semence dans la main ou sur le ventre, le courage me manquait pour porter celui ci à ma bouche.
Cette fois, au moment le plus inattendu, je me retrouvais la bouche pleine d'une première giclée de sperme chaud. Un peu déstabilisé, je décidais sans trop y réfléchir d'avaler le liquide. A peine avais je dégluti qu'une seconde giclé de son meilleur miel toujours aussi chaud m'inonda de nouveau la bouche. Je continuai à le masturber en avalant, j'avais l'impression qu'il avait laissé partir des litres. Je n'avais pas le temps de déglutir qu'une nouvelle vague venait se mêler à la précédente.
Après quelques secondes, il se calma et je continuais à le pomper lentement. Puis je procédais au nettoyage du matériel. Je passais ma langue le long de cette énorme sexe au diamètre si impression puis je le remettais dans son slip et me coucha avec se goût unique que j'essayais pour la première fois.

Cette aventure m'a véritablement changé la vie. Par la suite, a de nombreuses reprises, je le resucerai dans les années qui suivirent. J'eue d'autre relation homosexuel dans ma vie et encore aujourd'hui dissipé parmi des relations hétéro. Je ne manquerai pas de vous raconter d'autre épisode si vous en manifestez le désir. J'ai aujourd'hui 32 ans mais depuis ce jour je ne peux pas croiser un homme dans Paris sans jeter un oeil à sa braguette en quête d'une queue impressionnante.
D'ailleurs, si vous êtes monté comme un cheval et que vous souhaitez me faire partager votre bonheur, envoyez moi un petit mail avec ou sans photo, nous pourrions nous rencontrez pour que je vous prennent en bouche.

Bonne route à tous.


Nico

nico69692003@yahoo.fr

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