Éboulement
Bonjour à tous, je m’appelle Théo et je vais vous raconter une histoire qu’il m’est arrivé il y a quelques mois. J’avais 18 ans à ce moment là, et nous étions parti en « classe verte » avec ma promo d’étudiant de la fac. Nous étions une trentaine d’étudiant avec 2 accompagnateur. Étant quelqu’un d’assez réservé, je n’étais pas très intégré au reste du groupe. J’avais donc espoir que cela s’améliore avec ce voyage, malheureusement ce ne fut pas le cas.
Nous étions en train de faire une randonnée dans une montagne, complètement isolé. Nous marchons en file indienne, et j’avais tendance à être dans les derniers. Brutalement, je senti quelqu’un passé à ma gauche et me bousculer de l’épaule, ce qui me fit tomber aussitôt. Avant même de l’avoir reconnu, je savais déjà qu’il s’agissait de Paul.
- Putain, tu fais chier. Avais-je lancé
- C’est quoi ton problème le petit pédé ? M’avait-il répondu, après avoir vérifié que le groupe avait pris de l’avance.
- C’est toi mon problème, espèce de gros con. Lui avais-je répondu en me relevant.
Étant plus mince et un peu plus petit que lui, je ne m’étais pas senti capable de répondre par la force physique. Paul, sportif, au profil de rugbyman, aurait rapidement eu le dessus. J’avais donc abdiquer, comme à l’accoutumé.
Regardant en avant, je m’aperçu que le groupe n’avait pas remarqué, notre absence y avait pris de l’avance, puisqu’il n’était déjà plus visible. Tout en me relevant, j’avais l’impression que ma tête tournait et que le sol tremblait. Puis je sens si la terre glissé sous mes pieds bien que j’avais cru faire un malaise au tout début, je compris rapidement mon erreur. La montagne était en train de s’effondrer et la terre glisser important, la roche, les arbres, mais nous. Un instant, je cru voir ma mort arriver. Par chance, la glissade fut de courte durée. Paul et moi nous étions retrouvé l’un à côté de l’autre, quelques mètres plus bas. Après une bref inspection, je n’avais constaté que quelques ecchymoses. Rassuré, j’avais demandé à Paul comment il se sentait
- Ça va ! C’était quoi cette merde ? M’avait-il répondu
- J’en sais rien. Faut qu’on retrouve les autres.
À peine avait fini ma phrase que mon regard se dirigeait vers l’horizon et je compris alors mon erreur, le chemin d’accès avait été emporté. Il n’était plus du tout possible de rejoindre le reste de mes camarades.
Après une courte discussion avec Paul nous avions décidé de rebrousser chemin et de nous diriger vers une petite cabane que nous avions repéré quelques centaines de mètres plus haut, qui semblait complètement à la vendre. Cela fut confirmé lorsque nous pénétrer à l’intérieur. il y avait tout de même de l’éclairage et de l’eau froide. Malheureusement, nous n’avions pas de réseau téléphonique pour prévenir qui que ce soit à ce moment-là, nous avions espoir que le reste de notre groupe avait pu finir de rejoindre la civilisation pour contacter secours. Nous avions décidé d’attendre patiemment, mais rapidement l’ambiance fut pesante.
- C’est quoi ton problème ? Pourquoi tu me détestes ? Avais-je demandé à Paul
En effet, cela faisait plusieurs mois que Paul ne cesse de m’importuner. Je dois bien reconnaître que j’avais fait en sorte de l’agacer également en retour. Régulièrement, il portait à mon encontre des propos homophobes. On ne peut pas dire que je portais ma sexualité sur moi, mais celle-ci était connue de tous
- J’ai pas de problème …
La conversation se trouve plutôt limitée. Après plusieurs heures à patienter, sans aucun secours, je commençais à me dire qu’il allait falloir passer un peu plus de temps que prévu avec Paul. Une idée saugrenue me va à l’heure en tête. J’étais convaincu que si Paul me harcelait sur ma sexualité, c’est qu’il n’était peut-être pas aussi clair avec la sienne. il me fallait alors tester mon hypothèse.
J’avais commencé à être un peu plus sympa avec lui, ne pas me braquer quand celui-ci me parlait mal. Cela fonctionnait en partie, puisque le soir venu, nous pouvions enfin discuter naturellement. Il n’en fallait pas plus pour que j’attaque.
- Dis moi, ça te pose problème que je sois gay en vrai ? Tu n’arrêtes pas de m’insulter à ce sujet.
- … non, je m’en fout moi !
- Pourquoi tu fais une fixation là dessus alors ?
- Mais pas du tout, je m’en fout de ce que tu fais avec ton cul ! Chacun son kiff. Se justifia t’il
- Ok, ok.
Un peu plus tard, et avant la tombé de la nuit, aidé par la chaleur, j’eu l’idée de me laver un peu.
- Ça te dérange pas si je me lave un peu ?
- Non t’inquiètes.
Bien que lui tournant un peu le dos, je m’étais volontairement mis à nu tranquillement. Sans le regarder directement, je pouvais sentir son regard se poser sur moi et mon cul. Ayant de me laver, je fini par sortir, pour me sécher au soleil, tout en passant devant Paul, sans cacher ma nudité, et ma queue imberbe au repos.
Un peu plus tard, la nuit tombée, et n’ayant rien d’autre à faire, nous discutions paisiblement avec Paul. Je tentais alors une incursion dans sa vie privée.
- Et t’as une meuf toi sinon ?
- Non, je l’ai quitté il y a quelques semaines.
- Ah bon ? Ça n’allait pas ? L’interrogeais-je
- Non en effet … et toi ?
- Et moi quoi ?
- Bah tu as un mec ? Me demanda-t-il
- Non plus, je suis toujours un cœur à prendre. Dis-je en plaisantant.
- Tu me dragues ? Me lanca-t-il
- N’importe quoi ! Dis-je en rigolant.
- Mouais, ça donne l’impression quand même. M’accusa-t-il
- Pas du tout, je discute juste. Puis c’est toi qui me matait tout à l’heure.
- Désolé, je te matais pas réellement. Me répondit-il, le rouge lui montant au visage.
- T’inquiètes, c’est pas grave. Qui n’a jamais mater ? Dis-je sans attendre de réponse.
Après un petit blanc, je repris:
- Et ça t’a plus ce que t’as vu ?
- Euh …
- Non mais on est que tous les deux, tu peux me le dire, je vais pas te juger.
- En vrai … t’as un très joli cul, et j’ai bugué sur ta queue …
- Ah ouais ? Pourquoi ? Pourtant tu dois être habitué de voir des mecs nus dans les vestiaires.
- Oui, c’est pas faux. Mais t’as queue à l’air déjà très grosse, même au repos. J’ai jamais vu si gros. M’avouea-t-il
- Ah ouais ? Donc tu mates vraiment sous les douches ?
- Je mate pas vraiment, mais oui, je regarde.
- Et t’as jamais rien eu envie de faire avec un mec ? Lui demandais-je
- Je suis pas gay moi !
- Et alors, ça veut rien dire. Et ça répond pas à la question.
- Ouais … ok, j’ai peut-être déjà eu envie de toucher.
- Ah ouais ? Quand ? Tout à l’heure tu aurais eu envie ? Ajoutais-je
- Euh …
- Non mais Paul, ça reste entre nous.
- Bah oui, j’avoue que ça m’a traversé la tête.
- Et tu veux toucher là ?
- Là ?! T’es malade ou quoi ?
- Bah on a rien d’autre à faire de toute façon. Dis-je en me redressant, et baissant mon jean et mon boxer, libérant ma queue devant le visage médusé de Paul.
Le rugbyman ne sut quoi répondre. Petit à petit il approcha sa main de ma queue lourde, posé sur les testicules rasés. Il attrapa ma verge, qui rapidement se mit à gonfler. Mes 21 cm tendus, j’eu l’impression de voir de l’admiration dans le visage de Paul. J’eu l’impression de voir son visage se transformé, et son comportement changé. Avant même de me dire quoi que ce soit, il approcha son visage de ma queue, ouvrit la bouche, puis inséra mon gland circoncis. Sans attendre davantage, il se mit à s’agiter sur ma queue.
Je rêvais. Paul, qui m’insultait à longueur de temps, s’était finalement révélé être une bonne suceuse. Je n’aurais jamais pu imaginer cela. Je commençais à reprendre la main sur cette situation. Paul ne s’arrêta pas, il alternait entre me sucer, et lécher mes couilles. Sans s’arrêter, il sortit sa queue, et se mit à se branler frénétiquement. Je pus alors apercevoir ses 15 cm, légèrement poilu.
Le voir ainsi, à mes pieds, s’agiter sur ma queue, tout en se branlant, m’excita énormément.
- Je vais jouir ! Lui dis-je
Il ne s’arrêta pas pour autant, et continua sa fellation. Il n’en fallut pas beaucoup plus pour que je gicle 6 jets de sperme dans sa bouche, qu’il avala quasi immédiatement. En réaction, il éjacula à son tour plusieurs jets de sperme bien blanc et épais sur le sol.
- Putain !!! lâcha Paul
- C’était trop bon ! Le rassurais-je
- C’est vrai ? J’avais jamais fait ça de ma vie !
- Et tu ne regrettes pas ?
- Non, du tout, c’était trop bien. Elle est trop belle ta queue.
Quelques minutes plus tard, nous nous couchions, accolé l’un à l’autre pour nous tenir chaud. M’endormant, je senti Paul venir me déposer un baiser dans le cou.
Brutalement dans la nuit, je fus réveillé par un bruit sourd. Un instant je crus qu’il s’agissait d’un nouvel éboulement. Je sentis la main protectrice de Paul se poser sur moi, avant de me lâcher vivement quand il reconnut la voix de notre nouvel invité.
- Paul ? C’est toi ? Demanda Jordan, l’un de ses fidèles amis.
- Ouais ! Vous nous avez retrouvé ???? Vous en avez mis du temps ! Dit-il
- Ah non mec ! Je t’arrête ! Ne te voyant plus j’ai fait demi tour, je me suis retrouvé dans les éboulements. J’ai eu du mal à me sortir de là. Puis à trouver des repères … c’était horrible !
- Ouais, on a vécu pareil. Dis-je
- Ah t’es là toi aussi …..
- Bah ouais !
Je sens aussitôt Paul se refermer, s’éloignant déjà physiquement de moi.
Jordan prend place entre nous, me bousculant violemment. Je ne dis rien, et me décale. La nuit passe tranquillement.
Au matin, la tension est palpable dans la cabane. Aucun secours en vu, le stress commence à monter, et je sens le regard inquisiteur de Jordan sur moi. Paul change complètement d’attitude et redevient le sportif con qu’il a su être jusqu’à hier. Mon idée de faire tomber Paul dans mon filet est en train de tomber à l’eau. Je n’ai plus de temps isolé avec Paul pour essayer de retrouver notre complicité fugace de la veille.
Nous passons la journée à l’extérieur, à attendre les secours, qui ne viennent toujours pas. En fin d’après-midi, je décide de me laver, comme la veille. Une fois nu, je reçois une remarque de Jordan.
- c’est que le p’tit PD nous montre son petit cul !
En me tournant, je peux voir Jordan m’observer, et quelques mètres derrière lui, Paul me mater, et ne pas réussir à dissimuler son érection.
- Je me lave juste trou duc ! T’as jamais vu un cul ? Ou c’est que le mien te plaît ?
- Je mange pas de ce pain là mon gars ! Expliqua Jordan.
- Ouais … ils disent tout ça au début … ajoutais-je
- T’es en train de dire que je suis homo comme toi ? Tu rêves mon gars ! Dit-il en s’approchant de moi.
- Qu’est-ce tu veux ? Tu veux me sucer ? Le provoquais-je
- Jordan, arrête tes conneries ! Laisse le se laver, soit pas con ! Lança alors Paul
- Tu le défends maintenant ?
- Non, mais c’est pas justifié là …
Je suis surpris de voir Paul prendre ma défense. Finalement, tout n’est pas perdu. Agacé, Jordan finit par s’écarter de nous, dans la forêt.
- Merci. Dis-je
- Non, c’est normal … je suis désolé d’avoir été comme ça avec toi également. J’ai été un gros con …
- Oui
Et sans l’avoir prévu, Paul s’approche de moi, et m’embrasse sur la bouche, léger, rapide et fugace, mais un baiser sur la bouche quand même.
- Désolé, j’avais envie. S’excusa-t-il
- Pas de soucis, c’était pas désagréable.
La soirée se consomma … toujours aucune trace des secours … nous avions réussi à manger quelques végétaux.
J’étais endormis quand Paul se cola à moi, puis une fois réveillé, me glissa dans l’oreille,
- Vient avec moi dehors
Ce que je fis.
Une fois dehors, il se colla à moi, m’embrassa langoureusement, puis s’accroupis devant moi, libéra ma queue, la pris en bouche et la fit gonfler progressivement.
Après plusieurs minutes à me sucer efficacement, il ajouta:
- J’ai envie que tu me baises, là, tout de suite.
- T’es sur ? On a rien. Même pas de lubrifiant.
- Je veux essayer, en vrai, ça faisait 30 min que je me chauffais de ouf, je me suis doigté un peu avant de te réveiller … ça te dit ?
- Bah oui, si t’es chaud ok.
Je m’allongea alors au sol. Paul m’enjamba et plaqua son trou poilu contre mon gland, bien humidifié par sa salive. Délicatement, il joua de son trou sur mon gland. Petit à petit, je pouvais sentir mon gland passer les barrières de ses sphincters et s’enfoncer en lui. En quelques minutes la moitié de mes 21 cm avaient disparus.
Paul allait et venait de plus en plus vite sur ma queue. Il semblait y prendre du plaisir. Une fois son trou bien dilaté, et bien humide, ma queue arriva au fond de ses entrailles. Ses couilles se posèrent sur mes abdominaux. J’attrapais sa queue et la masturba délicatement, pendant que Paul allait et venait sur ma queue.
Paul m’embrassa à nouveau et me glissa à l’oreille.
- Putain Théo, c’est trop bon, je pourrais tomber amoureux de toi.
Mon plan marchait à merveille. Il tombait petit à petit amoureux de moi. Le sportif, viril, hétéro-convaincu, était en train de tomber amoureux d’un petit intello, svelte. J’allais enfin pour me venger de tous ces mois de souffrance, j’allais à mon tour pouvoir l’humilier comme il m’avait humilier.
Paul me sorti de mes rêveries en lâchant un hurlement de plaisir. Cela nous stoppa net. Jordan risquait d’avoir entendu. Et en effet, il se précipita en dehors de la cabane.
- Putain, c’est vous, j’ai eu la peur de ma vie, j’ai cru que ça recommençait ! Expliqua t’il en haletant. Il avait l’air dans un état de panique.
Puis Jordan pris conscience de la situation. Moi, allongé au sol, ma queue enfoncé dans le trou de son meilleur pote
- C’est quoi ce bordel ? T’es pd aussi ? Je comprends rien ? Putain Paul, ta sa queue dans le cul ? Et elle est énorme ! C’est la première fois ? Vous êtes ensembles ? Tu me caches ça depuis quand ?
Jordan ne s’arrêtait plus de parler. Paul resta figé.
- Mec, tu nous regardes baiser ou tu te barres, mais on était un peu occupé comme tu le vois. Dis-je
- Oui … oui. Répondit simplement Jordan avant de retourner dans la cabane.
Paul était perdu, je l’attrapa et l’embrassa de nouveau.
- Il nous a vu, je suis mort ! Me coupa-t-il
- Mec, foutu pour foutu, autant profiter à fond non ? T’en penses quoi ? Dis-je en lui donnant un coup de rein dans le cul, ce qui le fit gémir de surprise.
Paul repris ses mouvements de bassin de plus belle. Après quelques minutes, j’aperçus le visage de Jordan au coin de la cabane. Il essayait de nous mater discrètement.
- Mec, soit tu viens, soit tu pars, mais ça sert à rien de te planquer. On est entre nous, et on va peut-être crever tous les trois ici, alors autant se faire plaisir ! Lui lançais-je.
Il se présenta alors, la queue entre les mains, se masturbant tout en nous regardant.
- Approche encore ! Ajoutais-je.
Jordan se retrouva juste à côté de nous. Lui debout, moi allongé au sol. Paul en train de me chevaucher, la queue de son ami à sa hauteur.
Je voyais bien que Paul regardait la queue tendu, légèrement courbé vers la gauche, d’environ 17 cm, de son ami. D’un regard, je lui fis comprendre qu’il pouvait le sucer. Et il se jeta dessus. Je vu alors Paul prendre en bouche la queue foncée de son meilleur ami, et de caresser ses couilles lisses et pendantes.
Après quelques minutes dans cette position, je me redressa. Paul, tout en suçant Jordan, se mit à 4 pattes. Je passa derrière lui, et repris notre baise de plus belle. Nous étions tous les trois, nus, en train de nous reproduire, vainement, sous la nuit étoilée. J’allais enfin pouvoir prendre ma revanche, sur Paul, mais également sur Jordan.
- T’aimes ça te faire prendre Paulo ? Demanda Jordan
- Hmm oui, c’est trop bon en vrai ! Ça m’excite de ouf ! Dit-il en libérant sa bouche de la queue de son meilleur ami.
- Tu veux essayer ? Proposant ma place à Jordan.
- Pourquoi pas …
Jordan passa derrière Paul. Son trou était totalement béant après mon passage. Il n’eut aucune difficulté à le pénétrer.
- Oh la vache ! Oh putain ! C’est trop bon ! Lâcha Jordan.
Il attrapa son pote par les hanches et commença à le baiser à son tour. Je pouvais admirer la queue de Jordan entrer et sortir de l’anus de Paul. Celui-ci commençait à vaciller, et ne plus parvenir à maintenir la position. Jordan se retira. Une fois libre, Paul s’allongea sur le dos, et releva les jambes, dévoilant son trou poilu. Aussitôt, Jordan y réinséra sa queue sans ménagement. Paul ne se retenait plus de gémir bruyamment. Après quelques minutes de ce traitement, Jordan poussa des petits gémissements faisant suspecter une éjaculation en cours. Il lâcha tout son sperme dans le trou de son ami. Une fois fini, il me laissa la place.
En inséra ma queue, je pouvais percevoir l’humidification provoqué par le sperme de Jordan autour de ma queue. Il ne fallut que quelques coups de reins pour que mon orgasme vienne également. Je sortis alors ma queue de son antre, me masturba jusqu’à jouir une dizaine de jet de sperme bien blanc et épais. Les premières gagnèrent le visage de Paul, les suivantes son torse, et les dernières nappèrent sa queue tendue et ses couilles.
Puis utilisant mon sperme comme lubrifiant pour masturber Paul, il ne lui fallut qu’une minute pour jouir à son jour sur son visage et son torse.
- C’est qui le PD maintenant ? Leur lançais-je
Paul, penaud, s’excusa de son comportement passé. Ils m’apprirent qu’ils avaient, tous deux, déjà eu des expériences de branlette mutuelle. Mais fort de non-dit, ils s’étaient tous les deux reclus dans un comportement d’homophobe entêté.
Le jour fini de nouveau par se lever. Avec lui, mes idées de vengeances s’étaient évaporés. Paul et Jordan regrettaient réellement leurs agissement. Jordan se pensait toujours hétéro, mais Paul doutait de lui et de ses envies. Il voulait continuer à explorer sa sexualité avec moi. Par chance, les secours nous retrouvèrent finalement, et nous purent rejoindre la civilisation.
Nous avons alors appris qu’il y avait eu de nombreux blessés, donc certains graves, dans les éboulements de la montagne. Par chance, personne n’avait été tué.
La fin d’année scolaire fut mouvementé … et très sexuelle, comme vous pouvez vous en douter.
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