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9 Mai

Concours
d'histoires

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CONCOURS D'HISTOIRES

La catastrophe

Dans la partie de la grande tour qui n’était pas inondée y avait que moi et le pechno-patron. Après les raz de marée géants, tout le pays est maintenant couvert d’eau. Je dis le pays, mais il ne doit pas être le seul. Les glaciers fondus tous en même temps, d’un coup, pendant que toute la flotte contenue dans tous les nuages nous est tombée sur la tête, ou quelque chose du genre, j’suis pas plus calé en déplacement hydrologique quand biosphère. La première vague de quoi? 100 mètres de haut? Quelque chose d’impossible. En deux jours tout était fait, non c’est pas ça, en fait pas fait, défait. Comme dans démolie. Le premier matin on avait les pieds dans l’eau, à midi ça rasait les toits des autos et ça emportait les boites postales, les poubelles… Le soir les courants beaucoup plus forts charriaient tout. Les étaient des petits bateaux qui passaient à toute vitesse. Tout y est passé, végétation, maisons, citernes d’essence déterrées des s
ols des stations-service et tout le bataclan.

Des tours se sont effondrées, mais pas la mienne, et je savais qu’elle tiendrait. C’est que je la connais celle-là. Je suis son mécano, pas comme pour une locomotive, dans ce cas-ci, elle aurait le cul planté dans le sol. Je suis responsable de tout ce qu’il l’est ici, mécanique je veux dire. Ventilation, ascenseur, mais aussi partout où l’électricité et la plomberie passent en plus de systèmes de caméras, etc.

Elle fait 84, étages j’entends. En soustrayant les 14 qui sont plus haut que la ligne d’eau, y’en à 70, et en additionnant les hauteurs de chacun plus le rez-de-chaussée monumental, il y aurait quelque chose comme 375 mètres d’eau au sol. Au-dessus des rues, des parcs, des écoles, de la vie…

Pourquoi je ne suis pas parti avec les autres? Je ne sais pas, j’y croyais pas? Pourtant tout avait été expliqué, c’était prévu, depuis pas longtemps, mais quand même, on l’a annoncé. Tout le monde est parti, c’était la pagaille! Partie dans les hauteurs, mais déjà qu’on est beaucoup plus haut que le niveau de la mer ici, je me demande encore de quelle hauteur ils parlent.

Je suis resté parce que c’est la tour qui n’aurait pas dû être à moi? Cette grosse queue de vitres et de boulons bandée éternellement. C’est que je ne viens pas des écoles d’ingénierie, je n’ai même pas fait «d’école». Juste une toute banale. Je n’ai jamais eu honte, mais venir de là, ça n’ouvre pas beaucoup de portes.

À la petite, école, je veux dire, on m’appelait le pan de mur. J’étais le plus grand, le plus large d’épaules, etc. Même maintenant, je le suis encore en général. Même sous les douches, ce qui pend entre mes jambes était deux fois plus long et gros que ceux des autres. Ma première vraie tour, ma bite? Je ne jouais pas là-dessus, je ne parle pas de jouer avec ma queue, même si, jeune, j’ai eu le besoin de me l’astiquer très tôt, ce que je veux dire c’est que je ne crânai pas avec mes muscles. Formés à la ferme où je travaillais, pendant les vacances d’été pour aider ma mère avec le fric, ils étaient, et son encore tant qu’a ça, bien dessiné. Je ne suis pas un violent et je n’ai jamais menacé personne, pas mon genre. J’avoue que c’était facile de faire le gentil, personne ne me provoquait, il avait toute peur de moi. J’étais pénard. Je passais pour le géant au bon cœur.

Comment suis-je, ou plutôt, j’étais devenu le dg mécanique du building le plus énorme et connu de la ville, même si je n’ai pas fait d’univ? C’est que j’ai fait apprenti auprès du meilleur dans le domaine, 15 ans avec lui. L’apprentissage pratique c’est celle que je comprends le mieux. C’était mon maitre, et oui, de ça aussi, ce que vous pensez. Ça monte et ça descend un ascenseur comme un cul qui vient de sortir de l’adolescence sur un pieu d’homme mûr.

Ici je suis même pas seul, aussi incroyable que ça puisse paraitre. Comme j’ai dit, y a le pechno-patron, le type richar richissime avec moi. Je dis pecnots pas parce qu’il est campagnard, c’est carrément le contraire dans son cas, c’est parce qu’il fait dans la techno, des trucs pour les ordis et tout ça, techno/pechno avec le H, ça me fait rire. Il aurait pu se payer un hélico, mais il est encore là. Je comprends encore moins pourquoi il est resté ici que moi. Le patron des derniers, pour étages, comme je l’appelais avant. Ses bureaux occupaient, en fait, ils les occupent encore, les deux derniers de ma bite poutres d’acier, ma tour à moi.

Nous qui nous croirions chacun de notre côté, tout seul ici, on a fait une de ses têtes quand on sait vu la première fois dans un escalier de secours!

La détestation

Ça jamais allé entre nous. Son éducation et tout. Je savais qu’il me méprisait, pas directement en parole ou en geste non, justement. C’est que je n’existais pas pour lui. Quand on était dans la même pièce, il ne me voyait simplement pas. J’étais l’ouvrier invisible. En plus on est du même âge, la comparaison entre le type qui a réussi, fait beaucoup de fric, et l’autre, qui l’a moins était encore plus évidente. Y’a des moments où je l’aurais fait traverser une des fenêtres du foutu 84e!

On n’avait, par bénédiction, pas à se parler. Pendant que tout le monde s’agitait, moi je faisais le poteau dans les réunions de gestion des locaux. Il n’était intéressé et ne parlait qu’a ses employés les plus importants. Après qu’il soit parti, eux me transférèrent ses instructions. Mais je venais de les entendre de sa bouche! Si vous voulez un exemple de forme de mépris, c’en est un bon. Je le détestais pour ne même pas se souvenir de mon nom et lui me méprisait en m’invisibilisant.

Hé bien c’est fini ça, monsieur gros bonnet. T’a plus le choix de te confronter au le baraqué la boule à zéro. Oui, je me rase totale les tifs, ça fait plus viril. Mais bon, il n’est pas en reste le grand manitou. C’est un grand type, moins que moi, mais quand même. Pas gros, il doit faire du gym dans un de ses endroits bourgeois bien équipés pour te faire ressortir des muscles que tu ne savais même pas qu’il existait. Un corps «en forme», comme on dit maintenant, même s’il doit peser la moitié moins que moi. Que des muscles d’apparat pour les montrer sous la douche qu’il a. Moi, je suis le gros lion naturellement puissant et lui le guépard tout en finesse qui court le plus vite au monde pour tenter de garder la forme.

Ouais, quand même, je dois l'avouer, il me faisait quelque chose au bas ventre quand je le voyais à la tête de son entreprise, fièro avec raison. Un beau petit coq. Même si lui me méprisait, je le désirais, peut-être un peu à cause de ça au fait?

L’entente forcée

Ça fait déjà deux jours que c’est plus calme. Ça arrêté de monter, l’eau j’entends, même s’il pleut encore constamment, que les terribles orages se succèdent. Maintenant, ce n’est pas un mystère, on doit travailler ensemble, c’est une question de survie. Y’a plus de rechignements en vigueur. On se parle directement, techniquement. Il faut faire ça, on doit prévoir ça et ça, c’est tac tac tac. Y’a pas de sentiments qui vaillent.

Nous faisons le tour de tous les mini bars, tous les frigos dans les coins café, les salles à manger d’employé, des divers bureaux de société qu’il y a ici. On doit d’abord trouver de quoi boire et manger pour le court terme. Pas question de prendre de l’eau au sol, elle est en partie salée et hyper polluée. Pechno-patron a eu l’idée de mettre des bacs de recyclage vide sur le toit pour recueillir la pluie, mais, même là, nous n’avons rien pour l’analyser, on craint de la boire. On finira peut-être par le devoir, mais ça on verra. Y’a aussi les oiseaux qui y viennent, qui pourraient être un bon apport de protéines.

Il organise bien les choses, systématiquement. On déplace tout les deux des trucs, mais je m’organise avec les choses plus lourdes. Ont établies les endroits d’entrepôt, les lieux de vie et on se divise les recherches sur le terrain, c’est-à-dire en dehors de notre coin au 84e où l’on se réunit, notre point de basse. Il commence cet étage, moi par l’étage en dessous. Bouteilles d’eau, de soda, jus, petit sac de trucs croquant, barres protéinées, biscuits salés et sucrés, etc. Tout ce qui peut être avalé que transporte dans des bacs ou poubelles en plastique. Lui les lui classe à l’arrivée. On se complète, c’est évident.

Mais je m’en rends bien compte, il faut que la collaboration se développe beaucoup plus que ça. Je ne veux pas faire le bon bœuf ouvrier pendant que lui régit. Je dois avoir un pouvoir sur lui pour renverser la vapeur du/dans, le train-tour-bite. Je dois le charmer, il doit m’apprécier profondément et ça, même si je dois le forcer. Je ne veux pas revenir à la ferme en tant qu’animal qu’on harnache pour tirer la charrue.

Pas sapé pour travailler

Moi je porte un t-shirt et un pantalon cargo, c’est banal, mais c’est tout ce que j’ai maintenant. Tout le reste de mes vêtements de travail que j’ai ici est noyé dans mon bureau au sous-sol. Par contre, c’est tout le contraire pour le pechno-pdg. Lui, il a un bureau de direction de malade! Avec petit salon privé, salle de réunion intime et, par-dessus le marché, c’est là où je veux en venir, un placard à vêtement dans lequel on peut presque faire son jogging. C’est rempli de vestons, chemise, cravates, etc., hors de prix. Bas de soie avec les guêtres à élastique pour les tenir au mollet, sous-vêtement de style et des tas de souliers de cuir! J’aimerais voir ce qu’il a à la maison le mec! Enfin, la maison qu’il avait avant… Le problème c’est qu’il n’a que ça! Rien n’a mettre de normal dans tout ça, rien pour se démerder dans la situation merdique où l’on est. Il était un peu gêné en voyant mon regard découragé quand il tentait
de trouver de quoi mettre pour vraiment travailler. Pas que pour pianoter sur les touches en plastique de son cher ordi. Il a du se rabattre sur des caleçons longs pour les jambes et d’un maillot de corps de style Marcelle, mais ultrachic.

Oui, ça me donne des idées. Rien en dessous de son sous-vêt pour soutenir, ça lui fait un paquet bien visible au devant et je ne parle pas de ses fesses solidement mouler. C’est qu’il sexy le boss comme ça.

Au dodo

Après plusieurs jours de travail intense, la pluie en continu s’est enfin arrêtée et c’est la première fois que l’on prend un temps avant le sommeil. On dort près un de l’autre en cas de problèmes, même si on ne pourrait pas faire grand-chose si la tour finit par s’écrouler. J’ai installé une sorte de petit campement au coin de la grande salle près des grandes fenêtres en angle qui nous sert de QG au 84. On a une bonne vue pour voir ce qui se passe à l’extérieur, même si la nuit on ne voit rien. J’ai tout tassé et empilé ce qu’il y avait dans un corridor à côté, classeur, etc., et amassé un gros tas de coussins avec des rideaux pour faire couverture. C’est pêle-mêle, mais ça nous fait comme un très grand lit.

J’en suis sûr maintenant, il est primordial que l’on s’unisse, je dois l’avoir de mon côté, il faut que je l’intéresse. Je me mets à être le plus gentil possible.

On se couche toujours avec le soleil. Nous avons trouvé plusieurs lampes d’urgence à piles, mais on les économise. Ce qui est bien ce soir c’est qu’il y a pleine lune et dans le bon angle en plus, ça éclaire tamisé. On se permet une mignonnette de whisky chacun, gros luxe provenant de bureaux de direction. L’atmosphère est d’abord tendu, on ne dit rien, c’est comme si l’on reprenait lentement conscience.

L'alcool sur la fatigue aidant, après un bout de temps, on a parle un peu. Il fini par me dire qu'il se sens en partie responsable de la catastrophe. L'écologie et tout ça, il s'en fichait bien avant. Il faissait faire du fric aux actionnaires et lui, au passage, en faissait beaucoup aussi. C'est vraiment le nabab qui me raconte ça? Il aurait maintenant une concience? Elle est arrivé un peu tard celle-là, fallait-il que tout soi détruit pour qu'elle pointe? Moi, le gentis géant qui a vue des vaches et des cheveaux mettre bas et regardé les blés pousser, j'aurais jamais cru qu'il puisse s'éveille à ça. C'est qu'il comencerais presqu'a me toucher le dirigeant, qui l'aurais cru?

J’ai des besoins...

Dans les journées où je marche seul, dans les couloirs vides des 80, 81e, a cherché ce qui pourrait nous servir, je ne pense pas à grand chose. Habituellement je ne sens pas ma queue et mes burnes dans mon pantalon, comme tous les gars j’imagine. On sait que tout est là, mais on oublie les trucs qui balance entre nos jambes, on n’y pense pas. Mais, en ce moment, j’ai conscience de la présence de mon trois pièces, sans que je le veille, de mes gosses, de ma queue. Habituellement, quand ça m’arrive, je sais que c’est le temps de faire une vidange, de s’occuper de la tuyauterie. Je me suis branlé rapide en douce deux fois ou presque trois fois, mettons. Mais je me questionne: peut-on avoir du plaisir dans la situation? Ce ne serait pas comme inconvenant? De mon point de vue, si quelqu’un d’autre le faisait avec moi, ce serait rassurant. Y’aurait pas que moi qui penserais à ça maintenant. Je ne veux pas de la honte du pervers qui se fait plaisir en se balanÃ
§ant du reste, comme sur le pont du Titanic en train de couler.

Et bien sûr que ça m’arrangerait, disons cela comme ça, de me faire pomper pour décharger la pression.

Promiscuité

Le lendemain, au soleil tombant, après nos missions craquelin et liquide à boire, on se permet une autre discutions ouverte installé au milieu de tous des coussins. En regardant le paysage qui pourrait être si beau si l’on oubliait de quoi il est composé, il me demande:

— Tu viens d’où?

Je lui raconte la banlieue, mes étés dans les foins parmi les vaches. Il me demande comme je suis arrivé là, dans ma tour. Je lui dis l’apprenti que je fus. Pas sûr que j’aurais aimé qu’il me demande plus de détail aux sujets de mes apprentissages de nouveaux outils. À moins qu’il ait deviné? Peu importe, avec ses infos, il commence peut-être à comprendre que je peux servir à autre chose que transporter de lourdes charges?Pendant qu’on parlait, la lumière a disparu et, comme il n’y a plus de lampadaires qui s’allument comme avant, aux soirs sans lune, nous nous retrouvons dans la vraie noirceur de la nuit. Avec même pas de lueurs d’une possible ville très lointaine. On n’avait pas ça avant. Est-ce que l’humanité à peur du noir?

Avant qu’on se taise pour dormir, je lui suggère, pour conserver notre chaleur, même s’il ne fait pas si froid, de se coucher l’un près de l’autre. Il ne dit rien, ne répond pas. Je me couche sur un côté, près de lui, tourné vers lui, il comprend et se met du même côté, le dos vers moi. On se rapproche, on s’emboite. On dirait qu’il profite de mon grand corps pour se protéger. Se protéger de cette nuit terriblement noire? De ça plus que du froid? Se protéger du malheur, mais ça revient probablement au même.

Malgré tout ce qui est arrivé et l’incertitude de notre avenir, je suis surpris du calme que cela me procure. Nous sommes si bien confortables. Sans y penser, je passe mon bras libre au-dessus de lui pour poser ma main sur son torse et, miracle, il me la prend pour la serrer contre lui. Sans rien dire ni décider, nous tombons ensemble dans un sommeil des plus rassurant.

Huit heures plus tard, nous nous réveillons avec la lumière du soleil levant à peu de choses près dans la même position. Nous n’avons jamais dormi aussi longtemps depuis les évènements. Par contre, cette fois-ci, j’ai une érection de folie. Puis, compte tenu de notre promiscuité, elle s’est installée bien au chaud entre ses fesses.

Même si cela pouvait me mener au plus gros orgasme de ma vie, je n’ose pas bouger. Au bout d’un moment, c’est lui qui finit par briser cette immobilité remplie de désirs. Il se recule pour encore mieux encastrer mon énorme érection dans la crevasse de ses fesses. Et là j’entends:

- Il est à toi!

Et il accompagne ça de mouvements du bassin juste parfait. Il masturbe doucement ma queue avec ses fesses. Alors, comme par réflex, mon bras libre repasse, comme la veille, par-dessus lui et ma main vient à nouveau se poser sur son torse. Mais cette fois elle ne reste pas sans bouger. Je lui fais faire des activités à ma paluche. Je lui caresse les tétons, le ventre, puis je la plonge dans la fourrure au-dessus de son gouvernail. J’y farfouille avec plaisir en soufflant dans son oreille :

- Je suis incapable de résister à ton cul!

À ça il me répond:

– Mange-le pour bien le préparer.

Ce n’est pas le genre de chose qu’on me demande deux fois! Préparer l’entrée de mon train dans un tunnel? Je sais faire! Je descends au bon endroit et troque ma queue qui y était installée pour ma langue. Elle sillonne sérieusement son sillon. J’étire mon plaisir de rimeur pendant de longues minutes jusqu’à ce que ça devienne urgent pour nous deux. Que l’enculage devienne la chose la plus importante de notre vie! Je dois le sodomiser tout de suite! Entrer mon vif dans sa caverne sans fond! C’est maintenant lui le grand patron, mon pénis!

Pendant que je mets tout en place, il dit :

– J’aime la verge, la queue, la bite, l’avoir en main, la sucer, l’avaler, la prendre dans le cul!

Mon zguègue maintenant au portillon, tout est prêt et d’un seul coup de reins, je m’assure qu’il est bien en lui. Après, je n’attends pas, je le ramone tout de suite et pas doucement!ent. Tout, du moment que je fais crier le mec! Le gros bonnet, ce n’est plus lui, c’est mon phallus surdimensionné dans son intérieur! C’est trop satisfaisant! Trop jouissif! Je jute en lui des litres de foutre! Je me lâche dans mon ennemi! Mon contraire! C’est trop bon!

Cette séance de ça va, ça vient, ouvre les vannes. Maintenant on baise tout le temps. Il adore se faire enculer. C’est moi qui ai la plus grosse et il adore son format. Il grimace quand j’entre en lui, mais il sait que la suite ne serait que jouissance. Il m’avoue :

– Je dois le dire, à ma grande honte, qu’en bon bourgeois je n’ai encore jamais fait ça avec quelqu’un qui vit sa sexualité de façon complètement instinctive. Tu me fais tellement de bien!

Je ne sais pas si c’est de l’amour, mais ça le pourrait, l’espoir est là

L’intrus

C’est en baissant devant les fenêtres d’un salon d’une riche société, au 78, au coucher du soleil, pardon, du soleil que cela s’est passé. Le big boss, pas ma queue, couchée sur le dos pendant que je lui tiens les jambes en l’air pour bien avoir accès au trou. C’est au cours de ce pilonnage que je vis des lueurs sur la figure de mon enculé. Brièvement au début, puis plus longtemps. Lui qui a souvent les yeux fermés pendant ce type d’excursus ne les remarque pas tout de suite, c’est à la montée de l’intensité des rayons qu’il s’en rend compte.

Réfléchissant rapidement, je me suis demandé d’où viennent ses instables vaisseaux lumineux. Ce n’est pas naturel, y’a pas d’oiseaux qui peuvent faire ça. Je décèle aussi sec, puis moi et le patron, qui a eu les mêmes réflexions, d’un seul mouvement, nous nous levons et nous nous retrouvons devant les fenêtres pour chercher la provenance des lumières.

Celui qui fait ça utilise plus que probablement un miroir pour réfléchir les rayons du soleil dans notre direction. On devine la source, ça vient du dernier étage de la tour, plus courte que la nôtre, juste à côté. Alors, toujours tout nu et avec nos robinets encore bien durs devant les grandes vitres, on voit un type! Il saute sur place en battant l’air avec ses bras et ses mains pour qu’on le voie.

On tente de communiquer par signe sans trop y parvenir, puis d’un coup, le soleil tombé, on ne voit plus rien! Là ça change tout, et le plan initial qu’on s’était fait, le grand chef et moi, tirer un coup pour bien dormir après, tombe comme l’astre qui, à l’horizon, qui vient de disparaitre dans l’eau. Surtout pour techno boss. Il ce mets à se poser plein de questions, du genre pourquoi n’a ton jamais pensé à chercher d’autres survivants? Il dit que nous sommes égoïstes, qu’avoir du sexe était disconvenu dans la situation dans la quel on se retrouve, etc. Moi, frustré de n’avoir pas joui, par ce coït interrompu, je me renfrogne et on s’endort en colère.

Lendemain qui chante?

Sans surprises, au réveil, le lendemain, nous sommes descendus de quelques étages pour scruter les fenêtres de la plus petite tour à la recherche de l’homme de la veille. Mais le soleil du matin réfléchit sur les fenêtres de l’immeuble où on l’a vu, impossible de distinguer quoi que ce soit à l’intérieur. C’est seulement après l’après-midi qu’on le retrouve. Le type a eu la bonne idée d’écrire de grosses lettres noires sur des cartons blancs pour jouer au Scrab. Il nous montre d’abord un L, puis un U et un C en se pointant le torse. C’est lui, bien sûr, il s’appelle Luc. Ensuite il épelle quelques bouts de phrases, et l’on comprend qu’il nous demande de descendre à l’étage qui est juste au-dessus de la ligne de l’eau. On se précipite alors dans les escaliers de secours les plus proches.

Rendu à l’étage où on a les pieds dans l’eau, le dernier pas complètement inondé, on repère une fenêtre cassée dans sa tour, il est là! Après échanges de signes et de lectures de cartons, on comprend notre mission. Il veut que l’on casse une fenêtre. Comme ce n’est pas évident à briser ces trucs-là, je prends un gros classeur rempli de documents. Je l’éloigne d’une dizaine de mètres de la fenêtre la plus vis-à-vis de l’endroit où le Luc est, puis je le pousse de toutes mes forces sur elle. Elle casse dans un fracas du tonnerre et les morceaux de verre et le classeur s’abiment de l’autre côté.

C’est alors que Luc se munit un genre de bazooka. Comme un truc qui projette des tas de t-shirts compactés sur la foule d’un grand stade. Il finit par lui faire propulser une sorte de ballon attaché à une corde. Bricoleur, celui-là. Après quelques essais infructueux, il réussit à le faire parvenir de notre côté par notre fenêtre cassée. La corde est plutôt fine, visiblement choisie que pour mieux voler. On le voit maintenant en attache autre chose au bout de son côté. Il nous fait signe de tirer ce que l’on fait. On voit un solide tuyau d’incendie parvenir jusqu’à nous. On l’attache solidement notre à une grosse colonne de béton. Lui ayant fait de même de son bord, on a maintenant un lien entre les deux tours. Il prend alors une grosse poubelle roulante, il la met à l’eau et entre dedans. Ensuite, s’aidant du tuyau tendu entre les deux édifices, il traverse, lentement, mais surement, dans son embarcation improvisée, le bras de mer qui nous sépar
e. Heureusement qu’il ne pleut plus aussi fort qu’avant, son petit bateau aurait été rempli bien avant qu’il parvienne de l’autre côté.

L’arrivée

Rendu enfin chez nous, on l’aide à entrer par notre fenêtre libre de verre. Quand on le sort de son bateau improvisé, il est tout détrempé. Ses vêtements, blancs, légers, collent sur lui en dévoilant avantageusement ses formes. En plus d’être bien moulés, ses fesses et son sexe apparaissent aussi en transparence. Je remarque que les plis de ses pantalons forment comme une étoile autour de son paquet. Son sexe fait comme un soleil qui percerait la pluie. Comme ça m’a toujours fait triquer des hommes dans des habits tout mouillés, j’en suis ébloui. Il est pas mal le Luco, pas mal du tout.

Il semble épuisé physiquement et moralement. On le conduit presque en le portant à nos installations du 84. Il tombe sur les coussins du lit et dort la seconde suivante. On lui enlève ses vêtements trempés pour de plus confort. Tache bandante s’il en est une.

L’acclimatation

Des heures plus tard, alors que je converse avec chef, on le voit arrivé. Il a l’air d’avoir récupéré.

Commence alors une longue discussion. Il nous explique que c’est, en fait, un truc servant à lancer des pigeons d’argile pour l’entrainement au tir qu’il a bricolé pour propulser la corde. C’est qu’il y a une galerie marchande super luxe dans les derniers étages de l’édifice où il était et c’est là qu’il l’a déniché. On lui apprend le système pour se laver et faire nos gros besoins que le patron a imaginés. On lui dit par où passer pour aller chercher les bacs qui récupèrent l’eau de pluie sur le toit pour ce faire. On lui parle du rationnement de la nourriture et lui nous dit qu’il y a beaucoup de choses à bouffer dans la galerie marchande de sa tour. On prévoit y faire des expéditions.

Ça va, il est gentil, il cherche des solutions, mais il ne parle pas beaucoup de lui. Tant qu’a ça, on ne parle pas beaucoup plus de nous, le temps d’avant on essaie de ne pas y penser. On comprend et l’on n’insiste pas. Sur le pourquoi il est resté seul dans sa tour, il ne nous donne que quelques brèves explications pas claires du tout. Dans les jours qui suivent, le patron lui parle avec une certaine distance, polie, mais pas plus. Il se méfie peut-être du Luquet?

Le plus chiant c’est que, depuis qu’il est arrivé, moi et le manager on ose plus baiser. C’est surtout le patron qui a peur de se faire prendre, même si le Luc nous a déjà vues faire et pas qu’un peu. Moi, je me balance des conventions sociales, surtout ici et maintenant. Ça plombe notre relation.

Tout ça me décide. Je dois plus en savoir plus sur l’intrus.

Jouer en solo

Il ne connait pas la maison comme moi, qui ai tous les plans des couloirs de tous les étages en détail dans la tête. Dans le jour, je le suis discrètement. Aujourd’hui il s’arrête dans un coin discret d’un étage que l’on a déjà bien fouillé. Qu’est-ce qu’il va y foutre? Je me déplace pour le regarder d’un autre angle, plus près de lui, pour l’espionner sans qu’il me voie. Debout, il s’appuie les fesses sur une pille de boite puis…

Je le savais bien qu’il avait un truc! Il se touche le devant!

Je me doutais qu’il s’astiquait le manche en douce. Un homme ne peut pas s’empêcher, l’instinct nous ordonne de faire la vidange régulièrement. Moi, c’est tous les jours., même ceux où j’encule, j’adore la branlette. Le voilà qui se retrouve les culottes baissées juste en dessous de ses burnes et c’est là que je constate qu’on ne peut pas l’appeler p’tit Luc! Bien pourvut, le type avec son bâton de baseball et ses roubignoles de bonne taille. Moi qui aime lécher les grosses gosses bien charnues. J’aimerais mettre les siennes, toutes entières, dans ma gueule.

Il se sent protégé, il y va à cœur joie, ce qui lui donne bien du plaisir au vu de la tête qu’il fait. Il se secoue le poireau frénétiquement. Je ne voudrais pas être ailleurs, le spectacle est magnifique, je n’en perds pas une seconde. Évidemment je bande dur dur. C’est qu’avec la disette que m’impose l’ex-patron j’ai une faim sexuelle irrasasiée. Je suis assoiffé de culs. Comme lui, je ne peux pas résister à l’appel. Par la braguette, je me sors le bat déjà bien dur et je fais comme lui. Je l’entends pomper l’air comme on le fait dans cette situation. J’adapte le rythme de ma respiration au sien et je me crosse à la même vitesse. Je le sens comme si c’était moi, puis je m’arrange pour lancer ma sauce en même temps que lui. Ho Oui! Maintenant! Ouf! C’est le Vésuve! Heureusement qu’il a l’orgasme bruyant, sinon il m’entendrait éjaculer! Un orgasme inimaginable pour moi! Me voilà rendu voyeur?

Je me retire discrètement et passe à un autre étage pour ne pas éveiller de soupçons.

La fête du slip?

Ça ne m’empêche pas de continuer à le surveiller de près. Quelques jours après, je trouve un sous-vêtement appartenant au boss dans ses affaires. Il arrive sur le moment et je lui demande innocemment, connaissant la réponse.

– C’est à toi ça?

Il répond nonchalamment.

– Je dois l’avoir pris par erreur avec mes vêtements, à l’endroit où on les fait sécher.

Il ajoute, en venant vers moi pour me le prendre des mains.

– Donne, je vais le remettre à sa place.

Je l’arrête.

– Je m’en occupe, j’y allais justement.

En allant le ranger, je touche machinalement le tissu, il n’est pas comme je m’y attendais. Mais? Mais c’est qu’il est sale! Je porte le slip à mon nez pour le sentir et je confirme, il n’a pas été lavé. Il ne pouvait pas être à sécher!

À ce moment je vois le patron techno arrivé vers moi. J’enfonce rapidement le culbute, en le mettant en boule, dans une mes poches. Il n’a pas eu le temps de voir son sous-tif dans ma figure.

Dans les jours suivants, toujours en train de le surveiller en douce, je trouve à nouveau le lubrique Luc à son endroit isolé préféré et faisant la même chose qu’il y fait habituellement. Il ne voit toujours pas que je le regarde se palucher. Mais, quoi? Il tient carrément de la main qui n’est pas occupée sur son zob turgescent, un des shorts boxeurs moulants du patron! Il se branle avec! Il enserre sa queue avec, se le met dans la face, dans sa bouche… C’est qu’il kiff vraiment sous-vêt le Lucky!

Cette fois-ci je le laisse tranquille et m’éclipse discrètement. Même si j’ai toujours le corps du type en tête, que j’aimerais touchée à sa queue, la situation ne me fait pas bander du tout. Ça m’inquiète. Il veut baisser avec le technopatron? Et étrangement, avec Luc lubrique, c’est comme si je ne voudrais qu’être à genoux devant lui. Ce qui n’est pas un point de vue que j’aime habituellement.

Moi et le patron avons à nouveau du sexe ensemble, mais c’est tellement plus ça. Il faut se cacher, et je dois lui prouver que Lulu l’intrus ne nous surprendra pas. Ce n’est pas comme avant. On fait ça toujours dans la même position, lui debout appuyé sur une table et moi qui fais le travail derrière. Je l’encule pendant qu’il se polit le jonc sans me regarder. Tout de suite l’avoir percé, la queue fraichement entrée où il faut, il exige le va-et-vient rapide du mec qui veut en finir rapidement. Je dois le pilonner brut marteau piqueur et rien d’autre. C’est comme si je n’étais plus pour lui que le morceau de chair tout gonflé au besoin.

Méfiance

Comme je suis le plus fort, c’est moi qui suis de corvée pour les expéditions dans l’autre tour. On a ajouté des cordes pour que ce soit plus facile et mis à l’eau d’autre poubelle géante pour faire passer plus de choses. C’est plus arrangeant, mais il faut tout de même des muscles pour l’opération. Eux, ils font quoi pendant que je suis à faire les courses? Ils auraient tout le temps… Le soir, le patron me demande comment s’est passée ma journée, je lui raconte. Il me pose aussi plusieurs questions sur l’intrus, ce que j’en pense, si je l’ai vu en revenant, etc. Étrange, cet intérêt pour lui maintenant.

Je suis rempli à ras bord de soupçons.

Puis, plusieurs jours après, faisant toujours l’espion, je découvre une dizaine de slips sale du patron dans les affaires du foutu Luc! Le boss n’a pas remarqué qu’il en manque? Ou ce serait lui qui les aurait mis de côté pour l’intrus? Je ne sais trop pourquoi, je ne dis rien au patron, la méfiance? Je ne sais plus trop quoi penser, moi qui, en plus, désire Luc. Ça roule trop dans ma tête. Je n’ai pas un hamster dedans, j’en ai deux côtes à côté chacun dans leurs petites roues, des hamsters de compétitions! Olympiques! Si je veux y voir plus clair, je sais ce que j’ai à faire. C’est un devoir. La seule solution, c’est impératif, il faut que j’y goûte. Je dois baiser avec le Luco! Je dois savoir comment ça se passe avec lui!

Et j’en ai tellement envie, ma queue insatiable me le demande depuis des jours. Ce sera donc un deux pour un. Je récolterais l’information dont j’ai besoin en plus de récolter sa semence pour calmer les grands besoins de mon engin.

Bites inextinguibles

J’organise sans en avoir l’air l’isolement du patron pour quelques heures, je trouve une bonne excuse pour avoir le temps de le faire. Comme je connais quels sont les moments et l’endroit où Lucho se vide, je lui tends un guet-apens. J’y suis avant qu’il n’y soit. Je ne porte qu’un petit slip que j’ai trouvé pendant mon shoping dans l’autre tour, il ne le connait pas, ça devrait lui plaire. En plus, je le décor d’une belle érection qui fait bosse. Il ne pourra pas résister. Arrivé, il a l’air surpris de me voir là comme ça, mais mon sourire en coin finit de lui expliquer. Il saisit vite le cochon. Ça confirme qu’il en veut autant que moi, du bon sexe bien juteux, bien porc.

Mais ça ne se passe pas comme je le pensais.

Il s’approche pour ce que je pensais être un baiser d’introduction. L’introduction de ma langue dans sa bouche. Mais à la place, il me dit en me regardant durement.

– À genoux!

Je ne l’ai jamais vue comme ça si autoritaire. Désarmé comme une marionnette, je me retrouve sur mes rotules devant son précieux paquet. Il met une main sur ma tête en ouvrant sa braguette de l’autre et sort mon goûter pour m’ordonner.

– Bouffe!

L’autorité, ça fait changement pour moi, d’habitude c’est l’inverse. C’est moi qui dis quoi faire. Mais là, je m’exécute sans hésiter. Je vois son braquemart approcher de ma bouche déjà ouverte, il y entre et aussitôt, sans que j’aie eu besoin d’y penser, mes lèvres se refermèrent dessus. Il pousse d’un coup sa grosse tige dans ma gorge. J’ai un haut-le-cœur, je m’étouffe, je panique, mais il me tient fermement. Je réussis à retrouver ma respiration en avalant un peu de ma salive.

– Enroule bien ta langue de sale porc autour, aspire, tète, lèche, oui, comme ça…

Il parle sans émotion. Il est d’une froideur des plus inquiétante. Comme un psychopathe. Je suis quand même prêt à faire tout ce qu’il me demande. Il a toute autorité sur moi et je ne m’explique pas pourquoi. Je me laisse allé totalement, à sa merci, je n’ai jamais vécu ça avant. Je suis à un autre stade, je n’aurais jamais pensé que…

Il me fait mal à la tête, aux lèvres, au fond de ma gorge et j’aime ça! Il me fourre la gueule sans gants blancs et j’adore! Être le soumis, ne pas penser, me laisser faire, ça fait du bien. Rien dans la tête, les rongeurs fond la grève! Il ne reste que le désir d’une queue, celle du dominant devant moi, mon maitre et du sexe lui-même. N’est-ce pas extraordinaire de se plier qu’au désir sexuel, de ne penser qu’à ça, ne pas avoir de décision à prendre, pas de responsabilité, plus de tâche à accomplir. Qu’à suivre son instinct sexuel, obéir à ses consignes. Je suis dans un autre monde. L’approvisionnement, la hauteur des vagues au sol, tout ça n’a aucune importance. Je ne suis que son chien suceur, je ne piste plus rien, sauf sa grosse queue. C’est la meilleure position. Soumis à lui, soumis au sexe lui-même. Y’a plus de problèmes, de questionnements sur l’avenir. Y’a que ça et c’est parfait!

Il jure en me traitant de tous les noms et lâche de gros galviots sur ma figure, sur ma tête, sur mes pecs, sur mes cuisses. Mon corps est son dépotoir.

– Pisse-moi dessus!

C’est sorti comme ça! Je ne sais pas pourquoi je lui réclame ça! Je n’ai jamais fait de jeux uros! En plus, comme s’il l’avait prévu, il en a plein la vessie et fait couler immédiatement sur moi son liquide jaune. C’est chaud, j’en ai partout et c’est merveilleux!

Qu’est-ce qui me prend? Où suis-je au fait? Dans un back room en Espagne? Je ne suis jamais allé en Espagne! Mon slip est tout chaud. Je gémis, il sourit sadiquement. Je sors mon trois pièces et le pose le mieux possible au sol et lui demande.

– Écrase ça!

Il met la semelle épaisse d’une de ses grosses bottes sur ma queue et mes valseuses, puis fait pression. Ça fait mal, mais ma seule réaction c’est de lui demander d’y aller plus fort! Qu’est-ce qui se passe avec moi? Je ne peux pas être plus bandé que ça! Ma queue va m’exploser à la gueule! Après, il s’intéresse à mon cul. En me prenant de haut, il me dit.

– Vous avez un trou très affamé qui nécessite une attention fréquente.

On dirait que le passage du «tu» au «vous» est un signe supplémentaire de mépris. Je m’installe. Est-ce cela se livrer à un homme? Ses paluches sont maintenant sur mes globes, il les écarte et je sens son bâton bien dur se présenter aux portes de mon anus. Tout oublier et simplement se laisser porter? Est-ce cela que le patron ressent quand je me prépare à l’enculer?

– Mets-toi à genoux la tête dans les bras, tends-moi tes fesses que je m’occupe de ça!

Il est beaucoup plus violent que moi dans la laboure, mais, en même temps, il est beaucoup plus raffiné dans sa façon de dominé. Moi, je ne fais que fourrer virilement, lui c’est autre chose. Puis oui, enfin, ce qui m’arrive jamais vient. D’un grand coup de queue, il s’emmanche jusqu’à la garde. Je sens ses testicules se fracasser sur moi. Il me l’a mise au fond du trou trop brutalement, ça ne peut que faire mal.

– Ton trou est mon héroïne!

OK, il revient au tutoiement.

– Je mets mon vif en toi, je mets la plus belle chose que j'ai en sécurité en toi

Je comprends l’honneur qu’il me fait et j’en suis fier.

– Je préserve la plus belle partie de mon corps en toi, j’entre mon précieux dans son fourreau protecteur.

Ce n’est plus mon corps, qui protège le patron dans son sommeil, c’est mon cul qui protège son pieu, gros et long au fond de moi. Il me ramone longtemps, à un rythme d’enfer. Moi, je me polis le membre, mais de ça, il n’en a rien à faire. Puis, il lâche tout son fourré dans mon cul.

Après tout ça, il part sans se préoccuper ni de moi ni de ma jouissance, il me laisse épuisé, au sol, dans ma sueur et sa pisse mêlées à la poussière. Je n’ai pas déchargé, j’en voudrais plus, mais il s’en fou. Je dois me finir tout seul, pitoyablement, comme un animal délaissé. C’est du vrai mépris cette fois. Pas comme moi et le patron lorsqu’on le fait. C’est l’inverse pour moi et en bien pire. J’adore! Fait ce que tu veux de moi, mon plaisir n’a aucune importance et ça m’excite au max!

La confusion des sentiments

OK, c’est quoi la situation maintenant? Je ne sais plus où on en est, où j’en suis? Le patron aime ça viril, il adorerait se faire traiter comme moi par Luc l’intrus. Merde! Est-ce que c’est déjà fait? Ça expliquerait qu’il soit maintenant désintéressé par moi. Il préfère l’autre maintenant? Probablement, plus que probablement! Le patron a découvert la baise virile avec moi, il a appris à s’ouvrir du cul par pur plaisir, je lui ai enseigné! Maintenant il veut plus? Du sexe intense, avec un type plus dur, plus humiliant que je peux l’être? Moi je ne peux pas faire le maitre sadique avec lui, parce que moi, je l’aime? Mais qu’est-ce que j’imagine maintenant? Je délire? Il y est passé et je n’ai rien vu? Il se fait défoncer par lui, j’en suis certain! Vraiment certain? Merde! Je n’en sais rien!

Luc lubrique se fiche de tout ça et joue avec nous comme avec des petits soldats de plomb que l’on offrait avant au garçon. Mais nous sommes vivants nous!

Tout ça en attendant que la tour finisse par tomber? S’éclater dans la mer à nos pieds? Tout ça sur le bord de la falaise de la fin du monde?

Slap

Email : slap@realo.ca

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