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9 Mai

Concours
d'histoires

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CONCOURS D'HISTOIRES

The Taste of love

Soudain, je me réveille. Je regarde autour de moi. Je me trouve dans une forêt. J’essaie de me lever mais je n’y arrive pas. J’observe les arbres qui n’ont plus de feuilles... ainsi que le ciel, couvert de nuages menaçants. Oui, c’est ainsi depuis des années. La nature nous a abandonnés.

Je porte ma main à la tête, je sens une blessure. J’ai une plaie ouverte. Et tout à coup, tout me revient. La tempête. La tornade. La maison qui se disloque autour de moi, le toit qui s’envole, les murs qui sont arrachés telle de fétus de paille. Et voilà, je me retrouve maintenant dans la forêt. A part cette blessure, je ne ressens aucune douleur. IL m’a sauvé. Une nouvelle fois. Oui, LUI. Ça doit bien faire la cinquième fois.

Je me lève, je titube, j’ai mal à la tête. Je me dirige vers la route. Et là, je vois ma maison complètement détruite. Enfin, « ma » maison, ça n’a jamais vraiment été la mienne. Depuis que les éléments se déchaînent, depuis que les catastrophes naturelles ne cessent de détruire le monde, je n’ai plus vraiment de chez moi. Je m’étais installé dans cette maison, espérant être à l’abri des inondations, des tremblements de terre et des feux de forêt... ainsi que des chaleurs étouffantes. Mais malheureusement, j’avais tort.

Je trouve mon sac et j’ouvre mon porte-monnaie. Je rigole quand je vois l’argent que je garde par nostalgie, argent qui n’a plus de valeur. Mais je fixe la photo de Thomas, mon bien-aimé. Oui, c’est une des choses ou des personnes que j’ai dû sacrifier. Il est mort dans un tremblement de terre il y 5 ans. Mais, selon LUI, cette perte était nécessaire. Je me regarde dans le reflet du lac qui s’est formé à la place de mon ancien chez-moi. Comme depuis le début des catastrophes, je me promène nu, ou presque, comme tout le monde.

Moi, je m’appelle Romuald. J’ai 35 ans, je suis blond aux yeux bleus. Je suis mince, musclé sec. Je suis poilu sur le torse, sur le ventre ainsi qu’au niveau du pubis. Je suis bien monté : j’ai des grosses couilles marron rondes, une bite molle et longue de bien 13 cm, au repos, qui bouge de gauche à droite sous mes pas. Pour plus de confort, je prends un caleçon dans mon sac. Je l’enfile et je mets le sac sur mon dos.

Je marche pendant une heure le long de la route et je rejoins la petite ville où j’espère retrouver des survivants de la tornade. Là non plus, plus rien. Tout a été détruit. Les maisons, les magasins, ... Tout ! Je vois dans un coin la voiture de Nathan, un de mes amants avec qui j’entretenais une relation depuis 2 mois. Je vais alors à l’endroit où sa maison était : il n’y a plus rien. Je vois alors sa voiture. J’ouvre la porte et je découvre les clés sur un siège. Je monte dans la voiture électrique solaire que je démarre. Il y a encore du jus. Pas étonnant, avant la tornade, le soleil avait tapé pendant des semaines. Je m’engage sur la route, en laissant cette désolation derrière moi. Je roule vers l’ouest, sans but précis.

Quand la nuit se met à tomber, je me gare devant ce qui ressemble à un ancien hôtel que je connaissais bien. J’entre, j’appelle. Personne. Je monte à l’étage et je me pose sur un lit qui est encore en bon état. Je souffle. Je sors de mon sac des provisions que j’avais faites en prévision de la catastrophe. Je mange mon repas du soir. Je finis par me coucher et par m’endormir. IL m’apparaît en rêve. On est dans une forêt. IL a pris l’apparence de Nathan. Je LE vois en train de couper du bois. IL finit par se redresser, quand IL m’entend arriver, et IL me dit :

- Encore une fois, les catastrophes ont été plus rapides que nous. Mais j’ai réussi à te sauver.
- Merci ... euh... Nathan.
- Je crois avoir découvert comment conjurer le sort. Rends-toi à Perpignan. Et attends mes instructions.
- Mais vous êtes sûr ? La moitié de la ville a été envahie par les eaux, non ?
- Je sais. Ne t’inquiète pas. Va à l’hôtel de la gare pour y recevoir les prochaines instructions.
- Oui, mais...

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que je me réveille. IL m’a de nouveau contacté par mes rêves. Qui est-IL ? Je ne sais pas. Pourquoi est-ce qu’IL s’est adressé à moi ? Je ne sais pas non plus. Dès le début des catastrophes naturelles, j’ai reçu SES messages en rêve. Je n’y ai au début pas prêté attention. Mais IL m’a montré SA toute-puissance en me sauvant de bien des situations qui m’auraient coûté la vie. IL m’a toujours dit qu’IL n’avait pas le droit de se mêler du destin des hommes. Mais IL a aussi toujours affirmé qu’IL ne voulait pas rester les bras croisés en train de regarder l’humanité se faire détruire. Et c’est pour ça qu’IL a besoin de moi pour sauver ce qui peut être sauvé. Comment va-t-IL s’y prendre ? Je n’en sais rien. J’obéis à tout ce qu’IL dit. Et c’est pour ça que je me remets sur la route, direction Perpignan. J’ai de la chance. Il fait soleil maintenant, mais bon... 45° à l’ombre. Ces températures sont habituelles depuis des années ! Heureusement que la voiture de Nathan fonctionne bien et que grâce à la puissance du soleil, je peux profiter de la clim, chose plutôt rare depuis bien des années.

J’arrive quelques jours plus tard à Perpignan. Je vais à l’hôtel indiqué. Je monte au sommet du bâtiment et je regarde l’état de ma ville natale : la moitié a été envahie par les eaux tandis que l’autre moitié a été détruite par un tremblement de terre. Je trouve la seule chambre avec un matelas convenable et je ferme les yeux, épuisé par ce périple. Je m’endors après ce long voyage. Et de nouveau, IL m’apparaît.

IL a de nouveau pris les traits de Nathan. On se trouve à Perpignan, au bord de la plage. Je vais à côté de Nathan qui est debout, face à la mer... et IL tend le bras, montrant un mec. Nathan dit simplement :

- Il doit tomber amoureux de toi.
- Qui est-ce ?

On se dirige vers le gars qui est étendu sur la plage. Tout d’un coup, je reconnais Bastien.

- Vous vous foutez de moi ? Vous savez qui c’est ?
- Bien sûr. Va le voir. T’as une fenêtre de 2 jours pour le persuader de venir dans cet hôtel. Tout le reste dépend de ça. Et tu n’as pas plus de 5 ou 6 semaines pour qu’il te déclare son amour !
- Non mais attendez ! C’est pas poss...

Je me réveille. J’ai très bien reconnu le mec : Bastien. On se déteste depuis des années. Il m’a persécuté quand j’étais au collège. De la Cinquième à la Troisième, il m’a pourri la vie. Il se moquait de moi, il m’a fait des coups tordus, des blagues pourries qui m’humiliaient bien. Et après, quand je me suis mis à bosser dans la politique, il s’est retrouvé être mon adversaire. Lorsque je me suis présenté pour devenir maire de Perpignan, il a tout fait pour me mettre des bâtons dans les roues. Il a dévoilé mon homosexualité et ma liaison avec Thomas, ce qui m’a bien sûr coûté les élections. Mais de mon côté, je n’ai pas été tendre non plus avec lui. J’ai trouvé une preuve qu’il faisait des affaires avec la mafia et qu’il avait touché des pots-de-vin. A cause de moi, il a passé plusieurs années en prison.

Comprenant l’importance de ma mission, je pars finalement pour la plage. Je découvre alors qu’il y a une tente sur la plage et je me doute que Bastien doit y camper. Quand il m’entend arriver, il sort de ça, tente. Il me met en joue avec un fusil.

- Arrêtez-vous là, crie-t-il.

Puis, il finit par me reconnaître et là, il se précipite sur moi, toujours son arme au poing.

- A genoux ! Donne-moi une bonne raison pour ne pas tirer.
- Parce qu’on doit être les deux seuls survivants de cet enfer !

Il me regarde les yeux pleins de haine. Puis, il pose son arme.

- Remercie-moi de pas tirer ! Il y aurait eu aucun témoin ici ! (Silence avant qu’il s’énerve). Il fallait que ça soit toi ! Ça aurait pas pu être quelqu’un d’autre ! Et Thomas ? Il est pas avec toi alors ?
- Il est mort, dis-je, une ombre me passant devant mes yeux.

Il me regarde et il dit d’un air sincère :

- Je suis vraiment désolé.
- Je peux rester avec toi un peu, avant de reprendre la route, ça me fera du bien d’avoir de la compagnie.

Bastien me regarde, les yeux pleins de colère. Mais j’y lis aussi autre chose. Je comprends qu’il ressent la même chose que moi : la solitude.

- Oui, vas-y, assieds-toi.

On entre dans sa tente et je me rends pour la première fois compte qu’il est à poil : Bastien est de taille normale, brun, la peau bronzée, les cheveux courts. Il a 30 ans. Sa carrure est sportive, sans qu’il soit vraiment musclé. Son corps est imberbe. Il a quelques poils sur le pubis et sur ses grosses couilles. Mais c’est sa queue qui me laisse sans voix : elle pend entre ses cuisses... comme s’il avait une troisième jambe. Elle fait bien la moitié de la longueur de son avant-bras. Elle pend lourdement et elle se balance à chaque fois qu’il fait un pas. Sa bite et ses couilles sont marron foncé. Bastien s’assoit.

Après un moment de silence durant lesquels je n’essaie pas de trop fixer son anaconda, je reprends :

- Tu as rencontré d’autres personnes qui ont survécu ?
- Non. J’ai perdu tout l’espoir et je me disais que j’allais commencer à bouger, peut-être que je penser aller sur Paris. J’aurais plus de chance de rencontrer d’autres personnes. Mais bon... pas facile...
- Ok. Tiens, regarde ce que j’ai pu trouver.

Je sors alors de mon sac des provisions que j’avais pris chez moi. Il y a de la viande et des légumes en conserve. Bastien fait des gros yeux. Il semble saliver. Je lui demande :

- Tu sais allumer un feu ?
- Oui, dit-il.
- Ben écoute, vas-y, fais, et moi je vais chercher des casseroles. Il doit bien y en avoir quelque part dans le coin.

Et finalement, le soir, on se fait un bon petit repas. Enfin, bon... pas aussi délicieux que ceux qu’on faisait avant les catastrophes. Bastien s’écrie :

- C’est trop bon ! C’est le premier vrai repas que je fais depuis des semaines. Je me suis nourri de racines et d’autres trucs que j’ai trouvé par-ci par-là.

On passe finalement une bonne soirée. On essaie de ne pas penser au passé et de faire comme si tout allait bien. La nuit commence à tomber. Il se met vraiment à faire très froid. Alors, je reprends la parole :

- Tu voudrais pas qu’on aille dans un endroit moins froid ? Pour être plus à l’abri ?
- Tout a été détruit ! Y a plus rien.
- Ben si, moi, j’ai trouvé hier soir à l’hôtel de la gare une chambre qui est encore en assez bon état.
- Ok ! Avec plaisir !

Ses yeux semblent reconnaissants. On arrive à l’hôtel et quand il voit la chambre, il s’écrit.

- Putain ! Mais en fait, il y a plus qu’un grand lit, c’est ça ?
- Ben oui.

Il prend une profonde inspiration. Et moi, je me mets à enlever mon caleçon. Je sens alors bien le regard de Bastien qui se pose sur mes fesses. Je souris et je vais me poser sur le lit, complètement nu. Il s’exclame :

- Pas question que je me pose à poil à côté de toi.
- Tu fais comme tu veux, répondis-je. Y a pas de souci. Moi, j’ai trop chaud vu qu’il y a plus de clim. Je suis désolé, faut faire avec, après si tu veux, tu peux t’allonger par terre... ou retourner sur la plage.

Finalement, Bastien reste. Il se pose de l’autre côté du lit. On s’endort tous les deux très vite. Au petit matin, je me réveille et je regarde. Il est au milieu du lit, tourné vers moi, il dort. Je me rapproche discrètement de lui et je pose mes fesses au niveau de son engin. Je m’y frotte un peu et très vite, je sens sa teub prendre du volume. Elle se déploie contre ma raie. Il a l’air d’avoir un sacré gros morceau. J’arrête de bouger. Quand j’entends sa respiration s’accélérer, je fais semblant de dormir. Il se réveille et je l’entends alors siffler :

- Putain !

Il écarte alors son morceau de ma raie. Je l’entends se poser sur le dos. Je sens pourtant ses yeux braqués sur mes fesses. Il me semble sentir un léger frôlement. Tout d’un coup, j’entends le lit grincer. Je comprends qu’il est en train de se masturber. Je fais alors semblant de sortir de mon sommeil et je lui dis :

- Mais t’es pas en train de te branler là ?
- Non, pas du tout.
- Tant mieux.

Bastien se détourne alors et il s’endort. Je souris. J’ai bien l’intention de faire monter son appétit sexuel. Quand je vois qu’il s’est endormi, je pose mon cul contre le sien et je me rendors à mon tour.

Le soleil nous réveille vers 7 heures. Quand il se rend compte que mon cul touche le sien, Bastien s’écrie :

- Putain ! T’es dégueu !

Moi, je ne dis rien. Je m’étire, je me lève avec une bonne gaule matinale. Mon compagnon de chambre me regarde, effaré.

- Putain ! T’as une si grosse queue !, ne peut-il s’empêcher de dire.
- Oui.

Ma queue bande, elle fait 25 cm. Elle est énorme, veinée, foncée, épaisse. Mon gland est gros, rosâtre. Je remarque que ça ne laisse pas sa bite insensible. Je m’approche de Bastien et je frôle sa teub. Il me regarde avec de gros yeux et je lui dis :

- Je suis pas le seul à avoir la gaule ! Allez viens, on va chercher à bouffer. Peut-être qu’il reste quelque chose dans les cuisines.

Je descends à poil, Bastien me suit. Mon érection se calme, la sienne aussi. Je sens toujours ses yeux en train de me dévorer le cul. On trouve quelques trucs à manger : des conserves cachées dans une armoire. On prépare toute ça. Bastien semble ravi.

On décide de sortir dehors après le petit-déjeiner. Au fil de notre promenade, on se rapproche l’un de l’autre. On parle tout en se regardant de temps en temps dans les yeux. Nos mains se frôlent. D’abord, Bastien retire la sienne ... puis les contacts s’intensifient et deviennent plus longs. Bien sûr, mon regard est attiré par son matos impressionnant. A un moment, afin d’éviter un gros bloc de pierre, il me laisse passer devant et il me rattrape. Il se colle contre moi et je sens sa teub se frotter contre mon cul. Puis, Bastien repasse à côté de moi et il s’excuse quand, par un geste maladroit, sa main frôle mon matos. Il se remet sur ma gauche, un peu gêné. On décide de rentrer. Arrivé à l’hôtel, j’ouvre la porte et il se positionne devant moi. Il se tait, il baisse la tête. Je m’approche de lui et je plonge mon regard dans le sien. Je me mets à lui caresser sa main... et je ressens une tension sexuelle si intense que, si je m’écoutais, je prendrais sa bite en main ! Mais je me retiens. Je ferme les yeux pour essayer de calmer mes ardeurs… Bastien entre dans l’hôtel.

Pendant toute la journée, je sens ses yeux me dévorer. Je sais que ses sentiments envers moi ont toujours été négatifs. Mais je le comprends très bien : il n’a pas rencontré de mecs pour se vider depuis des semaines, voire des mois. Et je crois, sans vouloir me vanter, que je suis quand même très bien foutu. On reste un peu dans le hall et je lui rapporte des journaux du temps d’avant les catastrophes. Tout en les lui donnant, je frôle son épaule, puis la peau de son bras. Je sens qu’il tressaille. Puis, il s’écarte.

Durant toute la journée, je lui pose plusieurs fois ma main sur le bras. Au fil du temps, il ne bronche plus. Cependant, lui n’essaie pas de me toucher. Et la nuit suivante, c’est le même manège : je le chauffe discrètement en me collant contre son cul ou sa bite. Je le surprends plusieurs fois en train de se branler. Mais je le fais très vite déchanter. Je veux en fait qu’il ait les couilles pleines, que son niveau de testostérone soit à son maximum. Pour cela, je me promène tout le temps à poil, je me colle à lui, je le touche. A un moment, alors qu’on est dans la cuisine, il trouve un prétexte pour monter. Je me rends à mon tour dans la piaule et j’ouvre la porte : Bastien est en train de se masturber. Il prend un oreiller pour cacher sa queue... qui est si grosse qu’elle dépasse de l’oreiller. Je m’approche alors, les mains sur les hanches, la queue bien en avant. Bastien me mate... Je le regarde et lui aussi, droit dans les yeux. Puis, ses yeux tombent sur mon paquet qui est bien mis en évidence. Il semble comme hypnotisé. On reste bien une minute ainsi, jusqu’à ce que je reprenne la parole :

- Pourquoi tu te branles ?
- Faut que je jute, dit Bastien, un peu déconcerté.
- Laisse-moi m’en charger, dis-je.
- Ça va pas ? Tu crois que notre cohabitation a tout changé ?
- Bastien, tu en as envie, j’en ai envie. On en a tous les deux envie. La vie d’avant n’existe plus.
- Non, je dis non !

Je m’approche alors de lui et je lui roule une grosse pelle. Il résiste et il se dégage. Mais, soudain, nos mains se mettent à caresser le corps l’un de l’autre. Très vite, Bastien glisse vers ma queue. Il la met dans sa bouche et il commence à me sucer avec passion. Je pousse des gémissements assez forts. Il se débrouille vraiment très bien. Puis, quand il sort mes 25 cm de sa bouche, je descends avec ma langue le long de son corps et j’avale sa bite. Elle est grosse... et bien dure. J’essaie de lui faire des gorges profondes, mais sa teub est trop longue. Cependant, je le suce bien à fond. La bite de Bastien est fantastique : elle fait 28 cm, elle est épaisse, veinée, avec un petit gland. Ses couilles sont vraiment énormes, aussi grosses que des kiwis.

Ensuite, une envie me prend et ma langue descend le long de ses boules... puis de son périnée, que je me mets à bien mouiller... Ensuite, ma langue continue son chemin jusqu’à son trou. Là, elle s’amuse avec sa rosette, faisant bien gémir Bastien. Ma langue commence ensuite à s’enfoncer dans son trou. Je lui mouille l’anus tandis que ma langue joue avec ses chairs. Il est un peu serré.

Quand je ressors, Bastien se lève et il se place derrière mon cul. Il se met à le malaxer avec envie et à l’aide de sa bave, il me doigte. Pris d’une envie irrésistible, il pose son gland sur ma rosette. Puis, il enfonce lentement son gland dans mon anus. Arrivé à la moitié, il ressort sa queue. Bastien fait de petits allers-retours et, quand il me sent bien ouvert, il replonge sa bite prudemment, s’enfonçant dans mes chairs. Après un long moment, son pubis finit par se retrouver plaqué contre mon cul et je gémis de plaisir quand je sens sa queue au fond de mes entrailles. Il semble impressionné que j’encaisse aussi bien sa bite. Il entame des mouvements de bassin, d’abord lents, puis plus appuyés. J’adore sentir sa grosse queue large s’enfoncer dans son anus. Il adopte immédiatement une cadence infernale. Il me baise bien pendant 3 minutes. Il ressort ensuite et il me fait mettre sur le dos, mon cul au bord du lit pendant qu’il est debout. Je lève mes jambes et il s’enfonce en moi. Il me défonce sauvagement, faisant de longs va-et-vient, sortant presque entièrement sa queue pour la renfoncer immédiatement au fond de mon cul. Je gémis de plaisir. Je sens ses couilles qui se balancent sous moi et qui frappent mes fesses. Il sort de mon cul et il renfonce sa bite dans mon trou bien ouvert, sans s’aider de ses mains. Sa teub trouve immédiatement le chemin et elle va se plaquer au fond de mes entrailles. Il répète cette opération plusieurs fois.

Finalement, ne tenant plus, il enfonce sa bite au fond de mon anus et je sens alors une vague chaude envahir mes entrailles. Il gicle d’énormes quantités de sperme qui me submergent. Ce sont bien une quinzaine de jets qui, les uns après les autres, me mitraillent le fond de mon cul. Il tasse un peu son jus. Quand il sort, un flot ininterrompu de sa semence se répand le long de mon périnée et de mes couilles avant de couler sur le sol. Je me branle furieusement et je gicle 12 giclées sur mon ventre. On avait tous les deux de la pression dans les couilles !

Bastien se pose sur le lit, il se retourne et il s’endort vite. Je le regarde. J’ai une belle vue sur son dos et sur son beau cul. Le mien dégouline encore de son sperme. Je me retourne et je soupire. C’était bon de pouvoir se vider les couilles, ça faisait longtemps…

Le lendemain, on essaie de se faire un bon truc à manger. Sans pudeur, on reste nus… et je dois dire que ses petites fessées musclées ainsi que sa grosse bite molle qui pendouille lourdement de droite à gauche m’excitent énormément. Et je sais que je ne laisse pas Bastien indifférent… Je surprends souvent son regard posé sur ma teub ou sur mes fesses. On trouve des conserves et on se met aux fourneaux. La cuisine n’est la très grande et on se gêne un peu… ce qui n’est pas pour me déranger. Je ressens avec plaisir sa peau ou ses poils de pubis se frôler contre mon corps. Et je ne sais pas s’il le fait exprès, mais à un moment, alors qu’il passe derrière moi, je sens son matos me frotter les fesses. Je tressaille. Ma queue fait un bond. Je ferme les yeux et j’essaie de me ressaisir. Mais Bastien repasse derrière moi et je sens sa grosse bite se loger dans la raie de mes fesses. Le coquin reste contre moi... et je bande à fond. Je n’en peux plus, je passe ma main derrière et je saisis sa teub. Je me retourne et je mets à le branler. Il me regarde de ses yeux profonds et il se laisse faire. Je me mets alors à genoux et je commence à lécher sa massue sur tout son long. Quelle énorme bite ! 28 cm ! Je m’occupe ensuite de ses couilles. Elles sont vraiment énormes. Je n’arrive pas à les gober. Puis, je remonte et mes lèvres descendent tout le long de son anaconda. Son gland tape le fond de ma bouche. Je répète l’opération et il me faut quelques minutes pour arriver à la prendre entièrement dans ma bouche. Elle traverse ma gorge et elle va titiller mon œsophage. Mon nez se retrouve dans les poils de son pubis et mon menton frôle ses couilles. Il gémit doucement. Je m’occupe durant quelques minutes de cet énorme morceau. Bastien a l’air assez impressionné !

Puis, je me relève. Il met alors une jambe sur le coin d’un plan de travail. Il s’y couche et il écarte ses fesses. Je comprends le message. Je saisis un reste d’huile de tournesol, je me mets à le doigter avant de plonger mes 25 cm en lui. J’y vais doucement au début, le laissant s’habituer à mon monstre. Je le pousse au fond de son trou jusqu’à ce que mes couilles se retrouvent plaquées contre son cul. Il en a le souffle coupé, tellement il se sent rempli par mon anaconda. Je me mets directement à lui labourer l’anus. Je le pilonne à fond. Je lui déchire le cul tout en tenant fermement ses hanches entre mes mains pour s’enfoncer toujours plus profondément. Bastien gémit fort de plaisir. Je le défonce sans pitié. Il supporte et il crie à chaque fois que je lui perfore le fond de son cul. Puis, je sors complètement de son trou, avant de m’y renfoncer brutalement. Le bruit de mes couilles, qui claquent à chaque butée, emplissent la pièce. Finalement, j’accélère le rythme, je donne de gros coups de butoirs et je finis par larguer ma semence en lui. Je sens ma queue pulser et se vider. Je jouis une bonne quantité de sperme. Quand je me retire, un tsunami de sperme gicle par terre. Il prend alors ma queue en bouche et il la nettoie bien.

On finit de préparer le repas en silence. Mais on se caresse, désormais de façon moins timide. On se met parfois quelques petites fessées ou on se touche la bite. On arrive quand même à finir de préparer le repas et par manger. On a réussi, malgré le manque de produits frais, à se cuisiner un truc bien sympa : un bœuf bourguignon. On mange en silence. Puis, on décide de faire une petite sieste. Je veux prendre Bastien dans mes bras... mais il se retire. On se pose l’un à côté de l’autre. Mais très vite, sa main descend vers mon entrejambe, il se met à masser ma queue qui se dresse... et tout d’un coup, il saute sur mon ventre et il s’empale sur ma teub. Bastien se met à faire des allers-retours dessus. Il est super endurant, il prend une vitesse régulière, rapide. Je vois dans le miroir brisé en face de nous mes grosses couilles contre lesquelles cognent ses fesses. Et finalement, au bout de 5 minutes, je jouis dans ses entrailles 5 ou 6 jets qui explosent tels des tirs de mitraillette. Il doit bien les sentir car il gueule en même temps tout en se branlant. Il jute un sperme épais sur mon torse.

Il reste pendant quelques secondes à savourer son orgasme. Puis, quand ma teub se ramollit et qu’elle ressort de son cul, il se pose à côté de moi et une traînée de sperme salit les draps. Il se tourne alors le dos et il s’endort. Je m’endors aussi. Au réveil, on sort un peu dehors prendre l’air. Mais il fait si chaud qu’on ne reste pas longtemps et on retourne à l’hôtel. Finalement, je lui dis :

- Alors, moi, j’ai un plan. Je veux faire quelques provisions pour un voyage. J’aimerais aller à Paris essayer de voir s’il y a des survivants. Essayer d’être utile.

Je vois qu’il se met à réfléchir furieusement quand je lui propose de m’accompagner. Derrière son regard, je devine ses pensées qui se bousculent. Il est tiraillé entre ce ressentiment envers moi, qui, je l’espère, tout comme chez moi, est en train de s’estomper. Mais je me doute aussi que son désir pour ma queue et pour mon cul doit jouer un rôle important, car je vois bien ses yeux aussi qui sont en train de regarder mon anaconda avec insistance. Finalement, il me dit qu’il viendra avec moi. On commence alors à échafauder un plan, on prépare des trucs et le soir, on se retrouve dans le hall de l’hôtel avec un bon équipement pour notre périple. On mange des restes de notre repas du midi. On est bien sûr toujours nus. On se regarde. Une tension sexuelle monte en moi. Puis, on retourne dans notre chambre, tous les deux la bite en demi-molle. Je souris quand il me montre ce qu’il a trouvé dans un tas de vieux magazines : des pornos ! On commence à feuilleter un magazine. Nos bites ne restent pas insensibles au charme des mecs… ainsi qu’à leurs membres. On se met à se branler. Bastien saisit très vite ma queue et moi la sienne. On se masturbe mutuellement. Je trouve la situation très excitante. J’adore sentir sa main qui branle fermement ma teub. Je sens aussi la sienne, bien dure. J’en ressens chaque veine et chaque vibration.

Je regarde alors Bastian dans les yeux et un sentiment d’envie s’empare de moi. Je me penche sur lui et je l’embrasse… et là, il ne me repousse pas. Je continue, je lui roule une pelle… et il répond à mes baisers. On laisse alors libre court à nos envies. On s’embrasse sauvagement. On se lèche. Bastien finit par se pencher sur moi et il se met à m’embrasser dans le cou tout en malaxant ma bite. Il s’approche de mes tétons qu’il tire et qu’il lèche. Ensuite, il me retourne et sa langue s’engouffre dans mon anus. Il se met à me bouffer le cul, ce qui me fait crier de plaisir.

Puis, il me donne sa teub à sucer. Je m’applique bien, j’arrive à lui faire quelques gorges profondes. Sa grosse queue m’ouvre bien la mâchoire et la gorge. Parfois, je la ressors et je la lèche de haut en bas. Je lèche aussi ses boules avant de reprendre ma suce. Ensuite, il m’attire vers lui et il me roule une grosse pelle... ce qui me donne encore plus envie de sa teub ! Je suis comme un fou et je la lèche, je la suce en faisant de grosses gorges profondes ! Je ne me contrôle plus. Finalement, il se relève, il me tire vers lui et nous nous roulons de grosses pelles. Pendant ce temps, il me masse le cul. Il met fait alors mettre à quatre pattes sur le lit et il enfonce ensuite lentement sa bite dans mon trou. Je mouille tellement que ses 28 cm entrent tous seuls en moi. Il s’enfonce jusqu’à ce que ses poils de pubis soient collés contre mes fesses. Il met ses mains sur mes hanches et il se met à me baiser doucement tout en m’embrassant dans le cou... avant de commencer à me défoncer. Je kiffe sa grosse queue qui me fore le trou du cul et qui massacre ma prostate. Très vite, il me pilonne comme un malade. Son pubis rebondit contre mes fesses et sa teub me perfore bien le fond du cul. Au bout de quelques minutes, il jouit dans mon anus. Telle une mitraillette, son sperme fuse avec rapidité et violence hors de sa queue pour envahir mon trou. Ses jets giclent avec violence. Il jute 9 giclées liquides, abondantes. Je me mets à me branler. Il me place sur le lit, il me suce et 7 jets fusent directement dans sa gorge. Il continue de me branler et quelques gouttes continuent de tomber sur sa langue.

On se couche sur le lit, couverts de sueur. Il se tourne et je tends une main vers lui. Je lui caresse le dos. Il se laisse faire. Puis, je le prends dans mes bras… Il se laisse toujours faire. Je me colle contre lui et on s’endort ainsi. Durant la nuit, je me réveille et j’ai la gaule. J’enfonce ma queue dans son trou, je le baise et je l’ensemence. Il se retourne, il m’embrasse et on se rendort, sa tête posée sur mon torse. Une heure plus tard, c’est moi qui me fais réveiller car Bastien me suce jusqu’à ce que j’éjacule dans sa bouche.

Le lendemain, on se lève tard après avoir baisé une bonne partie de la nuit. Bastien m’apporte même le petit-déjeuner au lit. Je trouve ça trop mignon. On décide de profiter de la journée et de reporter notre départ au lendemain. On fait une promenade sur la plage. On en profite car on voit que le ciel devient très menaçant. Je dois avouer que j’ai des papillons dans le ventre. Je trouve ce changement d’attitude étrange … Il y a quelques jours, j’aurais encore presque pu le tuer… Est-ce qu’IL est responsable de ceci ? Je ne saurais le dire. Mais je me dis que ma mission sera bientôt couronnée de succès.

Soudain, je suis tiré de mes pensées par Bastien qui me dit de regarder tout droit. Un mec est en effet en train de courir. On se met en position de combat, malgré notre nudité. Mais on se rend compte que le mec est en train de faire du footing. Et quel mec… Il a un corps svelte, musclé sec. Son torse ainsi que le milieu de son ventre sont recouverts d’un duvet de poils courts. Ses bras et ses jambes sont hyper velus. Son pubis est une vraie forêt vierge. Sa bite est marron foncé, circoncise avec de grosses couilles noires et velues. Elle forme une grosse massue au-dessus de ses boules. Cette grosse teub, faisant bien 15 cm rien qu’au repos, bouge de haut en bas sous ses foulées.

Bastien semble aussi surpris. Le mec s’arrête alors à notre hauteur.

- Salut. Vous faites quoi ici ?
- On se promène, dis-je, un peu méfiant.

Je n’écoute pas ce que le mec répond. Je suis comme envoûté par sa voix mélodieuse. Le gars est vraiment charmant. Mais que m’arrive-t-il ? Je secoue la tête. Il se met à nous raconter ses mésaventures liées aux catastrophes. Cependant, il s’est trouvé un petit cocon douillet… Il nous dit qu’il profite de cette nouvelle vie sans stress pour faire ce qu’il veut. Ce qui lui manque, c’est seulement l’homme de sa vie à ses côtés. Bastien l’invite alors à venir boire un verre à notre hôtel, ce qu’il accepte.

Autour d’un verre, chacun de nous se met à raconter sa vie. Le mec s’appelle Corentin. Je trouve que Bastien sourit bêtement, tout le temps. Il semble vraiment sous le charme du mec... qui lui frôle même le bras… La peau de Bastien frissonne de plaisir.

Au bout de 2 heures, l’ambiance est électrique. On boit, on rigole, et je dois dire que je trouve moi aussi cet homme charmant. Selon toutes vraisemblances, je lui plais également : il me touche souvent l’épaule. Petit à petit, les bites se dressent… et Corentin finit par se lever et par prendre nos queues en main. La sienne se dresse : elle est circoncise, elle fait bien 30 cm, elle est épaisse, longue, belle. Une vraie batte de baseball !

Corentin se met à genoux devant nous et il saisit nos deux teubs ... Il prend la moitié de la queue de Bastien en bouche : elle lui ouvre bien la mâchoire. Il se met à la sucer. Au bout de quelques minutes, Corentin a pris les 28 cm entiers dans sa bouche. Puis, il prend ma bite en bouche qu’il engloutit. Il me suce sur l’intégralité de mon morceau. Je dois avouer qu’il est vraiment doué. Quand il ressort, c’est moi qui le fais mettre debout et qui suce avec envie et passion son énorme queue ! Son gland tape le fond de ma gorge et je ressens bien le morceau ! J’arrive à prendre son monstre entièrement dans ma bouche. Il traverse ma gorge et il va titiller mon œsophage. Mon nez se retrouve dans les poils de son pubis et mon menton frôle ses couilles. Corentin gémit fort. Je m’occupe durant quelques minutes de cet énorme morceau. Puis, il me fait me relever et il me place à quatre pattes sur le fauteuil. Il reste debout et il crache sur mon trou. Après m’avoir doigté rapidement, il enfonce lentement son monstre dans mon anus. Bien que j’aie encaissé la queue de Bastien sans problème, je crie de douleurs et Corentin doit ressortir et s’y reprendre à plusieurs avant de finalement planter ses 30 cm sur toute sa longueur dans mon cul. Il attrape ses hanches dans ses mains puissantes et il se met à faire de petits allers-retours. Je me sens comme écartelé ... mais je gémis fort de plaisir. Corentin se met à faire d’amples allers-retours rapides sur toute la longueur de sa queue. Je sens mon cul atterrir dans son pubis poilu. Les coups de reins deviennent plus rapides et plus puissants. Mon corps est secoué dans tous les sens.

Corentin ressort et il donne sa queue à Bastien qui la suce avec dévotion. C’est incroyable de voir comment sa mâchoire est ouverte à fond ! Puis, l’actif saisit Bastien par le bras et il le doigte longuement avec sa bave. Ensuite, il enfonce ses 30 cm dans l’anus de Bastien qui les sent bien s’y insinuer. Corentin doit s’y reprendre à plusieurs fois mais il arrive à entrer entièrement en lui. Après une pause, il se met à donner de petits coups de reins puissants. Je vois ses énormes boules rebondir contre le périnée de Bastien. Très vite, Corentin se met à le défoncer avec force. Les coups de queue sont profonds et violents.

Au bout de 5 minutes, il ressort de son cul et il se renfonce en moi pendant que Bastien me donne sa queue à sucer. Corentin entame une baise intense et profonde, régulière et passionnée. Je sens que sa bite est bien dure. Ensuite, Corentin fait mettre Bastien sur le ventre. Il empale directement sa queue dans le cul d’un grand coup de reins et il se met à le pilonner à fond. Ses lourdes couilles frappent et rebondissent contre les fesses du passif. Au bout de quelques minutes, Corentin me fait mettre sur le dos, sur une table, avec mes fesses au bord. La grosse queue entre lentement dans mon trou. Elle s’enfonce entièrement jusqu’à ce que je sente les poils de pubis collés contre ma raie. L’actif entame immédiatement des allers-retours puissants. Il me pilonne à fond. Parfois, il fait ressortir sa bite, jouant avec son gland sur mon anus, avant de renfoncer son morceau.

Ensuite, Corentin attire Bastien sur la table, prenant ma place, il s’enfonce en lui et il se met à le défoncer. Les va-et-vient de l’actif sont rapides, profonds et amples. Bastien gémit fort. J’admire Corentin en train de défoncer Bastien. J’adore voir les boules de l’actif claquer en rebondissant contre les fesses. Corentin, très vite, se met à baiser le passif à fond, tel un marteau-piqueur. Soudain, l’actif pousse un cri et c’est l’inondation dans le cul de Bastien qui se prend une vingtaine de jets puissants qui lui inondent les intestins. Corentin regarde le passif droit dans les yeux et il lui roule une pelle. Lentement, la queue se ramollit et ressort du trou béant qui ne peut plus contenir le sperme de cet étalon : le jus liquide sort comme un tsunami le long de son cul et atterrit sur la table ainsi que par terre où se forme une petite mare. Je prends la suite dans le cul de Bastien et j’entame immédiatement de rapides va-et-vient, enivré par tout le sperme que ma teub fait gicler hors du trou. Cette semence glisse le long de mes 25 cm, pour passer sur mes couilles, avant de descendre le long du périnée pour finalement atterrir sur le sol dans une flaque. Le jus de Corentin sort par vagues. Je donne des coups puissants et profonds et je ne mets pas longtemps à atteindre l’orgasme. J’éjacule un sperme épais qui se met à remplir les intestins de Bastien ! Chaque giclée est abondante et elle envahit ses entrailles. Je jute bien 13 jets et quand je ressors, un torrent jaillit hors du trou béant et explose sur ma teub et mes boules. Bastien se branle rapidement. Il passe ses doigts dans son trou complètement explosé et suintant de sperme. Sa bite éjacule telle une fontaine. De longs jets abondants et liquides sortent par saccade hors de sa queue et vont tapisser son corps. Il éjacule pendant une dizaine de secondes. On s’assoit, épuisés, sur le canapé et on soupire de plaisir. J’ai le trou bien béant.

On se sert de nouveau à boire. Finalement, on monte dans ma chambre. Je dors sur le lit à côté de Bastien et Corentin se contente d’un drap sur le sol. Au milieu de la nuit, je suis réveillé par un bruit. Je vois à la lumière de la lune que Bastien en train de chevaucher Corentin qui maintient fermement les hanches du passif. Je vois ses grosses couilles se balancer de haut en bas et taper contre le cul. De ma position, je vois les petites fesses de Bastien qui se font ouvrir par l’énorme anaconda que l’actif a entre ses jambes. Le passif pousse de petits gémissements. La chevauchée s’accélère. Corentin donne de gros coups de reins. Il se défoule dans le petit cul pendant un long moment ! Je les observe sans rien dire. Bastien se branle et au bout d’un moment, il éjacule. Un sperme épais et blanchâtre gicle sur le torse de Corentin qui accélère et qui à son tour jouit en donnant de grands coups de bite. Puis, il reprend sa baise et sa queue devient blanche. Le sperme se retrouve éjecter par les coups de teub et il dégouline le long de ses boules. Sa bite se ramollit et elle sort du trou béant qui dégouline de jus. Corentin semble l’avoir bien été ensemencé.

Je les vois se rouler de grosses pelles. Je sens un malaise s’emparer de moi. Ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre. Moi aussi, je m’endors. Et là, IL m’apparaît. Il a les traits de Noah, toujours. IL est à une table en train de prendre un café devant un lac resplendissant. IL m’invite à m’asseoir. On parle des mois passés. Soudain, IL se tourne vers moi et IL me dit :

- Il est très important que Corentin ne vienne pas perturber votre relation.
- Comment est-ce que je peux faire ? Je crois que je suis en train de perdre Bastien...
- Dis à Corentin que tu es courant pour Kévin !
- Au courant de quoi ?

Une lumière aveuglante L’entoure et je me réveille. Je remarque que les deux autres ne sont plus là. Toujours nu, je descends dans le hall. Je les trouve en train de petit-déjeuner. Corentin est en train de caresser la main de Bastien qui le regarde en souriant. Je m’assois avec eux et je fais genre de ne pas remarquer leur petit manège. Bastien dit qu’il va chercher autre chose à manger. Je me retrouve alors seul avec Corentin. Je le regarde dans les yeux et je prends la parole :

- Que cherches-tu vraiment ici ?
- Rien ! Qu’est-ce que tu veux dire ?
- C’est quoi, tout ça ? Les caresses ? La nuit ensemble ? Bastien te plaît, c’est ça ?
- Oui, il me plaît énormément, mais toi aussi, ne t’inquiète pas.
- Pourquoi vous m’avez pas réveillé alors ?
- Tu dormais si bien.

Je crois alors distinguer dans les yeux de Corentin autre chose. Une sorte de défi. Il me regarde en souriant :

- Tu as l’air jaloux. Pourquoi ? Tu veux sortir avec lui ? Vous êtes ensemble ?
- Possible.
- Non, parce qu’il n’a pas l’air d’être au courant. Mais tu sais, faut pas être jaloux.

Corentin me caresse alors le bras. Il se lève, j’ai, devant les yeux, sa grosse queue molle qui pendouille entre ses jambes. Je me sens comme hypnotisé. Je lève la tête, il me regarde, plein d’envie. Je me laisse alors aller. J’approche mes lèvres de son morceau et je me mets à l’embrasser, puis je le lèche de tout son long. Sa queue se dresse et je me mets à la sucer. D’un coup, je me redresse, Corentin me retourne et il me plaque contre la table. Il enfonce sa teub dans mon trou et il se met à me marteler le cul si sauvagement, comme si j’étais une poupée gonflable. Bastien arrive très vite. Et quand il nous voit en train de baiser, il se fout devant ma bouche et je me mets à lécher sa queue qui est déjà en demi-molle. Il me prend la tête et il commence à me défoncer la bouche. Pendant ce temps, les 2 actifs s’embrassent sauvagement. Je ne suis plus qu’un jouet entre leurs mains. Corentin est le premier à jouir. Il donne un grand coup de hanche et je sens alors mes entrailles bouillonner de son jus, il se libère de bien 7 jets qui me remplissent. Il se retire, mon trou béant laisse échapper la semence qui dévale mon cul tel un torrent. Il va se placer derrière Bastien, il l’embrasse, il l’enlace. Et dans un coup de rein ultime, Bastien lâche sa semence au fond de ma gorge et je sens sa purée (5 jets) jaillir dans ma gorge pour atterrir directement dans mon œsophage. Bastien se retire et il m’embrasse à pleine bouche. Il embrasse aussi Corentin.

On se redresse et on finit par prendre notre petit-déjeuner. Je suis assez déstabilisé par l’attitude de Corentin. Bastien semble très attiré par lui et... moi aussi : je me surprends à lui caresser la jambe ou le bras. Cependant, maintenant, Bastien semble plutôt distant envers moi. Puis finalement, ce-dernier dit qu’il va se refaire une petite beauté. Il disparaît. Corentin s’exclame :

- Alors, tu vois bien qu’il n’a pas conscience que t’es amoureux de lui !

Je ne veux pas lui avouer pourquoi je suis en train d’essayer de séduire Bastien. Je fais tout simplement oui de la tête. Il se met à ricaner en me regardant :

- Je pense que ça serait intéressant de voir sa réaction si je lui disais.

Je lui lance un regard noir et je me souviens de ce qu’IL m’a dit. Je prends la parole :

- Tu sais, je suis aussi au courant pour Kévin.

Je vois alors ses yeux se remplir d’un certain effroi. Il se met à bégayer :

- Comment ...? Quoi ... ? ...
- Je voulais juste te dire que je suis au courant.

Je vois son visage blêmir. Il sort alors de la pièce à son tour. Quand Bastien revient, il demande où se trouve Corentin. Je lui dis que je ne sais pas, qu’il est parti peu après lui et que je ne l’ai pas revu. Je le regarde alors dans les yeux, et je vois une sorte de méfiance envers moi. Je me dis alors qu’il doit repenser à notre passé de politicien. Pour essayer de l’apaiser, je le prends par le poignet, je le fais s’asseoir sur mes genoux. Je le prends dans mes bras et je lui dépose des baisers dans le cou. Il prend un air amusé quand il tend sa main vers ma teub qui commence à prendre du volume.

- Oh, je me remarque qu’il y en a un qui a l’air d’avoir envie.
- Oui, désolé. C’est mal, docteur ?
- Pas du tout.

À ce moment-là, il se relève, il se met à branler ma queue qui se dresse. Alors, il enjambe mon corps tandis que je suis toujours assis sur la chaise. Il prend ma teub, il pose mon gland contre son anus et lentement, il descend le long de ma bite. Je soupire de plaisir. Il commence alors à faire des allers-retours sur mes 25 cm. On s’embrasse pendant ce temps. Il ne me faut pas plus de 5 minutes pour jouir dans ses entrailles une dizaine de jets qui l’ensemencent.

Durant le repas suivant, composé de quelques conserves de haricots blancs, Corentin se met à caresser le bras de Bastien qui se laisse faire. Quand je me mets à caresser le bras de Corentin, ce-dernier me regarde alors et je lis dans ses yeux de la méfiance et un peu de peur. Il retire sa main du bras de Bastien, il se met à manger en silence. Oui, je comprends tout à fait. Mon regard lui est insupportable car il sait que je connais la vérité et qu’il ne veut pas que je la révèle à Bastien. Puis, je vois son regard se figer et un petit rictus de dessine sur son visage. Il se tourne alors vers Bastien et il veut se mettre à parler. Je retire ma main de son bras, de peur qu’il ne fasse tout capoter. Quand Corentin le regarde, je sens qu’il y a aussi une grosse gêne à cause moi. Je sais que mon regard le poursuit... Mais le sien me poursuit aussi ! Je ne pense pas que cette situation tendue tienne très longtemps. Quand on sort de table, Corentin me tire avec violence contre lui. Il me plaque contre la table. Je vois que sa queue bande, il s’enfonce directement dans mon trou et il me défonce à fond. Moi, je bande aussi et Bastien vient me sucer. Puis, Bastien me fait me redresser, il saisit ma queue et il l’enfonce dans son trou. Les coups de butoir de Corentin sont si forts qu’ils me font aussi baiser Bastien, sans que j’aie besoin de bouger mes hanches. Je sens les ongles de Corentin dans ma peau qui s’y enfoncent presque jusqu’au sang. Je sais qu’il ressent du désir pour moi, mais aussi une haine qui commence à naître. Très vite, il m’ensemence et en même temps, j’ensemence Bastien. Epuisé, on retombe sur nos chaises, on boit un petit peu, puis on revient dans notre chambre. Corentin va se mettre sur le lit avec Bastien, me laissant ainsi debout, penaud. Les deux commencent à s’embrasser, mais mon regard pesant fait très vite arrêter Corentin qui me fixe. Finalement, il dit :

- Je vais pas dormir avec toi, cette nuit.

Surpris, Bastien ne comprend pas ce qui se passe. Corentin se lève et à la hâte, il quitte la pièce. Mon regard lui devient de plus en plus insupportable, ça je le sais. Je me couche à côté de Bastien, toujours surpris. Il se montre un petit peu distant. Mais quand mes caresses et ma suce le font bander de nouveau, il m’attire vers lui et on s’embrasse tendrement. Puis, couchés sur le lit, sur le côté, il me prend dans ses bras, il m’enlace et il enfonce sa grosse queue dans mon cul. Il se met à me baiser tout en déposant de tendres bisous dans mon cou. Il lui faut 10 minutes pour jouir dans mon cul.

Les prochains jours se passent ainsi. On baise ensemble, on baise séparément. Corentin et moi convoitons le même mec. Mais il nous est très dur de rester ensemble. Le regard de l’autre nous semble insupportable. Le mien lui rappelle le passé. Et pour ma part, le sien alimente ma peur de perdre Bastien. Je sens que Corentin a une façon de me baiser de plus en plus agressive. Ses pulsions sont de plus en plus sauvages et puissantes. Il me tire les cheveux, il me griffe. Et je sais qu’il ne proposera pas à Bastien de partir discrètement car il sait que j’ai quelque chose contre lui dans ma main. Si jamais je le retrouvais, je révélerais tout à Bastien, ce qui casserait tout entre eux. Sans que Bastien le remarque, Corentin et moi devenons de plus en plus agressif l’un envers l’autre. La situation et les tensions deviennent vraiment intenables. Et finalement, au bout d’une semaine, quand Bastien et moi nous levons, on constate que Corentin est parti. Je soupire de satisfaction. J’ai gagné. Il n’a pas pu supporter la situation, supporter mon regard, supporter ma présence. Il est parti ailleurs, sûrement chercher quelqu’un d’autre pour ne plus être seul. Je suis un peu désolé pour lui... mais nous avons une mission à accomplir qui est bien plus importante que tout le reste.

Quand Bastien se rend compte que Corentin est parti, je vois des larmes couler de son visage. Je vais vers lui pour le prendre dans mes bras. Il se laisse faire, je le prends contre moi et je le serre fort. Il se détache de mes enlacements, il me regarde droit dans les yeux et ses lèvres touchent les miennes. Il se met à m’embrasser passionnément. Nos mains caressent le corps de l’autre ou passent dans les cheveux de l’autre. Très vite, nos bites se dressent. Je le soulève et il passe ses jambes autour de mes hanches. On se dirige vers le lit où je le dépose et pendant un très long moment, on se caresse, on s’embrasse, on se branle. Nos baisers sont tendres, langoureux. Mes mains ne peuvent s’empêcher de parcourir son corps et de caresser sa peau. Je bande à mort. La langue de Bastien quitte finalement ma bouche et passe dans mon cou. Puis, il descend le long de mon corps. Il passe à ma bite qu’il lèche aussi avant de remonter. Il me prend dans ses bras et je ressens un sentiment de protection. Il me serre vraiment fort. Ensuite, c’est ma langue qui descend et qui va titiller ses tétons pendant que mes mains massent ses pecs que je trouve super bandants. Puis, j’embrasse ses bras tandis que mes mains passent sur son torse. Ensuite, je continue vers son ventre. Ma langue joue avec les poils de son pubis. Bastien bande à fond. Je prends alors sa bite en main et je me mets à la branler. Quel énorme morceau ! Je suis à chaque fois subjugué par son anaconda. Je saisis ses grosses couilles, je les soupèse.

Je remonte vers sa queue dont j’enfonce le gland dans ma bouche. Je le lèche et je titille le frein. Puis, je fais passer tout son morceau dans ma gorge. Ma mâchoire est ouverte en grand. Je suis bien habitué à sa queue, je l’engloutis sans trop de problème et je commence à faire de rapides allers-retours. Il accompagne parfois ma suce de mouvements de reins qui font rebondir ses couilles contre mon menton.

Au bout de quelques minutes, il me fait remonter et il m’embrasse sauvagement. Puis, il s’agenouille, il enfonce mes 25 cm dans sa bouche et il me suce lentement. Je ferme les yeux et je gémis de plaisir. Il se débrouille bien. Il s’occupe de moi pendant bien 10 minutes avant de me retourner et de me présenter son trou devant les yeux. J’enfonce directement ma langue dans son anus. J’écarte ses fesses que je commence à bouffer à pleine bouche. Quand je me redresse, il se retourne et il me roule une grosse pelle. Puis, il relève ses jambes qu’il passe autour de mes hanches. Et moi, j’approche mes 25 cm de son trou. Mon gland pénètre sans trop de résistance son anus et il s’enfonce dans ses entrailles. Tout en embrassant, je me mets à faire de lents allers-retours. Nous faisons l’amour, tendrement, doucement. Je sens ma teub bien m’ouvrir en grand son trou, y coulisser et masser sa prostate. J’adore sentir mes poils de pubis collés contre son cul et mes boules contre son périnée. Je suis excité et j’entame une baise rapide et courte : ma queue sort à peine de son anus. Je le fais ensuite mettre sur le dos et je reste debout. J’entre dans son cul posé au bord du lit. Je maintiens ses jambes en l’air et je le démonte.

Ensuite, je me colle contre lui et je lui roule une grosse pelle en le baisant sans m’arrêter. Après 10 minutes, je sors de cul et je le fais se lever. Je le prends dans mes bras et je le câline. Bastien me serre fort contre lui. Moi, je l’embrasse dans le cou. Puis, je le retourne et je le colle contre moi. Je plante ma teub dans son trou, Bastien s’empale dessus et je l’enlace dans mes bras. J’entame de lents va-et-vient tout en déposant des baisers dans son cou. Cette baise est douce et sensuelle. Ma main saisit sa queue et elle la branle. Je lui fais doucement l’amour tandis que je sens mes boules se balancer sous mes coups de reins pour cogner lourdement contre son cul. Puis, je plaque mes mains sur ses épaules, je le regarde droit dans les yeux et je me mets à le baiser de façon sauvage et puissante.

Et dans une symbiose parfaite, toujours en s’embrassant, je l’ensemence. Je sens la puissance des jets de sperme fouetter le fond du cul et le remplir. Je l’embrasse tout en tassant mon jus, puis je me retire. Il se pose à côté de moi et il me donne des baisers tendres et langoureux. Je me redresse et je vois sa queue toujours tendue. J’enjambe alors son corps et je me mets à m’empaler sur sa teub. Je m’enfonce dessus et je le chevauche. J’entame de allers-retours. Je chevauche ses 28 cm ! Quel plaisir pour mon cul. Je grogne d’excitation. Bastien se met à donner des coups de bite qui me font encore plus gémir. A un moment, je laisse mon cul en hauteur et il s’en donne à cœur joie : il prend une cadence rapide et puissante. Il me pénètre profondément et violemment. Puis, il s’arrête et c’est moi qui reprends les choses en main. J’adopte des mouvements rapides pour enfoncer sa queue au fond de mon anus pour bien la sentir.

Très vite, il jouit à son tour en moi une dizaine de jets de sperme qui me remplissent bien. On s’enlace, on s’embrasse tandis que je suis toujours empalé sur sa queue qui se ramollit et qui finit par sortir de son anus, suivie par un torrent de sperme qui éclabousse sa queue, ses boules et le lit. On se pose à côté l’un de l’autre, on reste ainsi pendant un moment à s’embrasser et à se câliner.

Pendant 2 semaines, nous allons rester ainsi tous les deux à Perpignan dans cet hôtel, ne sortant que très rarement. Nous passons souvent nos journées dans la chambre ou dans la cuisine. On ne peut pas quitter cet endroit car c’est comme si c’était la fin du monde dehors : il y a de gros vents, des tornades. Il pleut à verse. Il tonne. Il fait sombre durant toute la journée. On en profite pour être tous les deux : on mange ensemble, on parle, on rit beaucoup. On fait très souvent l’amour. Une fois nos couilles bien vidangées, on lit de vieux magazines ou de vieux bouquins l’un à côté de l’autre. Ce sont deux semaines magiques. Par exemple, aujourd’hui, je me réveille et je le vois en train de dormir, je me mets à caresser son dos. Je vois alors qu’il a une érection matinale et je m’en occupe, ce qui le réveille assez vite. Il me prend dans ses bras, on s’embrasse, on se câline, on se lèche pendant bien une demi-heure puis, c’est lui qui me tire contre son corps, qui me fait mettre à quatre pattes et qui enfonce sa queue en moi. Avant de commencer à me faire l’amour en donnant de petits coups de rein, il m’étreint, il m’embrasse dans le cou. Son énorme bite me masse bien la prostate, il donne de petits coups de reins langoureux, bien profonds. Il me serre contre son torse musclé, je sens sa respiration dans ma nuque. Il m’embrasse dans le cou. Je tourne ma tête. On se roule de grosses pelles pendant qu’il me baise. Pendant bien 15 minutes, il donne de petits coups de reins sans que ses lèvres quittent les miennes. Puis, peu avant de jouir, il me dit :

- Je vais te mettre enceinte, mon cœur.
- J’aime quand tu me parles comme ça.
- Il faut que je t’avoue quelque chose... reprend-il.
- Quoi ?
- Je t’aime.

Je le regarde alors, surpris. Il semble sincère.

- Je t’aime aussi, Bastien.

Dans un mouvement de reins, il m’ensemence bien profondément. 6 gros jets giclent dans mon anus. Il me branle et j’éjacule 8 bonnes giclées. On se pose sur le lit. Bastien vient se poser contre moi. Ravi, il m’embrasse. Soudain, je vois par la fenêtre le soleil qui brille. On est impressionnés par ce changement immédiat. Je vois que sa bite dégouline encore de sperme. Nous nous approchons de la fenêtre et nous regardons le soleil scintillant : le ciel est bleu, magnifique. Tout est calme, tranquille, paisible. Il me semble voir les arbres, qui étaient jusqu’ici sans feuilles, en train de reprendre des couleurs. La nature semble être en paix.

On admire ce spectacle pendant des heures, émerveillés par ces couleurs que nous avions presque oubliées. On reste pendant une semaine à profiter l’un de l’autre et à savourer le renouveau de la nature, de la vie. Pendant ce temps, je n’ai plus d’apparition de LUI. Il semble que j’ai réussi, que j’ai apaisé les cieux. Conscients de notre mission, nous partons ensuite pour Paris. Il est temps que, main dans la main, nous rebâtissions le pays, grâce à cette deuxième chance qui nous est donnée.

Meetmemz

Email : meetmemz@yahoo.de

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