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Ma conversion
Ma conversion - 3
Je me disais que le déjeuner allait peut-être être l'occasion de calmer les choses avant qu'elles ne prennent une tournure trop définitive dans la voie qui semblait se dessiner pour moi. C'est donc dans un esprit de conciliation que je leur proposai de commander une pizza et de les inviter à manger pour discuter tranquillement entre nous.
K: Tu préfères rester avec nous, alors?
Moi: Oui bien sûr c'est un problème qui ne regarde que nous.
F: Bon je vois que tu deviens raisonnable, allez on va enfin pouvoir s'entendre.
Je me détendais en me rendant compte qu'en fait ils n'étaient pas aussi hostiles que j'avais cru. Je me relevais donc et sans plus faire attention au fait que j'étais toujours à poil, je téléphonais à une compagnie de livraison pour nous commander des pizzas. En attendant que la commande arrive, je m'occupais à ranger quelques papiers, et eux discutaient entre eux, je les entendais rire de temps en temps, mais rien qui ne me parût suspect.
Au bout d'un moment on entendit frapper sur le rideau métallique du garage, et Farid alla ouvrir; c'est alors que je réalisais que j'étais toujours nu et commençais à prendre mon short pour ne pas effrayer le livreur, quand Khaled m'arrêta et m'ordonna de rester ainsi, m'arrachant presque le vêtement des mains pour m'empêcher de me dissimuler.
J'entendais Farid revenir avec le livreur, et quand celui-ci entra les yeux faillirent lui sortir des orbites en voyant le tableau devant lui: un homme nu entouré par un noir et un maghrébin. Amou alors se chargea de lui expliquer que tout était cool, il s'agissait d'une salope qu'ils étaient en train de dresser, et que même s'il le voulait, il pouvait en profiter un peu.
Comme je commençais à protester j'eus droit à nouveau à une baffe, assortie d'un "Ta gueule salope!", qui me laissa muet de saisissement.
La première surprise passée, le jeune, qui ne devait avoir guère plus de 20 ans, répondit que là il avait encore pas mal de travail, mais s'il pouvait passer après son service, il profiterait bien d'un petit "pourboire en nature". Farid lui dit que bien entendu il pourrait se défouler.
Je restais interdit, réalisant que je venais de passer au stade de pute, sans aucune considération pour moi.
Le gamin parti, ils s'attablèrent et commencèrent à manger, me faisant rester debout pour les servir, débarrasser les plats ou remplir leur verre comme si j'étais leur bonne à tout faire.
Quand ils eurent fini, j'ai dû leur apporter les cafés, puis m'agenouiller entre les cuisses de Farid pour ouvrir sa braguette et libérer sa queue, que je dus sucer lentement et bien à fond. Je n'avais rien mangé et il semblait que ma seule nourriture aujourd'hui allait consister en leur jus, aussi je m'appliquais à bien engouffrer son gros manche pour lui soutirer jusqu'à sa dernière goutte.
Bien sûr Amou et Khaled profitèrent eux aussi de mes nouveaux talents, et ne se privèrent pas de verbaliser leur satisfaction devant mes "performances".
C'est alors qu'Amou me demanda si j'avais soif. J'étais épuisé, tant physiquement que moralement, et reconnaissant qu'il ait une telle attention à mon égard. Je faisais mine de me relever, mais il me maintint à genoux d'une pression de sa grosse main. J'allais pour lui demander quoi, mais à ce moment il commença à lâcher un jet d'urine dans ma bouche entrouverte. Comme je détournais la tête, il me lança une énorme gifle qui me fit venir les larmes aux yeux de douleur, et d'un ton menaçant m'ordonna de bien ouvrir ma "pompe à foutre", et d'avaler jusqu'à la dernière goutte.
C'est ainsi qu'il me fallu ingérer ce liquide âcre et légèrement salé, puis je dus le remercier de m'avoir désaltéré. Ils se succédèrent ainsi tous les trois dans ma bouche, et se réjouissaient que, dorénavant, ils n'auraient plus à aller jusqu'aux toilettes pour se soulager, vu qu'ils avaient leur urinoir à dispo.
J'avais envie de vomir, mais il fallut que je les soulage à tour de rôle, puis ils m'empoignèrent sous les bras et avant que je puisse réagir (si tant est que j'en eusse encore envie...), me descendirent jusque dans l'atelier principal et m'attachèrent les bras en croix au pont qui sert à monter les voitures pour travailler par en dessous. Ils m'attachèrent ensuite les chevilles aux montants de sorte que je me retrouvais comme écartelé, suspendu en l'air et bras et jambes en croix.
Ils m'expliquèrent alors que puisque je devais devenir leur pute, je me devais de ressembler à une femelle, et qu'ils allaient me raser. Je me mis à protester, d'abord en gigotant pour tenter (sans succès évidemment) de me libérer, puis en criant, enfin après quelques coups bien appliqués, en les suppliant de ne pas faire ça, que je ferai ce qu'ils voudraient, tout ce qu'ils voudraient... Farid me regarda alors l'air mi-amusé mi-méprisant, et m'expliqua que, précisément, pour l'heure c'était mon rasage intégral qu'ils voulaient.
Je restai donc là, nu, pleurant doucement, pendant qu'ils me débarrassaient de mes derniers vestiges de masculinité, allant jusqu'à me raser doucement la raie des fesses. L'opération dura près d'une heure, mais à l'issue je me retrouvais encore plus nu que je ne l'avais jamais été, puis ils me savonnèrent énergiquement et m'aspergèrent d'eau pour me nettoyer à fond.
Ils apportèrent alors un seau qu'ils placèrent entre mes jambes, puis enfoncèrent le tuyau d'arrosage dans mon cul, m'arrachant un cri de douleur. Je sentis alors l'eau froide pénétrer doucement mes entrailles jusqu'à gonfler mon ventre comme si j'étais enceinte, puis ils me firent éjecter l'immonde liquide. L'opération fut répétée quatre fois, pour me nettoyer mon "instrument de travail", comme ils dirent.
Ce que cette réflexion sous-entendait me fit dresser les cheveux sur la tête, je n'osais imaginer ce qu'ils avaient à l'esprit en disant cela.
Xmale06
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