Histoire précédente
Ma conversion 10
Vers 11h00 Amou m'appela pour me dire que l'avion avait pris du retard, et qu'en fait il n'arriverait qu'aux alentours de 16h00 et donc de ne pas m'impatienter et de tenir tout prêt pour ce soir; ils seraient tous là en principe vers 19h00, le temps de récupérer les bagages, franchir la douane, et rentrer jusqu'ici. Il alla donc travailler quelques heures en attendant, et moi je m'occupais à apporter les derniers détails pour accueillir dignement son père et son frère.
J'en profitais également pour apporter un soin tout particulier à ma toilette "intime", pour que cette soirée soit parfaite pour mon homme. Vers 18h00 j'étais fin prêt, et je sortais de la douche lorsqu'on sonna à la porte. Entourant à la hâte une serviette autour de mes reins, je me précipitais à la porte en me demandant qui cela pouvait bien être à cette heure, et quelle ne fut pas ma surprise en voyant Khaled, tout sourire, qui se tenait devant moi avec une énorme boîte de chocolats.
Je le fis entrer en lui faisant remarquer qu'il était plus que largement en avance, et il me répondit qu'il arrivait directement du garage, et voulait me voir un peu car il se demandait comment j'allais. Je lui répondis que tout allait bien, et l'introduisis au salon en lui disant de se mettre à l'aise, pendant que j'allais m'habiller.
Il me répliqua que ce n'était pas la peine, j'étais très bien ainsi; et joignant le geste à la parole, il m'arracha littéralement la serviette, me mettant à poil devant lui. Je commençais à réellement m'inquiéter, d'autant que, même s'il n'approchait en rien la carrure d'Amou, sa musculature lui permettait de me dominer sans problème.
Me prenant alors dans ses bras, il m'obligea alors à l'embrasser et, alors que je me débattais, força d'une main ma tête pour amener ses lèvres sur les miennes, pendant que, de l'autre, il me pétrissait les fesses comme s'il mélangeait de la pâte à tartes. Devant l'inutilité de mes gesticulations, je finis par me laisser faire, et il me fit alors remarquer que, même si Farid s'occupait de mon ex, lui n'avait jamais abandonné ses "droits" sur moi.
Moi: - Mais de quels droits tu parles, c'est avec Amou que je suis maintenant!
K: - Arrêtes tes conneries, tu sais très bien que tu t'es soumis à nous tous, et même si tu es ici, tu restes notre femelle...
M.: - Tu es fou? En plus Amou va bientôt arriver avec son frère et son père, tu imagines le scandale?
K.: - Raison de plus pour ne pas perdre de temps, allez viens me pomper!
Je ne voulais à aucun prix provoquer un scandale, et voyant que rien ne pouvait le faire changer d'avis, je m'exécutais rapidement, et me mis en devoir d'extraire sa bite et de bien la faire reluire pour le vidanger rapidement et en finir avec cette folie.
Mais au fur et à mesure que je faisais aller et venir ma bouche sur son membre, l'avalant parfois complètement pour le bloquer dans ma gorge, je sentais ses doigts s'égarer sur mes fesses, pour finir par forcer l'entrée de ma chatte.
M.: - Non écoute tu dois t'arrêter, je ne veux pas que tu me baises!
K.: - Ta gueule salope, tu suces, et après je te nique, et tu la fermes. Je t'ai pas demandé ton avis alors au boulot, et vite!
M.: - Assez, là ça sufffffffffAHHHHHHH!
Je venais de me prendre un coup de pieds dans les couilles qui me laissa sans voix, au bord de la nausée. Il m'attrapa alors les cheveux, et, me maintenant la tête, m'administra une volée de gifles qui me sonnèrent complètement. Je tombais alors au sol à ses pieds, et il en profita pour continuer à me donner des coups dans les côtes; je me recroquevillais alors complètement et les coups continuèrent alors, certains sur la tête, que je tentais tant bien que mal de protéger. J'étais totalement anéanti, ne sachant que faire, et au bout d'un moment, tout devint noir et je plongeais dans le néant....
Quand je rouvris les yeux, j'étais dans notre lit, et Amou me tenait dans ses bras, tendrement, me berçant comme un bébé et passant un linge humide et frais sur mon visage. Je vis son visage s'illuminer lorsque je repris conscience, et tentais de tendre une main vers lui pour lui rendre ses caresses, mais une douleur fulgurante dans mon épaule laissa mon geste en suspens.
Je lui demandais alors ce qui se passait, n'ayant qu'un vague souvenir de ce qui avait pu arriver.
Il me raconta alors qu'il était rentré avec ses voyageurs, pour entendre des bruits venant de la chambre, et qu'en y allant il m'avait trouvé sous Khaled, inconscient, pendant que celui-ci se déchaînait sur moi et en moi, me bourrant de coups pendant qu'il m'enculait comme un sauvage en m'insultant de tous les noms possibles.
Il l'avait alors dégagé, l'avait à moitié assommé pour le calmer, et l'avait descendu à la cave, nu, et enchaîné à un des anneaux qui étaient là au mur, en attendant de s'occuper "de ses fesses".
Son frère et son père étaient au courant de la situation entre nous, il les avait informés (sans bien sûr trop entrer dans les détails scabreux), et selon lui cela ne semblait leur poser aucun problème. En revanche ils se demandaient ce que Khaled venait faire dans l'histoire, et Amou leur avait alors expliqué qu'il devait être jaloux de notre relation, et qu'il avait sans doute voulu se venger d'avoir été délaissé. Ils étaient pour l'instant dans le salon, en train de prendre l'apéritif sans alcool que je leur avais préparé, après leur long voyage et s'être mis à l'aise et pris une douche pour se rafraîchir. Devant ma question muette, Amou m'informa qu'il était maintenant près de 21h00, et qu'il avait eu très peur en me voyant en si fâcheuse posture; il ne m'avait pas quitté depuis, et était vraiment très heureux que je sois enfin revenu à moi.
Je tentais de me rendre présentable du mieux que je pus, et, aidé de mon homme, je me rendis au salon pour faire connaissance de nos invités.
En arrivant, je crus que ma vue me jouait des tours, suite aux commotions que j'avais subies. J'avais devant mes yeux deux versions d'Amou: son père était un peu plus grand que lui, avec un visage que l'âge avait un peu marqué, tandis que son frère (de deux ans son aîné), semblait être une copie de lui-même. Tous les deux toutefois avaient le même corps d'athlète, et j'en venais à me demander d'ailleurs si, de fait, TOUT était si identique....
Les présentations faites, nous passâmes une très bonne soirée, détendue et amicale, parlant de tous les sujets qui nous passaient par la tête. A l'issue de celle-ci, le père d'Amou posa la question fatale: qu'allait-on faire du "salopard d'en bas"?
Je demandais alors à le voir, et en y allant je me demandais réellement ce qui avait pu lui passer par la tête.
J'en étais là de mes réflexions, quand le frère d'Amou fit remarquer que la punition la plus efficace serait toujours de lui "retourner la politesse". Les trois hommes se regardèrent alors avec un grand sourire et, réajustant ostensiblement leur paquet dans le pantalon, franchirent la porte et pénétrèrent dans la cave où notre "prisonnier" venait de passer quelques heures vraisemblablement très inconfortables à même le sol, nu, sans eau ni nourriture.
Xmale06
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