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HISTOIRE

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Agriculteur | Saison 24 | Identité

12 | Une vocation – Le récit de Cédric.

- « C’est ainsi que tout a commencé pour moi, presque malgré moi. »

Cédric vient d’achever le récit de sa rencontre avec son initiateur de médecin, il y a quelques années de cela. Pour autant, parce qu’il y a un instant, il m’a poussé dans mes retranchements, je veux lui rendre la monnaie de sa pièce.

- « Et maintenant ? »

Son rire silencieux fait rebondir son bidou. Il relève sa tête qu’il pose dans la paume de sa main, ouvrant devant moi la conque de son aisselle et emplissant mes narines d’effluves légèrement aigrelettes.

- « En rentrant chez moi, ce soir là, mes pieds ne touchent pas le sol, tant je suis euphorique. Dans le même temps, je suis terriblement anxieux de ne pas me montrer à la hauteur. Les heures qui me séparent du rendez-vous sont parmi les plus longues de ma vie. Je m’en souviens encore : nous sommes jeudi, il est dix-huit heures sonnantes ; dans ce couloir gris, j’hésite devant cette porte anonyme, je sonne puis, n’obtenant pas de réponse, j’ouvre avec ma clé, découvrant pas à pas un petit appartement sobrement meublé.

- « Cédric ? »

La porte est à peine refermée sur lui qu’il m’a déjà pris dans ses bras et m’embrasse comme un éperdu. Moi, j’embarque avec enthousiasme à nouveau avec lui pour des terres inconnues mais que j’imagine paradisiaques. Il me serre dans ses bras, me regarde en souriant largement, de la bouche et des yeux et je veux croire en sa joie de me retrouver parce qu’elle fait écho à la mienne.

- « Mon petit puceau … Viens ! »

Il m’entraîne jusqu’à la chambre, me colle au mur et m’embrasse à nouveau goulûment. Ses mains courent sur moi, me pétrissent, s’insinuent jusqu’à ma peau.

Il se détache une nouvelle fois, fait coulisser sa main à plat sous mes vêtements avec un grognement et des yeux brillants de conquistador ébloui qui me laissent incrédule. Moi le balourd, je ne me savais pas désirable.

- « Ne te crois pas dispensé de participer, petit puceau ! »

Puis, l’air canaille :

- « Je croyais avoir compris que tu aimes mes toisons. »

C’est moi qui ressoude avidement le baiser et mes mains entrent à leur tour en action pour rattraper mon retard, débouclant la ceinture, déboutonnant la chemise, plongeant les mains aux doigts écartés dans la prairie de son torse avec délectation. Je l’entends grommeler à part lui.

- « Au moins, toi, tu m’acceptes tel que Dame Nature m’a fait. »

C’est comme une discrète et indolore piqûre d’insecte qui, ensuite, marque longtemps d’une rougeur et dont la démangeaison persiste.

Mais je suis embarqué, bousculé, déshabillé et nous voilà dans le plus simple appareil, lui qui me caresse de toutes parts avec des murmures approbateurs, me fait tourner sur moi-même sous ses regards gourmands, m’ensevelit dans ses bras, sa bouche à mon oreille.

- « Sais-tu combien tu as une peau douce de bébé ? »

Mais nos dagues dressées qui s’entrechoquent me disent assez qu’il ne s’agit pas de jeux d’enfants. Il me pique de bisous, me fait allonger sur le lit puis il se place tête-bêche, empoigne ma queue et l’engloutit. Je ne suis pas en reste, nous rivalisons d’ardeur et je calque mes interventions sur les siennes, tentant de lui rendre suffocation pour suffocation.

Il me suce, me lèche, me chatouille de la pointe de sa langue puis, glissant sa main à l’intérieur de ma cuisse, la soulève et aspire soudain une couille comme on gobe une friandise. Les siennes sont couvertes d’un poil raide et rêche qui crisse étrangement sous ma langue. Voilà que sa main relève encore ma cuisse, sa tête se faufile, sa langue s’aventure le long de mon périnée. Il enroule mon rein et me bouffe le cul avec des ronflements de sanglier.

Je suis saisi, estomaqué par cette sensation délicieuse autant que par l’énorme transgression qui s’y attache encore à mes yeux à qui on a inculqué que « c’est sale ! ». J’hésite mais il écarte de lui-même sa cuisse comme un encouragement et cette liberté qui se révèle m’est une griserie, pour moi qui m’étais empêché jusqu’alors.

Dans son fouillis pileux, ma langue exploratrice rencontre son anus fripé que je déguste avec l’enthousiasme du débutant puis, rapidement, avec l’ardeur du converti jointe à l’application besogneuse du bon élève. Je le sens qui sursaute, qui s’interrompt, vagit et je suis heureux de parvenir à me montrer à la hauteur. Mais ses doigts entrent dans la danse, me détendent et je me languis d’accueillir sa bite en moi à la suite cet index qui me fore et m’ouvre en gigotant.

Cependant, il se redresse en appui sur un coude et me galoche puissamment. Il maintient ma tête d’une main épousant ma nuque et me couvre le visage de rapides traits de salive entre lesquels il commente, avec sa verdeur de carabin, rompu aux choses du biologique.

- « J’aime le goût de ton trou du cul, de ta bite, de tes humeurs, petit puceau. Comment pourrait-on soigner les corps si ce qu’ils expriment nous dégoûtait ? »

Et il replonge sa langue dans ma bouche pour la nouer à la mienne qui, après s’en être longtemps tenue éloignée, se découvre un goût immodéré pour ces échanges capiteux. Mais il étire le bras pour farfouiller en aveugle dans le chevet.

- « Regarde, petit puceau. »

Il rit.

- « La maison offre tous les accessoires indispensables. Avec ça, tout glisse au pays des merveilles. Tends tes doigts. »

Il dépose une large lampée de lubrifiant sur mes doigts joints puis bascule sur le côté, relève ma cuisse et asperge tout aussi généreusement ma raie. Son doigt s’introduit dans mon anus lentement, en vibrant imperceptiblement et j’en suis à nouveau suffoqué. Il rit, l’enfonce sèchement, ce qui me tire un cri.

- « Et toi alors, qu’est-ce que tu attends ? »

Je cale donc mes pas dans les siens, tentant de me montrer une fois encore digne de lui dans ce nouvel exercice. Comme l’avant veille, il agrémente son plaisant commerce de commentaires prosaïques, salaces ou médicaux, m’enjoignant, après qu’il m’a fait goûter à chacun de ses doigts, isolément ou en combinaisons variées, de lui en faire de même. Quand sa seconde main vient m’enduire la bite, je l’imite, lubrifiant la sienne, dans une posture de quasi vénération, tant j’ai hâte de renouer avec les transports qu’il m’a fait découvrir.

Aussi, quand il pirouette, s’écrase à plat ventre dans le matelas, glissant sous moi tandis qu’il m’attire sur lui en me tenant solidement par la bite, je ne prends conscience de ses intentions que lorsqu’il précise « va doucement » d’une voix plus basse. L’heureux lourdaud naïf que je suis ne peut que s’acquitter honorablement d’une manœuvre si bien engagée qu’elle ne me laisse ni le temps de m’alarmer, ni celui de battre en retraite, juste celui de m’emparer de la place. Je vais et je viens en lui qui relève sa croupe, se soutient sur ses genoux en tréteaux et soupire en rythme comme pour m’encourager. Il n’a d’ailleurs pas longtemps à le faire car je succombe rapidement à la douceur infinie et ajustée de son fourreau dans une longue plainte saccadée.

- « Vois-tu, étrangement, chaque fois que j’ai pensé à toi depuis nos ébats de mardi, j’avais d’abord l’envie de goûter à ta jolie queue … juste avant de te régaler avec la mienne. »

Il se tient à quatre pattes au dessus de moi qui suis étendu sur le côté, les bras en croix. A le regarder sourire, si lumineux, je n’en reviens pas de ma chance et je ne demande qu’à le suivre dans des emballements pour lesquels, après les avoir si délibérément ignorés, je me sens un vigoureux tropisme. Alors, oui ! Tout ce qu’il veut, comme il veut, autant qu’il veut ! Déjà, il ouvre mes jambes en ciseau et son doigt enduit de gel vient m’éperonner. Je bloque ma respiration puis lui lance, éperdu.

- « Quel doigt ? »

- « Toujours l’index en premier ! Pourquoi ? »

- « J’en veux deux. »

Son sourire s’élargit à droite tandis qu’il s’exécute avec précaution, puis il joue de cette paire, attentif à la moindre de mes crispations. Mais je suis déterminé et impatient, je veux plus.

Voilà qu’il dénie de la tête et, à ses gestes, je devine qu’il s’apprête maintenant à m’embrocher de son mandrin impérial. Une de ses mains le soutient, l’autre relève et étire ma fesse. Je perçois la pression sur mon sphincter qui se dilate souplement, s’entrouvre et, soudain, m’étreint une appréhension pour la suite, pour la douleur fulgurante qui ne va pas manquer. Mais il suspend sa glissade, incline son buste velu vers moi, m’impose sa grosse langue lourde qui m’envahit à m’étouffer, je veux protester.

Puis il se redresse dans une cambrure triomphante, en prenant appui sur mon bassin qu’il fait basculer et que ses cuisses encadrent. Il articule alors silencieusement « te voilà enculé » et, au même moment, une onde de chaleur remonte en moi. Il est en moi, je le sais, je le sens vibrer et, déjà, amorcer de petits va et vient. Je respire, je l’accueille, le fête, la bouche ouverte, le souffle profond, les yeux écarquillés. Il en profite, me renverse, me tire à lui, relève mes cuisses, rabat sa queue pour l’aligner, se laisse choir lourdement en m’enfilant d’un trait qui expulse tout l’air de mes poumons. J’en reprends une grande goulée et noue mes pieds dans ses reins, ses coudes m’encadrent, mes bras l’enlacent, il me galoche et entame des aller-retour qui claquent sur mon cul que je m’efforce d’aplanir pour ne rien perdre de ses semonces qui m’ébranlent jusqu’au cerveau. J’en suffoque, troublé. Ses yeux me percent.

- « Dis-le moi ! »

- « J’aime comme tu m’encules. »

Il me décoche quelques coups de boutoir qui me font merveilleusement perdre le nord puis il insiste.

- « Répète encore. »

- « Oui, baise-moi, s’il te plaît. C’est bon. »

Il me tire hors du lit, me place debout, l’épaule droite au mur où s’écrase mon profil, sa main guide sa pine dont mon cul pleurait déjà le retrait et qu’elle comble en me ravissant, sa main droite dans mes cheveux tire ma tête vers l’arrière, tend mon cou qu’il lèche et ça m’aide à respirer, la gauche fait rouler ma hanche d’avant en arrière selon l’angle sous lequel il choisit de débouler, pour permettre un accord plus complet, plus étroit et, pliant sur ses cuisses, il balance régulièrement son bassin, d’un mouvement puissant mais retenu, il contrôle avec assurance et la morgue surplombante de celui qui sait qu’il dispense le plaisir, encore et encore. Je fonds, je gémis, il réclame, je cède, il exige, je me creuse pour l’engloutir, le gainer, m’ajuster, il se hisse sur ses ergots, je bande à demi de me faire besogner de la sorte alors je me branle frénétiquement, je halète, il se précipite, je jouis dans un frisson, il se plante en moi, rugissant, secoué de spasmes.

Je ne sais ce qui m’inspire alors. Je le soutiens et le dépose à demi étourdi sur le lit, me serre contre lui, pour capter ses odeurs, sa chaleur. Je me plie pour venir téter la larme scintillante qui enfle sur son méat et, à effleurer ce gland encore chaud qui m’a dispensé tant d’éblouissements, je me prends à le lécher, ensuite à le sucer, délicatement d’abord, puis avec de plus en plus d’entrain. Ma main fait rouler ses couilles et mon doigt glisse dans sa raie, plus avant, encore, s’insinue et progresse en lui. Il rebande comme au meilleur de sa forme et ses mains guident ma tête qui va et vient le long de sa queue tandis que mon index le lime lentement. J’entends monter ses râles et ils me réjouissent comme autant de victoires chèrement acquises et que j’attribue, sans mégoter, à une science innée, bien qu’elle soit toute neuve.

Moi, qui avant-hier encore voulait tout ignorer des plaisirs de la chair, voilà qu’à l’évidence, je cède à la plus débridée des luxures et que j’en prodigue à mon tour, avec un certain succès, qui plus est à un mec d’expérience.

Soudain, ses deux mains me bloquent et m’attirent à lui, me placent le front blotti dans le creux de son épaule, sa bouche à mon oreille, ses mains courent sur moi, légères, aimables et je suis secoué de frissons irrépressibles sous l’évidence de sa tendresse. Sa langue envahit mon pavillon, ses lèvres le happent, ses dents le mordillent, le cartilage froissé crisse à mon oreille.

- « Dis-moi, petit puceau, on dirait que tu t’es découvert une vocation. »

Entre deux hoquets, je trouve la ressource d’opiner du bonnet et il rit, d’un joyeux rire d’ogre.

- « Alors, continue ! Suce-moi la bite, lèche-moi le fion, fiche-moi un doigt … ou deux ! Ça me fait bander comme un cerf et me prépare à faire ensuite la fête à ton joli cul lisse et profond, à la peau si douce. »

Sa main vient épouser ma nuque et il ramène mon visage face au sien, sa langue passe sur sa lèvre inférieure qui luit et je défaille déjà à demi à deviner ce qui va suivre.

- « Embrassons-nous, petit puceau, mélangeons nos goûts. »

Il ferme ses paupières, s’incline vers moi mais, le voilà qui sursaute, son regard file sur le côté, se fige.

- « Merde, j’ai promis de rentrer de bonne heure. »

Immédiatement, je retrouve le médecin aux yeux de glace, celui qui décide, tranche, distribue, assène. Puis à nouveau, il se tourne vers moi et la banquise fond.

- « Je crois qu’on a encore un tas de choses agréables à se dire, toi et moi, si tu veux bien ... »

La coupe de sa paume englobe ma joue de sa chaleur et je ne dis rien, je lutte contre le vide qui se fait lentement en moi. Mais son sourire s’étire, s’affine et il conclue.

- « Oui, je crois que tu veux bien ! »

Il saute du lit, file dans la salle d’eau. La porte de la cabine de douche claque.

- « Cédric ! »

Je me lève et avance jusqu’à l’encadrement, il entrebâille la porte dépolie au travers de quoi je contemple sa silhouette pour en peupler ma nuit.

- « Si besoin, tu apportes les draps et les serviettes à la blanchisserie du coin de la rue, j’ai un compte. On se retrouve demain au cabinet à l’heure du déjeuner ? »

Puis il s’asperge de gel douche qu’il fait mousser en se frictionnant énergiquement. A le regarder s’activer, je suis gagné peu à peu par son énergie. Je viens de faire une découverte, elle est extraordinaire et je suis bien déterminé à en profiter, à m’en repaître, à m’en goinfrer.

Il sort de la cabine, se sèche, se rhabille, efficace, concentré sur lui-même. Soudain, il se tourne vers moi, index pointé.

- « Ton DEI*, j’espère que c’est dans la poche ! Tu ne me fais pas cet affront, s’il te plaît. »

Il pince mon téton entre deux doigts, pique mes lèvres d’un bisou sec et, hop ! La porte flanque. Il s’est envolé.

Je reste quelques minutes immobile à me rassembler après ce flot d’émotions, à revisionner ce que je viens de vivre, réfléchir à ce que je viens d’entendre, de comprendre. Quand je me remets en mouvement, je ne suis plus le même homme. »

* DEI Diplôme d’État d’Infirmier

« Y avait combien de temps qu’on voulait voir la mer ?/ il n’était pas besoin d’un si gros subterfuge/ avec toi, le déluge »

Amical72

amical072@gmail.com

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