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HISTOIRE

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Agriculteur | Saison 24 | Identité

9 | Pour la suite – Le récit de Julien.

Cédric bondit et retombe, le dos à l’horizontale, à quatre pattes sur le lit à mon côté. Il retourne la tête vers moi qui me suis simplement soulevé sur un coude et il m’interpelle d’un coup de menton silencieux. Je lui réponds de même, avec un demi-sourire.
Ce sont nos yeux qui se parlent, les siens pétillent de malice et de confiance. Il lance son bras droit vers l’arrière, sa main agrippe sa fesse, ses doigts s’y impriment en auréoles blanchies et l’écartent, entrebâillant sa fissure plus sombre tandis qu’il papillonne un instant des paupières.
Je glisse sur le drap, étire mon cou et, mes yeux plongés dans les siens, mes lèvres effleurant les siennes à chaque mot prononcé, je murmure :
- « Répète un peu ta proposition, pour voir. »
- « Bouffe-moi le cul … s’il te plaît ! »
Je lève le bras et fais courir le bout de mes doigts sur la peau douce de son dos en direction de son plantureux postérieur mais le bras se révèle trop court, mon intention échoue dans ses reins où ma main s’écrase, bredouille. J’éteins l’éclat de ma prunelle et darde ma langue qui vient faire clapoter ses lèvres entrouvertes sur ses dents.
- « Tu trouves sans doute que ma précédente prestation n’était pas assez … plaisante ? »
Il lève un instant les yeux au ciel.
- « Au contraire ! Mais je n’ai pas eu le temps d’être absolument convaincu … et je voudrais m’assurer que c’est un véritable savoir faire et non l’heureux hasard d’une inspiration passagère. »
Il sourit, en carnassier fier de sa parade, lèche mes lèvres d’un rapide coup de langue dont l’extrémité accroche ma narine et s’y invite brièvement. D’abord réticent à ce contact peu orthodoxe, rapidement, je me vois aiguillonné par cette audace. Il reprend, directif.
- « Alors, bouffe-moi le cul, plus vite que ça. »
Je réplique d’une moue dilatoire.
- « Et que m’offres-tu en guise de gratification ? »
Il écrase ses lèvres sur les miennes, la pointe de sa langue fait une brève incursion, souple, fraîche mais, au final, frustrante car aussitôt, il s’écarte et sourit.
- « Je t’offre de profiter de mes talents de suceur de bite. »
- « Que la bite ? »
Il a un rire de gorge.
- « Non ! Les couilles aussi. »
- « C’est tout ? »
Je devine à son temps d’arrêt que je l’ai décontenancé, bousculé dans ses attentes déjà strictement définies.
- « Le fion aussi, si tu veux », hasarde-t-il.
Puis il poursuit : « Tuuuu … ? », le sourcil relevé, incertain.
Je me suis rapproché de lui, j’ai basculé la tête pour l’embrasser mais auparavant, je précise.
- « Me faire lécher le cul me fait bander plus dur ; pour la suite, on en discutera … plus tard. »
Pendant que nos langues se mélangent dans un brassage programme pour tissus délicats, nos mains s’emparent chacune de l’objet convoité. Si la sienne entoure ma hampe avec les précautions émerveillées d’un enfant de chœur porteur du cierge pascal, la mienne s’aventure sans façons dans sa grenade éclatée, se précipite jusqu’à rencontrer sous mes doigts cette légère boursouflure soyeuse et palpitante dont le contact retient ma respiration comme lorsqu’après avoir déchiré le papier d’emballage, on s’apprête à soulever, avec le couvercle, le dernier obstacle qui nous révélera le cadeau espéré.
Quand nos lèvres se séparent, ma main retient sa mandibule, pour garder sa bouche à portée, pour encore balancer entre ces baisers échevelés et la suite qui …
- « Putain, on est VRAIMENT des pédés mais qu’est-ce que j’aime ça ! »
Cédric rit.
- « Te souviens-tu de La Grande Vadrouille ? Pendant la deuxième guerre mondiale, la mère supérieure ouvre les rideaux du lit d’hôpital où un anglais, qu’elle prend pour un malade, a été caché. Elle lui trouve mauvaise mine, elle examine alors sa langue, ses yeux, comprime rudement son foie et lui dit : « Vous aimez bien tout ce qui est bon ...» L’anglais opine du chef avec un air gourmand et elle lui rétorque abruptement : « c’est TRÈS MAUVAIS ! *»
- « Hmmmm ! »
J’ai poussé un gémissement à fendre l’âme et je le regarde, sourcils froncés et air penaud.
- « Oui ! Arrêtons tout ça ! L’usage délibéré des fonctions reproductives à des fins de luxure est un péché mortel que l’Église réprouve parce qu’il détourne ces fonctions de leur finalité première, la procréation, pour égarer le pécheur vers la jouissance et le plaisir stérile. C’est TRÈS grave, je t’assure, Cédric. »*²
Il adopte un air pensif puis opine du chef.
- « Tu as raison ! Adoptons une saine résolution ; donnons-nous le reste de la nuit pour nous en convaincre afin d’entamer notre abstinence avec une détermination absolument inébranlable.
Il roule sur moi dans un éclat de rire et nous nous emmêlons bras en jambes dans une grande confusion joueuse jusqu’à ce que … Je m’agrippe à lui et saisis son oreille entre mes dents, ce pavillon délicatement ourlé qui a cristallisé mon intérêt pour lui. Je le pince, assez fort pour qu’il proteste et tente de m’échapper. Mais je ne le libère que pour lui souffler.
- « La seule promesse que j’accepte de faire est de me consacrer si fort à te bouffer le cul que je réveille l’ogre en toi et que tu n’auras de cesse qu’il n’ait impitoyablement dévoré ma bite. »
D’un effort, je le renverse et le replace, avec son aide la plus docile, dans la posture qu’il avait de prime adoptée, en appui sur ses coudes et ses genoux, cuisses ouvertes. Une de mes mains lisse la peau de son dos, souligne l’accolade de sa croupe puissante, qu’elle flatte en maquignon averti pendant qu’avec l’autre, le bout de mes doigts parcourt ce qui se dévoile à mes yeux : ces opulentes rondeurs laiteuses, cette fissure à la carnation un soupçon plus foncée, ces deux lignes de courts poils clairs qui s’échappent d’un toupet, derrière ses couilles pour s’immiscer dans cet espace secret qui m’est révélé et dessiner une orbe autour de son œillet plissé presque brun, légèrement turgescent, infiniment doux et tiède vers lequel je mandate ma langue pointée en ambassade alors que le creuset de ma paume recueille avec précaution ses boules pendantes.
Au premier contact, il s’est tendu et a gémi, me chassant quelques secondes.
Le temps d’affermir mes prises pour cadrer ce gros cul d’homme puis je me jette, au centre, sur cette corolle qui ne demande qu’à s’épanouir. J’y écrase une large langue grasse pour la détremper puis j’use de tous ses sortilèges pour la détendre, fouaillant du mufle, grognant comme un soudard, respirant à grandes goulées avant de replonger en apnée alors qu’il gigote et se tortille en geignant. Mon pouce rapidement enduit de salive s’y fiche, contraignant les autres doigts en griffes à étirer ses couilles vers l’arrière, et je le fais asseoir sur cet éperon frétillant qu’il ingurgite cérémonieusement dans un soupir repu.
Je me redresse à genoux, ma bite brandie en étrave et il acquiesce d’un signe de tête. Je roule sur le lit, abdiquant toute volonté. Il me suce en mécanique irrésistible, aspire mes couilles, l’une après l’autre ce qui me suffoque comme chaque fois, revient longuement lécher ma hampe puis écarte mes cuisses, relève une de mes jambes à la verticale et pousse sa langue frétillante dans le fouillis pileux. Et il trouve. Sa lècherie souple et soyeuse me fait immédiatement lâcher prise … et me mobilise en même temps. Il tapote mon fion verrouillé du plat de son doigt puis revient me sucer le zob, l’enduire d’une salive épaisse, l’avalant aussi profondément qu’il peut, il s’en tambourine la joue puis replonge en basculant pour l’engloutir jusqu’au réflexe de renvoi.
D’un coup, il relève ses yeux dans les miens, tend le bras vers le chevet, en ramène un étui qu’il déchire et me capote alors que je le regarde faire, les épaules soulevées sur mes deux coudes. Après un jet de lubrifiant dont il m’enduit des deux mains, en torsions sidérantes, il me convoque d’un signe de tête et saute au bas du lit.
Cassé en deux, les jambes en triangle, le haut du buste enfoncé dans le matelas, il m’attend.
Je me glisse hors de la couche, me redresse sans me précipiter. Les oscillations de ma bite lourde et battante, comprimée par sa fine pellicule de latex résonnent jusque dans mes oreilles. Je m’approche, guide mon dard qui se niche et il s’enfonce facilement en coulissant dans ce gros cul blanc qui râle. Un simple essai, un aller retour sans escale et, de nouveau, ce lourd balancement.
Je le soutiens tout en fixant la cible de l’autre main et, encore, cette glissade souple, cet étui soyeux et exactement ajusté, cette voix qui murmure crescendo la satisfaction de se voir complétée puis le sanglot du vide au retrait. Sans attendre, je replonge, d’un simple basculement du corps vers l’avant avec, à nouveau, ce lent glissement si fluide qu’il est presqu’anodin, ce discret réglage réciproque et, pourtant, étourdissant qui se conclue par cet irrépressible coup de rein sec, cette détente atavique qui nous soude, son « oui » rugi.
Nous reprenons souffle puis Cédric se redresse en prenant appui sur ses coudes alors que, de mes deux mains acérées fichées dans ses hanches, je veille à ce qu’il n’échappe pas à mon balancement, surtout, qu’il ne m’exile pas loin de ce paradis de douceur qui ondule et me berce à m’envoûter.
Pourtant.
Il pivote vivement et m’arrache soudain à lui. Comme deux naufragés, nous nous empoignons avidement, tels des désespérés, certains que notre salut dépend de notre entente. Il tombe sur le dos et, dans un vigoureux effort, relève ses lourdes cuisses ouvertes en V majuscule. Ma baïonnette à la main, je piétine d’impatience, bien déterminé à la ficher, impitoyablement, dans la moindre ouverture, comme si ma vie en dépendait mais dés que je retrouve la passe qui s’offre, ce léger serrement m’indiquant que la porte m’est ouverte, dés que j’en ai franchi le seuil, lui signifiant que je reviens l’armer de ma tringle qui le comble, un sourire ravi et complice nous réunit et nous immobilise. Soudés.
Un instant, le temps d’un échange de regards qui nous persuade de la réalité de cette étreinte, de notre ivresse commune, celui de nous contempler, lui enroulant son rein, sa main aux doigts joints aplatissant ses parties, les étirant vers le haut et se contorsionnant pour tenter d’apercevoir ma bite dans sa livrée glauque qui dilate son trou du cul où elle se plante pour servir son impérieux désir.
Car il m’appelle en lui, ses tripes m’aspirent, me dévorent.
- « Branle-toi ! Je baise avec un mec. »
Je tombe à moitié accroupi, choisissant de déserter un court instant le palais de tous les délices pour le prendre en bouche comme un sauveteur espérant déclencher un réflexe de survie, avant d’accourir pour revenir à ma place, bien me caler en lui, dans ses profondeurs rassurantes, originelles dont personne ne saurait me chasser. Voilà son poignet qui s’agite, sa respiration qui s’accélère. Bien ! J’aime le voir se débattre, partagé entre les sources de plaisir, en être un des instruments en même temps qu’une des causes. J’aime qu’il perde toute mesure, qu’il me supplie de le crucifier puis me congédie à la seconde suivante où une vague le submerge et le suffoque, j’aime qu’il me traite de « salaud » quand il reprend pied, qu’il réclame de « vraies » émotions, en appelle à mobiliser ma virilité dont il doute et me mette au défi de me surpasser.
On peut lâcher la bride de la bête parce qu’on est tous deux assurés que chacun sait la reprendre pour la contenir. Mais ce n’est pas là l’essentiel.
Car nous revenons à la tendresse.
Dans la position des cuillers qui, tour à tour, s’imbriquent étroitement ou se chevauchent, bras et jambes tricotés, crochetés, bouches soudées par le baiser, grandes ouvertes pour éviter la suffocation ou consacrées à des litanies de « oui », d’encouragement, d’instante prière en réponse à mes feintes inquiétudes ou à ses crispations tout autant imaginaires, les mains qui palpent, soutiennent, irritent ou caressent, dans l’attention permanente à l’autre, à ses montées vertigineuses, pour le retenir aux rives de l’extase, l’en distraire par quelque diversion qui l’en détourne et s’abandonner ensuite à ses injonctions pour se laisser guider sur un long chemin, tortueux, accidenté, inattendu … jusqu’au hoquet, au soubresaut, le suivant s’activant frénétiquement pour ne pas être en reste.
Nous retombons côte à côte sur le matelas, empourprés, haletants mais riant d’être restés complices, ensemble jusque dans une jouissance partagée.
Mon doigt en strigile vient racler une des larmes dont il s’est aspergé puis la dépose sur ma langue et je m’incline vers lui pour le galocher. Comme je le présumais, il me répond avec un tel empressement qu’il me renverse sur le dos. Abusant de sa position, il se détache et se place en surplomb. A l’aveugle, sa main débarrasse ma bite molle de sa pendeloque de latex et il plonge pour me suçoter le gland, un frisson court le long de mon échine.
Mais le renard ne s’en tient pas là.
Il abuse de cet instant d’égarement pour soulever ma cuisse, enrouler mon bassin et plonger pour me bouffer goulûment le cul à son tour. Hmmm ! Et c’est délicieux.
Il cesse, remonte vers moi, je souris déjà de reconnaissance en voyant apparaître son regard de canaille.
Soudain, son doigt m’embroche souverainement et, le salaud ! il fait mouche, dans un éclair aveuglant qui me soulève dans un cri. Je retombe, le souffle court, les yeux écarquillés, estomaqué. Je n’ai qu’un réflexe :
- « Voyou ! »
Il rit, faussement candide.
- « Je n’ai fait que suivre ton exemple. »
En toute franchise, je ne peux absolument rien objecter. Il pique mes lèvres d’un bisou, se blottit tout contre moi, remonte la couette et la rabat par dessus nos têtes.
- « Et maintenant si tu me disais ... »
« Vous aimez bien tout ce qui est bon ! » « ... » « C’est TRÈS mauvais ! » La mère supérieure /Mary Marquet découvrant sir Réginald / Terry Thomas alité in La Grande Vadrouille
*² Ce sermon que l’auteur Nicolas Lebel prête à un prêtre catholique est extrait de la page 151 de son roman policier « de cauchemar et de feu » paru en Livre de Poche en mai 2018.

Amical72

amical072@gmail.com

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