Chapitre-1
Après quelques expériences sexuelles plutôt satisfaisantes et intense comme passif soumis, j'avais conscience que je prenais pas pleinement les choses en main.
En effet, j'étais jeune et un peu honteux de mes envies gays. Aussi pour que je passe à l'acte, il fallait à chaque fois que l'excitation prenne le pas sur la peur, peur d'être reconnu, peur de trop aimer, peur d'assumer tout simplement. Être soumis me permettait de nier mes envies viscérales et de me cacher derrière les envies du domi pour justifier à mes propres yeux le fait d'avoir accepté telle ou telle pratique. Aussi, je souhaitais profiter des premières chaleurs estivales pour essayer d'avancer sur ces questions : je voulais pouvoir être désirable et désiré en dehors de mes périodes de chaleur. Je décidais donc de me rendre à une crique située à une vingtaine de minutes de chez moi, réputée pour être un lieu de drague.
Une fois mon 125 garé en haut du sentier, j'entrepris la ballade dans la garrigue qui devait me mener à cette fameuse crique. Tout autant stressé qu'excité, j'avais décidé d'enfiler avant de partir un maillot de bain string sous mon short, dans la perspective d'avoir une petite marque de bronzage qui allait souligner mon côté salope encore non pleinement assumé.
Je sentais la ficelle frotter contre ma rondelle à mesure que je descendais le chemin, sous une chaleur importante, et c'est avec soulagement que je débarquais sur la crique avec la perspective d'une baignade imminente. Dotée de hautes parois rocheuses sur les côtés, la crique n'offrait pas de vis à vis en dehors des 7 mecs déjà présents et dénudés en train de se tanner sur leurs serviettes. Je commençais à comprendre pourquoi ce coin était idéal pour la drague car discret pour ne pas dire intimiste.
Une fois ma serviette étendue, mon livre sorti et après un coup d’œil alentours, j'enlevais prestement mon débardeur et mon short pour me retrouver en string et aller d'un pas faussement assuré vers la Méditerranée. Jeune, sportif, d’apparence virile, j'avais souvent surpris sur les réseaux par mon côté salope soumise qui tranchait avec l'impression première que je pouvais laisser. Aussi en dandinant mon cul en string dans le sable jusqu'à l'eau, j'étais à peu près sûr d'avoir attiré les regards des mecs présents et peut-être suscité quelques questions ou envies.
Étonnamment, je passais une heure trente assez calme, entre baignades rafraîchissantes et plongées passionnantes dans ma lecture du moment, sans intervention de personne. Jusqu'à ce qu'un quinqua, une trentaine d'année de plus que moi, bien foutu, viril et présentant une demi-molle assez ostensible se pointe et s'installe assis, jambes bien écartés, en tête de serviette. Alors allongé sur le ventre, je relevais légèrement le cou pour le regarder et ne pouvait manquer de faire de l’œil à son engin, à quelques dizaines de centimètres de ma bouche.
Il lança la discussion sans ambages : "Aaaaah, c'est pour ça que je viens sur cette plage, pour voir des petits mecs dans ton genre !". Intrigué, je lui demandais ce qu'il entendais par mon "genre". D'un sourire entendu, il m'invita à regarder autour de moi sur la plage, constater l'âge avancé des baigneurs et lâcha : "Un petit mec comme toi qui vient exhiber son beau p'tit cul en string sur une plage de daddys, on sait ce qu'il est : une petite salope qui veut se faire enculer à fond."
Décontenancé et avec l'impression désagréable d'être simultanément mal jugé mais percé à jour, je lui répondis que tous les petits jeunes qui venaient bronzer en string n'avaient pas forcément envie de se faire sauter. Il éclata de rire comme si j'avais joué d'un humour subtil et, accompagné d'un nouveau clin d’œil, ajouta qu'effectivement, certains privilégiaient peut-être l'envie de prendre une bonne queue de mâle en bouche. Et pour appuyer son propos, il se pencha soudainement en avant pour me palper les fesses et les claquer d'une main ferme, son gland se retrouvant désormais très, très proche de ma bouche.
Lorsqu'il repris sa position, je constatais que sa queue durcissait et sentais que la mienne faisait de même. Je jetais un œil à droite puis à gauche pour constater que les mecs présents regardaient tous tranquillement depuis leur serviette, attendant de me voir passer à la casserole. J'émis l'idée que nous pourrions trouver un coin tranquille, nouveau rire à gorge déployée. Où veux tu aller, me dit-il, il n'y a nul part où se cacher et puis après avoir titillé toute la plage en promenant ton cul en string, tu peux bien leur offrir leur plaisir de te regarder te faire enculer jusqu'aux couilles et couiner comme une salope, car ce qu'aiment les mecs comme toi.
Je sentais ma queue compressée dans mon string contre le sable et, sous l'effet de ses mots crus et de sa virilité, je me mis sur les coudes et m'avançais quelque peu sur ma serviette pour venir accueillir son gland sur ma langue. Rapidement, il prit les choses en main, en m'appuyant sur la tête, en me claquant les fesses et glissant ses doigts sous la ficelle de mon string pour les enfoncer dans mon trou tout excité, en étant particulièrement verbal et cru dans ses paroles. Je ne savais pourquoi, mais il me rendait complètement chienne, j'avais envie d'être sa chose et de le laisser disposer pleinement de moi. Aussi quand il s'est levé pour passer derrière moi, qu'il m'a tiré les fesses en arrière pour me retrouver tête au sol et sur les genoux, je n'ai trouvé d'autre à dire que "défonce-moi".
Il ne s'en est pas privé : sa queue bien lubrifiée par la pipe baveuse dont je l'avais gratifié, doublée de mon trou excité et ouvert par ses gros doigts, les conditions étaient remplies pour une entrée en force, m'arrachant un cri qui aurait convaincu les mecs ne regardant pas (s'il y en avait) de lever les yeux vers la scène. Immédiatement, il entreprit de mettre du rythme en me tenant par les hanches, multipliant les crachats à destination de mon trou pour continuer de lubrifier et rapidement, je sentis ses couilles battre contre mon scrotum : il était entré jusqu'au bout.
D'un coup sec, il me tira la tête en arrière en attrapant ma queue de cheval, me faisant lâcher un autre gémissement et acceléra le rythme. Il me démontait sans aucun ménagement ni attention à mon plaisir, je sentais mes jambes flageoler et je craignais à tout instant de retomber à plat ventre en n'arrivant plus à encaisser. Mais il me tenait fermement et ses petites piques régulières à base de "voilà, c'est comme ça qu'on baise une petite salope comme toi" m'excitaient autant qu'elles me piquaient dans mon orgueil. Aussi, quand visiblement fatigué il m'a soudainement lâché me laissant retomber comme une poupée de chiffe molle sur ma serviette, je me tournais doucement vers lui. Constatant sa fatigue, largement explicable au vu du contexte (âge, chaleur,...), j'entrepris à mon tour de le piquer : "c'est tout ce que tu as ?".
Ni une ni deux, il me répondit tu vas voir, m'écarta les jambes alors que j’étais toujours allongé face au sol, me mit la main sur la tête et se présenta au dessus de moi. Il m'encula sans ménagement aucun, sa queue rentrant sans effort et, la tête toujours écrasée entre la serviette et sa main, je gémissais sans plus aucune pudeur, plus aucune attention au monde environnant et après quelques minutes de ce traitement, je le sentis se raidir et m'écraser encore plus la tête : son sperme se mit à jaillir abondamment alors qu'il imprimait quelques derniers coups de hanche puissants.
Il pris son temps pour sortir de mon trou et sans dire mot, il se leva et retourna vers ses affaires. Ce fut le moment où je constatais que les mecs présents, qui étaient une dizaine au total, n'avaient pas manqué le spectacle, certains se masturbant tranquillement. D'autres s'étaient même rapprochés pendant l'acte avec leur serviette pour avoir un meilleur point de vue. Je n'avais rien remarqué dans l'action, mais maintenant que je me retrouvais avec du sable sur la gueule, les cheveux ébouriffés, les fesses rouges et le trou dégoulinant, je me sentais un peu honteux. Je vis mon baiseur prendre ses affaires et quitter la crique sans même un regard, je compris que je n'avais été qu'un vide couille pour lui. J'entrepris alors de prendre mon courage à deux mains et d'aller dans l'eau me débrouiller, me rafraîchir et laisser le sperme de mon baiseur s'évacuer...
Lopeendevenir
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