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HISTOIRE

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Premier épisode

Minitel

Chapitre-2 | En Forêt

Hier, j'ai eu une de mes meilleures rencontres.
Un truc formidable grâce au Minitel. Pourtant cela fait pas mal de temps que je pianote sur ce foutu engin pour satisfaire mes fantasmes. Je dépense des fortunes en communication téléphonique avec plus ou moins de bonheur.
Mais si on additionne toutes mes rencontres au fil des ans, J'ai quand même eu pas mal d'expériences. Certaines vraiment très intéressantes. Et bien sûr, pas mal de décevantes. Mais aucune, n'a été aussi extraordinaire que celle que j'ai vécue récemment et que je veux vous raconter.
C'était il y a à peu près trois mois. J'étais seul à la maison avec une envie bien connue qui me taraudait le ventre. Je me suis branché sur mon serveur habituel pour nouer des contacts. J'étais dessus depuis à peine cinq minutes que, moi le mec marié de quarante ans, j'ai été contacté par un jeune homme de vingt ans qui a accepté tout de suite de me recevoir chez lui.
J'étais en contact et invité par un mec de vingt balais et cela semblait sérieux !
Les habitués du Minitel diront que c'est un miracle. Et c'est vrai, à tel point que je croyais avoir encore affaire à un rigolo qui prenait ses désirs pour la réalité et qui fantasmait à travers le petit écran. J'ai quand même répondu à ses questions en attendant d'autres contacts hypothétiques.
- T'es comment ?
- Brun, 1M70 73KG, poilu BCBG, hyper discret, cool.
- T'aime quoi ?
- Tout sans traces.
- T'es endurant ?
- Je crois oui
- T'as eu beaucoup d’expériences ?
- Assez
- T'es réellement soumis ?
- Oui
- Même si c'est un peu dur
- Je pense oui, mais pas de traces sur le corps
- OK, pas de traces, à part du sperme
- OK pour du sperme
- T'es libre Now ?
- Oui
- Tu peux me tel Now ?
- Oui sans problème
- Ok appelle maintenant au . . . . Ok ?
- Ok Prénom ?
- Denis et toi ?
- Vincent
- Je coupe. Appelle tout de suite S.T.P.
Je coupe vite mon Minitel, et je m'empresse de téléphoner. J’étais à peu près certain de tomber sur un mauvais numéro. C’est toujours le risque, rare sont les mecs qui donnent leurs fixes. A l’époque pas de portable
Mais non ! Ça sonne, il décroche. C'est lui, et en plus il me confirme le contact en répétant mon pseudo : BISOUMISREEL
Un vrai miracle je vous dis. Mais cela n'a pas été le seul.
Il m'a donné son adresse après un échange téléphonique assez bref au cours duquel je lui ai confirmé mon physique et ma soumission réelle. Il m'a précisé qu'il aura besoin de moi une bonne partie de l'après-midi. J'ai accepté sans aucun problème.
Il a ajouté avant de couper la communication qu'il voulait que je sois uniquement vêtu d'un jogging et en baskets sans rien d'autre. Même pas de chaussettes. C'est lui qui a raccroché le premier en me précisant qu'il avait le matériel nécessaire et que je n'avais besoin d'amener ni des capotes, ni du gel.
- T'amènes uniquement ton petit cul de salope bien clean et ta bouche de suceuse.
Sans attendre, je me suis fait un bon lavement et me suis vêtu comme il me l'avait ordonné, sans slip, ni chaussettes, ni même un polo. Juste mon jogging bleu et mes baskets.
Vingt minutes plus tard, le cœur battant je sonnais à sa porte. J'avais trouvé le chemin sans problème. Il m'avait bien expliqué la route et ce n'était vraiment pas loin de chez moi.
Il m'a ouvert. Nous nous sommes regardés. Il n'avait pas menti. Il avait bien la vingtaine, était beau, grand, mince. Bref un rêve pour un mec comme moi. Il m'a toisé sur le pas de la porte pendant quelques secondes.
J'attendais son verdict en espérant qu'il ne me renverrait pas.
Je suis loin d'être un canon de beauté.
Par expérience, je sais que les premières secondes de la rencontre sont décisives pour les deux inconnus qui se voient pour la première fois. C'est à ce moment que l'on décide de continuer ou non.
Je lui ai souri timidement en baissant les yeux.
Il s'est effacé et m'a fait signe d'entrer. J'ai avancé en passant devant lui, il m’a donné une tape sur le cul avant de refermer la porte.
La pièce était grande. C'était un studio avec un coin cuisine, un canapé ouvert contre un des murs avec des draps froissés dessus, un ensemble télé, hifi dernier cri et une bibliothèque surchargée de bouquins de toutes sortes et de cassettes vidéo.
Cela ressemblait à un studio d'étudiant. Ou de professeur.
Je ne lui ai rien demandé. La pièce était un peu enfumée. Cela sentait une odeur caractéristique que je n'avais plus humée depuis mes années de fac.
Il clopait en me regardant. Je restais au milieu de la pièce, sans broncher, le regard fixé sur la bibliothèque attendant son bon vouloir. La musique était assez forte. La télé marchait sans le son. Il portait un short et un tee-shirt de basket très long. Un beau gabarit de sportif. Le corps fin et quand même musclé, bronzé.
Une belle bête quoi.
Je me demandais pourquoi, il voulait un mec comme moi alors qu'il aurait pu avoir sans aucun problème un mec de son âge et au moins aussi beau que lui. Ses jambes étaient poilues, il avait les cheveux assez courts, châtains et il n'était pas rasé de plusieurs jours.
Sans aucun préambule, il a baissé son short, s'en est débarrassé et s'est approché de moi. Le tee-shirt lui arrivé au bas de fesses et cachait sa bite. Il était plus grand que moi et me dépassait d'une bonne tête. Une de ses mains m'a saisi à la nuque et a appuyé.
- Fais ton taf.
J'ai tout de suite compris ce qu'il attendait de moi et je me suis agenouillé devant lui. Rapidité d'action de la jeunesse qui ne s'encombre d'aucun préjugé ni d'aucune fioriture.
Il a relevé son tee-shirt et s'en est débarrassé. Sa bite était belle, épaisse à la base avec des grosses couilles bien dures, déjà décalottée, juste devant mon visage. J'ai obéi sans un mot à sa demande silencieuse et Je me suis mis à le sucer. Je léchais et branlais une belle tige assez longue, et épaisse à moitié au repos. Je commençais à la sucer avec délectation. Elle sentait bon le savon. Il avait certainement pris une douche en m'attendant.
Je gobais les couilles velues, les croquais doucement, les faisait rouler dans ma paume. Je léchais la hampe érigée sur toute sa longueur, m'attardant sur le filet, le gland, la corolle. Je lapais le méat ou tétais goulûment le gland en branlant la tige. Il me laissait faire sans rien dire, en fumant son joint, les mains sur les hanches, le bas ventre en avant. Il avait l'air satisfait de ma pipe et il est vrai que je suce plutôt bien. Souvent des mecs me l'on dit. Que je suçais mieux que leur femme.
Je le pompais sans relâche en m'appliquant. Il avait un pubis très velu, de la même couleur que ses cheveux ou à peine plus sombre. Mon nez plongeait dans les poils, humait l'odeur. Je l’avalais à fonds jusqu'à ce que son gros gland tape au fond de ma glotte et me donne envie de vomir. Son sexe réchauffait ma bouche gourmande.
Cela a duré dix bonnes minutes avant qu'il ne se retourne. Ses fesses étaient fines musclées sans un poil. Elles étaient bronzées. Ce mec était un rêve ambulant pour des hommes comme moi. Il s'est légèrement penché en avant et a ouvert lui-même ses fesses, dévoilant sa raie et son trou. Sans attendre qu'il me le demande, je me mis à lui lécher le cul qu'il avait par contre très poilu. Très propre aussi.
- Vas au fond ma fiotte.
Ma langue courrait le long de sa raie et tentait de pénétrer dans l'anus serré. Je le léchais de la base des couilles Jusqu'au bas des reins. Ses poils grattaient ma langue qui tournait autour de son anus bien fermé. Je humais ses odeurs intimes et m'en délectais. Il restait immobile, Fesses bien ouvertes. Cul offert à ma bouche vorace. J'en profitais un maximum.
Au bout d'un moment, il s'est éloigné, me laissant à genoux, les lèvres et le menton humide de salive. La bouche imprégnée de son odeur. J'étais en manque. Il me fallait sa bite ou son cul à lécher. Heureusement, il ne me laissa pas attendre longtemps.
Nous étions près de la table de la petite cuisine. Il y avait des bouquins dessus. Des feuilles manuscrites aussi. Il m'a demandé de baisser mon fut et de me pencher sur la table de la cuisine. Je me suis relevé, et baissé mon fut autour de mes baskets. Devant 1a table en pin, je me suis penché en écartant mes jambes autant que le permettait mon pantalon. La tête tournée vers lui. Je le vis prendre au milieu des feuilles un étui en aluminium facilement reconnaissable. Déchirer un bout, en sortir une capote rose et en recouvrir son sexe turgescent.
Toujours la même appréhension qui m'étreint quand je vois un gros sexe de mec qui s'apprête à me transpercer. Il m'a demandé si je souhaitais qu'il mette de la crème sur sa bite. J'ai hoché la tête. Il a pris un tube de crème dont je reconnu la marque, et je l'ai vu faire couler un filet de gel lubrifiant le long de la capote. Son sexe brillait comme une épée dressée sur le tapis de ses poils.
Le buste collé sur la table, les bras et les jambes bien écartées, j'attendais qu'il se décide à investir mon cul offert. Il m'a demandé d'un ton tranchant de bien m'écarter moi-même mes fesses. Je les ai ouvertes au maximum, dévoilant mon trou. Je restais immobile dans cette position, attendant son bon vouloir. J'ai pas eu à patienter longtemps.
J'ai à peine réalisé ce qui se passait que son gland lubrifié était contre ma rosace. Le jeune a donné des coups de reins brusques et puissants. Il m'a enfilé sans fioritures, dans un mouvement de va et vient tout en force. Son gland m'a ouvert le cul comme un marteau piqueur. Sans aucune douceur, avec impatience.
J’ai crié.
Un cri de femme.
- Ta gueule ! T’es venu pour ça non !
Je sentais mon cul se dilater autour de la hampe glissante. Je serrais les dents tout le temps qu'a durée l'intromission, jusqu'à ce que sa bite trouve sa place au fond de mes intestins. J'avais mal mais je ne disais rien, trop content de sentir cette jeune bite m'empaler avec vigueur. Cette douleur m’est familière et excitante pour moi. Il est resté quelques secondes au fonds sans bouger pour que je m’habitue à son calibre. Je sentais les poils rêches de son bas ventre contre mes fesses. La chaleur de son pubis contre celle de mes fesses. Mon cul lentement se moulait à la taille sa bite.
- T'as un super cul... Souple et serré... Tu te fais mettre depuis longtemps ?
- Non, à peine cinq ans.
- T'as l'air d'aimer la bite toi. T'as déjà eu plusieurs bites à la file dans le cul ?
- Oui
- Combien ?
- Trois
- ça va, c'est pas beaucoup. Tu vas en prendre plein le cul. Tu vas voir salope!
Il commença à me limer lentement en souplesse. J'avais une conscience aiguë de cette bite qui me pistonnait les entrailles. Qui m'ouvrait les reins. Je sentais le gland jouer avec ma corolle distendue. Ses couilles tapaient régulièrement contre les miennes. Je me dilatais encore plus. Il accélérait doucement en donnant des coups de reins de plus en plus violents. La douleur revenait. Je serrais les dents.
Son sexe grossissait au fonds de mon ventre. Je le sentais sortir dans un mouvement d'aspiration qui me tirait les entrailles vers l'extérieur pour revenir me pilonner mes intestins.
- Cambre-toi bien. Offre bien ton cul de pute.
Il a dû certainement rajouter de la crème lubrifiante car sa bite me pénétrait mieux et coulissait en souplesse dans mon fourreau à présent bien ouvert. Mon cul recevait sa bite sans peine. Son gland tapait au fonds de mon ventre à intervalles réguliers et de plus en plus courts. Il me tenait par les hanches et me tirait vers lui à chacun de ses coups de reins. Il utilisait mon cul en expert. Il variait les rythmes de pistonnage.
- Tortille du cul.
Je me cambrais au maximum et offrais bien mon trou à son pal vigoureux. Je me laissais enculer en bougeant mon fion, selon son bon vouloir jusqu'à ce qu'il s'immobilise pour jouir au fin fonds de mon ventre. Il se vida à long jets que je sentis malgré la capote. Il me libéra sans attendre en me claquant les fesses et disparu aux toilettes.
Son absence fut de courte duré. Je me redressais et attendais sans même remonter mon pantalon. J'avais froid au cul et mes fesses étaient glissantes. Mon trou ne s'était pas encore refermé. Je bandais à peine
Il revint vite. Lui par contre bandait toujours et sa bite était nettoyée. Il me dit que j'étais un bon coup, une vraie salope comme il les aime. Pour lui cela semblait être des compliments. Il me proposa une cigarette. Je l'acceptée même en sachant que cela n'était pas un tabac innocent. Il fumait en silence sans me quitter des yeux. Je n'arrivais pas à supporter son regard. Il remit son short. Il regarda ma bite molle.
- Tu bandes pas ?
- Non, rarement avec les mecs.
- Pourquoi ?
- J'en sais rien.
- Tu bande jamais ?
Il semblait surpris.
- Toujours avec ma copine, rarement avec les mecs.
- Pourquoi tu cherches le contact avec les mecs alors ?
- J'en sais rien..; J'aimes çà, c'est tout.
- Et quand un mec a joui grâce à toi, tu lui demandes rien en retour ?
- Nan
Il s'est tu, ne m'a pas lâché des yeux. Il avait un regard assez envoûtant. Ses yeux brillaient. L’excitation sans doute. Je pensais que c'était fini et remontait mon pantalon sans même penser à lui demander l'autorisation de me laver la raie du cul. Pourtant, il ne me disait pas de partir. J'ai fini ma cigarette. J'étais euphorique. Il s‘est servis un verre d'eau et m'en a tendu un. Nous avons bu. Cela m'a fait du bien.
- T'as encore du temps j’espère ?
- Heu.. Oui... Oui
- Alors on va y aller
J'ai pas demandé où. Je sentais qu'avec ce mec il ne fallait pas poser de questions.
Il a rajouté un pantalon de jog très ample sur son short, et un blouson en cuir sur son maillot. Il m'a dit qu'on allait en forêt. Je l'ai suivi sans lui poser de questions. Dans l'ascenseur, il m'a caressé les fesses sans dire un mot. Je me suis cambré sous sa caresse.
Nous avons pris chacun notre voiture. La sienne était bien pourave. Dix minutes après nous sommes arrivés sur les lieux. En cette saison, la forêt de T..... est très belle. J'avais entendu par oui dire que l'endroit était propice aux rencontres de toutes natures. Mais je n'y étais jamais venu. J’allais des fois dans un autre endroit plus proche de chez moi.
Il y avait beaucoup de voitures sur le petit parking. Nous avons laissé nos véhicules à côté des autres et nous sommes enfoncés dans les sous-bois. Il faisait bon. Pas trop chaud.
Nous marchions silencieux. Personne aux alentours. Toutes sortes de bruits nous parvenaient. Nous étions maintenant loin de la route, seuls au milieu d'une minuscule clairière. Il s'est arrêté, a fouillé dans la poche de son blouson et a sortis une corde d'environ deux mètres : blanche ; assez fine ; avec une boucle a un bout.
- T'es toujours d'accord pour continuer ?
- Oui
- ça risque d'être dur pour toi si t’as pas l’habitude.
Je ne savais pas de quoi il parlait, mais l'excitation revenait en force.
- Pas grave, on verra
- Ok. Tu pourras dire stop quand tu veux.
Sous ses ordres, je me suis mis torse nu, puis j'ai baissé le devant de mon pantalon sous mes couilles. J'avais ma bite et mes couilles à l'air, et peur que l'on nous surprenne. Lui manifestement s'en foutait complètement. Il devait certainement avoir l'habitude de l'endroit. Il a fait un nœud-coulant en passant le bout de la corde dans la boucle. Il a passé le nœud-coulant à la racine de mon appareil génital, entre mes couilles et mon pubis, puis il a serré jusqu'à ce que la corde disparaisse dans mes poils. Il a pris l'autre bout de la corde et a tiré en reprenant la balade.
Bien sûr Je l'ai suivi après m’être réajusté.
Nous avons continué notre balade. Ou plutôt, il me promenait en forêt, ma bite tenue en laisse, à la limite de la douleur. Nous avons déambulé un quart d'heure avant de voir une silhouette à dix mètres devant nous. On la devinait à peine. On voyait très difficilement à travers le feuillage de cette fin d'été. Nous nous sommes arrêtés.
- Tu m'attends.
Il a attaché le bout de la corde qu'il tenait autour d'un arbre et est parti à la rencontre du mec, me laissant prisonnier volontaire. Je regardais avec une certaine appréhension les approches de mon maître - comment l'appeler autrement - vers l'autre type. Ils se sont enfin parlé. L'inconnu a lancé un regard dans ma direction. Nouvelle discussion. L'inconnu a hoché la tête. Ils sont revenus ensembles.
Le mec avait mon âge ou plus vieux. Il avait une alliance au doigt. Il m'a regardé sans un mot avant d'ouvrir sa braguette et de sortir sa bite. Le jeune m'a demandé de branler l'inconnu. Je l'ai fait. C'était chaud dans le creux de ma main. Le mec bandait un max. Il se laissait masturber. Sa bite sentait la sueur. Elle n'était pas très grosse mais assez longue. J'accélérais le rythme de ma branlette sur l'inconnu jusqu'à ce que dans un râle, il projette son jus sur les feuilles mortes et le tronc d'arbre auquel j'étais attaché. Cela avait duré à peine cinq minutes. Il s'est rajusté sans un mot et est parti en nous saluant d'un geste de sa main.
Je suis resté attaché à l'arbre par ma bite pendant que le jeune allait à la recherche d'un autre mec. Je pensais à rien du tout. J'étais dans un état second.
Denis est revenu assez rapidement, accompagné d'un vieux moche, gras du bide et puant la transpiration. Il portait un short et des vieilles claquettes.
- A quatre pattes salope.
Il a tendu un préservatif au vioque.
- Profite bien de ma pute mec.
- On peut la malmener un peu ta fiotte.
- Pas de trace c’est tout
Le gros moche s’est mis à genoux derrière moi et m’a baissé le futal d’un geste rapide et sûr. Il m’a écarté les fesses. Un liquide froid dans ma raie et sur mon trou. Le gel intime a coulé sur mes couilles.
- La capote mec
La bite du vieux était très dure mais pas grosse. Je l'ai à peine senti m'enfiler. Il a commencé à me niquer en râlant de bonheur. Il ne devait plus avoir des culs souvent celui-là, et il profitait de l'aubaine. Ce vieux con m'a limé longtemps en me claquant les fesses. Cela n'en finissait pas. J’vais les fesses de plus en plus sensibles. Elles devaient être bien rouges.
Le vioque devait avoir du mal à conclure. Il me donnait des coups de reins violents en me traitant de salope. J'entendais sa respiration sifflante. Ses claques sur mes fesses étaient de plus en plus violentes.
C'est lui qui m'a dit que le jeune était parti à la recherche d'un autre mec.
- T’es une bonne pute toi. Je t’ai jamais vu dans le coin.
Je me laissais tringler à quatre pattes dans cette forêt par ce nouvel inconnu.
Enfin, il a joui. Sa bite a molli. Il a jeté le préservatif devant mes yeux. En partant il m’a filé un coup de pied aux fesses. Je ne me suis pas relevé.
Pas eu le temps. Le jeune était de retour avec un autre mec que je n'ai pas pu voir.
Une autre bite m'a investi directement le cul. Elle était grosse, très dure, brulante. Pas très longue mais je l'ai bien senti m'écarteler mon trou déjà meurtri. J'ai gémi. La bite a stoppé les coups de piston.
- Vas-y défonce lui le cul, fais pas attention à ses cris. Cette salope adore se faire bourrer à la chaîne. Cette vieille pute est à ma botte.
Le type a repris de plus belle me défonçant sans aucun ménagement les entrailles après avoir ajouté du gel. A nouveau quelqu'un m'enculait et profitait de mon trou offert par le jeune. Je me laissais bourrer le cul par le mec à la grosse bite. Même si je ne voyais rien car tout se passait derrière moi, je sentais qu'il y avait du monde à proximité. Plusieurs personnes qui devaient se branler devant le spectacle.
Le mec a joui très rapidement. Sa capote est venue rejoindre celle du vieux.
J'étais à moitié groggy.
- Vous pouvez le dessaper si ça vous excite.
On m'a relevé, ôté mes baskets puis mon futal taché de terre aux genoux. Ils étaient plusieurs à me préparer. À me caresser, me palper les fesses, le dos, les jambes. Mes fringues formaient un tas à côté du tronc.
J'étais maintenant nu au milieu de la forêt. Combien étaient-ils à présent derrière moi ?
J'avais toujours la corde autour des couilles et j'étais toujours attaché à l'arbre.
Une voix inconnue m'a dit d'écarter mes jambes. Je l'ai fait. Les feuilles mortes piquaient ma voûte plantaire. J'ai ensuite dû me pencher, mains sur mes genoux, jambes légèrement fléchies, mon épaule droite calée contre le tronc rugueux. J'ai cru apercevoir Denis en train de se branler lentement. J'ai fermé les yeux. J’avais la tête dans le v de deux branches d’arbres.
- Il reçoit la ceinture ?
- Attends
Un mec m’a baissé la tête pour la bloquer dans la fourche que faisaient les deux troncs de l’arbre. J’étais penché bloquer, cul offert
- Vas-y doucement mec.
Le premier coup a claqué sur mes fesses. Je me suis cabré en criant. Le deuxième a tout de suite suivi, puis un troisième. Je sautillais à chaque coup reçu. La douleur venait. Certains encourageaient mon bourreau. J’avais le cul en feu. Un coup a touché mes couilles. J’ai hurlé. Denis est intervenu
- T’es con ou quoi. Stop.
- Excuse.
- Qui veut le baiser
Une autre bite m'a investi le fion. J'avais mal au cul et aux couilles. Le gel coulait le long de mes cuisses ouvertes. Quelqu'un m'a tiré les cheveux m'obligeant à relever mon visage. Une bite à l'odeur forte devant mes yeux. Un gland qui tape mes lèvres.
- Suce
Ouvrir la bouche et sucer un bâton de chair chaude pendant qu'autre bâton me travaillait le cul. Mes deux trous sont occupés. La bite que je suçais à jouit sur mon torse, en même temps que celle qui était dans mon cul. Les bites se sont retirées. Je savais plus trop ce qui se passait autour de moi.
Mes trous ne sont pas restés longtemps vides. Vite occupés par de nouveaux bâtons brûlants qui voulaient dégorger leurs semences. Je ne savais plus ou était le jeune qui m'avais amené. Il devait surveiller les mecs. On m'ouvre les mains.
Une bite dans chaque main. Je branle suce, me fait enculer. Quelque fois tout en même temps en fonction du nombre de mecs et de leur impatience. Je deviens un videur de couilles. Je travaille à la chaîne. J'ai mal au cul et à la bouche et mes fesses me brulent mais je ne dis rien.
Envie irrépressible de leur servir de pute.
Cela dure. Longtemps. Longtemps. Incroyable le nombre de mecs en chaleur dans ce coin de forêt remplis de gamins à vélos le samedi et dimanche.
Il y avait plusieurs préservatifs utilisés et plein de sperme devant moi. Je ne comptais plus les bites qui investissaient à tour de rôle mon cul et ma bouche. J'avais l'anus en feu et les bites dans ma bouche m’empêchaient de clamer ma douleur. Mes mains branlaient et préparaient les bites qui attendaient leur tour pour investir mes trous.
Le jeune n'allait plus chercher les mecs. Le bouche à oreille suffisait et ils venaient par petits paquets de deux ou trois. Il y avait des voyeurs devant moi qui se branlaient en jouissant du spectacle de cet homme attaché par les couilles à un arbre, la tête bloquée et qui mettait sa bouche et son cul à la disposition de tout le monde sous le regard du jeune. Mon dos était couvert de sperme car sous la surveillance de Denis personne ne se vidait dans ma bouche ou mon cul. Les mecs que je suçais jouissaient sur moi et ceux qui m'enculaient dans les capotes que Denis fournissait sans problèmes.
Cela a duré toute l'après-midi. A côté de moi sur les feuilles morte, 1l y avait un tube de vaseline vide et pas mal de capotes pleines. J'avais du mal à tenir la pose. Heureusement qu'il y avait l'arbre. Chaque capote du petit tas à coté de mes vêtements représentait un inconnu qui m'avait tringlé et dont je n'avais même pas vu le visage ni à quoi il ressemblait. Par contre eux allaient me reconnaitre sans problème. J'avais mal aux mâchoires à force d'avoir sucé et mes jambes étaient ankylosées. Peut-être même que certains m'ont utilisé deux fois, ou ont utilisé mes deux trous. J'en savais rien et je m'en foutais. Mes fesses devaient être rouges du ceinturon et des claques reçues pendant les sodomisations.
Heureusement le flot s'est enfin tari. Sans même m'en apercevoir je me suis retrouvé libre sans aucune bite qui fouille mon cul ou ma bouche. En plus J'étais seul. Le jeune avait disparu. Je me suis libéré de l'arbre. Quand j'ai enlevé le nœud-coulant autour de ma bite, elle a bondi comme un ressort et j'ai jouis sans même me toucher.
J'ai ramassé mes frusque et me suis refringué avec difficulté. J'étais incroyablement crevé. J'ai rangé la corde dans une de mes poches et suis parti en flageolant. J'avais du mal à marcher et à déglutir. Mes mâchoires étaient paralysées. Mes vêtements me collaient à la peau à cause des spermes qui avaient coulé sur moi. Je sentais une drôle d'odeur. Sur le chemin du retour certains mecs croisés me dévisageaient en souriant discrètement.
Certainement des mecs qui m’avaient utilisé.
Beaucoup de mal à conduire. Surtout pour appuyer sur les pédales. J'ai eu mal au cul pendant une semaine. Je me suis demandé si cela n'avait pas été un rêve. Mais la corde est là pour me rappeler que cela n'avait pas du tout était un rêve.
oooOOooo
Je ne pensais plus jamais connaître de sensations aussi fortes que ce que j'avais vécu. Je me trompais. Pendant un mois je n'ai plus pianoté, revivant la scène de la forêt en me branlant vigoureusement.
Puis l'envie justement d'aller en forêt m'a pris brusquement. Peut-être qu'inconsciemment je tentais de revivre l'aventure. C'est pour cela que j'ai remis mon jogging sans sous-vêtements bien sûr. Il faisait quand même frais. Je me suis garé sur le même petit parking.
Toujours autant de voiture malgré la saison.
Les arbres avaient perdu leurs feuilles. Je me suis enfoncé dans la forêt.
Personne. Pas âme qui vive.
Pourtant, j'étais pratiquement sûr qu’ils y avaient des mecs qui rodaient à la rencontre d'autres pour de brefs et anonymes échanges. Mais je n'en trouvais aucun.
Au bout d'une heure de marches, j'étais frigorifié. Les rares silhouettes aperçues disparaissaient rapidement dans les fourrés. Las de ne rien trouvé, Je regagnais le parking complètement frustré, les pieds mouillés et transi de froids.
Il y avait un mec sur le parking, à côté d'une fourgonnette. Un beur. Assez grand, mince, pas mal foutu. On le sentait sûr de lui. Il m'a regardé. Ne m'a plus lâché de son regard sévère tout le temps que j'approchais de mon véhicule.
Je m'installais dans la voiture et branchais vite le chauffage à fonds.
Le mec s'est approché de la voiture. Je n’ai pas démarré. Il avait une cigarette éteinte à la bouche. Il était tout près de ma portière, m'a regardé en esquissant un sourire. Il m'a montré sa cigarette du doigt. J'ai compris qu'il me demandait si j'avais du feu. J'ai baissé la vitre et lui ai tendu un briquet. Il ne me quittait pas du regard. Il a lentement allumé sa cigarette et m'a tendu le briquet.
- Merci... Fais pas chaud hein ?
- Il fait même froid
- Oui c'est mieux en été... Tu viens souvent ici ?
- Non rarement...
- Moi assez souvent... Je peux monter dans ta voiture … Il fait froid
Le mec me plaisait. J’ai toujours eu un faible pour les arabes. J'ai acquiescé d'un hochement de tête et lui ai ouvert la porte côté passager. Il a fait le tour et s'est installé. Dos appuyé contre la porte, il me dévisageait. Il a relancé la discussion après quelques secondes.
- Je bosse à côté d'ici alors de temps en temps je viens quand j'ai envie.
- Envie de quoi ?
Il m'a souri.
- Envie de….. me changer les idées. Et toi, tu viens pourquoi ?
- Envie aussi….
On s'est regardé sans se parler. Il faisait chaud dans la voiture. J'ai diminué le thermostat et la soufflerie dans l'habitacle. Il a allumé une autre cigarette après m'en avoir offert une. Il a relancé la discussion. Toutes les vitres étaient couvertes de buée.
- Les mêmes que moi ?
- Les mêmes quoi ?
- Les mêmes envies... Remarque, je sais que les tiennes sont particulières.
Devant mon regard surpris et interrogatif, il a souri franchement. Il a très nettement du sentir mon trouble.
- T'as même des envies très... chaudes non?.….. Remarque j’aime bien... En fait, je t'ai déjà vu... Je te connais....Ou plutôt, je connais ta bouche et ton cul... Oui, j'en suis sûr maintenant. C'est toi qui étais attaché à l'arbre par les couilles. Il y avait un jeune avec toi. T'étais à poil, penché contre un arbre et le jeune offrait ta bouche et ton cul à tous les mecs qui le souhaitaient. Il fournissait en plus les capotes et la crème. Je te dirais que moi, J'ai pas pris de crème, t'en avais assez reçu dans le cul pour rien sentir. Tu m'as même sucé en attendant que le mec qui t'enculait finisse. T'as dû t'en prendre un paquet. En plus le jeune n'était pas regardant, il laissait tout le monde te tringler, les jeunes, les vieux, les moches, les gros. Même les cons ! C'était toi n'est-ce pas ? Réponds... Qui ne dit mot consent... Chacun son trip... Il est pas là le jeune ?
- … Non...
- C'est ton mec ?
- Non j’ai une copine
- Ah… Et tu fais cela souvent ?
- C'était la première fois pour moi
- Attend, t'es en train de me dire que tu connaissais pas le jeune... T'es un cas toi. Tu m'intéresses... T'en veux une autre ? Je m’appelle Sadeck et toi.
- Vincent
J’ai repris une cigarette. C'était des Gauloises sans filtre qui arrachaient la gueule. On s’est dévisagé. J'étais hyper excité et hyper honteux en même temps. Il y avait une chance infime que je tombe sur un mec qui avait tiré son coup avec moi et bien sûr je me le prends en plein dans les mirettes. Et en plus je tombe sur un type macho, sûr de lui et qui n'a pas froid aux yeux sans compter qu’il est sympathique et pas mal foutu du tout.
J'ai ouvert un peu la vitre pour évacuer la fumée. J'attendais qu'il prenne l'initiative.
- Ta copine sait que tu pratiques ?
- Non mais je pense qu’elle s’en doute.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que des fois au lit, elle me met ses doigts dans le cul et elle voit bien que je bande plus dur et qu’il est souple. Des fois pour rigoler elle me dit qu’en trio c’est pas mal surement.
- T’aimerais lui dire….. Ou lui montrer.
- Oui….. Mais j’ai pas le courage. Je ne veux pas la perdre. Le Minitel pour trouver des mecs c’est hyper discret…
- C'est le jeune qui t’a proposé l’abattage ?
- Oui. Mais en réalité, il ne m’avait rien dit avant.
- T'avais l’habitude ?
- Non... Bien sûr
- Pourtant t'avais pas l'air de souffrir trop... Tu dois faire cela depuis longtemps. Depuis quand ?
- Depuis la fac. Mais comme ça c’est la première fois. Autant de mecs. Une fois j’ai fait avec trois mecs. Et j’aimais sucer aussi dans les chiottes de la fac.
- Et t’as supporté la séance ! Être utilisé à la chaine ! Respect mec. Tu me plais bien comme fiotte. T’as quel âge ?
- Trente ans
- Comme moi. Tu veux me sucer.
- Pourquoi pas.
- On va dans ma camionnette on sera plus à l’aise.
- Ok
L’intérieur de la camionnette était surprenant. C’était aménagé comme un van. Une étroite couchette contre un côté et du matériel divers. Essentiellement de chantier.
- Des fois je dors dedans quand je suis en déplacement.
Le mec a baissé direct son fut et son boxer. Ventre plat, longues jambes musclées une belle bite bien droite et circoncise. Des poils partout. Le beur dans toute sa splendeur.
- Fous toi à poil total mec. Fais ta salope pour Sadeck. Personne ne peut nous voir
Je me suis lentement déshabillé pendant qu’il se branlait.
- Tourne toi et présente-moi ton cul.
J’ai obéi, j’étais excité même si je ne bandais pas. J’ai ouvert mes fesses en me penchant. Offrant mon anus à son regard.
- T’as un beau cul de femelle toi
Il s’est débarrassé de ses chaussures et son futal ainsi que du boxer. Il s’est assis sur la couchette jambes largement écartées. Sa bite imposante pointait vers le plafond. Il la tenait à la base.
- Viens t’occuper de mon zob.
A genoux entre ses jambes, j’ai respiré à fond sa bite, ses couilles, ses poils. Odeur forte et envoutante. J’ai commencé à lécher timidement le gland, la verge, les couilles. Puis je me suis enhardi sur cette queue qui se déployait rapidement.
- Suce à fond ma salope… Vas-y régale toi.
Obéissant, je me suis occupé de cette queue conquérante. Suce, lèche, massage des couilles, gorge profonde. Il était endurant et j’étais affamé. J’avais du temps pour bien en profiter.
- T’es comme les autres français toi…. Vous aimez nos zobs.
C’est vrai qu’elle était bonne et que je me régalais de sa douceur, sa dureté, sa consistance.
Il me tenait la tête et enfonçait sa teub au maximum de ma bouche, me donnant des renvois. C’était limite supportable. Je bavais et la salive coulait sur mon menton. Le mec n’avait aucun mal à me bloquer la tête contre son bas ventre. Mon visage était plongé dans les poils drus de son pubis. Mon nez était noyé dans les poils saturés d’odeur de son pubis Je respirais les relents de sueur de ce mâle. Je gobais ses couilles les faisaient rouler dans ma bouches. J’aspirais son gland.
- C’est bien. Tu sais faire des gorges profondes. T’es un pro de la pipe.
J’ai pas osé lui dire qu’en réalité les gorges profondes je les fais depuis mes études dans les chiottes de la fac. Il m’a brusquement libéré ma tronche. J’ai pu enfin respirer correctement.
- Tu vas me lécher le cul maintenant.
- J’aime pas trop.
- Je te demande pas ton avis. Tu vas adorer me nettoyer le fion.
J’ai pas eu le choix. Il avait les fesses très dures et la raie poilues. Son œillet bien serré. Heureusement il était propre à part des odeurs de fauves. Au début j’étais réticent mais pas longtemps. Je me suis appliqué à tout lécher. Ma langue parcourait sa raie et tentait d’entrer dans le trou hyper serré. Il m’a donné une tape sur la tête.
- Ouvre bien mes fesses et appliques toi sur mon trou. Fais entrer ta langue de fiotte.
J’avais la tête entre ses fesses musclées et mon visage collé à sa raie, ma langue pointant son trou du cul. Puis il m’a lâché la tête.
- Allez ! Maintenant tu vas y avoir droit. Mets-toi en levrette et fais ta femelle.
J’ai obéi sur la banquette en me cambrant au maximum.
- Tortille du cul. Appelle ton mâle…. Inquiète-toi pas je vais mettre capote et gel sur ma teub.
Il a tenu parole et après une petite fessée il m’a direct défoncé en force. J’ai gueulé sous ses premiers assauts qui m’ont dilaté l’anus et démontés mes entrailles. Il allait loin et tapait fort.
- Je vais te faire une chatte de pute.
Il a aussi tenu parole. Quinze minutes de baise intensive dans cette camionnette. A me faire ravager le cul. Il variait les vitesses, les angles, la puissance. Son gland tapait tout au fond de mes entrailles m’arrachant des cris de douleur. Je subissais avec plaisir. Je le reconnaissais comme un mâle. Mon mâle.
A un moment, il a ouvert la porte latérale de la camionnette. On pouvait nous voir sans aucun problème. Heureusement par ce temps de merde, il n’y avait personne et il a vite refermé à cause du froid glacial qui s’engouffrait dans l’habitacle.
Il a intensifié la défonce de mon trou. Il se retenait plus malgré mes cris de douleur.
- Tu vas avoir un peu de mal à marcher. T’as l’air d’aimer ça en plus nos grosses bites non ?
C’est vrai que j’aimais ce qu’il me faisait. Sentir sa teub me défoncer. Me dilater les entrailles. C’était douloureux et bon. Les passifs connaissent cette sensation.
- Alors tu aimes…. Réponds sale pute.
- Oui… Oui… J’aime
- Bin voilà. Je sûr que ta meuf aussi adorerait te voir comme ça. Au service de nos bites.
L’espace dans la camionnette ne permettait pas beaucoup de figure. Il a brusquement accéléré à fond. C’était douloureux. Heureusement qu’il a jouit dans une grande insulte
- Salope !!!!
Il m’a libéré et j’ai remonté mon jog avant de m’assoir en grimaçant sur la baquette. Lui est resté bite à l’air, il m’a tendu une bouteille d’eau. Il était sympa.
- Ça va ?
- Ouais… A part mon cul.
- Tu vas marcher en canard. Il a rigolé. Dans mon quartier on les reconnait comme ça les mecs comme toi. Même les habitués des fois après certaines séances. Ils s’en vont le cul en chou-fleur et le fond de leur jog bien humide.
C’est vrai qu’assis j’avais mal au cul. J’ai relancé le dialogue. J’étais bien à coté de ce mec.
- T’habites dans le coin ?
- Oui aux Tilleuls tu connais ?
- De réputation. Mais j’ai jamais été.
- Ça te dirait ?
- Quoi ?
- Que je te fais visiter. Tu pourrais facilement trouver ton compte là-bas.
- C’est pas risqué ?
- Pas avec moi. Aucun risque. J’ai un pote qui taffe là-bas.
J’ai réfléchis. La proposition me tentait mais j’avais peur des risques.
Il s’est levé pour me faire face, sa bite devant ma bouche. Il n’a rien eu à demander. J’ai dégusté sa bite au goût de son sperme. Il me laissait faire en fumant. Des fois il me demandait d’aller plus vite ou plus loin.
- Vas-y suce bien…. Tu sais des fois au Tilleuls, tu vois des mecs de ton âge sortir d’un immeuble les yeux brillant de larmes, la marche maladroite, le jog remonté à la va vite. Souvent c’est des français du coin… Suce bien mec lèche moi les boules…. Des fois ils ont eu un rencard ou ils sont venus seuls et ils ne s’attendaient pas à ce type de séance. Certains caïds chez nous ont des harems mélangés… C’est même leur taf des fois... Attention je vais jouir mec.
Je l’ai gardé en bouche. Elle était grosse, dure, chaude. J’en avais envie. Je lui faisais confiance et à l’époque les risques étaient moins grands.
- T’es sûr mec ?
J’ai fait oui de la tête, sa teub bien enfoncée dans ma bouche.
- C’est bien ma poule. Tu vas être bien repus. Ton biberon arrive.
Il a pas menti. En gorge profonde, des jets directs dans mon estomac. C’était salé, amer, visqueux. C’était bon. Il m’a gavé de son foutre.
- Putain tu m’a bien vidé les couilles toi.
Il a remonté son fut.
- Merci mec, je dois partir. Ma proposition tient toujours si t’as envie…. Je serais là vendredi après le taf vers dix-huit heures. A toi de voir.
oooOOooo
C’est vrai que j’ai eu mal au cul pendant quarante-huit heure. Mais en même temps, j’étais excité par la proposition de Sadeck. Peureux mais excité. En plus les jours qui ont suivi je n’ai eu aucune réussite au minitel. Je baisais ma copine en puissance en repensant à la séance et à la demande de Sadeck.
Vendredi jusqu’à seize heures, je ne voulais pas y aller. Mais mon ventre était en ébullition. L’envie était là, de plus en plus évidente, de plus en plus impérieuses, elle occupait tout mon esprit. J’avais une boule dans le ventre. Ma copine passait le week-end dans sa famille. Je la reverrais pas avant lundi soir. Tout se conjuguait pour me faciliter la décision.
J’ai craqué en revivant la baise dans la camionnette.
Je me suis fait plusieurs lavements bien profonds jusqu’à ce que de l’eau claire jaillisse de mon fion. J’ai mis du gel et des capotes dans un petit sac-à-dos. Il faisait doux, j’ai opté pour un polo et un pantalon de toile slim en stretch, sur des baskets et des chaussettes blanches de tennis.
Je ne savais toujours pas si j’aurais vraiment le courage d’y aller, ni même si Sadeck serait là. Mais l’envie était là. Je me suis retrouvé sans même le vouloir vraiment sur le petit parking, à côté de la camionnette vide. Il n’était pas là. J’ai attendu.
Longtemps
Puis découragé et frustré, j’allais partir quand il est sorti de la forêt.
- Salut mec. Alors t’es venu. T’as le cul qui te démange ? … Réponds moi.
- Oui.
- Oui quoi ?
- J’ai envie….
- T’as envie de quoi ? Sois précis et dis-le.
- J’ai envie de me faire mettre.
- Suffit juste de le dire mec. T’es libre combien de temps ?
- La soirée.
- Et le week-end ?
- Possible oui. Mais j’ai pas de frusques.
- T’en auras pas besoin. Ta meuf est absente ?
- Chez ses parents.
- Dommage, tu aurais pu me la présenter.
Il m’a caressé le cul. Instinctivement je me suis cambré.
- T’es demandeur on dirait.
Il a souri. Mon cœur a bondi, ma peur aussi. Mais c’était trop tard pour reculer.
- Suis-moi avec ta caisse.
oooOOooo
Je gare ma voiture à côté de la sienne dans un parking souterrain de la citée des Tilleuls. Je tremble un peu en suivant Sadeck dans l’ascenseur qui nous propulse au douzième étage.
- On va boire un thé chez un ami.
Il est à côté de moi et il me malaxe les fesses.
- T’as un beau cul et en plus t’as pas mis de slip. C’est bien. N’ai pas peur tout va bien se passer et je suis là avec toi. Donne-moi ton sac-à-dos et enlève ton polo.
- Ici !
- Oui ici y a rien à craindre.
Je suis sorti de l’ascenseur torse nu, poussé par le cul par Sadeck qui a sonné à une des portes de l’étage. Un type a ouvert, la quarantaine, arabe, balèze, cheveux poivres et sels, un peu de ventre, grand, puissant, On sentait le caïd sûr de lui. Il m’a dévisagé rapidement avant d’échanger des salutations en arabe avec Sadeck. Puis en Français en me désignant :
- C’est lui ta Kahba ?
J’ai rougi
- Oui Azzedine c’est lui. Il a envie.
Le type nous a fait entrer dans un salon décoré à l’oriental. Des tentures multicolores, des poufs en cuir, un énorme divan à frange. D’épais tapis sur tout le sol du salon.
- Je vais chercher du thé prépare le.
Sadeck m’a débarrassé de mon sac et m’a montré du doigt, un large pouf rectangulaire de la taille d’une grande table basse face au divan.
- Tu te fous à poil et en levrette sur le divan.
L’ordre direct, sans aucune préparation m’a choqué. J’étais un peu en panique. Pas habitué à ce genre d’ordre sans aucune préparation avant.
- Comme çà ? Direct ?
- Bin oui t’es là pour çà non ?.... Prépare-toi un peu si tu veux. Garde tes chaussettes.
Il a raison. Je suis là pour ça. J’ai ôté mes chaussures et mon jog. J’ai pris le tube de gel et me suis lentement doigter avec la crème.
De la cuisine Azzedine a apostrophé Sadeck.
- Sadeck ! Il y a les mecs sur le minitel qui attendent.
- Ok je m’en occupe…
Je suis en position. J’ai de la place pour bien écarter mes jambes. Ma queue doit pendouiller lamentablement. Sadeck pianote sur le clavier du minitel.
- Redresse la tête et garde ta bouche ouverte.
Azzedine est revenu avec le thé.
- Elle mignonne ta fiotte.
- Merci j’ai prévenu les autres. D’après eux ça tourne pas mal là.
- C’est bien.
Azzedine m’a tiré les cheveux en arrière pour que je le regarde.
- Alors je t’explique mon ami. Tu es là pour servir et obéir. Toi tu sers à nous distraire avec tes trous. Tu fais tout ce qu’on te demande. T’es juste un morceau de viande haram pour nous servir. Paraît que tu as une bonne bouche, un bon trou et que tu es endurant. C’est tout ce qu’il nous faut. T’as rien à craindre, t’es juste notre récréation. T’as compris ?
- Oui
- T’es ok ?
J’ai hoché la tête.
- Dis le à haute voix
- Oui j’ai compris ?
- T’es OK ? Dis-le, si non casse-toi.
- Je suis OK
Il s’est servi un thé, a ouvert sa braguette. M’a présenté son engin. Un beau tuyau épais, circoncis, odorant, émergeant d’une forêt de poils noirs frisés. Il a présenté sa bite devant bouche.
- Alors au travail le français. Montre-moi tes talents.
J’ai passé plus de deux heures entre leurs mains et surtout leurs bites. Bouche, anus, plus les fessées et les humiliations. Ils étaient limite violent. Manifestement, ils me traitaient comme leur esclave sexuel. Avec de moins en moins de limites. J’étais couché sur le dos, plié en deux, avec mes genoux aux épaules. Ils pouvaient utiliser tous mes trous. Ils se relayaient pour baisait ma bouche ou mon cul. J’avais les larmes aux yeux et le cul en chou-fleur.
- Tu vas te reposer un peu. Tu vas lécher et sucer nos orteils le francaoui. Au travail.
Puis après leurs pieds et orteils que j’ai vénérés, Azzedine m’a tendu ses fesses, j’ai compris ce qu’il voulait. Heureusement c’était propre même si cela sentait fort. J’étais à leurs ordres et j’acceptais. J’aimais même.
Sadeck allait de temps au minitel pour tapoter pendant quelques minutes.
J’ai su plus tard que les tchat Minitel ne servaient pas qu’à la drague. C’était aussi un vecteur propice de discussion pour certaines affaire. Discrétion et anonymat.
Azzedine était en train de me baiser pour la troisième fois quand on a sonné à la porte.
Azzedine s’est retiré de mon fion.
- La journée a été bonne tu vas être leur récompense Sadeck va te montrer la salle de bain. Prends une douche et fais-toi un bon lavement tu vas en avoir besoin.
A mon retour, tout propre, je me suis mis à genoux, les mains derrière le dos et tête baissée dans l’attente de son équipe. Ils étaient trois.
- C’est qui lui ?
- Une pute à votre dispo les mecs.
J’ai passé le week-end à leur disposition.
Baisé dans toutes les positions, dans tous les sens, humilié en permanence. Mon anus n’avait pas le temps de se refermer. Je n’avais pas faim à force de boire leurs spermes. J’étais en même temps, femme de ménage, cuistot, serveur, jouet et poupée sexuelle. J’ai dormi en chien de fusil sur le sol glacé de la salle de bain. Samedi, un des mecs m’accompagné pour acheter des Kebab et de la bière. A chaque fois il saluait le patron et il parlait de moi.
- Accompagne le chef derrière.
Penché, jog à mi-cuisse. Ils visitaient mes fesses et ma bouche.
- Putain il a la chatte bien éclatée la tarlouze.
Chez Azzedine, les mecs rigolaient, buvaient, jouaient sur des jeux vidéo, bouffaient, regardaient des VHS pornos et me baisaient. J’étais à la disposition des cinq.
- Et Azz ! La prochaine fois trouve nous une meuf, aussi salope que celui-là !
De temps en temps Sadeck me donnait une clope pour me remonter la libido qu’il disait.
Dimanche soir pendant que je tétais un des mecs, Azzedine m’a demandé si je voulais revenir le week-end prochain.
J’ai opiné de la tête. Il m’a caressé les cheveux.
- Tu vas être notre mascotte toi ! Tu crois que tu peux me présenter ta copine ?
J’ai opiné de la tête.
- C’est bien. Tu es un bon gars. Peut-être qu’elle est comme toi. Une future pute.

Fin

André RP95

ANDRERP95@gmail.com

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