Le voisin

Chapitre-1

J’habite dans une résidence où il y a pas mal de monde. Beaucoup de familles, de personnes un peu âgées, bref un endroit tranquille, peut être même un peu trop. J’ai deux trois voisins qui sont pas mal avec qui je ferais bien quelques trucs. En tout cas dans mes rêves, aucun d’entre eux n’a l’air d’être de mon équipe. Soit ils ont une copine, soit ils ont pas du tout l’air d’aimer la queue. Il m’arrive parfois de discuter avec certains d’entre eux, mais jamais rien de bien sérieux…

Un soir, je check les applis par habitude, rien de bien fou, les profils habituels, pas trop de changement. Quand là je reçois une notification, un gars sans photo de profil (évidemment) a moins de 10m de moi m’envoie un message. La distance attire mon attention et j’ouvre le message :

— c’est toi le voisin du dessous ??
— euh, ça dépend c’est pourquoi et c’est qui ? Je lui réponds.
— ah ouais je pensais pas que t’aimais la bite ! J’ai envie de baiser une bonne chienne là tout de suite. Ça te tente ?
— ma porte est ouverte… je réponds avec excitation sans vraiment savoir lequel de mes voisins il s’agit.

Je m’empresse de tourner la clé pour ouvrir la porte d’entrée et vais directement me placer nu à quatre pattes sur mon lit la porte de la chambre grande ouverte. Quelques minutes passent et j’entends la porte s’ouvrir. C’est lui. Je ne me retourne pas mais je sens quelqu’un entrer dans la chambre et j’entends :
— tu fais pas les choses à moitié petite chienne

Je me tourne et il s’agit de mon voisin d’un étage plus haut, il est très grand environ 1m95, brun foncé avec une grosse barbe, il doit aller à la salle car je le trouve bien musclé, on voit ses pecs à travers son tee shirt et deux biceps plutôt gros, des cuisses bien larges et poilues. Il se met à retirer son tee shirt et laisse apparaître un torse bien large musclé et poilu. Il sourit et commence à se toucher le paquet en me voyant. Toujours à quatre pattes sur le lit, je me tourne face à lui et me retrouve à hauteur de son entrejambe. Je lève les yeux vers lui et il continue à toucher son paquet en me regardant. Il me lance :
— c’est à moi que tu t’attendais ? Ma copine est pas là ce soir donc j’en profite pour baiser une petite chienne comme toi

Il commence à enlever son short et se retrouve en boxer bien moulant, il laisse apparaître une bite déjà bien dure qui longe la naissance de sa cuisse. Je ne peux m’empêcher de mettre ma tête directement dans son boxer. J’ouvre la bouche pour y laisser rentrer sa queue à travers le boxer et il commence à me caresser les fesses. Il arrête et se met à m’embrasser en me donnant des grands coups de langues, je sens que ça l’excite et moi aussi.
— Tu vas venir me sucer tous les jours hein petite pute ? Dès que ma copine s’en va je veux que tu sois à mes pieds pour que je puisse me vider.
Je ne peux que lui répondre en acquiesçant, comme je suis en train de me gaver avec son chibre à travers son boxer.
Il commence à le sortir du boxer noir et je vois un bon pilon d’environ 18 cm et très épais genre 6cm de diamètre facilement.

— elle te plaît ? J’espère car je vais te la rentrer dans tous les trous !
Il n’est pas circoncis je le branle doucement pour laisser apparaître entièrement son gland bien épais et rose que je m’empresse de mettre dans ma bouche. Il pousse un petit gémissement de plaisir et je sens un petit filet de mouille venir dans ma bouche.

— tu fais ça bien hein ! Dit il en me mettant une petite claque sur la fesse. Continue maintenant !

Je m’exécute et fais descendre ma gorge un peu plus profondément le long de sa queue, non pas sans difficulté tant elle est bien, bien large.

— tu galères un peu quand même ? Viens je vais te montrer comment bien me sucer.

Il me fait descendre du lit et me dit de me mettre à genoux. Je me mets à genoux et il me place contre un mur, de façon à ne pas pouvoir reculer ma tête. Il se tient debout face à moi et met son énorme chibre face à mon visage.

— allez suce salope

Je commence à remettre son gland dans ma bouche et il enfonce son énorme pilon tout au fond de ma gorge, je ne m’y attendais pas et je m’étouffe sur l’énorme queue. Ça le fait rire et il sort :

— haha c’est que le début hein, ça va pas s’arrêter maintenant !

Il tient ma tête entre ses deux grosses mains poilues, sur chacune de mes joues et commence à donner la cadence en donnant des coups de reins brusques. Il continue, voyant que j’arrive à garder le rythme et enfonce à chaque fois un peu plus de centimètres de sa bite épaisse. Je commence à avoir mal à la mâchoire mais j’apprécie la manière dont il me baise la bouche, je le laisse continuer.
Il accélère les coups de reins au fur et à mesure qu’il enfonce sa queue chaude, je le sens taper de plus en plus fort et de plus en plus vite au fond de ma gorge, je ne vais pas tarder à me retrouver avec ses 18 centimètres entièrement au fond de la gorge, me retrouvant avec son tapis de poils de pubis contre le nez. J’essaie de me retirer tant bien que mal de temps en temps pour reprendre mon souffle mais c’est trop bon et je ne reste jamais trop longtemps sans la queue au fond de ma bouche.

Il continue à taper dans le fond de ma gorge et me defonce la bouche comme rarement on me l’a fait. J’essaie par moment de reculer pour continuer à reprendre mon souffle mais je ne peux plus. Ma tête est collée au mur et il m’empêche. Il me dit :

— allez je veux la sentir bien au fond de toi.

Il place une main derrière ma tête et une autre le long de ma gorge et je le sens tâter sa queue aller et revenir le long de ma gorge. Ça semble l’exciter de fou il est presque en transe et ses mouvements sont de plus en plus répétitifs. Ses coups de reins puissants ne s’arrêtent plus et sont devenus ultra rapides. Il se tient sur la pointe des pieds afin d’incliner sa bite pour que je n’en rate pas un seul centimètre. Je suis coincé entre ses deux grosses cuisses musclées et mes mains parcourent ses fesses, ce qu’il semble apprécier. Il continue à serrer ma gorge pour sentir les va et viens de son chibre. Il se retire d’un coup en me disant « si je continue je vais gicler mais j’ai trop envie de t’enculer avant »

Je me remonte et je me mets à l’embrasser, sentant nos deux corps nus et nos queues bien mouillées se frotter. Mes mains parcourent sa nuque et ses fesses poilues et bien musclées et les siennes me touchent un peu partout avant qu’il ne se mette à m’écarter les fesses avec ses grosses mains. Je me mets à branler sa queue bien dure en l’embrassant

— tu fais ça bien mieux que ma meuf, je vais devoir venir me vider les couilles tous les jours
— ça me dérange pas je t’attends nu et prêt à baiser quand il faut.

Il me prend par la main et m’emmène dans le salon.
— à quatre pattes sur le canapé maintenant petite pute

Je me mets à quatre pattes et je le sens derrière moi en train de frotter le bout de sa queue contre mon trou. Il mouille ses doigts avant d’étaler sur son gland, et il commence à essayer de pousser son gland, je le sens pousser de plus en plus mais je suis serré et sa queue est hyper large. Il met son majeur dans sa bouche, le mouille et commence à me l’insérer dans le cul. Il fait des petits va et vient tout en se branlant avant d’ajouter son index. Il fait ça bien et fait gesticuler ses deux doigts dans tous les sens, ce me fait vibrer de plaisir et je ne peux m’empêcher de penser quand ce sera autour de sa queue de m’élargir en profondeur. Il s’arrête et se met à m’embrasser avant de lancer :
— je vais t’éclater le trou
— vas y éclate moi, je lui réponds

Il m’embrasse une dernière fois avant de m’insérer sa queue chaude qui rentre un peu plus facilement après avoir préparé mon cul, mais non pas sans difficultés. Je sens son pilon forcer le passage dans mon trou étroit. Je commence à gémir, partagé entre la douleur et le plaisir et lui semble adorer. Il me dit de me lâcher complètement et c’est ce que j’essaie de faire, je souffle et il en profite pour donner des petits coups de reins saccadés, il sait que ça me fait gémir et il en profite. Il s’enfonce de plus en plus au plus profond de moi. Il me plaque la tête contre le dossier du canapé et commence à entamer une série de coup de reins vraiment forte, ce qui commence à me faire hurler de plaisir. Je sens mon trou s’écarter de plus en plus sous chacun de ses coups de reins marqués par des coups de queue de plus en plus forts. Jamais on ne m’avait baisé comme ça, et je pense que je n’avais jamais pris un si gros diamètre…

— t’en redemande hein? T’en veux encore ?
— oui, encore encore s’il te plait. Je veux que ta queue, je lui réponds.

Il me prend à quatre pattes encore une vingtaine de minutes en enchaînant les coups de queue très vifs avant de se retirer. Son énorme morceau m’a tellement élargit que même sorti, il laisse mon trou béant bien ouvert. Il en profite pour remettre deux doigts. Il dit :

— ah c’est plus ouvert après mon passage… on va pouvoir passer aux choses sérieuses.

Je me mets à l’embrasser et il m’entraîne dans la cuisine par la main. Il me fait signe de m’asseoir face à lui sur le plan de travail. Nos têtes sont presque au même niveau, bien que je dois lever les yeux pour le regarder vu qu’il est plus grand que moi. Il commence à me donner des grands coups de langue sur la bouche, et dans la bouche. Je l’embrasse langoureusement quand il me traine plus près vers lui avant de placer mes jambes sur son torse et par dessus ses épaules. Il me déplace avec une telle facilité. Mon trou est tellement ouvert qu’il glisse sa queue énorme et elle rentre toute seule, ça me fait un bien fou et je gémis tellement fort. Il me met une main sur la bouche et commence à me pilonner sans ménagement. J’essaie de ne pas gémir trop fort mais sa main sur ma bouche m’excite encore plus et il me remplit de désir un peu plus à chaque coup de bite qu’il me donne. Il entame un rythme si rapide que mes jambes commencent à trembler. À
chaque fois que son pubis tape contre le bas de mes couilles je ne peux m’empêcher d’hurler de plaisir et de me tordre ; jamais je n’aurais pensé qu’un aussi bon baiseur avec une énorme queue si juteuse vivait juste au dessus de chez moi.

Il continue à me pilonner super fort et je place une de mes mains derrière sa nuque et une autre derrière une de ses fesses pour le rapprocher un peu plus de moi à chaque coup de rein, comme s’il pouvait me la mettre encore plus profondément. Il me dit qu’il va plus pouvoir tenir très longtemps et je me mets à me branler pendant qu’il me lime de tout le long de sa teub. Je le sens se raidir au bout d’un moment et il appuie tout son corps contre la partie du mien et je sens ses grosses cuisses poilues et ses fesses se contracter, il est en train de déverser son jus bien épais et tout chaud à l’intérieur de moi. Il me remplit bien comme il faut et au même moment je me mets à juter partout sur mon torse. Il se met à bien tasser le jus avec sa queue encore bien dure. On continue à gémir tous les deux.

Il se retire et je l’entraîne dans la salle de bain. On prend une douche ensemble tout en s’embrassant et il me dit de me tenir prêt car il risque de revenir dans la nuit pour se vider une nouvelle fois tellement je l’ai excité… mais cette fois sur mon visage. Je suis ravi par ce qu’il m’annonce et m’attends déjà à être réveillé plus d’une fois par ce voisin bien monté pour me faire défoncer comme une petite chienne.