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HISTOIRE

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Orient-Express

Le train file à travers la plaine.

La lumière douce des appliques murales diffuse une ambiance intime, caressant le velours bordeaux des banquettes et les boiseries vernies. Une moquette épaisse et silencieuse étouffe les bruits de pas, invitant à la confidence et à la détente.

L'air, légèrement surchauffé, embaume un parfum discret de cire et de bois ancien, une odeur rassurante et familière, comme celle des bibliothèques d'antan.

De larges fenêtres offrent une vue panoramique sur le paysage hivernal. Dans ce cocon roulant, promesse d'un voyage confortable et paisible, l'intimité semble préservée, loin du tumulte extérieur.

C'est dans ce cadre douillet et propice aux confidences que l'histoire commence.

Sur la banquette opposée, un couple d'âge mûr est installé. L'homme, les cheveux poivre et sel soigneusement coiffés et lustrés de brillantine, porte un élégant costume trois pièces en tweed à fines rayures craie, rehaussé d'une montre à gousset dont la chaîne en or se devine sous son veston. Un chapeau melon, posé sur le porte-bagages, complète sa tenue. Son visage, aux traits fins et réguliers, exprime une sérénité tranquille, une assurance discrète.

Sa femme, à ses côtés, semble somnoler, la tête appuyée contre la vitre, un long manteau de fourrure jeté sur un ensemble de lainage sombre. Un châle de soie aux motifs Art Déco colorés drapé sur ses épaules ajoute une touche de fantaisie à sa mise. Ses cheveux, gris et épais, sont coupés au carré, et coiffés d'un chapeau cloche en feutre orné d'une broche discrète. Son visage, malgré les rides, conserve une certaine douceur, une beauté fanée mais encore présente, soulignée par un léger trait de rouge à lèvres carmin. Ils dégagent une aura de respectabilité bourgeoise, une discrétion naturelle qui les fond dans le décor feutré du wagon.

Un silence épais, moelleux comme la ouate, s'installe, ponctué par le ronronnement lancinant du train, le souffle chaud de la ventilation et le cliquetis rythmique des rails, une berceuse mécanique hypnotique. Mais sous cette surface lisse, je sens la tension monter, une vibration sourde, invisible mais intense, comme un accord secret qui pulse entre nos corps, un désir inavoué qui bat la chamade.

Soudain, au milieu de cette monotonie bercante, un signal, un frôlement imperceptible, un souffle tiède sur ma cuisse, puis une pression plus précise, plus affirmée, une promesse tactile. La main de Lucas, tel un serpent furtif, se glisse sous son veston de tweed pour venir se poser, brûlante, sur ma braguette.

Lucas, à peine vingt ans, incarne la fraîcheur et la vitalité. Sa jeunesse se lit dans ses traits fins, son teint hâlé et ses yeux d’un bleu profond, pétillants de malice et de désir. Ses cheveux bruns, légèrement ondulés, encadrent un visage expressif, où l’innocence se mêle à une sensualité naissante. Son corps, svelte et tonique, est celui d’un jeune homme en pleine possession de sa force, une promesse de plaisirs à venir.

Engagé à mon service quelques mois auparavant, il a rapidement su se rendre indispensable, son zèle et son intelligence dépassant de loin les attentes initiales. Mais derrière le masque de l’employé modèle se cache un tempérament joueur et audacieux, une soif de découvertes et de sensations fortes qui a rapidement attiré mon attention.

Notre relation évolue insidieusement, passant de la simple familiarité à une complicité trouble, teintée de désir. Lucas est devenu le confident de mes pensées les plus intimes, le témoin de mes faiblesses, le complice de mes vices. Il a su apprivoiser mes désirs, les deviner avant même que je ne les exprime, me poussant toujours plus loin dans l’exploration de nos limites.

Mon cœur rate un battement, s'emballant dans ma poitrine. L'audace du geste, simple et explosif à la fois, en plein wagon, me coupe le souffle, m'électrisant instantanément.

Je lutte pour conserver un masque de neutralité, un visage de marbre impassible, tandis qu'à l'intérieur, un tourbillon de sensations se déchaîne, un chaos délicieux de désir et d'appréhension. Son pouce, avec une lenteur calculée, trace des cercles de feu sur le tissu fin de mon pantalon de flanelle grise, juste au-dessus de mon gland.

La sensation, finement érotique à travers l'étoffe, est d'une intensité insoutenable. Mon sexe se réveille en sursaut, s'engorgeant de sang avec une impatience douloureuse. J'inspire profondément, l'air confiné du compartiment comme une bouffée d'oxygène, luttant pour maîtriser ma respiration qui s'accélère, pour dompter le désir qui monte en flèche.

Mes joues, je le sais, commencent à brûler, trahissant malgré moi le tumulte intérieur. Le risque grisant, vertigineux, d'être vus, pris en flagrant délit de ce jeu interdit, ajoute une pointe d'adrénaline excitante et dangereuse à l'excitation.

Un coup d'œil oblique et furtif vers le couple endormi. Toujours plongés dans un sommeil apparent, inconscients du théâtre silencieux qui se joue sous leurs yeux. Le risque, minime mais réel, d'être découverts, ajoute une saveur piquante, mordante à notre jeu clandestin.

La main de Lucas se fait plus entreprenante, plus assurée, presque arrogante. Son pouce, maintenant, effleure la ligne sensible de ma braguette, une caresse fugitive mais chargée de promesses, incroyablement suggestive. Je réprime un gémissement, la tension devenant électrique, à la limite du supportable.

Je me penche légèrement vers lui, simulant un intérêt soudain pour le paysage qui défile, prétexte pour me rapprocher, me coller à son oreille chaude, et lui murmurer d'une voix brisée : "- Tu es joueur… dis-moi…" ma voix à peine audible, un souffle de désir, une plainte muette, teintée d'excitation et d'une pointe d'appréhension. Un sourire entendu illumine son visage, ses yeux brillants comme des braises, mélange de malice enfantine et de désir adulte. Sa main continue sa caresse discrète, transformant ce trajet banal en une parenthèse érotique suspendue dans le temps, une promesse silencieuse de plaisirs plus intenses, plus audacieux, plus interdits à venir.

Et au moment précis où nos regards se reconnectent, électriques, chargés de défi et de désir… un mouvement anodin capte mon attention.


La femme, la première, ouvre lentement les yeux, émergeant d'un long sommeil. Un voile de confusion obscurcit encore son regard, puis la clarté revient, vive et soudaine, et son attention se fixe sur nous, et plus précisément, sur la main de Lucas posée avec désinvolture sur ma cuisse.

Son expression change instantanément. La somnolence matinale se volatilise, remplacée par une vive curiosité… et quelque chose d'autre, une étincelle trouble, une lueur étrange dans ses yeux que je n'ai pas immédiatement déchiffrée, mais qui me met en alerte.

Son mari, réveillé par le léger bruissement de sa femme, ouvre les yeux à son tour, un peu perdu, encore engourdi par le sommeil. Il suit machinalement le regard de son épouse, sans vraiment comprendre, l'esprit encore embrumé par le sommeil. Mais en voyant la scène, la main de ce jeune homme sur la cuisse de l'autre, un éclair le traverse.

Un frisson parcourt son échine, une sensation étrange, à la fois interdite et terriblement excitante. Il a toujours réprimé ces pensées, ces désirs inavouables qui le hantent en secret. Mais là, sous ses yeux, la scène se déroule, crue et impudique, et quelque chose en lui se réveille, une flamme longtemps étouffée qui se ranime avec une violence inattendue.

Un sourire se dessine lentement sur ses lèvres, un sourire énigmatique, lourd de sous-entendus, à la fois amusé et… surtout, troublé. Troublé par cette attraction soudaine, irrésistible, pour ces deux jeunes hommes, pour leur intimité flagrante, pour cette sensualité décomplexée qui explose sous ses yeux.

La scène, d'abord perçue avec amusement, semble maintenant titiller une fibre plus intime, plus personnelle. C'est lui qu'il aurait aimé être, jeune, libre, osant vivre ses désirs au grand jour. C'est moi qu'il aurait aimé toucher, posséder, caresser avec cette impudence. Mais à défaut, il se contente de regarder, de savourer par procuration, à travers les yeux de sa femme, ce plaisir interdit qui le fascine tant.

La femme, en particulier, semble fascinée, captivée, hypnotisée par la scène qui se déroule sous ses yeux. Ses pupilles pétillent d'une flamme intense de curiosité lubrique, suivant attentivement les mouvements furtifs de la main de Lucas, tel un félin guettant sa proie.

Lui, il ne voit que moi. Mon corps jeune et ferme, ma peau lisse et tendue, la promesse de plaisirs virils et intenses. Il imagine ses mains sur ma peau, ses lèvres sur mon corps, et un frisson le parcourt, mélange d'excitation et de culpabilité. Je sens son regard sur moi, comme un rayon laser invisible mais brûlant, un mélange d'approbation silencieuse et gourmande, et d'excitation voyeuriste à peine contenue. Il est là, spectateur privilégié d'une scène qu'il a toujours rêvé de vivre, mais qu'il n'oserait jamais s'autoriser.

Cette présence inattendue, ce public improvisé, au lieu de nous paralyser, semble paradoxalement nous galvaniser, tel un aphrodisiaque inespéré. Le caractère interdit de notre jeu érotique en public est décuplé par le fait d'avoir des spectateurs, même discrets et silencieux, presque complices. Une dimension exhibitionniste, jusqu'alors latente mais désormais évidente, s'ajoute subtilement à notre excitation, transformant notre jeu en une performance silencieuse et secrète.

Avec une audace grandissante, Lucas, d'un geste expert, déboutonne discrètement mon pantalon de flanelle grise. Sa main chaude et assurée se glisse sous le tissu, écartant mon pantalon et, avec lui, mon caleçon de coton fin.

Mon sexe, enfin libéré de toute entrave, jaillit sous sa caresse, dressé et impatient. L’homme, les yeux grands ouverts, fixe mon sexe avec intensité, hypnotisé par sa taille, sa couleur, son épaisseur, par son gland rougeoyant et humide de désir. Il est fasciné, obsédé par ce sexe offert, par la toison pubienne brune et insolente qui s’expose à lui.

Mais Lucas ne s'arrête pas là. Avec une lenteur théâtrale, il déboutonne les premiers boutons de ma chemise en soie, écartant délicatement le tissu pour dévoiler mon torse musclé. Mes pectoraux poilus et bombés, mes abdominaux dessinés, mes épaules larges et puissantes, tout mon corps d'athlète, habituellement dissimulé sous mes vêtements, s'offre soudainement au regard avide du couple.
Mes tétons se dressent instinctivement sous l'effet de l'excitation et de l'air frais, offrant un spectacle impudique et troublant.

Je sens les yeux de la femme et de l'homme se poser sur ma poitrine et sur mon sexe, analysant chaque détail, chaque relief, avec une curiosité dévorante. Une vague de chaleur m'envahit, mélange de honte et d'exhibitionnisme, tandis que mon cœur bat plus fort sous leurs regards inquisiteurs.

La main, maintenant libre de toute contrainte, commence à me masturber avec une lenteur calculée, chaque mouvement précis et intentionnel. La pression, d'abord légère, se fait plus ferme, plus appuyée, enveloppant mon sexe avec une chaleur brûlante.

Sous ses doigts experts, je sens mon membre durcir davantage, gonfler à vue d'œil, les veines saillantes vibrant sous la peau. Mon gland, devenant énorme, se gorge de sang, le prépuce ne bougeant presque plus, entravé par l'afflux sanguin.

Un frisson de honte et d'excitation me parcourt, l'air frais du compartiment venant caresser ma peau soudain exposée. Mon sexe, désormais libre et offert aux regards, palpite lourdement, demandant plus, exigeant l’assaut.

Et puis, sous mes yeux incrédules, écarquillés par la surprise et le désir, la main de la femme, celle posée avec une désinvolture de façade sur la cuisse de son mari, se détache délicatement, et se glisse… vers nous, franchissant l'espace interdit avec une audace inattendue et vient presque recouvrir celle de Lucas. Un mélange de jalousie et d'excitation le traverse.

C'est sa femme qui ose ce qu'il n'oserait jamais, qui touche ce corps qu'il convoite en secret. Je perçois du coin de l'œil le sourire entendu et satisfait du mari, qui semble savourer pleinement la tournure inattendue des événements, le spectacle érotique qui se déroule sous ses yeux.

Un spectacle homoérotique, il le réalise maintenant, qui le comble au-delà de ses espérances. Il se laisse visiblement volontiers déposséder de la main de sa femme, semblant encourager son audace, voire y participer de manière indirecte, par procuration voyeuriste.

Retirant sa main de mon sexe, avec une lenteur lascive, elle porte ses doigts à son nez, ferme les yeux un instant, et inspire profondément, comme pour s'imprégner de mon odeur, de mon essence virile, avant de regagner mon sexe. L’homme observe ce geste avec fascination, enviant secrètement sa femme.

Les yeux rivés sur cet entrelacement de mains, la respiration légèrement suspendue, il laisse échapper un souffle court, comme un soupir de plaisir contenu, son excitation visiblement à son comble. Son excitation homosexuelle, il n'y a plus de doute, est à son paroxysme.

Il laisse glisser discrètement sa main sous sa propre veste, puis, avec une lenteur calculée, il ouvre silencieusement la braguette de son pantalon. Sous nos yeux incrédules, sans la moindre hésitation, sans une once de gêne, il sort son sexe court, mais incroyablement épais, obscène, offensant,

Il commence à se masturber lentement, ses yeux toujours rivés sur mon sexe offert aux caresses de la main de sa femme et de celle de Lucas. Une masturbation discrète, mais pleine d'une assurance provocante, qui résonne comme une réponse à l'audace de sa femme, comme une invitation à poursuivre l'escalade érotique.

Et c'est alors que la femme, se penchant encore davantage vers moi, brisant la distance et les convenances avec une détermination inattendue, réalise le geste le plus audacieux de toute la scène.

Elle pose délicatement ses lèvres… sur mon sexe. Un contact humide et chaud qui me fait frissonner de la tête aux pieds. Sa bouche se referme sur mon gland avec une douceur experte, puis une aspiration délicate, avant de se faire plus gourmande, plus insistante. Sa langue, agile et précise, commence son travail, explorant la couronne de mon gland, léchant le frein avec une attention experte, avant de s'enrouler autour de mon sexe, le gorgeant de sa salive chaude et humide.

Ses lèvres, douces et charnues, exercent une pression délicieuse, tandis que sa langue vibre contre mon frein, envoyant des vagues de plaisir incandescentes à travers tout mon corps. Elle varie les rythmes, alternant succions profondes et léchages rapides, mordillements légers et aspirations plus appuyées, jouant avec la tension qui monte en moi, me menant au bord de l'explosion.

Je sens mon sexe palpiter sous sa langue experte, chaque mouvement, chaque variation de pression me rapprochant un peu plus du paroxysme. Un gémissement contenu s'échappe de ma gorge, tandis que mes mains se crispent sur le dossier du siège, luttant pour ne pas céder complètement à l'assaut de plaisir qui me submerge.


Lucas, de son côté, a laissé mon sexe à la femme et m’embrasse, sa langue explorant ma bouche avec une frénésie, ses dents mordillant doucement ma lèvre inférieure, ajoutant une nouvelle dimension à l'assaut sensoriel.

L'homme, témoin privilégié, laisse échapper un gémissement discret. Ses yeux détaillent mon sexe offert, ce beau sexe brun, épais, veineux, avec son gros gland rougeoyant et humide de désir.

Il se masturbe plus vite maintenant. Il est hypnotisé par le spectacle, par la bouche de sa femme sur mon sexe, par la beauté de mon corps offert à leurs convoitises. Une ivresse homosexuelle voyeuriste le submerge, abandonnant toute résistance, toute culpabilité.

Et puis, presque au même moment, je sens le doigt fin de la femme se glisser délicatement dans mon anus, une intrusion inattendue et incroyablement excitante. La sensation, d'abord surprenante, se transforme rapidement en un picotement de plaisir intense, irradiant dans tout mon bassin, amplifiant chaque succion, chaque baiser, chaque caresse à son paroxysme.

Il voit sa femme et Lucas se partager mon corps, se disputer mon plaisir. Une excitation trouble le traverse, mélange de jalousie et de voyeurisme. Il aurait aimé être à leur place, être celui qui me donnait du plaisir, être celui qui me possédait.

Les sensations, multipliées et complexes, me submergent. La chaleur de leurs deux bouches, la douceur de leurs langues, la pression de leurs lèvres, le regard vicieux de l’homme, son sexe … tout cela vient amplifier mon excitation, porter mon désir à un niveau jamais atteint.
Et c’est à cet instant précis, que le paroxysme nous emporte, tous les trois, dans une vague de plaisir collectif et débridé.

Une onde de choc parcourt mon corps, secoué de spasmes puissants et incontrôlables. Un long gémissement rauque, mêlé de surprise et de plaisir, s'échappe de ma gorge, tandis qu'un flot de sperme brûlant jaillit de ma verge, inondant les bouches avides de la femme et de Lucas qui l’a rejointe avant l’éruption.

L'homme, les yeux exorbités, le visage congestionné, observe ma jouissance avec une avidité dévorante, absorbant chaque spasme, chaque soubresaut de mon corps comme si c'était lui qui jouissait, comme si mon plaisir était son plaisir, comme si ma virilité se déversait en lui.

Au même instant, je sens la femme se tendre sous mes mains, son corps se crispant en une vague de contractions intenses. Sa culotte doit être trempée. Un soupir de jouissance, profond et guttural, vient ponctuer son propre orgasme.

Et Lucas, collé contre moi, frémit à son tour, son corps vibrant de spasmes de plaisir, souillant l’intérieur de son pantalon, la main crispée sur sa braguette, sa respiration saccadée se mêlant à la mienne dans un souffle de satisfaction partagée.

L'homme, le visage crispé par l'orgasme, laisse échapper des râles de plaisir rauques, son corps entier parcouru de spasmes discrets mais puissants, témoignant d'une jouissance profonde et intense. Il jouit à son tour, son sperme jaillissant en jets courts et épais sur sa main, son corps entier parcouru de spasmes puissants, témoignant de l'intensité de son orgasme voyeuriste.

Son sperme jaillit, symboliquement, en même temps que le mien, comme si son orgasme homosexuel était inextricablement lié au mien, comme si ma jouissance avait débloqué la sienne.

Dans le compartiment de train, désormais saturé d’une tension érotique presque palpable, presque matérielle, un silence lourd et haletant s'installe. Seules nos respirations rapides et saccadées viennent briser le silence, témoignant de l’intensité de l’instant que nous venons de partager, de l’énergie érotique que nous avons libérée ensemble.

Le train, lui, continue sa course folle à travers la campagne, impassible témoin de nos transgressions, emportant avec lui le secret brûlant de notre jouissance à quatre, laissant derrière nous les limites de la pudeur et de l'interdit, pour un instant de pure et simple communion charnelle partagée.

Lentement, nous nous séparons, brisant les contacts physiques, revenant à la réalité du compartiment de train.

Je me rhabille rapidement lissant les plis de ma chemise et de mon pantalon, le sexe encore suintant dans mon caleçon. La femme relève la tête, ses yeux brillants d’une satisfaction intense, un léger sourire amusé étirant ses lèvres rougies. Lucas se redresse à son tour, le visage encore congestionné, les yeux humides de plaisir, un sourire complice se dessinant sur son visage. L’homme, referme son pantalon, la braguette tachée, et pose un regard satisfait sur moi, un mélange de triomphe voyeuriste et de reconnaissance muette.
Nos regards se croisent à nouveau, silencieux mais éloquents, échangeant un bilan muet de notre expérience partagée. Une forme de complicité nouvelle, de connivence inavouée, s'est tissée entre nous quatre, liée par le secret de nos transgressions, par l’intensité de nos plaisirs partagés.
Dans une atmosphère chargée en odeurs de sueur et de foutre, le contrôleur surgit pour contrôler nos billets.

Jerem384

frenchbi69@laposte.net

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