Cela fait une semaine que je suis parti en Norvège avec 10 élèves et le service civique de mon école. Ils sont en stage dans une ferme pédagogique, pendant ce temps nous les accompagnons mangeons avec eux le midi et j'avance pas mal sur l'administratif. Nous sommes logés dans une maison en A où nous sommes deux par chambre, je suis naturellement avec Damien qui m'accompagne pour ce séjour.
J'ai 30 ans et je m'appelle Fabien, je suis ce qu'on nomme désormais un bear, un petit ventre, une bonne barbe brune qui joue un rôle important pour assouvir mon autorité avec des cheveux courts. Je suis clairement dans la moyenne niveau taille avec mes 1,76m. Je suis en couple depuis maintenant un an et nous avons décidé de passer au couple libre sans réellement chercher à taper dans tout ce qui bouge. La décision a été prise juste avant mon départ en Norvège. Et ça fait une semaine que j'ai pas tapé dans un cul et je commence clairement à loucher sur les Norvégiens que nous croisons ainsi que parfois sur Damien.
C'est un ancien élève de l'école que j'ai eu en terminale la première année que je suis arrivé. Il était le beaugoss timide qui faisait craquer les filles sans réellement y gouter. Cela faisait deux ans qu'il avait quitté l'école, mais a décidé de venir faire un service civique le temps de pouvoir commencer dans sa nouvelle école. Il était encore plus charmant du haut de 20 ans. Je suis son tuteur, et nous avions décidé en équipe qu'il m'accompagnerait pour le voyage même si normalement les jeunes doivent se débrouiller seul. Nous gérons surtout les courses et les repas ainsi que la petite "bobologie".
Nous sommes en plein mois de février, et nous sommes déjà à la deuxième tempête de neige, ce qui démoralise un peu les troupes. Nous avons prévu le coup avec Damien, puisqu'on avait acheté la veille de quoi faire des pâtes carbonara. Pendant que les jeunes sont dans leur chambre à prendre leur douche et à téléphoner à leurs parents, nous décidons de commencer le repas. Pendant que je prépare les oignons et que Damien coupe les lardons, nous discutons de l'organisation de la semaine.
- Je peux te poser une question Flavien ? me dit-il en jetant le lard dans la poêle.
- Vas-y, j'ai surement une réponse.
- Erasmus doit servir à gagner en autonomie pour les gamins, pourtant on les accompagne tous les jours à la ferme, et on reste sur place.
- Je sais, mais tu sais comment je les protège.
- Ouais enfin là, ils ont une ligne de bus à prendre qui est au bout de la rue et qui les dépose devant la ferme. Tu ne penses pas qu'on pourrait les laisser se gérer seul.
- Tu n'as pas tort. Tu veux que demain on teste de les laisser seuls ?
- Après on voit si le reste de la semaine ça se gère. Et on a pas les gamins les plus chiants de leurs classes. Ils sont vraiment bien.
- Ok mais on prend quand même le petit déjeuner avec eux, comme ça je suis sûr qu'ils partent tous.
- Ça nous ferra un moment pour nous sans élèves.
Je vois Damien partir dans ses pensées avec un grand sourire. Je crois que ça va lui faire du bien de passer une journée réellement sans jeune. Nous continuons de préparer le repas puis nous annoncer au cours de ce dernier que les jeunes seront en autonomie pour la journée de demain. Après nous, jouons à AmongUs le temps de la soirée et à 22h tout le monde est au lit. À 22h30, j'éteins la lumière, Damien s'étant déjà couché.
Je m'endors rapidement et me réveille à 5h25 juste avant mon réveil par un organe gorgé de sang qui n'en peut plus. Damien dort encore, et je décide d'aller dans la salle de bain pour prendre une douce avant d'aller réveiller les gamins. Ma queue est droite comme un piquet et je me dépêche de sortir avant que le réveil de mon coloc ne s'active. La douche n'aide pas à me calmer bien au contraire, elle ne se calme que lorsque je me lave les dents, j'espère pouvoir me faire du bien dans la semaine comme nous serons un peu plus libre dans la journée. À 5h45, je rentre dans la chambre et je vois que Damien s'est rendomi. Je profite pour le regarder. Il a viré l'ensemble de ses draps et dort sur le ventre en boxer. Cela lui moule vraiment son fessier qui est musclé. Ce qui réveille immédiatement en moi des envies. Je sais qu'il a un réveil à 6h donc je commence à préparer le petit déjeuner en attendant qu'il se lève.
Dès que j'ai fini, je commence à aller réveiller chacune des chambres, le départ étant à 7h00. Je retrouve Damien en tshirt et jogging qui apportent le café sur la table.
- Alors le réveil est difficile ce matin ?
- Ouais, je vais clairement faire une sieste tantôt.
- Petit chat, il ne tient pas la cadence alors que c'est moi qui ai 30ans.
- Pardon, papa, je me coucherais plus tôt ce soir.
On se met à rire et les jeunes commencent déjà à descendre qui ont eux aussi du mal à se réveiller. C'est vrai que pour des gamins de 15/16 ans, c'est tôt. Nous partons ensemble vers 7h00, jusqu'à l'arrêt de bus. Damien pendant ce temps va à la douche. J'en ai pour 20 min, le temps de vérifier que les jeunes sont bien tous partis dans le bus. Je passe devant la salle de bain, j'entends Damien se laver les dents. Je profite pour aller rapidement dans notre chambre et me mettre en tenue plus confortable. J'enfile alors un short sans mettre de boxer et je mets un tshirt ample pour me sentir à l'aise. C'est à ce moment-là que Damien entre seulement vêtu d'un slip.
Je le regarde, il est vraiment beau. Légèrement plus petit que moi, avec des cheveux mi-longs, et des yeux noirs profonds. Une mâchoire carrée pourrait lui donner un air assez fermé, mais il arbore toujours un sourire qui lui donne une gueule d'ange. Je peux m'empêcher de commence à descendre le regard. Il est finement dessiné. Un duvet commençant par son pubis recouvre son bas ventre. Ses jambes sont plus poilues que le reste du corps. Je m'attarde sur sa bosse, qui semble bien remplir son sous-vêtement. J'évite de m'attarder, car je sens que mon short ne pourra pas cacher une érection complète. Je me permets quand même un commentaire. Je profite de m'assoir sur mon lit pour cacher mon début d'érection. Il pose sa serviette et fait de même sur le sien qui lui fait face.
- hé bé, déjà avec ta gueule d'ange tu dois en attirer plus d'une, elles doivent être très contente du reste.
- Merci du compliment vieux pervers, mais je suis toujours puceau.
- Ho tu n'as pas trouvé une personne de confiance ?
- Si, mais je ne sais pas s'il serait d'accord.
- Il ? Je croyais que tu préférais les filles. Tu n'étais pas sorti avec Emma ?
- Oui, mais j'ai compris que c'était pas les filles qui m'intéressaient.
- Et le mec qui t'intéresse, tu l'intéresses aussi ? Je veux dire, je sais que tu es timide sur le sujet, donc je veux pas te forcer à en parler.
- Je sais pas trop, je ne sais pas si je suis son type d'homme et il est en couple.
- Bon déjà tu sais qu'il aime les hommes. Et puis y a pas mal de couples ouverts. Si tu es en confiance avec lui, c'est bien pour une première fois. Tu as déjà essayé de faire un premier pas ?
- J'ai déjà commencé, mais il n'a pas l'air de réagir plus que ça.
- Essaie d'être plus direct, sinon tu vas pouvoir attendre longtemps.
Je vois alors Damien se lever, et s'approcher de mon lit. Il se pose alors à côté de moi. Je comprends alors que c'est moi dont il parle.
- Depuis combien de temps ?
- Dès le premier cours, je sais que cela date. Au début, le fait que tu sois mon professeur m'a pas mal retenu. Puis je me suis dit qu'après le bac, j'aurais pu essayer, mais je n’avais pas le courage. J'ai laissé tomber. Mais j'ai bien pensé à toi. Quand j'ai vu l'annonce pour le service civique, je me suis dit que c'était le bon moment. Je me suis mis en tête que je devais essayer, au moins savoir si c'est réciproque.
- C'est un très joli compliment de me dire que tu as assez confiance en moi pour le faire une première fois avec moi. Te connaissant je sais que cela te demande beaucoup de courage. Tu souhaites commencer maintenant ?
- Oui. J'ai hâte, monsieur le professeur.
Je prends alors son visage à demain, et commencer à poser mes lèvres sur les siennes. Elles sont douces et sentent la menthe. Je sens qu'il s'est rasé de près. Je sens ma queue qui tend mon short.
À la fin de notre baisé, je lui demande :
- Tu es prêt à aller jusqu'à où ?
- Tu peux tout me faire découvrir.
- Tu es prêt à prendre ma queue ?
- Je n'attends que ça, je me doigte régulièrement pour me préparer.
- Et bien nous allons voir ça.
Je l'embrasse à nouveau, je prends sa langue en bouche pour lui aspirer. Je joue avec, en augmentant et réduisant la pression dans ma bouche. Je le prends dans mes bras, je sens alors la chaleur de son corps, mon t-shirt fait encore barrière entre nos deux corps. Je lui mordille la lève supérieur en l'allongeant.
Je le dépose contre le matelas. Je commence à embrasser son cou, je lui glisse à l'oreille "Je vais te sucer pour te montrer, mais ça sera surement la seule fois". Je glisse ma langue, le long de sa nuque, je me mets entre ses jambes, en les calant contre mon bassin. Je le regarde, il est vraiment beau, dans cette position ses abdos sont saillants. Son slip est tendu, et... surprise, une tâche humide s'est formée. Il est vraiment excité, j'espère qu'il ne jouira pas immédiatement. Il m'observe aussi, il passe ses mains sous mon tshirt pour me caresser, cela fait immédiatement pulser ma queue. Nos regards se croisent, lui sourit, et il me le rend. Je descends pour attaquer ses tétons en prenants ses hanches en main, cela permet d'effectuer des mouvements de vas et viens sur mon short. Je prends avec mes lèvres son téton droit et je commence à jouer avec le bout de ma langue. Il se tortille dans tous les sens en gémissant, de sa main gauche il me tient la tête. J'adore
lorsque mon partenaire réagit ainsi lorsque je joue avec ses tétons. Je me retiens de ne pas le lui mordre. Je veux y aller doucement, ne pas l'effrayer. Je touche son slip, rapidement, il est vraiment humide.
Quelques minutes après, je pose des baisers sur ses abdos, je sens alors un très léger duvet qui le recouvre. En même temps, je descends son slip et le jeté par terre, sa queue est enfin libérée. Je la regarde un peu, elle ne doit pas dépasser les 15 cm, ni épaisse, ni fine, je la trouve vraiment belle. Elle n'est pas circoncise, mais il est tellement excité que le prépuce a presque disparu. Elle est légèrement incurvée vers la droite. La ligne de poil qui va de son nombril à son pubis est vraiment légère. Il doit entre tenir ce dernier, car les poils ne sont pas hauts et ses petites couilles sont toutes lisses. Je lui pose un baisé sur sa tige qui réagit par un subressaut. Je lui demande si cela va, il me répond par un petit oui timide. Je sors alors ma langue pour longer de haut en bas. Après quelques mouvements, je pose mes lèvres sur son gland luisant de mouille qui coule sur son bas ventre. Quel délice, je prends entièrement sa queue en bouche et glisse m
es mains entre lui et le lit pour tenir fermement ses deux globes, lui aussi avec un duvet. Je fais glisser sa queue entre mes lèvres en répétant la même succion qu'avec sa langue lors de notre baisé. Il gémit fort, sa queue expulse beaucoup de mouille que j'avale avec délice. Dès que je la prends entièrement, il gémit, il suit le rythme. Je sens que sa queue commence à durcir encore plus, merde, il va juter dans ma bouche.
Je lâche immédiatement, je l'embrasse. Ma queue a le gout de sa mouille et il le remarque, par un petit recule de surprise que je m'embrasse de raviver.
- Une règle importante, tu préviens toujours ton partenaire lorsque tu vas jouir.
- Oui, je suis désolé, je ne pensais pas que j'allais venir aussi rapidement.
- Tu t'es branlé quand la dernière fois ?
- Le matin du départ.
- C'est normal, je suis pareil, je vais pas tenir longtemps.
Je l'embrasse à nouveau et me lève pour fouiller ma valise. Il s'assoit sur le bord du lit pour regarder ce que je fais. J'en sors un tube de lubrifiant, et une capote. J'en profite pour enlever mon tshirt. Et je mets face à lui. Il a très bien compris où je voulais en venir puisqu'il se trouve face à un short totalement déformer par mon érection. Il prend par l'élastique puis le fait tomber, sur mes pieds. Ma queue jaillie sur son visage, bien dure, mon frein me faisant déjà mal à cause de mon excitation. Ses yeux se sont écarquillés.
- Ho putain
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Je pensais pas qu'elle était aussi grosse.
- Elle ne fait que 20 cm, tu verras c'est pas si rare.
- Oui, mais y a aussi la largeur.
Il prend d'une main ma queue et de l'autre mes couilles.
- Putain rien qu'une de tes couilles corresponds à mes deux couilles.
- Tu veux gouter à ma queue ?
- Avec plaisir.
Je prends alors sa tête à demain, et approche mon membre, il ouvre la bouche, et ferme les yeux.
Je ne mets que la moitié.
- Ne cherche pas à la mettre entière, pour l'instant cherche à l'apprécier en te concentrant sur mon gland et surtout à ne pas mettre les dents. Je vais faire le rythme, vu mon degré de manque et d'excitation. Cela ne sera pas long.
- Hum hum.
Bon, on va pas se mentir, ce n’est pas la meilleure pipe du siècle, mais il est vraiment affamé, et appliqué. Pour une première pipe, c'est pas mal. Il suit le rythme assez léger pour ne pas me faire juter rapidement. Je regarde sa queue, elle coule sur le sol. Je l'arrête et l'allonge sur le ventre. Je commence à lui embrasser la nuque. Ma queue frotte son fessier et se fraie un chemin entre les deux bloques. Je descends avec ma langue le long de sa colonne vertébrale. Je prends son fessier entre mes deux mains de façon à découvrir son œillet encore puceau et y plonge mon visage, langue la première. Dès que je sens son trou sur ma langue, Damien émet un gémissement de plaisir. J'essaie de m'appliquer quelques minutes, mais mon côté bestial ne peut s'empêcher de prendre le dessus. Je lui bouffe le trou, à chaque coup d'attaque un râle de plaisir se fait entendre. Son trou s'ouvre de plus en plus et pour m'encourage il relève son fessier. Cela fait bien dix mi
nutes et ma langue fatigue doucement. Je décide de tester avec mes doigts. Je glisse mon majeur et mon index sur son gland humide dont je relève la mouille pour y tartiner son trou. Il s'ouvre de plus en plus. J'y glisse un puis deux doigts rapidement. Il doit avoir l'habitude.
- Je vois que tu m'avais pas menti, ton trou est bien ouvert. Je peux y mettre ma queue ?
- J'attends que ça !
Il n'y a pas besoin de le dire deux fois. Je prends rapidement une capote dans mon sac et un tube de lubrifiant. J'en mets sur ma queue et j'enfile le préservatif. Je prends une noisette du tube pour y glisser deux doigts dans son trou toujours bien ouvert. Je m'allonge alors sur lui, glisse ma queue sur son trou. Sans même me laisser faire, il lève légèrement ses fesses pour que mon gland rentre. Je commence alors de léger va et bien pour y glisse doucement mon chibre qui rentre entièrement. Lorsque je suis à la garde, je me pose sur lui et l'embrasse dans le cou.
- Tu tiens le coup ? Lui glisse je ai l'oreille.
- Je la sens passer, mais ça fait tellement de bien, continu.
- Si tu te sens venir, tu y vas ok, ne te retiens pas.
Je pose alors mes poings sur le lit pour me relever et commence à bouger pour augmenter la cadence de mes coups de reins. Chacun lui apporte un gémissement qui suit le rythme et qui augmente à mesure de mes coups de butoir. Le gamin encaisse vraiment bien pour un puceau. Je le vois serrer ses mains contre le drap et mordre son oreiller. Je ralentis alors les va et viens.
- J'y vais trop fort ?
- Non continue bien fort ça fait vraiment du bien.
Je ne me fais pas prier et recommence mon labeur. Je sens son anus se contracter et dans un cri étouffer par l'oreiller, je sens ce dernier se contracter. Il est en train de jouir. Je prends mes précautions et sors doucement de ses entrailles. J'en lève la capote et m'assois sur le lit. Il se retourne plein de sperme sur les abdos que le drap n'a pas entièrement absorbé. Il se met sur mon torse et se blottit contre moi, prenant ma queue entre mes mains. Il m'embrasse puis me dit :
- J'ai envie de gouter ton jus
- Ok mais laisse-moi faire.
Je prends alors ma queue en main et de l'autre libre, je joue avec son trou qui est béant. Je l'embrasse et mon jus ne tarde pas à sortir. Il relève alors la tête pour le lécher sur mon ventre et récupérer la dernière goutte sur mon gland. Il me pose un baiser plein de jus et me regarde.
- Merci, ça fait du bien, mais je pense qu'on est bon pour la douche. On y va ?
- Vas y j'arrive, je vais cacher la capote avant.
Je le regarde partir à poil vers la douche. Je le rejoins dès que j'ai jeté la capote proprement.
Ce petit manège dura toute la semaine à chaque fois que les élevées étaient en stage.
N’hésitez à m'envoyer un message, j'adore avoir des retours ;)
L3vicura
l3vicura@mailo.com
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