Premier épisode
Chapitre-2
Salut,
Je m’appelle Esteban. J’ai 21 ans et je suis étudiant STAPS (études de sport). Je suis bien foutu, musclé, sportif. Je fais mes études dans une petite ville et étant donné que je viens d’un village très éloigné, durant la semaine, je suis en internat. Mon pote de chambre s’appelle Nico. Il vient de Savoie, il est comme, sportif et bien foutu... à peu près comme tous les mecs de notre école car bien entendu, nous faisons beaucoup de sport. Nico et moi sommes deux hétéros. Mais à la suite d’un plan à trois avec une meuf, Nico m’a sucé pour me vider les couilles... et je l’ai laissé faire. Puis, il m’a baisé et ensemencé... juste avant que je lui rende la pareille !
Le lendemain de notre partie de jambes en l’air, je me lève. Je trouve Nico dans la cuisine en train de faire un café. Quand je rentre dans la pièce, il me dit :
- Salut, toi. Bien dormi ?
Je réponds que j’ai bien dormi. Il me tend une tasse de café et on s’assoit à la table. On parle des cours et je me rends compte qu’il fait comme si rien ne s’était passé hier. Je suis un peu perturbé, je dois avouer... Je m’attendais à quelque chose de plus intense, de plus particulier entre nous. Je secoue la tête, chassant ces pensées. Je me dis : « Qu’est-ce qui se passe ? Je suis hétéro. Nico aussi. On s’est juste fait plaisir entre potes. C’est tout ! »
Nico et moi finissons par nous préparer et nous allons en cours. La journée se passe bien. Finalement, je me fais une raison : c’était une très belle soirée qu’on pourra sûrement revivre de temps en temps.
Nico va à la salle de sport le soir. Quant à moi, j’ai des devoirs à faire. Vers 18h, je vois que je commence à avoir faim, je vais dans la cuisine et je commence à faire à manger. Je vois Nico rentre dans notre chambre vers 18h30. Il rentre dans la cuisine et il me dit :
- Ah cool ! Tu fais à manger ! Je viens de t'aider, 2 secondes je pose mes affaires !
Il revient deux minutes plus tard. Alors que je suis en train de goûter la sauce des pâtes que j’ai faite moi-même, il prend ma cuillère, il la plonge dans la casserole et il goûte.
- Très bon, dit-il, en me donnant une fessée
Sans faire attention à ma surprise, il se dirige vers le frigo, il prend une bière. Il m’en donne une. On trinque. Se faisant, il passe sa main sur mon ventre. Bizarrement, il insiste longuement. Je le regarde dans les yeux et une envie soudaine monte en moi. Je passe alors derrière lui et je me mets à lui caresser le cul. Immédiatement, ma bite se dresse. Je l’embrasse dans le cou. Je frotte mon morceau déjà bien dur, toujours enfermé dans mon pantalon, contre ses fesses. Il me murmure à l’oreille :
- J’ai eu envie de toi toute la journée.
Comme seule réponse, je baisse alors son pantalon et je malaxe ses fesses. Je mouille un doigt que je lui enfonce à l’intérieur. Quelques secondes après, je le fais un peu pencher en avant et j’enfonce doucement ma teub dans son trou. J’y vais lentement. Je sens ses sphincters se dilater sous la pression de ma queue. Je m’enfonce complètement en lui. Je sens mes couilles contre son périnée. Je pose mes mains sur ses fesses, puis j’attrape ses hanches. Je me mets à donner de petits coups de queue.
A un moment, je fais ressortir ma bite, je le prends sous les bras et je me colle contre le mur. Nico s’enfonce alors sur ma teub. Je commence à donner des coups de rein juste en bougeant mon fessier. J’adore le trou de Nico... J’adore mon pote... qui est pour le moment mon vide-couilles ! Rien qu’à cette pensée, mes coups de queue deviennent de plus en plus puissants, de plus en plus sauvages. Mes cuisses claquent contre ses fesses. J’adore le baiser, je dois l’avouer. Je pourrais vraiment y prendre goût. Je donne libre court à mon envie et je le défonce bien.
Je finis par donner un grand coup de reins et j’éjacule en Nico. Ce sont 6 jets de sperme qui viennent l’ensemencer. Je ressors, je fais immédiatement remonter son pantalon. Il frisonne. Je sais qu’il sent mon sperme dégouliner dans son caleçon. Je remonte mon pantalon. Aux anges, on finit de préparer à manger. On va ensuite sur le canapé et on mange.
Après, on se mate film et après, chacun rejoint sa chambre. Mais vers minuit, je ne peux pas dormir, je repense à la veille... ainsi qu’à notre baise rapide dans la cuisine. Je revois encore son trou dégoulinant de mon sperme... « Nico est mon vide-couilles », me dis-je. Et rempli d’une excitation hors norme, je me glisse dans la chambre de Nico. Il est sur son lit en train de mater quelque chose sur son portable. Il me regarde d’un air étonné. Je me précipite sur lui, je prends sa tête dans mes mains et je lui roule une grosse pelle. Il répond très vite à mes baisers et on s’embrasse de façon torride. J’ai ma tête contre la sienne. J’ai mes mains sur son visage que je caresse. Mes mains se mettent à caresser tout son corps. Puis, elles passent aussi sur son cul. On s’embrasse pendant de longues minutes. Nico me fait mettre à poil. Je fais pareil avec lui.
Nico a un corps athlétique. Il est assez petit (1,70m), il est brun. Il a un visage juvénile et il porte une petite moustache. Il a un corps musclé avec de gros pectoraux et de magnifiques abdos. Ses cuisses sont aussi bien développées. Il a de gros tétons rougeâtres. Son corps est recouvert d’un duvet de poils noirs, courts et fins. Il a un cul bombé et très musclé, lui aussi très poilu. Son pubis est très velu aussi, avec des poils blonds et frisés. Entre les jambes, il a une queue qui semble plus grosse que la moyenne. Elle pendouille entre ses cuisses et elle bouge lourdement. Il a de grosses couilles marron et poilues qui mettent bien en évidence sa grosse teub.
Quant à moi, je fais 1,80m. Je suis blond, avec une barbe de trois jours, mon corps est imberbe. J’ai des poils sous les aisselles et sur le pubis, qui est assez velu. Mes couilles sont aussi poilues tout comme mes jambes. Je suis musclé sec, avec des biceps et des pecs bien dessinés. Au repos, ma teub est plutôt petite mais elle est très épaisse et mon gland est proéminent. J’ai de grosses couilles pendantes, lourdes, velues.
Soudain, Nico semble renifler quelque chose. Tout d’un coup, il me fait lever le bras et il plonge sa tête contre mon aisselle. Il se met à snifer l’odeur qui s’en dégage. Je remarque que mon déo ne fait plus effet. Il passe sa langue sur mes poils de dessous de bras... et c’est comme s’il broutait mes aisselles. Je le sens snifer, il s’enivre de mon odeur de mâle. Ensuite, sa langue descend le long de mon corps et elle arrive au niveau de mon entrejambe. Sa langue passe sur mes couilles et sur ma teub. Je le regarde avec excitation s’occuper de mes boules. Il se met à les gober, à les lécher. Je vois qu’on bande bien tous les deux.
La teub de Nico est marron, veinée, épaisse. Elle doit bien faire 20 cm, elle est recourbée vers le haut. Il a de grosses couilles marron et poilues. Ma queue fait dans les 18 cm, elle est épaisse et plus foncée que ma peau. J’ai un gros gland rosâtre et de grosses couilles pendantes, lourdes, velues.
Il me fait poser sur le lit et il commence à s’occuper de ma teub, il se met à lécher mon gland et à en titiller le frein. Puis, il prend ma queue en bouche et il se met à faire des allers-retours dessus. Je me détends, mes mains derrière ma tête, et je savoure son traitement. Parfois je donne quelques coups de bite et son menton tape contre mes boules : j’adore ça. Très vite, il me fait des gorges profondes. Je gémis fort. Puis, sa langue passe le long de mon périnée. Il me fait lever les jambes. Il enfonce sa tête entre ma raie et il se met directement à me bouffer le cul, tout en mouillant bien mon intérieur. Je me branle tout en gémissant car sa langue provoque des merveilles en moi. C’est vraiment magnifique. C’est la première fois qu’on me fait un anulingus et je trouve ça merveilleux. Ensuite, sa langue remonte le long de mes boules et de ma teub et il reprend sa suce. Finalement, je me redresse et je saisis sa bite. Je l’enfonce dans ma bouche. Je tente de l’avaler complètement, sans succès. Alors, je lui lèche d’abord le gland, en mouillant bien sa tige. Je commence doucement à le sucer, puis j’accélère la cadence. Je le suce passionnément, ce qui le fait bien gémir. Je masse en même temps ses grosses couilles poilues.
Je finis par me redresser après 5 minutes, je vais vers lui et on s’embrasse passionnément. Nos lèvres ne peuvent se séparer. Nos baisers sont torrides et sauvages. Ensuite, je passe derrière lui et je crache sur son trou velu. J’y enfonce doucement un doigt dans son trou. Nico soupire. Je remarque alors que mon sperme est toujours dans son anus. Je le doigte un peu, puis je lui enfonce deux doigts qui rentrent en lui comme dans du beurre. Je le baise avec mes doigts énergiquement, en massant sa prostate. Nico gémit fort.
Je le prends par les épaules, j’enfonce mes 18 cm dans son trou et je me mets à le défoncer. Je suis vraiment très excité. Je donne libre cours à mes envies bestiales. J’admire ma teub aller et venir sans capote dans son cul. C’est vraiment trop bon, mes boules tapent contre ses fesses. Je me fais vraiment plaisir.
Au bout de quelques minutes, je sors de son cul. Il se précipite sur ma queue pour la lécher. Je me couche sur le lit et je savoure ses caresses buccales. Puis, Nico enjambe mon corps, il s’empale sur ma bite, il se met à faire des allers-retours rapides. Je me laisse faire et je savoure. Parfois, je prends sa teub en main que je branle. Après un petit moment, je le fais renverser sur le dos, ma queue toujours en lui, et je me mets à donner de grands coups de reins. Sans pitié, je le défonce. Je le regarde dans les yeux et parfois on se roule de grosses pelles bien sauvages. Je sens mon jus monter, j’accélère la cadence. Et dans un ultime coup de reins, je jute au fond de ses entrailles. Je sens ma queue pulser pour lui gicler une dizaine de jets au fond de lui. Je prends sa bite en main et je la branle, tandis que la mienne est toujours enfoncée en lui. Très vite, sa teub expulse 9 gros jets qui vont tapisser le mur derrière nous.
Je sors de son cul dégoulinant et je le prends dans mes bras. On s’embrasse un peu, puis je retourne dans ma chambre.
Et voilà comment se passe la nouvelle vie dans la coloc avec mon pote Nico. On baise au moins une fois par jour ensemble. A chaque fois que je me dis que Nico est devenu mon passif « vide-couilles », je bande immédiatement. Le maximum qu’on fait, c’est 4 fois pendant la journée. On devient très complices, notre amitié s’en retrouve renforcé. Bizarrement, depuis, je ne cherche pas d’autres meufs pour me vider les couilles. Il y a énormément de respect et d'affection entre nous deux, mais je baise Nico comme s’il était mon vide-couilles en lui imposant mon statut d'actif et lui attribuant le rôle du passif.
Cependant, trois semaines après, alors que Nico est en train de me sucer, il se relève et il m’avoue quelque chose. Il aimerait qu’on se partage un mec.
- Comment ça ?, demandé-je.
- Oui, j’aimerais bien qu’on se partage le cul de Maxime.
Nico se précipite sur mes aisselles et il les lèche. Je ne me suis pas mis de déo aujourd’hui et il peut snifer mon odeur de mâle. Surpris, je dis à Nico :
- Je sais bien qu’il y a des rumeurs qu’il est homo, mais t’as vraiment envie qu’on prenne le risque de se faire percer à jour par rapport notre amitié « particulière » ?
- Ben écoute, je vais te raconter ce que j’ai vu ce matin.
Je pousse alors Nico sur le lit. Il est sur le dos et je lui mets mon cul devant le visage. J’ai vu il y a quelques temps que Nico adore que je le domine ainsi. Il kiffe trop quand je lui permets de renifler mon trou avant de l’autoriser d’utiliser sa langue. Il se met à renifler ma raie et il enfonce sa langue dans mon cul un peu poilu. Quand il la sort, il continue de sentir mon odeur tout en me branlant :
- Il faut que tu saches que Maxime me fait envie depuis très longtemps. J’adore son petit cul qui danse dans ses shorts ou dans ses jeans serrés. Mais bon, je te raconte : j’étais en cours ce matin, et j’ai dû aller aux toilettes. Quand je suis rentré dans les WC, je me suis figé et j’ai entendu des bruits bizarres. Sur la pointe des pieds, je me suis rendu dans une cabine. Je n’ai plus bougé, puis je me suis penché. J’ai alors remarqué qu’il y avait deux paires de pieds visibles. Je suis resté immobile. Au bout de quelques secondes, j’ai entendu des mouvements. Je suis monté sur la lunette des toilettes et j’ai regardé. Tu devineras jamais qui j’ai vu : c’était le concierge qui était en train de baiser Maxime. Ils avaient tous les deux leur pantalon baissé jusqu’aux chevilles, le cul à l’air. Le concierge tenait Maxime par les hanches. Il faisait des allers-retours dans sa chatte. Maxime était plaqué contre la paroi de la cabine et il prenait apparemment beaucoup de plaisir. Le concierge était en train de regarder sa queue qui entrait et sortait du trou de notre camarade. Quand Maxime lui a dit : « Allez ! Baise-moi plus fort ! Défonce-moi ! », le concierge a alors accéléré ses mouvements et j’avais alors une très belle vue sur sa queue qui rentrait et sortait du petit cul de Maxime. Le mec avait vraiment une énorme bite très épaisse qui ramenait bien le cul de Maxime. Elle est plus grosse que la mienne. Elle devait bien faire 22 cm, épaisse, marron foncée. Ses couilles se balançaient lourdement sous la queue et elles fouettaient les fesses de notre ami ... qui lui semblait encaisser sa bite comme il fallait. J’ai observé la scène, en faisant attention de ne pas me faire repérer. Et au bout d’une ou deux minutes, le concierge a donné un gros coup de rein. J’ai compris alors qu’il ensemencé Maxime. Il a arrêté ses coups de reins pour reprendre son souffle. Puis, il a ressorti sa bite qui s’était ramollie. Elle était vraiment bien énorme et très longue, épaisse, marron avec un gros gland. Le sperme dégoulinait tel un torrent hors du trou de Maxime, c’était vraiment très bandant. Les deux, ravis, ont remonté leurs pantalons et ils sont sortis. Moi, j’en ai profité pour me branler en fermant les yeux et en repensant à cette scène de baise. Il faut dire que le cul de Maxime avait souvent plus quand on était sous les douches, mais là, j’étais vraiment tout excité. Il m’a vraiment bien donné envie.
Je dois dire alors que le récit de Nico m’a vraiment très excité. Je me suis branlé à fond pendant qu’il m’a raconté ça et j’ai manqué de juter à plusieurs reprises. Je fais retourner Nico sur le ventre et j’enfonce ma queue dans son trou. Je me mets à le baiser à fond, tel un marteau piqueur. Ma queue entre et sort rapidement. Je lui demande de me raconter une nouvelle fois l’histoire. Je ferme les yeux et je le pilonne pendant son récit. Au bout d’une minute, je jute dans son trou, au moment où il raconte comment le sperme du concierge dégouline du cul de Maxime. Je dis alors à Nico que je suis d’accord avec son idée de plan à trois avec Maxime.
Puis, une fois dans ma chambre, je me mets à bon repenser à cette proposition. J’ai un sentiment bizarre. Franchement, j’adore Nico, mais je ne sais pas si ça serait pareil de se faire plaisir avec d’autres mecs. Je ne me considère pas comme homo, je considère Nico comme un bon pote avec qui je passe du bon temps et avec qui je peux me vider les couilles sans prise de tête. Mais de là à faire un plan à trois avec un autre mec... Je ne sais vraiment pas si c’est quelque chose pour moi. Cependant, je décide de ne rien dire.
Le lendemain, en cours de sport, alors qu’on fait de la lutte, j’admire le paquet de Nico qui est vraiment bien moulé. A la fin du cours, le prof de sport demande à Maxime et à Nico de ranger le matériel. Je leur file un coup de main. Et quand on revient dans les vestiaires, ils sont vides, nos camarades ont déjà déserté les lieux. On parle un peu avec Maxime de tout et de rien, j’en profite pour observer son paquet et son petit cul.
Comme si c’était tout naturel, Nico et moi nous mettons à poil et nous allons sous la douche. Maxime nous rejoint et on le voit aussi tout nu. Maxime a 21 ans, comme nous. Il est de taille moyenne. Il est brun et il a une grosse touffe au-dessus de la tête et des cheveux courts sur le côté. Il est mignon et il fait plus jeune que son âge avec son visage imberbe. Il porte des boucles d’oreilles aux deux oreilles. Son corps est tout aussi imberbe. Il est mince, il a des pecs et des abdos. Il a un pubis très poilu, avec des poils longs et drus. Il a de petites couilles marron et une bite au repos vraiment minuscule.
Nico finit par demander à Maxime s’il aimerait venir avec nous ce week-end à la piscine. Je regarde, surpris, mais je ne dis rien. Nico semble avoir un plan. Maxime accepte. On se donne rendez-vous devant notre foyer étudiant samedi à 14h.
Samedi, Maxime est au rendez-vous. Arrivé à la piscine, on va dans les vestiaires communs et on se déshabille. On se retrouve complètement à poil. Ensuite, on enfile notre maillot, on va ensuite sous la douche vite fait, et on va en nager ensemble. On fait des longueurs. Je peux de nouveau admirer le beau corps de Maxime, ainsi que son cul. Je dois alors avouer qu’une certaine envie s’empare de moi.
Au bout de deux heures, on ressort et on se dirige vers les douches communes. Je me place à côté de Nico et Maxime est en face de nous. On commence à se laver. Je savonne d'abord mon torse puis je passe à mon dos. Nico s’exclame.
- Attends, je vais t’aider.
Il vient alors derrière moi, il commence à me frotter le dos. Puis il passe à mon torse et ensuite, il me nettoie sous les bras. Maxime le regarde, bouche bée, un peu surpris. Nico continue, comme si de rien n’était
- Tiens, à toi, tu veux pas me savonner dans le dos ?
Je m’exécute, je prends du gel douche dans le creux de ma main et je commence à passer mes mains sur son dos. Du coin de l’œil, je remarque que sa queue commence à prendre un peu de volume. Il se la prend en main et il se met à se branler. Sa grosse teub est directement garde-à-vous. Nico me dit alors :
- Vas-y, descend plus bas.
Ma main descend le long de son dos et elle se retrouve sur ses fesses. Je commence à les malaxer. J’écarte sa raie et je lui mets un doigt. Nico se retourne alors et il se place devant ma teub. Après l’avoir caressée, il la prend en bouche et il se met à la sucer. Maxime nous regarde, ébahi. Mais je vois que le spectacle ne laisse pas indifférent : sa teub commence à prendre du volume. Nico arrête de me sucer et il me demande :
- T’as envie de plus ?
- Oui, bien sûr ! On rentre ?
Nico se retourne alors vers Maxime et il s’adresse à lui :
- Tu veux peut-être venir avec nous ? Et me dis pas que tu n’en as pas envie... regarde, ta queue te trahit !
On regarde tous sa bite. Elle est bien droite. Elle est fine, circoncise avec un gland rouge, elle doit faire dans les 14 cm. Maxime semble mal à l’aise. Puis, il finit par dire :
- Ok, allez, on y va.
On finit de se doucher, on s’habille dans les vestiaires et on se met en route pour aller chez nous. Mais j’ai quand même une petite boule vendre, je ne sais pas pourquoi, je n’arrive pas à l’expliquer.
A suivre...
Merci à Pierre-Esteban pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :