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Chapitre-11
Salut,
Moi, c’est Thibaut. J’ai 31 ans, je fais 1m78 pour 68kg. Je suis châtain, j’ai les cheveux frisés mais assez courts, j’ai une barbe de trois jours. Je suis plutôt musclé, j’ai un physique élancé. Je ne suis pas vraiment poilu, juste un peu sur le torse et sur le pubis. J’ai une bite de 18 cm, assez fine, avec des couilles plutôt fermes.
Comme je vous l’ai raconté, mon pote Julien a appris que j’étais gay. Il est hétéro, marié. Il m’a alors posé plein de questions. Alors que je décelais une certaine attirance de sa part, je lui ai tout simplement proposé d’essayer. On s’est alors sucé... et je l’ai même baisé ! Cependant, il m’a fait promettre de ne rien révéler de ce dérapage... mais on n’en est pas resté là. Il est bien devenu accro à ma bite...
Julien a 34 ans, il est châtain, il a les yeux marrons, avec une gueule d’ange. Il fait du sport depuis qu'il est gamin. Autrefois, il faisait du foot. Aujourd’hui, il fait de la natation, un peu de footing, du vélo et il va à la salle de muscu. Il n’a pas un brin de graisse, juste des muscles bien saillants et un cul magnifique qu’on devine au travers du tissu de son pantalon moulant. Il est cool, sympa, avenant, curieux de plein de choses. Il est marié depuis quelques années, il a deux enfants... Bref, il coche toutes les cases de l'hétéro BG qui a réussi sa vie.
C’est l’été. Depuis quelques semaines, je suis régulièrement mobilisé par mes oncles et mes tantes pour les aider à ramasser les haricots verts qui donnent pas mal cette année. On en a mangé, on en a mis en conserve, on en a donné… De plus, mes parents sont partis en vacances, je dois passer chez eux pour voir si tout est en ordre. Dans le jardin, il y a aussi encore pas mal de choses à ramasser !
C’est à ce moment que je pense à Julien. Je l’appelle et je lui demande s’il serait d’accord pour venir m’aider à ramasser les petits pois. Il accepte tout de suite. Il passe vendredi après le boulot.
Il arrive vers 17h30 et on ramasse les petits pois ainsi que d’autres légumes. Je bande pendant tout le temps en matant son petit cul dans les rangs de légumes. Je lui dis :
- Y a tellement de légumes cette année que je t’en donnerai !
- Cool ! Je pourrai faire des conserves ! Merci !
Vers 19h, on rentre dans la maison pour boire un coup. Alors que je me dirige vers la cuisine, il me dit :
- Vraiment merci, c’est cool. Va falloir que je te remercie !
J’ai une bouteille d’eau dans les mains quand je l’entends prononcer ces mots. Je la pose pour m’approcher de lui. Je le prends alors par les hanches, je le colle contre moi... Je lui fous ma langue dans la bouche et une main sur son cul que je commence à masser.
Il fait descendre une de ses mains pour masser mon paquet. Je lui demande alors :
- Tu la veux, hein, petite salope ?
- Oh oui, je la veux bien profond !
Je le retourne alors contre le mur. Dans le même temps, il baisse son survêt et il cambre son cul. Je caresse directement sa raie en l’embrassant dans le cou. Je fais passer un doigt sur sa rosette que je masse... avant d’enfoncer un doigt dans son anus. Il se met à gémir. Je commence à le limer avec deux doigts et il gémit toujours plus fort. Je sens très rapidement qu’il mouille. Il s’exclame, la voix tremblante :
- Baise-moi, j’ai trop envie !
Sans attendre, je sors de mon jean ma queue raide et dure. Mon gland est rempli de mouille. Je l’enfonce d’une traite dans son cul, le reste de ma queue suit jusqu’à la garde. Mes couilles vont s’écraser contre ses fesses. Julien gémit fort. Avec ses mains, il me prend la tête et il me roule une pelle pendant que je le défonce à grands coups de reins secs et brutaux. Ça claque fort, Julien couine bien…
Au bout de quelques minutes, je le pousse vers la table de la salle à manger, toujours ma bite dans son cul. Je le plaque sur la table et je le pilonne un bon moment. Je sens mon gland qui tape contre sa prostate... et ça ne manque pas : au bout de deux minutes, il jouit sur la table. Je sens alors ses contractions me masser la queue... ce qui accélère mon orgasme. J’éjacule dans son cul 8 gros jets bien crémeux.
Quand je sors de son trou, c’est un torrent qui dévale son périnée et ses couilles. Il se redresse et il se met à lécher son jus qui se trouve sur la table. Ensuite, il me nettoie la queue.
C’est à ce moment que mon oncle, qui habite à deux pas, m’appelle. Il veut savoir s’il doit passer chez mes parents. Tandis que Julien me nettoie correctement la queue qui se trouve dans sa bouche, je réponds que je viens de le faire. J’en profite alors pour lui demander :
- T’as des haricots ?
- Oh là là, on vient d’en ramasser plus de 2 kg, on ne sait pas quoi en faire !
- Je suis avec un pote qui les veut bien !
- Super, passez les chercher !
Julien et moi nous nous rhabillons après une toilette sommaire et après avoir remis les affaires de mes parents en place, on se rend chez mon oncle. On prend les haricots. Mon oncle nous invite à boire l’apéro et on discute. Julien est gêné mais mon oncle le rassure en lui disant qu’il l’en débarrasse.
Finalement, on repart à la voiture. On démarre et pendant le trajet, Julien a sa main posée sur ma queue. N’y tenant plus, je me gare dans un chemin, je recule le siège, j’écarte les cuisses et je dis :
- Vas-y, fais ton taf, salope !
Julien se penche avec plaisir sur ma teub qu’il se met à pomper. J’ai besoin de 10 ou 15 minutes pour cracher une bonne rasade de sperme (4 ou 5 jets) qu’il avale en me regardant droit dans les yeux.
Je le ramène chez lui. Sa femme est folle de joie en voyant tous ces légumes. Julien lui dit :
- C’est trop cool, mais j’en ai plein le cul, là !
J’essaie tant bien que mal d’étouffer un rire, tandis que Julien me regarde d’un air catastrophé.
A suivre...
Je tiens à préciser que cette histoire est réelle !
Merci à Thibaut pour ses révélations.
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Meetmemz
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