Tony

Chapitre-1 | Tony Boss

Gary venait d'arriver en France, un peu perdu mais plein d'espoir. Il cherchait un logement, un travail, et surtout quelqu’un pour le guider dans ce nouveau pays. Il avait entendu dire que faire du porte-à-porte était un bon moyen de rencontrer des gens et, qui sait, peut-être trouver une opportunité.

Ce jour-là, il frappa à une porte au hasard, sans se douter que sa vie allait prendre un tournant inattendu. La porte s’ouvrit brusquement, laissant apparaître Tony. Grand, musclé, imposant, avec ses pecs saillants sous son débardeur, son jogging ample et ses TN usées. L’odeur de ses baskets bien portées s’échappait légèrement dans l’air, marquant sa présence d’une manière que personne ne pouvait ignorer.

"Wesh, tu veux quoi toi ?" lança Tony en laissant échapper un mollard sur le trottoir.

Gary, intimidé mais captivé par l'aura de domination qui émanait de cet homme, hésita une seconde avant de répondre :

"Bonjour... Je cherche du travail et un logement... Je peux faire beaucoup de choses."

Tony le regarda de haut en bas, un sourire en coin. Il aimait les mecs respectueux, ceux qui savaient reconnaître une vraie présence alpha. Il ne savait pas trop pourquoi, mais il sentit qu’il pouvait tirer quelque chose de ce jeune étranger. Il ouvrit un peu plus la porte et fit un signe de tête.

"Vas-y, rentre. On va voir c’qu’on peut faire."

À l’intérieur, l’appartement de Tony était à son image : spartiate mais marqué de son empreinte. Des baskets traînaient un peu partout, des haltères reposaient dans un coin du salon, et l’air portait un léger mélange d’odeur de musc et de street-food réchauffée. Gary se sentait impressionné, mais en sécurité.

Tony s’affala sur le canapé, attrapa un papier traînant sur la table basse et le tendit à Gary.

"J’bosse avec une agence, ils recrutent des mecs comme toi. T’as juste à signer là et t’auras un toit."

Gary, sans trop comprendre mais aveuglé par la prestance de son hôte, prit le stylo et signa. Pour lui, c’était une chance inespérée. Il ne savait pas encore que ce contrat n’avait rien d’officiel, et que désormais, il était sous la coupe de Tony.

Le lendemain, ses affaires étaient déjà posées dans un coin de l’appartement de Tony. Un seul lit, une seule règle : Tony décidait de tout. Gary n’avait plus qu’à suivre...

Les jours passèrent et une routine s’installa. Tony devenait de plus en plus protecteur, voire possessif. Il verrouillait la porte à double tour, cachait la clé et s'assurait que Gary ne sortait jamais. Il lui faisait croire que c’était pour son bien, que dehors, il risquait gros, qu’il valait mieux qu’il reste à l’intérieur, sous sa protection.

Gary tentait parfois de questionner cette situation, mais Tony était doué pour retourner la conversation. "T’as pas besoin d’aller dehors, ici t’es bien. Y’a tout ce qu’il te faut. Moi, j’suis là pour toi." Ces mots finissaient toujours par calmer Gary, même si une petite voix dans sa tête lui disait que quelque chose clochait.

Petit à petit, l’extérieur n’existait plus pour Gary. Les stores restaient toujours fermés, et Tony lui répétait sans cesse que personne ne devait savoir où il était. Il n’avait plus de téléphone, plus de contact avec le monde extérieur. Juste Tony, sa présence imposante, ses règles, son autorité absolue.

Chapitre-2 | L’enfermement total

Tony ne laissa rien au hasard. Chaque détail de l’appartement fut pensé pour s’assurer que Gary n’aurait jamais accès à l’extérieur. Il commença par changer la serrure et garder la clé en permanence sur lui. Il installa des verrous supplémentaires aux fenêtres et cloua certaines d’entre elles. Il acheta des rideaux opaques et scella les volets pour empêcher la moindre lumière du jour de pénétrer. Pour que Gary ne tente même pas de contacter quelqu’un, Tony confisqua son téléphone dès le premier jour, prétendant qu’il devait le faire réparer. Il supprima son compte sur les réseaux sociaux et lui interdit tout accès à un ordinateur ou une télévision avec connexion internet. Même la boîte aux lettres était sous son contrôle : aucun courrier ne parvenait à Gary. L’alimentation aussi était sous surveillance. Tony était le seul à faire les courses, choisissant ce que Gary mangeait et à quel moment. Il rationnait parfois les repas, affirmant que c’était pour éviter qu’il ne prenne du poids et garde la forme. Tout était une excuse pour affaiblir Gary, physiquement et mentalement. Tony alla encore plus loin en simulant des dangers extérieurs. Il allumait la radio et prétendait qu’il y avait des rafles de sans-papiers dans le quartier, que la police cherchait des clandestins. Il montrait de faux messages sur son téléphone indiquant que des descentes avaient eu lieu dans les immeubles voisins. "T’es en sécurité ici, dehors c’est trop risqué."

Chapitre-3 | La vie sous domination

Les journées de Gary se ressemblaient toutes. Tony lui avait assigné des tâches bien précises : ménage, cuisine, entretien de ses vêtements, et même massage après les séances de musculation. Tony s'occupait de ramener l'argent, et pour cela, il se sentait en droit d'exiger toujours plus de confort et d'attention.

Gary acceptait sans rechigner. Il se répétait que c'était normal, que Tony méritait son respect et son obéissance. Plus le temps passait, plus son esprit se laissait enfermer dans une admiration étrange pour son hôte. Il rêvait souvent de lui, imaginait des scénarios où il pourrait être encore plus proche de lui, sentir sa chaleur, sa puissance. La nuit, il se surprenait à espérer un contact plus intime, un geste qui confirmerait son rôle privilégié auprès de Tony.

Mais Tony, lui, devenait de plus en plus paresseux. Il passait ses journées affalé sur le canapé, donnant des ordres d'un simple regard. Il savait qu’il avait Gary sous contrôle, alors pourquoi se fatiguer ? Chaque jour, il profitait un peu plus, sans jamais accorder à Gary autre chose que des miettes d’attention.

Et pourtant, Gary continuait à espérer...

Chapitre-4 | La nouvelle directive

Tony s’installa sur le canapé, jambes écartées, dominant la pièce de toute sa carrure massive. Il tapota l’accoudoir à côté de lui d’un geste impérieux. Gary, sans un mot, s’agenouilla près de lui, les yeux baissés. Il savait que Tony voulait parler, et il savait aussi que chaque parole prononcée par son hôte devait être gravée dans son esprit.

"Écoute-moi bien, Gary. On est arrivés à un stade où ça va devoir évoluer. Ce que tu fais pour moi, c’est bien, mais pas suffisant." Tony lâcha un mollard sur le sol avant de continuer. "J’ai besoin que tu sois encore plus impliqué, plus discipliné. Je veux que tu sois une extension de moi-même. Tu piges ?"

Gary hocha la tête, buvant ses paroles comme une doctrine sacrée. Tony reprit, sa voix grave résonnant dans l’espace clos de l’appartement.

"Je vais être encore plus strict. J’ai installé des capteurs sonores dans l’appart, histoire de vérifier que t’es bien à ta place quand je suis pas là. Si j’entends quoi que ce soit d’anormal…" Il laissa planer une menace silencieuse, un simple regard suffisant pour faire frissonner Gary.

Le jeune homme ne protesta pas. Il n’en voyait pas l’intérêt. Chaque règle, chaque restriction n’était que la preuve de l’intérêt que Tony lui portait, non ? Il devait se montrer digne de cet honneur. Il devait mériter cette place exclusive dans la vie de son maître.

Un silence s’installa, puis Gary osa enfin parler, d’une voix tremblante mais sincère.

"Tony… Je voulais te demander quelque chose."

L’homme le fixa, attendant.

"Je peux… dormir avec toi ? J’ai… j’ai froid la nuit. J’ai besoin de chaleur." Son regard était suppliant, presque enfantin. Mais il ne dit pas tout. Il ne parla pas de ses rêves, de ses pensées interdites où il vénérait son mâle de la manière la plus absolue. Il ne parla pas de cette envie brûlante qui le dévorait à chaque instant.

Tony eut un sourire en coin, un mélange d’amusement et de supériorité.

"C’est comme ça que ça commence, hein…" Il se leva brusquement et attrapa Gary par le menton, forçant son regard à croiser le sien. "On verra. Ça dépend de toi. Montre-moi que tu mérites ce privilège. Sois parfait. Sois mon ombre. Sois mon chien fidèle. Et peut-être… peut-être que je te laisserai te rapprocher encore plus."

Gary acquiesça, son cœur battant à tout rompre. Il n’y avait plus de doute : Tony était son dieu, et il ferait tout pour lui plaire.

Chapitre-5 | La soumission absolue

Tony s'adossa à son canapé, un rictus narquois sur les lèvres. Il observa Gary avec intensité avant de lever un pied et de lui faire signe d’approcher.

"Vas-y, renifle. Profite tant que c’est encore là."

Gary obéit sans hésiter, plongeant son nez dans les TN usées de son maître. L’odeur forte et musquée l’envahit, un mélange de sueur et d’usure quotidienne. Des larmes roulèrent sur ses joues alors qu’il inspirait profondément, submergé par l’émotion et la dévotion qu’il vouait à Tony.

Tony, amusé, lâcha un mollard à ses pieds et secoua la tête.

"Putain t’es vraiment un bon chien, toi." Il éclata de rire avant de cracher à nouveau, cette fois plus près du visage de Gary. "T’aimes ça, hein ? P’tit chien soumis. Regarde-toi. T’es pathétique."

Gary ne répondit pas. Il ne pouvait pas. Il acceptait tout, buvait chaque insulte comme une bénédiction. Il leva les yeux, pleins de reconnaissance, puis baissa de nouveau la tête.

Tony, satisfait, lui tendit ses pieds imposants, puis leva un bras, révélant des aisselles denses et musquées.

"Tiens, cadeau. Profite bien."

Gary ferma les yeux et hocha la tête, absorbant chaque parcelle de cette offrande. Son cœur battait fort, rempli de gratitude. C'était un honneur, une preuve supplémentaire qu’il était digne d’être là, auprès de lui.

Tony sourit en coin, réalisant à quel point son pouvoir sur Gary était absolu. Il savait désormais que ses nuits allaient être plus simples. Son chien fidèle dormirait à ses côtés, sans jamais remettre en question sa place.

Et c’était exactement ce qu’il voulait.

Cette nuit là, il.baiserait Gary comme une grosse pute. A genou devant lui, les mains sur le Tn, il se fera sucer, ses poils entreront dans les narines de Gary qui sera shooté par son odeur de mâle. Tony le limera, son 23 cm pulvérisera le fond de sa gorge. Gary pleurera d être étouffé de la.sorte. jamais il n aurait pensé Tony aussi fort.

Tony préparera son cul en glissant plusieurs doigts, avant de le ramener sauvagement, quelques soient les cris de Gary. Un pilonnage extrême, hard, pojr marquer son territoire.

Tony lui fera boire sa pisse ensuite pour le désaltérer, marquer encore plus sa domination. Tony découvre aussi un collier avec un cadenas de sécurité, il était redevenu esclave comme ses ancêtres.

Tony promis à Gary qu ils dormirait ensemble tous les soirs maintenant, il était sur de pouvoir garer sa bite dans son cul, sa grosse bite. Gary n en espérait pas tant. Tony indiqua aussi que dorénavant, son mouchoir, son gant de toilette, son urinoir, et son crachoir, c était lui.
Gary était aux anges et il n avait pas tout vu

Chapitre-5 | Le contrat d'appartenance

Tony sourit en coin, puis se leva tranquillement. Il se dirigea vers son bureau, une pièce à laquelle Gary n’avait jamais eu accès. Il ouvrit un tiroir verrouillé et en sortit un document soigneusement préparé. Il retourna s’asseoir sur le canapé, le papier en main, et tapota la table devant lui.
Avant de commencer à dormir avec lui, il a avait besoin de quelques nouveautés.

"Lis et signe. C’est le moment de prouver à quel point t’es dévoué."

Gary baissa les yeux sur le contrat, les mains tremblantes. Il y était inscrit :

**CONTRAT D'APPARTENANCE**

Moi, __Gary__, reconnais appartenir entièrement et exclusivement à Tony ____, maître absolu et unique détenteur de mes droits et de mes décisions. Par la présente, j’accepte de renoncer à toute autonomie et de me soumettre à toutes les règles dictées par mon maître.

1. **Obéissance totale** : Je m’engage à suivre toutes les instructions de Tony sans question ni hésitation.
2. **Restriction de liberté** : Je reconnais que mes déplacements et mes contacts avec l’extérieur seront strictement contrôlés. Le téléphone sera sous contrôle parental permanent, aucun accès sans autorisation
3. **Servitude domestique** : Je m’engage à entretenir l’espace de vie de Tony, préparer ses repas, laver ses vêtements et répondre à tous ses besoins matériels.
4. **Chasteté imposée** : À partir de la signature de ce contrat, je porterai en permanence une cage de chasteté verrouillée, dont seul Tony détient la clé.
5. **Dévotion absolue** : Mon corps et mon esprit appartiennent à Tony, et je me consacrerai à son bien-être et à son plaisir en toutes circonstances.
6. **Sanctions** : Tout manquement aux règles entraînera des punitions à la seule discrétion de Tony, sans contestation possible.
7. **Durée du contrat** : Ce contrat est effectif immédiatement et pour une durée indéterminée.

Signature du soumis : _______________

Signature du maître : _______________

Gary sentit son cœur s’accélérer. Chaque mot le liait davantage à Tony. Il releva les yeux, rencontrant le regard de son maître, brûlant d’autorité.

"Alors ?" demanda Tony en haussant un sourcil. "Tu veux vraiment me montrer à quel point tu tiens à moi ?"

Sans un mot, Gary prit le stylo et signa.