week en du 11 novembreMon meilleur ami, James, 18ans, avait enfin son appartement rien qu'à lui, pour pouvoir étudier convenablement et réussir ainsi sa première année de fac. Tandis que moi, j'étais toujours chez mes parents à rêver de liberté. Cela me faisait bizarre d'être encore chez mes parents alors que mes amis avaient tous leur propre appartement loin du domicile parental. Il arrivait malgré tout le travail que la fac lui demandait à faire encore du sport ; ce qui lui réussissait plutôt bien. Il en avait toujours fait, ainsi au fil du temps il avait réussi à se forger un corps d'athlète. Et grâce au fait d'être son meilleur ami, j'avais déjà eu l'occasion de le voir nu et pouvoir ainsi admirer ses belles cuisses musclés et poilus, son beau sexe ; sa poitrine était un pur chef d'oeuvre. Tout de muscles, des pectoraux et des abdos qui se dessinaient nettement et deux beaux bras bien musclé aussi. Il avait tous pour lui. De plus il avait une gueule d'ange, cheveux courts, noirs et bouclés, des yeux noirs et un sourire ravageur. Et ce fut en le voyant devenir musclé et beau comme un dieu que je me mis a fantasmé sur lui. Mais James était hétéro quant à moi j'étais bi et je voulais coucher si possible avec lui. Un jour il m'appela pour venir passer un week-end chez lui, ainsi on pourrait délirer comme avant, il me ferait visiter sa nouvelle ville. Le jeudi soir, veille du 11 novembre, je pris donc le train pour un voyage qui allait durée 3h sans arrêts intermédiaires. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que j'étais le seul et unique passager à prendre ce train ! Pendant trois heures je serais seul dans ce train rien que pour moi. Heureusement celui-ci était tout confort, il avait été refais a neuf, donc il y avait des banquettes bien confortables... etc...Je pris place sur l'une d'elle et je sortis un livre pour passer le temps. Je fus vite obligé d'enlever mon pull et de me retrouver en chemise tellement il faisait chaud dans le wagon. J'étais tellement absorbé par mon livre que je n'entendis pas le contrôleur arriver. - Excusez-moi de vous déranger, pourrai-je voir votre ticket s'il vous plait ? - Oui c'est bien vrai, je suis de remplacement et là je remplace un gars de cinquante ans qui a pris son week-end pour être en famille ; mais c'est tranquille, là nous ne somme que trois dans le train, le chauffeur, toi et moi. Il me rassura en me disant que ça ne le dérangeait pas du tout, et comme il n'avait rien d'autre à faire d'important il le ferait. Là il enleva sa casquette, et il commença à déboutonner ça chemise petit à petit. Il était en plus juste en face de moi, j'avais l'impression qu'il me faisait un strip-tease rien que pour moi. Je vis enfin ses muscles à l'air libre, parfait. Il était torse nu, et il commença à faire ses tractions juste en face de moi. Je voyais tous ces muscles se contractaient puis se décontractaient. Moi, assis, j'admirais le spectacle, j'étais aux premières loges. La chaleur commença à le faire transpirer, rendant son corps tout brillant... Au bout de deux séries de vingt cinq tractions il s'arrêta. - A ton tour maintenant Aaron, enlève cette chemise et montre moi comment tu fais des tractions... Il ne me laissa pas le temps de finir ma phrase, qu'il vint coller ses lèvres contre les miennes et il commença à m'embrasser, il força le passage et me roula une pelle majestueuse. Je me laissai faire, je m'accrocher a son dos, je caressais ses muscles. Tout en m'embrassant Cédric déboutonna un à un tous les boutons de ma chemise et je me retrouvai à mon tour torse nu. Il abandonna ma bouche pour venir me mordiller les tétons, il me descendit le long de mon torse jusqu'à ma ceinture. Là il me l'enleva, il défit mes chaussures et il enleva le tout, je me retrouvai ainsi en boxer devant lui. Il se leva il enleva a son tour ses chaussures et son pantalon pour être lui aussi en boxer et il revint s'asseoir sur moi et recommença a me rouler des pelles. En même temps que nous nous roulions des pelles, je profiter de son corps avec mes mains, qui glissaient dans son boxer, je malaxai ses fesses, nous bandions tous les deux. Cédric ne résistant pas plus longtemps et il descendit sur mon boxer, il me le retira en vitesse et commença a me lécher le sexe, mon sexe bien dur, bandait de ses dix neuf centimètre, et ne pouvant y résister il commença une fellation divine, il arrivait à tout engloutir, je sentais sa langue sur ma verge. C'était magique. Je lui demandai de se mettre en position soixante neuf, histoire que je profite mon aussi de sa bestiole... Je lui retirai son boxer, nos vêtements traînaient un peu partout dans le wagon et nous nous étions à même le sol sur la moquette à se faire des fellations. Cédric était très bien membré ce fut un régale de mettre sa verge dans ma bouche, elle était très propre avec un léger goût salée, je faisais des va et vient sur son sexe en alternant la cadence, sa bite de dix-neuf centimètres aussi était délicieuse. Parfois j'avais du mal à me concentrer pour le sucer tellement il me faisait du bien, à un moment je fus obligé d'arrêter de le pomper car il arrêta sa fellation pour venir titiller mon anus avec sa langue. Je sentais sa barbe me frotter les fesses pendant que sa langue dilatait mon anus. Je recommençai à le sucer pour que lui aussi ai du plaisir, il recommença à son tour à me pomper, il accéléra la cadence, je me sentais venir, je lui fis la remarque mais il garda ma bite dans sa bouche si bien que je lui éjaculai cinq long jets au fond de la gorge. Je continuai à le sucer et il me fit savoir qu'il venait et à son tour il éjacula dans ma bouche, je gardai son sperme dans ma bouche et je vins lui rouler une pelle tout en lui donnant sa semence qu'il avala aussitôt. Nous restâmes un moment l'un contre l'autre, mais nous fumes obligé de nous habiller car Cédric devait aller à la cabine du chauffeur. Il me roula une dernière pelle et parti. edwin64@live.frLa suite iciRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |