14h30 (3)Je suis en plein trip, la bouche pleine de la grosse paire de couilles qu'il y a encore 40 minutes je ne pensais par pouvoir gober en entier. Concentré sur ma suce qui me procure pour la première fois le plaisir de satisfaire mes délires de pompeur, travaillant un bel étalon bien bandant, je n'ai pas entendu sa question. Le Boss me retire sa paire de boules de la bouche et répète : Un peu hébété, lèvres en feu, je redescend sur terre après cette communion avec l'entrejambe de ce mâle canon. " Alors, tu viens goûter Zob? " Une fois encore, il rentre son paquet dans son slip, ou au moins ce qu'il en peut : Toute à l'heure je pensais que sa pine explosait de tous côtés, là je constate que je suis en face d'une érection bien autrement large ! Ses couilles balancent devant moi, pendantes hors de l'échancrure de son slob sur sa cuisse gauche. Son Zob magnifique se déploie à partir de l'autre jambe du caleçon, morceau de chair épais et droit, vibrant de puissance. Toujours à moitié calotté, chaque respiration du Boss soulève l'ensemble du paquet qui palpite devant ma bouche. Me souvenant de mes leçons, et devant l'épaisseur du morceau déployé, je commence par de timides coups de langue sur la longueur de la bête. J'explore la tige bandée pour goûter sa chaleur, me régalant de sa rigidité. Mes lèvres se font voraces, je salive sur la tringle, monte doucement jusqu'au gland qui s'ouvre sous ma vénération. Je redescend sur les couilles complices de mon mâle, gobant d'un seul coup l'intégralité de leur volume ! Bouche plaquée contre le paquet du Boss, la langue en action, j'entame une lente remontée, prenant le temps de flatter de la bouche les boules charnues que je viens d'avaler, remontant encore et encore vers son gland. Je lis dans ses yeux son intérêt pour mon travail. Pas de doute, Boss aime prendre son temps et jouer avec le PD qu'il invite à venir fêter sa queue. Un temps d'arrêt sur le frein du prep', celui ci désormais largement ouvert sur le gland. Je mate le terrain de jeu offert, puis délicatement, en prenant tout mon temps, j'englobe le gland. Il roule entre mes lèvres, ma langue vient le caresser et souligner la pression de mes succions de plus en plus affirmées. Le jeu dure quelques minutes, puis Boss commence à me piner doucement, entrant sa teub de plus en plus entre mes mâchoires écartées. Je sens les palpitations des veines et du sang qui afflue encore dans cette viande chaude. Je bande aussi comme un malade, sans même me toucher la queue, je perle quelques gouttes de sperme. Mon prof continue ses aller et retours, à chaque fois plus insistants et plus profonds. Il me chope la tête entre ses mains, et m'enfonce sa grosse pine raide et autoritaire. Etouffé sous le coup de boutoir, j'ai un formidable spasme de rejet qui me décolle de sa teub et me laisse sans souffle. Boss retire son slip et se rassoit dans son canapé. Pendant que je reprends ma respiration, la pine dressée devant mon visage, il me fait : " T'en as bouffé la moitié seulement, pour un débutant, sur un gourdin aussi large, c'est pas mal du tout. Je te promets que tu vas tout t'enfiler tout à l'heure, sans problème. Ton mental le veux, c'est la technique qui suit pas. On fait une pause." On s'allume une clope, je vais chercher 2 bières en cuisine. A mon retour, Boss est en train de nous mettre un film de cul. On trinque en regardant un mec se faire défoncer la gorge par une pine monstrueuse. Le suceur a les larmes aux yeux, mais s'enfile des centimètres et des centimètres sans broncher, couché sur le dos. Le plan s'élargit, et je reconnais mon prof dans le rôle du pineur ! A grands coups de reins, il dispose de la bouche ouverte à sa convenance. Les moments de saillies buccales intenses alternent avec des phases ou il laisse son suceur explorer son Zob et reprendre son souffle. Je remarque un anneau de métal qui enserre son paquet. Boss m'explique le rôle du " cockring ". Il me sort d'un tiroir différents exemplaires de cet objet : Anneaux d'acier, cordons de cuir cloutés, certains avec des extensions dont je ne m'explique pas le rôle, fins cercles de latex. Il pose également sur la table basse un petit flacon de verre opaque. Pendant ce temps, Boss inspecte son Zob. Très épaissie par mes suces, sa bite à nouveau souple déploie une bonne 20aine de centimètres. A SUIVRE male a traireparis20eme@hotmail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |