Préparatifs du 14 Juillet 2007Ce que je vais vous raconter est bien réel et date d'il y a quelques heures à peine. Ce mercredi 11 juillet, il est 08h du matin et j'ai une réunion de travail avec les pompiers de la ville ou j'exerce pour préparer les festivités du 14 juillet. On est une dizaine de participants, état major pompier, mairie, partenaires sociaux et donc moi. Les discussions doivent durer deux heures et le temps ne tourne pas très vite. Je suis tenté d'aller jeter un oeil, mais je ne veux pas me faire remarquer. C'est un jeune pompier de 25 ans environ, il mesure 1m75, très bien foutu. Il a juste une serviette autour de la taille et se rend aux urinoirs, je le vois détacher sa serviette et je peux apercevoir ses fesses musclées. Il tient la serviette dans une main et me rejoint au lavabo. Je peux alors voir sa queue d'une belle taille et circoncise. Il me sourit en me demandant qi je fais partie de la réunion. Je réponds par l'affirmative et il me dit que les bureaucrates connaissent rien à leur travail de terrain, il raccroche sa serviette et me dit qu'il est bien content de terminer sa garde dans une heure. Je suis sûr de l'avoir déjà vu quelque part, je ne lui ai pas dit pour ne pas tenter cette approche minable du "on s'est déjà vu non ?" mais là c'est vrai. Je retourne à la réunion et je repense à ce mec. Je me prends la tête pour savoir où je l'ai déjà vu ... La réunion est presque terminée et le souvenir me revient ; je l'ai croisé sur un tchat de rencontres, il avait des photos de corps magnifiques et m'avait rapidement montré une photo de visage. Un bug informatique m'avait empêché de me reconnecter pendant plus d'une heure et à mon retour il n'était plus là. Je sors de la réunion après quelques mains serrées. Et je regagne ma voiture. Je n'ai pas revu ce bogoss alors je me dis que ce sera pour les festivités, qui sait. Je reprends le chemin de chez moi. Je vois ce bogoss à un arrêt de bus, je hésite et puis je me dis que qui ne tentes rien n'a rien. Je m'arrête à son niveau et lui demandes si je peux l'avancer, je me rends dans la même direction que le bus. Il est content de ma proposition à voir son sourire. Il met son sac à l'arrière et monte à côté de moi. Maxime, c'est son prénom, me dit qu'il a du temps car son train est à 14h à gare de Lyon, il va sur Toulon pour avoir un peu de soleil. On discute et se rapproche de la gare. Je me lance en lui disant qu'en réel il est mieux que sur les photos. Il éclate de rire et me dit qu'il se demandait depuis le début si je l'avais reconnu parce que lui oui. Il pensait qu'il ne plaisait pas vu qu'il n'avait pas eu de réponse sur le tchat et que là je ne lui en avais pas parlé directement. Je lui dis qu'il a tort et qu'à mon regard il aurait du s'en rendre compte. Maxime me dit alors que ce n'est pas cool car on n'est pas à égalité. Je ne comprends pas trop. Il me répond que je l'ai vu complètement nu et que lui n'a rien vu du tout. On est à 5 min de chez moi, j'annule deux rdv et on y va. Il me dit pas de souci, mais qu'il préfère prendre un peu d'avance, et en joignant le geste à la parole, il rentre sa main dans mon pantalon et me caresse la queue et les couilles. Il sort ma queue qui a pris des proportions intéressantes et se baisse pour sucer mon gland. Je suis en train de me faire sucer par un bogoss alors que j'arrive en bas de chez moi. Je remballe et on monte chez moi. A peine la porte fermée, il me plaque contre le mur ; je sens sa queue dure se frottait sur mes fesses. Et j'entends ses fringues tombaient au sol. Il est très chaud. Il me retourne et je le vois nu, complètement nu. Il m'assoit sur le canapé et se frotte sur moi en dandinant ses fesses. Il est beau, il sent bon.... Il défait ma ceinture et baisse d'un coup mon pantalon. Il reprend sa pipe plus poussée et me lèche les couilles. Je vois sa queue dure, je suis super excité et mon gland bute contre le fond de sa gorge. Je retire cravate et chemise et me voilà nu avec lui. Je l'emmène dans la chambre et on se frotte l'un à l'autre ; je le suce et sa queue est vraiment épaisse. Il apprécie et se laisse faire. Je descends ma langue sur son petit trou et je sens qu'il est très serré. J'y engage un doigt bien humide et il se décontracte un peu. J'ai envie de lui, et mon gland tapant sur son anus lui fait comprendre. Il choppe une capote sur le chevet et me la déroule avec la bouche. Je prends le gel et le prépare à me recevoir. Il lève les jambes en me fixant dans les yeux. Je m'approche et commence à buter sur son trou. Le passage est très serré mais il en a envie. Il me prend l'arrière des cuisses et commence à me faire pénétrer, je le laisse mener la danse pour l'instant. Mon gland entre et son visage se déforme en grimace au début. Ma queue commence à pénétrer un peu plus facilement et j'arrive enfin à entrer à fond. Il gémit assez fort ; mes voisins en auront pour leur argent. On change de position, et je le prends à quatre pattes, ma queue touche le fond et il crie toujours autant. Il vient ensuite s'asseoir sur ma queue et me roule des pelles. Il va juter et me prévient. 4 à 5 beaux jets viennent se fixer sur ses pecs et je sens que le mien ne va pas tarder. Il se lève et me retire la capote. Il reprend une pipe et me dit qu'il ne veut rien perdre de mon jus. Mon jus monte et explose au fond de sa bouche. Il garde tout. C'était vraiment trop bon. Nous allons sous la douche ensemble. On se rhabille et il ne peut pas s'empêcher de me toucher les fesses en me demandant s'il pourrait lui aussi en profiter un moment. Il m'a mis deux ou trois coups de langue pour me donner envie et m'a donné son numéro pour que je le joigne à son retour. Il m'a donné rdv après sa garde du 14 juillet. Ca sera une autre histoire... AbdelLa suite iciRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |