Cyrillo

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Routiers

J'arrive sur cette aire de repos vers minuit que j'aime car elle est éclairée. Ce qui n'empêche pas d'avoir des coins plus sombres pour ceux qui le souhaitent. Trois camions garés et aucune voiture. Une chance pour le vide couilles que je suis. Je me gare, ouvre ma fenêtre et m'allume une clope. Je mate les camions. Deux polonais et un français.

Le français a fermé ses rideaux mais on imagine un écran allumé. Je m'aperçois que les polonais discutent à l'extérieur. Un grand vieux et un petit râble. Le petit mate dans ma direction, j'écrase ma clope et je sors de ma caisse, direction les chiottes. J'attends un peu à l'intérieur mais rien ne vient. Je sors, retourne à ma voiture. La discussion n'en fini pas je me réinstalle dans ma caisse jambes écartées pieds sur le tableau de bord. Un taxi arrive en trombe se gare et file aux toilettes, ça doit être une urgence. illico je le suis. J'entends, en arrivant, un jet puissant et qui dure. J'entre. Il est aux urinoirs, brun tout de noir vêtu la trentaine. Il se retourne tout en pissant, me mate et s'éloigne pour me montrer sa queue, je la regarde, il joue avec en se décalottant le gland. Il me dit "elle t'intéresse ?" sans attendre ma réponse il me dit : "Viens tu vas me la décrasser, dépêche j'ai pas le temps" je m'approche il me fait m'agenouiller pendant qu'il fini de pisser. "Ouvre la gueule" et m'envoie un jet puissant dans ma bouche, il me demande d'avaler tandis qu'il secoue les dernières gouttes sur ma gueule.
"C'est bien ma pute maintenant tu vas la sentir, j'ai bossé toute la journée tu vas bien me la décrasser allez sens la"

Je le regarde, un bon 19cm je la hume, la décalotte et la ressens, il kif, elle gonfle, je pesse ma langue mais ne la gobe pas. Il déboutonne son pantalon qui tombe sur ses chevilles "lèche mes couilles" elles sont poilues et sentent la transpiration je bave dessus comme pas possible.
Il me prend le menton et se baisse pour me dire "Maintenant tu vas téter et me vider ouvre ta gueule" Ce que je fais immédiatement. J'aime ce gout de mâle, il durcit rapidement me maintient la tête et me défonce la gueule sans se soucier de mes hauts le coeur. Une bave blanchâtre sort de mon gosier tant il s'enfonce jusqu'aux couilles, mon nez coincé dans ses poils.

"Putain qu'elle pute !" il accélère et se bloque au fond de ma gorge attendant que je n'en puisse plus, il ressort et me tape sur la gueule avec sa queue qui s'est transformé en béton. "Tu pensais que c'était fini, mais non ma pute je vais encore me servir de toi... Tiens tu vas me bouffer le cul, ma femme me fait jamais ça, mais toi tu vas me faire ça hein? Ma petite pute..." Il m'envoie un énorme crachat sur le gueule et se retourne, baisse son boxer et me colle son cul poilu sur ma gueule qu'il coince avec ses deux mains. "Sens ce cul de mâle" Je m'étouffe il me sert trop fort, mon nez se frotte à sa raie et ses poils collés. Il lâche la pression et me demande de lécher, ce que je fais "oui vas y bouffe le", il délire, prends son pied, je l'entends, je le vois.

Je bouffe ce cul pour en faire disparaitre l'odeur. Je le lèche, fais ma langue plus dure pour le pénétrer avec, il adore, remets de la pression dans ses mains pour que je m'enfonce plus loin, je tourne à l'intérieur comme si je lui roulais une pelle "oh putain la dose que tu vas te prendre" je continue encore et puis il se retourne me présentant une bite très humide, je lèche la mouille, le tête, il me défonce la gueule à nouveau m'envoyant un premier jet en fond de gorge, il ressort de ma bouche pour m'innonder la gueule d'un deuxième jet "ouvre ta gueule et n'avale pas" il se vide sur ma langue tirée et dans ma bouche, il trempe sa queue dans ma bouche jouant avec son jus et faisant des derniers va et vient comme pour tasser le jus. J'avale et je nettoie sa bite qui se ramollie. Il me tapote sur la tête comme on tapote sur un bon chien. "C'est bien ma pute, quel pied ! Dommage que je n'ai pas le temps je t'aurai bien défoncer le cul. ça sera pour une prochaine, je passe presque tous les mardis vers cette heure là."

Il remonte son boxer trempé et son pantalon. Je me relève, mes genoux n'en peuvent plus. Il me dit "attends, faut pas gâcher." Et là il ramasse avec ses doigts son jus qui est sur ma gueule et me les met dans la bouche pour que je les suces. Il lave les mains et se casse en sifflotant.
Je me passe le visage sous l'eau. J'entends la voiture démarrer. Je m'essuie avec un bout de me tee shirt qui est immaculé de bave et de sperme. Je sors et je m'allume une clope. Sur le parking toujours les trois camions et toujours pas de voiture, quelle chance pour le vide couilles que je suis...

Je me ballade, remarque que le routier français a éteint son écran dans sa cabine aux rideaux fermés. Tant pis. Par contre les deux polonais discutent toujours. J'hésite à partir, le plan était tellement incroyable que j'ai peur d'attendre pour rien ou d'être déçu. Je finis ma clope et monte dans ma voiture. Le plus jeune des polonais me mate toujours de temps en temps, l'air de rien, se touchant le paquet négligemment, c'est plutôt bon signe. J'écoute la radio et les deux routiers remontent dans leur camion.

Le plus vieux démarre. Merde ! Ils s'en vont. Mais non. L'autre reste là. Yes ! Je sors, fais un tour mais rien ne se passe. J'allume une clope, fais des allers et retours jusqu'aux toilettes, mais toujours rien. Je remonte dans ma caisse. Le chauffeur descend, mais à quoi joue-t-il ? Il fait le tour de son camion regarde ses pneus, regarde ma caisse, il va derrière le camion, je sors, me dirige vers le lieu de sa disparition de ma vue, j'entends une portière... Ok c'est un rigolo. Je me dirige vers le camion français mais rien ne bouge. Je vais me rentrer mais le polonais ressort, cette fois j'y vais direct. Il est à côté de sa portière ouverte, un pied sur le marche pied, il a allumé une clope. J'arrive à sa hauteur, il regarde en l'air, j'approche timidement ma main de son paquet, il m'appuie sur l'épaule et me pousse la tête sur son pied je hume et lèche la chaussette, lui mordille le gros doigt de pied. Je suis gêné de faire ça dehors. Il me prend la tête et me la colle sur la bosse de son pantalon je sens le mâle et lèche le tissu. Il jette sa clope et me fait signe de monter.

Il referme la porte et me montre la couchette.
On va avoir du mal à communiquer. Je vire mes chaussures et vais à l'arrière. Il reprend ma tête et frotte sa bosse. Il déboutonne son froc, baisse son slip faisant apparaitre une bite très épaisse. Il me défonce la gueule illico. J'ai les amygdales déjà endolories mais j'assure. Il pousse des cris. Il me colle une chaussette sous le nez, j'en crois pas mes yeux. Il passe une main sous mon survêt et me doigte le cul. Il fait mal mais je suce. Il sort ses doigts après m'avoir doigté et me les met dans la bouche. Je suce ses doigts, ça l'excite.

Il m'allonge comme une crêpe et s'étale de tout son poids sur moi. Il essaie de m'enculer à sec et sans capote, je proteste mais ne peux me dégager. Je gueule, il me fou sa chaussette dans la bouche, c'est dégueulasse, la laine gratte et me sèche la bouche. Il pointe sa queue et s'enfonce d'un seul coup. J'ai super mal par la largeur de sa queue. Il y reste sans bouger, puis petit à petit, il s'active, disant des mots que je ne comprends pas. Il lime tantôt doucement, tantôt à toute vitesse. Il est endurant, c'est un bon baiseur, savant savourer.

Il tape au fond de mon cul, je sens ses couilles sur les miennes. Il me retourne avec une vitesse incroyable, m'écarte les jambes et me pénètre à nouveau. Nous sommes face à face c'est un beau petit mâle. Il me retire la chaussette et continue son limage. Des perles de sueur de son visage me tombent dessus. Il me baise de plus en plus vite se retire me saute dessus et m'enfourne sa queue dans la bouche où il jouit à son aise. J'ai le gout de mon cul et de son jus qui se mélange, il reste dans ma bouche faisant quelque va et vient et une fois sa bite molle, il se retire mettant ses couilles dans ma bouche et jouant avec son sexe sur mon visage. Il me regarde lâchant un "waouh" et pointant un pouce vers le ciel.

Il me fait comprendre que je dois y aller. Je me rhabille vite fait et je descends. Je m'allume une clope et rejoints ma voiture doucement, me remettant de mes émotions. Le camion démarre et s'éloigne. Au moment de monter dans ma voiture les stops du camion français s'allument. J'hésite, j'ai mal au cul, j'ai pris deux doses hyper kiffantes... allez, qu'est-ce que j'ai à perde...
Je m'approche du camion, la vitre est baissée, "Tu cherches quoi ? Tu suces ?", je ne le vois pas mais je dis oui. "Monte". La porte s'ouvre je vois rien ! Par contre ça sent le mâle... "Dépêches-toi, j'suis excité" la voix est autoritaire et très rauque, je tâtonne et tombe sur une jambe nue, je remonte avec main, ça y est je capte il est assis sur la couchette au centre, les jambes écartées.

Bonne teub, je l'engouffre mais un goût acre m'envahit les narines, ça ne sent plus le mâle, ça pue ! J'ai du fromage dans la bouche je bave à mort pour faire passer le gout. C'est horrible. Il me tient la tête et me lime la gueule. "Tête bien j'vais venir, j'suis pas long". Fallait pas me dire ça je prends ma main et le branle à vive allure. Le jus dégueulasse m'inonde la bouche et ce con m'appuie sur la tête. J'suis obligé d'avaler. Je me détache tant bien que mal et me casse vite fait. Je retourne à voiture et vide un litre d'eau. Je démarre ma voiture, à ce moment là une fourgonnette arrive mais je me casse quand même en décidant que désormais lorsque j'aurai vécu un bon plan je n'attendrai pas car la qualité est supérieure à la quantité.

Ppeurdcil

ppeurdcil@gmail.com

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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