" Absolument Fabuleux ! :o) "(HankySpanky1968@aol.com - © Juillet 2005) Je me savonnais sous la douche en fredonnant, pensant aux bons moments que j'allais vivre ... J'avais rencard à 14 heures 30 avec Bruno ... Dans une heure, je serai de nouveau avec lui ... à lui ... Le temps de me sécher, de m'habiller rapidement et je fonce à mon rencard ... Sur le trajet, le temps me paraît interminable : il est vrai que j'avais hâte de le retrouver ... Bruno est un mec qui me fait flasher à donf : 1 mètre 83, 83 kilos, châtain, yeux bleus, actif, un torse merveilleusement dessiné, musclé et poilu, de lourdes cuisses musclées et poilues elles aussi et une teub royale de 20 x 6, bien épaisse et bien droite ... J'en salivais déjà à l'avance ... " Ah, c'est toi ! Entres ! " De suite, il vire mon rucksack, enlève mon T-shirt, et baisse mon bermuda en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire ... J'ai à peine saisi ce qui m'arrive que je me retrouve à poil ... Il en fait de même de son côté, puis quand il est lui aussi à poil, s'approche de moi en tenant sa queue , et me dit : " T'es venu pour ça, hein ? T'es comme toutes les autres chiennes ... Tu veux ma queue ... Y'a que ça qui t'intéresse ... " Une fois contre moi, il secoue sa teub et vient la frapper contre ma cuisse. Elle a sérieusement grandi, grossi et durci. Il m'écarte ensuite de lui et me dit : " Fous toi à genoux et pompes moi, salope ! Bouffe ma grosse queue et fais moi prendre mon panard, puisque c'est ce que tu veux... " Je ne comprends pas trop pourquoi il se comporte comme ça ... Son ton supérieur et autoritaire, ses petites insultes et son regard perçant ne me déplaisent pas : je m'exécute ... Je suis à ses pieds, à genoux devant lui, en train de goûter à son magnifique chibre bien raide ... Je lui bouffe la queue, les couilles, lui lèche les cuisses (je sais qu'il aime ça) et d'un coup, je m'entends dire : " Bon allez, donne ton cul, on va pas y passer la journée ! Je vais te bourrer et ensuite, tu dégages ! " Pendant qu'il dit ça, il vient se placer derrière moi puis me dit : " Mmmm ! T'as un beau cul ! Je vais défoncer tout ça ! " Et il rit. Il enfile une capote, dépose un peu de gel sur ma rondelle et pose son gland dessus. " Alors, t'es prête, salope ... Parée au décollage ? " Je suis par terre, sur le tapis de l'entrée ... A ce moment, il m'enfonce son énorme pieu d'un seul coup dans le cul ... Les 6 centimètres de diamètre m'ont dilaté en un éclair et les 20 centimètres s'enfoncent à grande vitesse jusqu'au fond. Je sens ses couilles venir heurter l'entrée de mon cul. J'en ai le souffle coupé. Cette grosse teub m'a littéralement écartelé. Il continue de suite un va et vient violent, hard dans lequel seul son plaisir importe ... Je suis un jouet pour lui, un jouet qui va le conduire à sa jouissance ... Il me bourre le fion sans aucun ménagement, ne me laissant aucun répit. Sa queue s'active dans mes entrailles. Il me baise rapidement, violemment, avec frénésie ... Chacun de ses coups de reins me fait lâcher un gémissement, mêlant tous les sentiments que j'ai à ce moment : bonheur, tristesse, excitation, douleur, plaisir, ... Au bout d'une minute, il enfonce sa queue au plus profond et me dit : " T'aimes ça, hein ... T'aimes quand je te bourre comme ça ... Tu es ma petite pute ... La dernière fois, j'étais beaucoup plus tendre avec toi, mais c'était une erreur, il faut te traiter comme ça ... t'es une chienne ... t'aimes être bourré comme une petite pute " Sans même attendre ma réponse, il me pousse de sa main pour que je sois allongé sur le ventre. Et il reprend de plus belle. Il bourre ma rondelle, pilonne mon cul à grands coups de butoir ... Il est tout en muscles et ne fatigue pas ... Cependant, au bout d'un moment, je sens des perles de sueur venir s'écraser sur mon dos ... Il me bourre avec une vitesse et une force incroyables, et soudain me dit : " Remets-toi à quatre pattes ! Allez, vite ! " Je m'exécute. Il enfonce à nouveau son pieu dans mes entrailles et reprend son rythme effréné de baise ...Au bout de cinq minutes, il commence à gémir différemment et ses mouvements sont moins rapides mais très fermes, très violents ... Je comprends qu'il est en train de jouir ... " Oh, je vais venir ... Je vais cracher dans ton cul de lope ... Oh, oui ! ... Oh, oui ! ... Putain, c'est bon ! Ooooh, oooooh, ooooooooh ! " Il reste quelques secondes en moi, bouge un peu sa queue dans mon cul, comme s'il voulait encore prolonger ce moment, puis se retire ... Pendant qu'il retire son préservatif, il me dit : " C'était cool, merci ! T'as un bon cul ! On est bien dedans ! Mais euh ... il faudrait que tu partes maintenant " Il me dit qu'on a 5 minutes pour aller rapidement se doucher. On prend notre douche ensemble. Pendant que je me rhabille, il m'explique que sa copine devrait bientôt venir et qu'il serait préférable que j'ai débarrassé la plancher avant son arrivée. Je me dépêche, ne voulant pas faire d'histoires ; ce mec me plaît tellement, que je suis prêt à tout pour le revoir ... Il m'accompagne à la porte de son appartement, et me dit d'un air tendre : " Salut Alex ! Et, euh ... excuses-moi pour aujourd'hui, je sais pas ce qui m'a pris ... J'étais un peu énervé ... Désolé ! ... Je te rappelle un de ces jours ..." " T'inquiètes pas ! Ca m'a bien plu ! J'attends ton coup de fil ! A bientôt ! " Je me sauve, heureux d'avoir passé un moment intime avec ce mec que je désire plus que tout au monde, dont je suis follement et secrètement amoureux. Dans le hall d'entrée de l'immeuble, je croise deux meufs. On se salue et je me casse ... Sur le trottoir, je me suis dit qu'une d'entre elles était peut-être la copine de Bruno ... Je m'engouffre dans ma caisse et démarre ... Je suis très vite bloqué dans les bouchons dus à la sortie des bureaux et surtout aux travaux de construction du tramway. Pendant ces moments d'arrêt, je ne peux m'empêcher de repenser aux merveilleux moments que je venais de vivre : je me revoyais lui lécher le torse, les tétons, me rappelais de la douce sensation de sa queue dans ma bouche et surtout des interminables coups de butoir qu'elle a fait subir à ma rondelle ... J'aurais bien recommencé à ce moment, mais bon, je me suis dit que ce sera pour une autre fois et que sa meuf avait une chance énorme : elle en profite jours et nuits, la veinarde ! ... J'en rêve ! J'étais à présent enfin sorti de Strasbourg ... Au bout de 10 kilomètres environ, ma caisse donne un premier signe de fatigue. Le second, deux minutes plus tard, lui sera fatal. Me voilà en panne, en pleine cambrousse ... Je pousse ma caisse sur le bas-côté et j'allume les "warning"... Personne à l'horizon et pas de portable sur moi ... Six ou sept voitures sont passées, mais aucune n'a daigné s'arrêter. Perdant espoir d'être secouru, je me suis résigné à me débrouiller par moi-même. J'allais d'abord me griller une clope et ensuite j'irai à pied jusqu'au prochain village pour y trouver de l'aide... Pendant que je tirais sur ma sèche, plusieurs voitures sont passées ... Je n'y ai même plus prêté attention ... Quand soudain, l'une d'entre elles s'arrête : c'était un minibus Volkswagen, très vieux, aux couleurs baba-cool ... Vous savez ces trucs hyper colorés faisant un bruit de vieille coccinelle ... ? Je m'approche et constate que la plaque minéralogique était allemande. Normal ! Seuls les Allemands se baladent dans ce genre d'engins ! Le conducteur, tout sourire, me parle dans un français presque parfait. Je leur explique que je suis en panne, que ma caisse ne démarre plus. Il me propose alors de me déposer où je le souhaite. Je lui demande si ça ne le gêne pas de me déposer à environ 35 kilomètres de là. Je grimpe dans le van et on démarre. Le conducteur me présente sommairement ses deux potes et me dit qu'ils ne parlent pas un mot de français. Je lui rétorque que ce n'est pas grave parce que je parle allemand. On pourrait donc tous converser en allemand dorénavant, ce sera plus simple ... Le conducteur s'appelle Stefan, 30 ans environ, 1 mètre 90, environ 90 kg, blond, les yeux bleus, musclé, imberbe ... A côté de lui, était assis Markus. La trentaine, 1 mètre 85, 80 kilos, brun, les yeux bleus, viril et poilu. Et enfin, à l'arrière, sur une sorte de strapontin, le troisième mec était Ali, beau mâle d'origine turque, même âge que les deux autres, 1 mètre 85 environ, dans les 85 kilos, brun, yeux bruns, poilu, peau mate ... " Tu as une copine ? " me demande-t il. Stefan prit la parole et me dit tout naturellement avec un sourire ravageur : " On a chacun une copine à Stuttgart mais on aime bien de temps en temps baiser entre nous ... On est un peu bi, par moments ... " ... et ils se marrent ... En se caressant la cuisse, Ali enchaîne : " Et toi, tu aimes quoi ? Hétéro ? Bi ? Homo ? " Puis il pose sa main droite sur ma cuisse, la caresse tendrement et me demande : " T'aime faire quoi avec un mec ? Actif ? Passif ? " A ce moment-là, Markus se retourne et le voit me caresser la cuisse ... " Ali, fous-lui la paix " Il sort sa queue de son short et dit : " Regarde, depuis qu'il est entré dans cette putain de bagnole, je bande comme un fou " Effectivement, sa teub était dure, très dure ... J'étais étonné de ce qu'il venait de faire et terriblement flatté d'être la cause de cet état. Voyant que Markus nous tournait à nouveau le dos, Ali a fait glisser sa main de ma cuisse vers ma main gauche ... Il me la chope et la dirige vers sa queue. Je me laisse faire et me voilà en train de le branler ... Au bout de quelques secondes, je décide d'arrêter cette branlette stupide ... On a passé l'âge ! C'est vrai que j'avais passé un moment d'enfer avec Bruno auparavant, mais je n'avais rien contre le fait de recommencer ... Je me penche sur sa tige et je le gobe. Je le pompe à fond, comme j'aime le faire ... Sa queue est de taille moyenne, environ 16 ou 17 centimètres, et est fine ... Ali commence à émettre quelques gémissements et Markus se retourne ... A ce moment, je l'entends dire à son pote qui était au volant : " Putain, regarde ça, il est en train de tailler une pipe à Ali ! Oh putain, je ne le crois pas ! " Markus nous mate sans arrêt. Il tourne le dos à la route et ne rate rien de ce spectacle ... et dit : " Oh putain, ils me donnent la trique, tous les deux ! " Markus s'exécute et passe derrière. Dès qu'il nous a rejoint, Ali nous ordonne de nous foutre à poil. C'est vite fait : en plein été, on n'a pas grand-chose sur le dos ... Je reprends la teub d'Ali en bouche et commence par caresser de la main gauche le corps de Markus. Ma main droite parcourt le ventre et le torse poilu d'Ali. Je passe d'une queue à l'autre : la tige de Markus est un peu plus longue (environ 18 cm), mais tout aussi fine que celle d'Ali. Je m'attarde une trentaine de seconde sur chaque teub, et je passe ensuite à l'autre ... Stefan, toujours au volant, nous hurle : " Eh, les gars ! Arrêtez ! Attendez-moi ! Je trouve pas de place pour me garer, putain ! Attendez ! J'en veux aussi ! " Au bout de cinq ou six changements, Ali me dit de bien pomper son pote et se relève. Il va se placer derrière moi et commence à me caresser le cul, puis la raie pour finir par se concentrer sur ma rondelle ... Très vite, son doigt a fait place à sa langue, chaude et humide, qui parcourt ma raie et ma rondelle avec insistance ... Il plonge sa langue experte dans ma chatte et me la bouffe divinement. De mon côté, je suis affairé à pomper du mieux que je peux le zob de Markus ... " Ah, enfin ! Il y a un petit chemin où je vais pouvoir me garer ! Faites-moi une petite place, les gars, je vous rejoins ! " A ce moment, le coup de rein d'Ali est plus doux et moins rapide ... Stefan nous a rejoints, à présent. Il est passé à l'arrière et se dessape en un temps record ... Ali se couche sur son grand sac de voyage et me dit de venir m'asseoir sur sa teub. Markus me tend sa queue et je le pompe au rythme de mes coups de reins. Stefan se tient à côté de lui et arbore une tige énorme, à moitié raide ... " Waow ! Ta queue est vachement belle et vachement grosse ! " Il s'adresse à Markus et lui dit : " Laisses-moi ta place, s'il te plaît ! " Markus s'exécute pour que son pote prenne aussi son pied. Pendant qu'Ali est sous moi et baise mon petit cul, Markus me mate en train de pomper son pote et se branle. Au bout d'une minute, je me rends compte, en ouvrant les yeux, que Markus a disparu. Très vite, je sens quelque chose sur mon cul et pense que c'est un doigt d'Ali. Mais dans la seconde qui suit, je me rends compte que c'est la queue de Markus qui essaie de me pénétrer. Le temps de lâcher le chibre de Stefan pour lui demander d'attendre son tour et c'est déjà trop tard ... Markus a forcé l'entrée et enfoncé sa queue dans mon cul ... Je m'entends crier un bon coup et ces deux pines fines s'activent de nouveau ... Très vite, elles me procurent une sensation particulière (que je n'avais encore jamais connue) et un plaisir extrême : j'ai deux teubs hyper actives dans le cul et je pompe un morceau énorme. La sensation de ce double va-et-vient aura vite raison de moi. Je suis tellement excité par cette situation que je ne tarde pas à décharger tout mon foutre sur le torse d'Ali qui en est ravi ... Ils ne s'arrêtent pas pour autant. Au contraire, ils redoublent de vigueur et me défoncent la rondelle comme des bêtes ... C'est génial ! J'en plane, tellement c'est bon ! Après avoir bien joui, j'ai la sensation de jouir du cul ... Je ressens des trucs bizarres au niveau de ma rondelle, comme des chatouillements, des petits picotements provenant des frottements causés par ces deux queues ... A ce moment, j'entends Ali qui se prépare à vider son chargeur. Il ralentit la cadence et se met à hurler son plaisir... Il est très vite suivi par Markus qui gémit à son tour ... Ils ont presque juté en même temps ... Markus se retire. Je me relève et Ali en fait autant. Ils se placent sur le côté. Ali dégage son sac et Stefan me demande de le pomper ... Je suis à genoux devant lui et gobe son chibre ... Ali m'encourage dans mes efforts : " Ouais, mec ! Vas-y ! Pompe le bien ! Bouffe ce gros morceau ! " Au bout de deux minutes, Stefan me demande de me relever, me retourne et debout derrière moi, fais glisser sa queue dans ma raie ... Quelques instants plus tard, il s'écarte, enfile un préservatif et l'enduit de gel ... Ali, au même moment, dépose une noix de gel sur ma rondelle pour la préparer à " accueillir le monstre ". Je n'ai pas trop flippé, parce qu'après ce que je venais de subir (cette délicieuse double sodo) et en début d'après-midi, les assauts de la grosse teub de Bruno, je n'étais plus à ça près ... Sous le regard intéressé et vicelard de ses deux potes, Stefan s'est placé derrière moi, a posé son gland contre ma rondelle et poussé vers l'avant pour la faire entrer ... Je n'ai pas souffert : son chibre est entré doucement, tendrement en moi et a glissé vers le fond de mon cul jusqu'à sa garde. Ali, amusé, s'est exprimé : " Waow ! Putain ! Il arrive à gober tout le morceau ! " Stefan commence à activer son engin et le fait lentement ressortir ... Quand il arrive au niveau du gland, il fait machine arrière et l'enfonce à nouveau. Il fait ceci plusieurs fois, avant d'accélérer la cadence. Il me baise maintenant avec plus de fougue et me donne des coups de reins un peu plus vigoureux. A chaque fois, il enfonce sa teub bien au fond de mon cul et je sens ses couilles venir heurter mon entrejambes. Markus reste muet face à ce spectacle mais Ali ne peut s'empêcher de faire des commentaires et de ponctuer les coups de reins de Stefan par un " Waow ! ", un " Putain ! " ou un " Mmmm ! ", prouvant ainsi son vif intérêt pour le spectacle ... Il me semble subjugué et dingue de la teub de son pote ... Stefan me place ensuite sur le dos, relève mes jambes, les place sur ces épaules et reprend sa délicieuse activité ... Il me baise bien à fond et me fait face, pour voir mon visage à chaque fois que sa queue s'enfonce profondément et vigoureusement en moi ... Au bout de trois ou quatre minutes, il me retourne, me fait me mettre à quatre pattes et enfonce à nouveau son zob bien au fond de mon cul ... A partir de ce moment, je sens qu'il veut en finir ... Il a envie de juter et que ça vienne vite ... C'en est fini des petits cris que je donnais jusqu'à présent ... Il me bourre sans aucun ménagement : il va et vient dans mon fion comme un sauvage ... La sueur perle sur son front et il ne lâche pas prise ... Il continue de me bourrer avec beaucoup de force et de vigueur ... Mes cris sont eux aussi plus soutenus. S'il continue comme ça, il va me faire bander à nouveau ... Ali est dans le même état : il se tient à côté de nous, queue raide et dressée, et est en train de se palucher. Le voyant, je suis à nouveau terriblement excité et me met à bander très vite et très dur. Les assauts de cette grosse teub et l'engouement d'Ali face au spectacle me font très vite monter le jus ... Je décharge sur le sol en gémissant de plus belle. Après deux minutes d'un bourrage soutenu, Stefan se retire et dit : " Oh Putain, je vais juter ! " Ali s'approche de lui et lui dit : " Donne moi ton jus, s'il te plaît ! " Il se met à genoux devant Stefan qui a entre temps enlevé sa capote. Stefan se branle à un rythme effréné et finit par décharger quatre longues salves de foutre épais sur le torse d'Ali, qui en est ravi. Deux ou trois autres jets viennent compléter le tableau et Stefan s'écarte ... Ali est couvert du foutre de son pote et me montre fièrement la quantité que Stefan lui a déchargé sur le torse. Il reprend sa branlette effrénée et me demande si je veux son foutre. Comme j'acquiesce, il s'approche de moi, se branle de plus en plus vite et décharge tout son jus sur mon cul en gémissant. Ils m'ont ensuite ramené chez moi. Dans le van, on continuait à bien discuter, bien déconner ... Il y avait une bonne ambiance virile entre nous ... Arrivés devant chez moi, je leur ai proposé de monter et de les héberger pour la nuit mais ils ont préféré continuer leur chemin. Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |