Cyrillo

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J'ai peut-être rêvé cette histoire, où elle s'est déroulée comme ça, ça n'a pas d'importance.

J'avais 18 ans, je n'en étais pas à ma première fois, mais je n'avais rien connu d'aussi sensationnel, de désir aussi spontané ! Les derniers jours de l'année scolaire sont plutôt synonymes de détente, comme chacun sait, sauf quand il y a examen.

Tout commence avec le BAC. Les épreuves de sport sont terminés, et plus personne ne vient assister au cours, ou si peu.

Du côté des garçons, nous sommes trois, Loïc, Guillaume, et moi, Jules. Quelques filles vont faire de la gym. Bien vite, le prof nous laisse faire ce que l'on veut, et l'on traîne, sans conviction. C'est la dernière cour de la journée. Le dernier cours de l'année avant les révisions même !

On n'est pas pressé, on traîne dans le vestiaire une demi-heure avant la fin, on s'amuse sous les
douches, on chahute.
Imaginez-vous le tableau : trois ados de 18 ans, grands, pas vraiment genre armoire à glace mais de jolis muscles dessinés, des corps jeunes, quelques poussées de poils sur la poitrine chez Guillaume et moi.
Nous sommes bruns, lui a les yeux noirs, la peau mate, moi bleus, plus pale.
Loïc, blondinet aux yeux marron vert. Là, trois queues, à moitié bandantes sous leurs touffes de poiles (entre 16 et 18 cm en tout, l'honneur revenant à Guillaume), qui bougent au rythme de nos chahuts avec leurs boules bien pleines.

Rien que d'y penser.
On joue plutôt innocemment, mais je bande, de plus en plus fermement. Je ne m'en rends pas compte, mais finalement c'est Loïc qui attire notre attention, bien que tous deux soient forcés de reconnaître très vite qu'ils sont proches du même état d'excitation ! Ni une ni deux, j'empoigne mon engin, souriant, d'un air satisfait. je me branle devant eux qui, amusés, ne tardent pas à
faire de même ! on ne dit plus rien. On s'approche les uns des autres, je ne sais plus quelles furent les premières mains sur quel torse. Très vite, toujours en riant, faussement détendu, plus aucun d'entre nous n'a sa propre queue en main.

Je ne veux pas attendre. J'arrête Loïc, je le désire, et quant à la bite de Guillaume. n'en parlons pas ! je m'agenouille, et ne leur cache pas plus longtemps mes intentions. j'attrape la queue de Guillaume et la branle, et je jette ma bouche sur celle de Loïc. Je me retrouve immédiatement avec de la mouille plein la bouche que je lèche avidement, je n'oublie aucun centimètre de sa queue et de ses boules, et j'alterne avec Guillaume. Sa queue est plus impressionnante, et des plus délicieuses.

je répète le même mouvement mais tout à coup Guillaume me fait asseoir, et m'indique de m'occuper de Loïc qui n'en peut plus de gémir ! Il s'allonge au sol et saisit ma queue. Directement pleine bouche ! Il me pompe sans relâche, et il aime ça à en croire ses gémissements ! De mon côté je lui fais savoir ce que j'en pense, avec toute la mouille qui vient envahir sa langue !

Je vis un moment magique, mais je sens que sous tous nos gémissements grandissant la fin est proche. J'ai envie de leur foutre. Loïc va jouir. Il me le dit, il se recule et m'éclabousse le torse de son foutre, de longues giclées qui me ravissent. Aussitôt, il vient me caresser, me lécher les tétons, m'embrasser, interrompant Guillaume, pourtant sur le point de me faire cracher. Il l'a senti, et replonge sa tête droit sur ma bite. Surpris, je largue tout dans sa bouche ! Je gémis de plaisir. j'étais loin d'imaginer Guillaume aussi avide. Il a tout dans la bouche, et Loïc se précipite pour lui rouler une pelle ! Puis c'est moi qu'il embrasse avec mon propre sperme.

Loïc et moi échangeons le même regard : il nous reste à attendre les giclées de Guillaume, qui ne sont pas longues à arriver. Il se relève, et au-dessous de nous, il se branle jusqu'à nous envoyer de longues giclées sur le visage, le torse.

C'était sensationnel ! Nous nous caressons et embrassons, excités, pleins de foutre. Mais l'heure a tourné, et nous entendons le prof arrivé, les filles sortir. Ni une, ni deux, nous voilà rhabillés, du sperme partout sur le corps, mais on s'en fiche, et l'instant d'après, nous sommes tous repartis vers nos bus et foyers respectifs.

jules_loup@hotmail.fr

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