Monsieur l'ambassadeurIl faisait terriblement chaud malgré la nuit tombante. Il était 22H00. Cela faisait un bout de temps que je n'avais plus eu d'amants. Et oui, je passe parfois par des périodes de chasteté que je ne m'explique pas vraiment.J'étais torse nu dans mon appartement centre ville avec juste un caleçon américain. A 27 ans j'ai encore un beau corps raisonnablement musclé avec de belles cuisses et deux belles fesses (dont je suis assez fier ;-) ). Mes pensées devenaient quelque peu coquines et je sentis le début d'une érection. Décidément, la chaleur me rendait fou. Je me mis à poils et continuais à vaquer à diverses occupations domestiques. Ma bite de plus en plus dure, mes pensées de plus en plus lubriques. Il faillait sortir. Je pris une douche froide pour calmer mes ardeurs. J'enfilai un short satin de jogging sans rien en dessous, un T-shirt et parti aussitôt au bois pour voir ce qu'il y avait se mettre sous la dent ! Comme toujours pas mal de petits vieux coincés qui cherchent à mater. Je courrais déjà depuis une demie heure, je transpirai comme un fou. J'avais déjà ôté mon T-shirt et relevé mon short afin que le passant puisse voir un bon tiers de mes fesses ! Je croisais quelques beaux jeunes gars... tous plus coincés les uns que les autres ! Je bandais maintenant sous mon short ! Seule la lumière de la pleine lune trahissait cette érection sous mon short de satin ! Je décidai au bout d'une heure de course de marcher et de rentrer dans le sous bois. Mon coeur battait. La police passe parfois. Je n'avais pas encore fait mon coming out . Au lieu de me calmer ou de me dissuader, l'interdit m'excitait de plus en plus. L'affolement gagnait mes sens. Je repérai un tronc d'arbre et entrepris de me déshabiller totalement ne conservant que mes chaussettes de sports et mes chaussures de jogging. Mon coeur battait la chamade, je sentais le sang affluer dans mes tempes, ma bite vibrait comme un bâton de source ! Mais plus que la source, elle cherchait du sexe ! Soudain j'entendis un bruit de feuilles derrière moi. Je me retournai, haletant de désir, une ombre se dirigeait vers moi. Etait-ce un vieux ? Un jeune ? A l'ombre du sous bois, même la pleine lune, ne me permettait plus de distinguer les traits de mon assaillant. Je frémis. Je ne pouvais faire marche arrière. Moi qui suis d'allure classique, look hétéro, bref l'idéal beau-fils à marier, J'étais poils dans un bois, appuyer contre un arbre, soupirant de désirs. Je fermai les yeux et décidai de me laisser faire. Je sentais maintenant la présence de l'étranger juste à mes cotés. Je sentais son souffle sur mon corps. Il promena ses mains sur tout mon corps. D'abord doucement puis avec de plus en plus de pressions et d'insistances, s'attardant sur mon sexe, mes couilles. Il me décalottait puis me recalottait. Il me demanda soudain si j'acceptais d'être son esclave pour la nuit et je me surpris répondre : " ouiiii ". Il ajouta promets le ! Et je m'entendis répondre " Je promets d'être ton esclave cette nuit ". Je ne me reconnaissais plus ! Il me pris alors par la bite et me dit de le suivre. Il me tenait par la bite comme on tient un chien en laisse. J'ouvris les yeux pour ne pas tomber. Mon assaillant n'était pas de première jeunesse. La soixantaine, chauve, 1m72. Du haut de mon mètre 82, je me dis que je pourrais me défendre si nécessaire. Je regrettai un instant de m'être laissé aller à ce point. Je dis alors à mon interlocuteur d'attendre un instant, j'allais prendre mon short et mon T shirt laissé au pied de l'arbre. Mais ce dernier en me serrant ma bite dans sa poigne me répondit : " trop tard, tu as promis d'être mien ce soir. Tu es ma pute. Salope obéis moi ! Je t'ordonne de me suivre à poils" Ces paroles eurent pour effet de m'exciter davantage ! Mon éducation me rappelait qu'une parole donnée ne pouvait être niée. C'est la première fois que l'on utilisait l'autorité verbale à mon encontre. Je trouvais cela terriblement excitant. " On reviendra les chercher plus tard, maintenant appelle moi maître. Suit moi et ta gueule ! " Nous regagnâmes le sentier. Là, il m'ordonna de me mettre genoux, ce que je fis. Il sortit de son sac à dos un collier de chien, une laisse et un masque vénitien. Une fois paré il me dis " allons nous promener, je te rappelle que tu es ma chienne ! Tu dois m'obéir. Si tout se passe bien, je respecterai ta discrétion et personne grâce à ce masque ne te reconnaîtra " L'un des gars croisé nous suivait. Arrivés à l'étoile, mon maître m'intima l'ordre de me caresser lentement tout en me tortillant. Je devais creuser mon dos pour faire ressortir davantage mes fesses. Je devais garder les jambes bien écartées, bref je devais faire la pute. Sous ses encouragements " vas y salope, offre bien ton cul !, écarte davantage tes fesses ! Montre ta rondelle ! Pinces toi les tétons ! Vas y sale pute, chienne ! Obéis ! " Le grand mec s'approcha pour mieux mater. Il échangea quelques paroles avec mon maître qui m'ordonna de sucer la queue de mon premier client lança t il avec un rire sadique. Je me mis alors immédiatement à sucer cette magnifique queue. Cet inconnu était beau. Fin quarantaine. Un corps parfait, plus grand que moi, il devait avoir 1m90 ou plus. Torse poilu, touffe de poils sur la queue et sur les couilles. Avec ses belles larges mains autour de ma tête, il rythmait la cadence de sa bite dans ma bouche. J'avais eu le temps de m'apercevoir que notre bel inconnu avait une alliance, ce qui m'excite toujours grandement. Je lui faisais une pipe d'enfer ! Ces gémissements en témoignaient ! Mon maître avait maintenant sorti sa queue. D'une main il se branlait et de l'autre il me dilatait le cul avec le gode. L'inconnu, avec un accent fort prononcé, demanda alors de pouvoir terminer dans mon cul. Mon maître sourit alors, me retourna pour offrir mon cul bien ouvert. " Excellence ! Cette pute est à votre disposition " Il écarta bien mes fesses pendant que l' " Excellence " entrait son majestueux pieu dans mon cul. Il me laboura 5 bonnes minutes avant de jouir et remplir de mon de 7 ou 8 jets puissants. Mon maître m'ordonna alors de bien nettoyer la bite de mon premier client. Je m'appliquai à le faire. Pendant que l'étranger congratulait mon maître pour sa découverte, je m'allongeai sur un tronc d'arbre, une jambes de chaque coté et entrepris de me masturber sous l'oeil attentif de ces deux hommes. Le troisième avait maintenant disparu. Je jouis rapidement. Mon maître me dit alors qu'il était temps pour moi d'aller chercher mes affaires. Je le remerciai pour la soirée. Une fois rhabillé, nous discutâmes encore un peu. Qui était cet homme ? Inconnu pour moi mais vraisemblablement pas pour lui ! Il m'avoua que c'était l'ambassadeur d'un pays arabe mais ne pouvait me donner plus de précisions. Mon maître me demanda si j'acceptais de nouvelles expériences. Je m'empressai de répondre oui. Nous changeâmes nos numéros de gsm et je rentrai chez moi heureux de cette agréable soirée. Thi email: nakibe@yahoo.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |